Le Vice-président du FPI, Jean Bonin Kouadio démissionne

Le mercredi 04 mai 2021, par le biais d’un communiqué émanant du FPI, M. Jean BONIN KOUADIO, Vice-Président du Front Populaire Ivoirien, en charge de la Communication et du Marketing Politique, a présenté sa démission du FPI au Président du parti.

A en croire les informations décrites dans le communiqué, celui aurait présenté sa démission pour des raisons de convenances personnelles.

Suite à cela, le Président du parti en a pris acte, tout en réitérant ses remerciements à M. KOUADIO pour les années de collaboration.

Notons par ailleurs, que cette démission qui intervient dans la periode des préparatifs du retour de l’ancien chef d’Etat ivoirien et fondateur du FPI, Laurent Gbagbo au pays.

Le Front populaire ivoirien connaît depuis quelques années des mésententes internes au sein du parti dues à un problème de leadership. Ce problème qui s’observe à travers la division de la formation politique, notamment avec un camp qui reconnaît Laurent Gbagbo comme président du parti et une autre frange restée fidèle à M. Affi .

 

 

Législatives 2021 : la coalition PDCI/EDS et le RHDP se réclament vainqueur

L’opposition ivoirienne comme le parti au pouvoir ont tout les deux revendiqué une victoire dans les urnes.

La Commission électorale indépendante ne s’est toujours pas prononcée que l’opposition ivoirienne revendique déjà sa victoire aux législatives. Le dimanche le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), le principal parti d’opposition a revendiqué par la voix de son porte parole avoir obtenu autour de quelques 128 sièges.

Dans son compte, le PDCI s’appuie sur ses nouveaux alliés de la coalition Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (EDS), qui regroupe les partisans du Front Populaire Ivoirien de l’ex-président Laurent Gbagbo.

Ce résultat, s’il se confirmait, permettrait alors au parti d’Henri Konan Bédié d’obtenir une majorité des 255 députés de l’Assemblée Nationale.

 

Législatives 2021 : Le président de la CEI présente le chronogramme.

Coulibaly Kuibiert, présente le calendrier des législatives de 2021.

Le jeudi 14 janvier 2021 , le président de la commission électorale indépendante, Coulibaly Kuibiert, a présenté , le chronogramme des législatives.

En effet, cette présentation a eu lieu, au cours d’une rencontre, avec les partis et groupements politiques et les organisations de la société civile ayant participé à la session du dialogue politique du 21 au 29 décembre 2020.

Par ailleurs, Coulibaly Kuibiert rappelle que le dépôt des dossiers prend fin le 20 janvier 2021. La liste des candidats retenus sera communiquée le 31 janvier 2021. Ensuite, celle-ci sera transmise au conseil constitutionnel le 1er février 2021.

Début des campagnes électorales et la proclamation des résultats.

En outre, la campagne électorale est prévue du 26 février au 4 mars 2021. Les résultats provisoires des élections sont fixés au 09 mars. En cas d’égalité parfaite, de nouveaux scrutins sont prévus le 24 mars et les résultats provisoires le 25 mars 2021.

Les élections législatives 2021 se tiendront, le 6 mars 2021 afin de renouveler les 255 membres de l’Assemblée nationale. Initialement prévues pour octobre 2020, elles ont été reportées de quelques mois.

Notons, le Fpi et le Pdci, partis de l’opposition ivoirienne, prendront part à ces élections législatives. Cela est le signe de la décrispation de l’atmosphère politique en Côte d’Ivoire, et surtout de l’instauration d’une cohésion sociale.

Dialogue Politique: Adama Bictogo exprime les ambitions du RHDP

Lors d’une interview, le directeur exécutif du RHDP, Adama Bictogo, a donné la vision du parti au pouvoir pour la suite du dialogue politique.

Pour le RHDP, le cap est clairement mis sur les élections législatives du 6 mars 2021. « Le premier rendez-vous important, c’est le 6 mars, les législatives. Pour nous, c’est un nouveau départ et j’invite l’ensemble des acteurs politiques au sens de la responsabilité pour que définitivement, nous puissions tourner la page des violences qui ont entraîné des pertes au plan matériel et au plan humain », explique Adama Bictogo.

Ensuite, il a encore confirmé l’intention première du RHDP, « aller aux législatives avec tous les membres de l’opposition ».

« La préoccupation majeure des acteurs politiques, c’est que nous puissions aller à ces élections législatives. Et au lendemain de ces élections législatives, nous puissions regarder la Côte d’Ivoire à travers sa nouvelle cartographie politique. »

La préparation du retour de Gbagbo Laurent en Côte d’Ivoire

Mais concernant le retour du Président Gbagbo, le directeur exécutif du RHDP, n’a pas donner de réponse concrète.

« C’est une question à laquelle je ne peux pas répondre. Mais ce que je sais, c’est que lors de notre dernière rencontre du dialogue politique, le Premier ministre Hamed Bakayoko a indiqué aux forces de l’opposition qu’il devait encore recevoir monsieur Assoa Adou pour évoquer avec lui les modalités de son retour ».

Il ajoutera par la suite : « En tant que parti politique, nous, ce que nous retenons, c’est que les élections législatives à venir sont des élections complètement inclusives, d’autant plus qu’aussi bien le FPI, dans toutes ses versions, que le PDCI ont donc annoncé leur participation aux élections législatives. De mon point de vue, elles vont être le point de départ de la décrispation totale dont a besoin notre pays. »

 

 

FPI: Rencontre entre Assoa Adou et Affi N’Guessan

Une rencontre entre les deux branches du FPI a eu lieu, le lundi 4 janvier à la demande du Président Gbagbo Laurent.

En effet, le secrétaire général d’une section du Front populaire ivoirien (FPI), Assoa Adou était à la tête d’une délégation pour témoigner sa compassion à Affi N’Guessan, à la demande de Laurent Gbagbo, suite à sa libération conditionnelle.

Par ailleurs, « depuis le 7 août 2020, beaucoup des nôtres ont été arrêtés, tués et séquestrés; notre frère a été arrêté et emprisonné, et dans de telles circonstances, il est bon dès qu’il sort de voir s’il se porte bien et lui manifester notre compassion », a déclaré Assoa Adou aux médias.

« C’est ce que le président Gbagbo nous a demandé de venir faire cet après-midi », a fait savoir M. Assoa Adou,  chez M. Affi à la Riviera M’Badon.

Vers la réunification  du FPI

D’abord, M. Affi a salué ce geste, laissant entendre au travers d’un adage que les pieds ne vont pas là où le cœur n’a pas décidé, visiblement heureux de ce projet formé par sa famille politique.  De plus, « c’est grâce à votre hargne que cette décision a été prise parce que M. Alassane Ouattara n’avait pas autre choix que de nous libérer », a expliqué M. Affi.

Ensuite, il a émis ses vœux d’une bonne année à Laurent Gbagbo, souhaitant sa « délivrance » et son retour au pays afin de poursuivre le combat politique et « décharger le fardeau qui pèse sur ses compagnons de lutte ».

Puis, interrogé par les journalistes de savoir si c’est un rapprochement entre les camps en faction au sein du FPI, M. Assoa Adou a répondu que leur « frère » Affi a souffert et il était question de venir lui apporter leur « solidarité ».

Enfin, rappelons que, l’ancien Premier ministre, Affi N’Guessan, arrêté et incarcéré après l’élection présidentielle, pour complot et atteinte à l’autorité de l’Etat, a été libéré et mis sous contrôle judiciaire le 30 décembre 2020.
D’ailleurs, sa libération est intervenue à la suite de la clôture de la troisième phase du dialogue politique, entre le gouvernement, la société civile et l’opposition.

Côte d’Ivoire : les autorités policières démentent les rumeurs sur le décès d’Affi N’Guessan

Suite aux rumeurs diffusées sur la toile annonçant le décès du président du FPI, Pascal Affi N’Guessan, les autorités policières ont démenti ces fausses assertions.

En effet, le dimanche 08 novembre 2020, une fausse information circulait sur les réseaux sociaux avait annoncé la mort de Pascal Affi  suite à une électrocution après son interpellation dans le cadre d’une enquête pour complot et attentat contre l’autorité de l’Etat.

Pour ce faire, la police a tenu rétablie la vérité sur cette fausse information.  » La police Nationale  tient à informer l’opinion nationale et internationale  que monsieur Pascal Affi  N’Guessan interpellé dans la nuit du 06 au 07 novembre 2020 dans le cadre d’une enquête pour complot et attentat contre l’autorité de l’Etat, se porte bien et n’a fait l’objet d’aucun acte de torture . », indiqua un communiqué de la police.

Par ailleurs, soulignons qu’une vidéo apparue sur la toile montrait bel et bien M. Affi vivant. Interrogé par la personne tenant le téléphone en question pour savoir s’il est décédé, comme le dit les rumeurs sur les réseaux sociaux. Il répond « non, c’est faux, je suis en bonne santé, c’est de l’intoxication ». Poursuivant, le président du FPI affirme  » je me porte bien, je ne suis pas décédé. Aujourd’hui, nous sommes le dimanche 8 novembre 2020, je ne suis pas décédé, je me porte bien « .

Rappelons cependant, que Pascal Affi, candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, a été interpellé après l’annonce par les leaders de l’opposition de la mise en place d’un Conseil national de transition. Notons que cet organe est censé se substituer aux institutions de la République.

La CEDEAO appelle Bédié et Affi à reconsidérer leur action de boycotter le scrutin présidentiel

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest ( CEDEAO) a appelé lundi à Abidjan, les opposants ivoiriens Henri Konan Bédié et Pascal Affi N’Guessan, à reconsidérer leur décision de boycotter le scrutin présidentiel du 31 octobre 2020.

Au terme d’une mission ministérielle de diplomatie préventive, la délégation de la CEDEAO, conduite par Shirley Ayorkor Botchwey,  la ministre des Affaires étrangères et de l’intégration régionale du Ghana, a exhorté les présidents du PDCI et FPI à revoir leur décision de sabotage de l’élection présidentielle.  » La mission a exhorté les candidats à la présidentielle du PDCI et du FPI à reconsidérer sérieusement la décision de boycotter l’élection et l’appel à leurs partisans à se lancer dans la désobéissance civile pour protester contre le processus électoral (…) puisqu’ils pourraient ne pas être en mesure de contrôler les excès qui résulteraient de leur appel à la désobéissance civile » indique un communiqué de la délégation ministérielle.

En effet, les deux candidats de l’opposition ivoirienne avaient lancé un mot d’ordre de désobéissance civile, pour protester contre un 3e mandat d’Alassane Ouattara. Rappelons que ces derniers contestent l’inéligibilité à ce scrutin présidentiel du président Alassane Ouattara.

Cependant, la mission a exhorté les candidats à l’élection présidentielle ainsi que les partis politiques à faire des efforts considérables pour parvenir à un accord concernant l’élection.

Par ailleurs, la mission a réitéré son appel à la CEI pour qu’elle poursuive ses réunions avec les différents candidats afin de trouver des solutions aux problèmes. Elle a également invité les autorités compétentes à convier les forces de sécurité à rester neutres, impartiales et professionnelles dans l’exercice de leurs fonctions.

Pascal Affi N’Guessan se prononce après la décision du conseil constitutionnel

Le lundi 14 septembre, le conseil constitutionnel a dévoilé la liste des candidats retenus pour la présidentielle du 31 octobre 2020. Aussitôt déclaré éligible, le candidat du FPI, Pascal Affi N’Guessan, a donné ses premières impressions.

« Mobilisons-nous, rassemblons-nous pour imposer le 31 octobre une victoire dans les urnes.Viendra alors le temps de la renaissance. Ensemble, je sais que c’est possible » , a-t-il déclaré.

Le Conseil Constitutionnel a raté aujourd’hui l’occasion historique de marquer son indépendance : en acceptant la candidature du président sortant, manifestement inéligible, en refusant celles du président Laurent Gbagbo et de Guillaume Soro, privés de leurs droits civiques pour de purs motifs d’opportunité politique.

Je condamne avec la plus extrême fermeté la spirale de l’exclusion dans laquelle s’enfonce la Côte d’Ivoire. Elle apparaît comme la manifestation la plus aboutie du caractère tyrannique du régime. Elle constitue également une effroyable machine à broyer. Elle génère enfin un climat de terreur devant des lendemains lourds d’incertitude.

En Côte d’Ivoire en 2020, les règles élémentaires de l’Etat de droit ne sont pas respectées. Il est urgent de mettre fin à cette politique d’ostracisme, de bannissement, d’excommunication. J’ai en cet instant une pensée particulière pour le président Gbagbo, victime depuis neuf années d’un acharnement judiciaire que ses auteurs espéraient destructeur pour l’homme et pour son combat.

Mais ses camarades de lutte, dont je suis, le savent bien : il est insubmersible. Blanchi des charges les plus folles, il se trouve dans une nouvelle forme de prison, l’exil. Le régime le prive de la possibilité de décider, en toute liberté et en toute conscience, de la nature du rôle qu’il aspire à jouer. Il aurait dû être en mesure de se représenter et j’aurais alors été à ses côtés.

Je lui renouvelle une promesse : celle du retour immédiat chez lui et d’un rôle éminent dans la réconciliation de notre pays. Pour ma part, je me sens investi aujourd’hui des aspirations que portaient et portent ceux qui ont été éliminés et je leur dis toute ma détermination à mettre fin à ce régime destructeur des libertés.

A leurs partisans, j’adresse un unique message : cette liste partielle et partiale m’oblige. Elle m’oblige à une victoire nette pour tourner cette page noire de l’histoire de notre pays. Elle me conforte dans ma volonté, demain, de réconciliation nationale. Celle-ci passe par le retour de tous les exilés, par la réhabilitation de toutes les victimes. Grâce à cette réconciliation, plus personne n’aura à craindre de personne.

Plus personne n’éprouvera cet odieux sentiment de peur de l’autre, qui crée des oppositions factices et mortifères entre communautés, qui provoque le repli et l’effroi. Ne vous y trompez pas, ce climat permanent d’insécurité ne profite à personne. Je veux briser cette malédiction d’un tribalisme qui divise, et être le candidat de tous les Ivoiriens, celui qui rassemble toutes les énergies.

Je lance un appel au peuple ivoirien, à tous les Ivoiriens : je connais votre colère et je la partage. Je connais votre soif de changement et j’entends l’incarner.

Rappelons que, l’ex première dame Simone Gbagbo ne reconnait pas Mr Pascal Affi N’Guessan comme candidat du FPI.

 

 

 

 

 

 

 

 

Présidentielle 2020: Pascal Affi N’Guessan demande l’invalidation de la candidature d’Alassane Ouattara

Le 6 septembre dernier, Pascal Affi N’Guessan a déposé une requête parvenue à l’AFP ,lundi, demandant l’invalidation de la candidature du président Alassane Ouattara . Blé Goudé quant à lui milite pour le report de l’élection présidentielle prévue le 31 octobre 2020.

Alors que la Constitution limite  à deux les mandats présidentiels, l’annonce de la candidature du chef de l’Etat sortant à un troisième  mandat  a déclenché des manifestations.

Les partisans d’ Alassane Ouattara affirment que le changement constitutionnel de 2016 remet le compteur à zéro. Le FPI conteste cette affirmation. Pour Pascal Affi N’Guessan , » Alassane Ouattara n’est pas éligible pour la présidentielle d’octobre 2020″.

Les acteurs politiques et la société civile sont préoccupés d’une montée de tension en côte d’Ivoire, après la crise post-électorale de 2011.

Blé Goudé a lui affirmé lundi à La Haye, où il est en liberté conditionnelle, qu’il faut reporter la présidentielle.

« Organiser le scrutin dans des circonstances pareilles serait conduire notre pays droit dans le mur », a-t-il dit.

« Il nous faut repousser le scrutin, mettre ce report à profit pour organiser des assises nationales qui permettraient de rechercher le consensus », a poursuivi L’ex-chef des Jeunes patriotes.

L’ex première dame Simone Gbagbo ne reconnait pas Mr Pascal Affi N’Guessan comme candidat du FPI.

 

 

 

 

Présidentielle 2020 : Affi N’Guessan annonce le dépôt de son dossier de candidature jeudi

Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a annoncé le mardi à Abidjan le dépôt de son dossier de candidature pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, le jeudi prochain. Cette annonce a été faite lors d’une conférence de presse.

« Le dépôt de notre candidature, nous allons le faire le jeudi prochain à 10h à la Commission électorale indépendante (CEI)». A dit M. Affi assurant que le parti a même déjà dépassé le quota pour le parrainage et cherche actuellement une marge de sécurité en cas de doublon.

Selon M. Affi, le chef de l’Etat Alassane Ouattara ne peut briguer un troisième mandat. Mais, engagé dans le processus et ayant déjà déposé son dossier de candidature, lundi, il a appelé à une unité de l’opposition. Et ce, en vue d’une alternance démocratique et pacifique.

Cependant, les Ivoiriens sont appelés aux urnes le 31 octobre 2020. Plusieurs candidats se sont déclarés pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. Mais jusque-là, M. Ouattara est le seul à avoir déposé son dossier de candidature auprès de la Commission électorale indépendante (CEI).

Rappelons toutefois que le dépôt de candidature s’achève le 31 août 2020.

Election présidentielle 2020 : Affi N’Guessan dépose son dossier de candidature au FPI

Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a déposé le lundi 27 juillet son dossier de candidature au FPI en vue de la présidentielle du 31 octobre 2020.

À cet effet son dossier de candidature a été réceptionné par le président du Comité de contrôle du FPI, Wognin Honoré.

Par ailleurs, il a fait savoir que le Comité de contrôle analysera lundi et mardi le dossier de candidature. Ainsi, il transmettra le résultat aux instances compétentes à le divulguer.

Toutefois, au terme du dépôt de son dossier de candidature, Affi contesté par une autre frange du FPI, a déclaré que sa « motivation principale, c’est la situation chaotique dans laquelle se trouve le pays ». Selon lui, cette situation le pousse à se présenter à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

« Quand on aspire à gouverner un pays, c’est qu’on a une ambition et notre ambition, c’est la renaissance de ce pays.  Traumatisé, appauvri et affaibli, divisé (…) et c’est une situation qui nous afflige ». Ajouta-t-il.

Selon Affi, il pense avoir les capacités de mettre fin à cette descente aux enfers. Et ce en donnant foi aux jeunes et aux femmes pour bâtir une nation unie. À l’en croire, cela permettrait à la Côte d’ivoire de sortir le pays du marasme.

Cependant, notons que le FPI, désignera son candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, le samedi 1er août prochain, à travers son congrès. Ce dernier, devra portera le flambeau de ce parti pour la présidentielle d’octobre 2020.

Côte d’ivoire : La démission de Kablan Duncan suscite de l’inquiétude dans le camp FPI

Le front populaire ivoirien (FPI) a évoqué ses différentes inquiétudes concernant la démission du vice-président de la république Kablan Duncan.

En effet, le départ de ce dernier, a soulevé plusieurs interrogations de la part des uns et des autres. Notamment, sur la situation actuelle du gouvernement ivoirien.

Pour ce faire, le FPI a voulu attirer l’attention de la population ivoirienne sur les différentes démissions au sein du gouvernement qui laisserait présager une crise de confiance au sommet de l’État. Sans pour autant, écarter une possible crise institutionnelle.

Par ailleurs, le FPI a indiqué que ces absences des membres du gouvernement fragiliseront forcément la réalisation de l’offre politique. Selon le camp Affi, la démission de Duncan pour convenance personnelle, suscite beaucoup d’interrogations voire de sérieuses inquiétudes. Et ce, à quelques mois de l’élection présidentielle d’octobre 2020.

Toutefois, le FPI a insisté sur la nécessité de prendre toutes les dispositions pour que la présidentielle se tienne à la date indiquée. Plus particulièrement en accord avec la Constitution.

Cependant, à en croire Issiaka Sangaré, secrétaire général du FPI, l’arrivée de nouvelles autorités légitimes, pourra assurer une gouvernance sereine aux ivoiriens.

Enrôlement sur la liste électorale: Le FPI dénonce de graves irrégularités dans plusieurs localités

Le Front populaire ivorien (FPI) proche de Laurent Gbagbo cri à la fraude, après 12 jours d’observations du processus de la révision électorale. Le FPI (Pro-Gbagbo) dénonce l’enrôlement de non-nationaux dans les localités de Bamo, Yamoussoukro, Wassolonka à Divo, etc…

Après le lancement de l’Opération inondation électorale le 26 mai 2020, le FPI a rencontré des difficultés à établir les pièces administratifs indispensables pour l’inscription sur la liste électorale. Le rapport des missions effectuées du 06 au 13 juin 2020, révèlent des irrégularités dans le processus de révision de la liste électorale.

Parmi ces irrégularités, le FPI dénonce:

• L’impossibilité pour les magistrats de valider les requêtes, les signer pour délivrer, dans le délai de trois (03) jours prévu par l’arrêté interministériel n°486 du 29 avril 2020, les milliers de certificats de nationalité qui leur parviennent des différentes sous-préfectures ;

• L’érection de certains domiciles de cadres RHDP en lieux d’enrôlement pour une catégorie de citoyens ;

• La surévaluation du coût du timbre fiscal dans certaines localités du pays (3000 F au lieu de 500 FCFA) dans de nombreux Départements (Kouibly, Bloléquin, Divo, Vavoua, Saioua, etc,) ;

• La défaillance des appareils d’enregistrement qui tombent constamment en panne ;

• La lenteur des opérateurs dans les lieux d’enrôlement (15 minutes au moins pour un requérant, soit 4 par heure et 32 par jour ;

• Le refus des agents de certaines mairies tenues par le RHDP d’indiquer les bureaux d’enrôlement aux populations ;

• L’enrôlement frauduleux de ressortissants de la CEDEAO (Bamo à Yamoussoukro, Wassolonka à Divo, etc.).

Ainsi, Le FPI appelle le gouvernement à prolonger les délais d’enrôlement pour les pièces administratives. Le parti proche de l’ancien Président ivoirien Laurent Gbagbo demande au non-nationaux, de s’abstenir de se rendre complices d’une fraude électorale et invite le gouvernement à faire preuve de transparence, dans l’établissement des pièces administratifs pour l’inscription sur la liste électorale.

Révision de la liste électorale: Simone Gbagbo demande l’installation d’un centre d’enrôlement au Liberia

L’ancienne Première dame de Côte d’Ivoire, Simone Ehivet Gbagbo a exhorté les ivoiriens, à s’inscrire sur la liste électorale. La vice-présidente du Front populaire ivoirien (FPI) proche de Laurent Gbagbo, demande à la Commission électorale indépendante (CEI) l’installation d’un centre d’enrôlement au Liberia.

À 04 mois de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, Simone Gbagbo, vice-présidente du FPI (Pro Gbagbo) appelle la population ivoirienne à s’inscrire sur la liste électorale. Elle a appelé les nouveaux majeurs, à prendre part à l’opération de révision de la liste électorale qui prendra fin le 24 juin prochain, soit dans 09 jours.

« Je voudrais donc, à travers cette adresse, inviter tous les Ivoiriens à participer massivement à cette étape importante que constitue l’inscription sur la liste électorale », a déclaré Simone Gbagbo.

Cependant, l’ancienne Première dame tire l’attention de la CEI, sur l’absence de centres d’enrôlement au Liberia.« Je ne saurais terminer cette adresse, sans attirer l’attention de la CEI sur l’absence de centres d’enrôlement au Liberia, ce pays qui compte une forte diaspora ivoirienne en âge de voter. C’est pour gérer positivement et équitablement ce genre de détails, que nous n’arrêtons pas de demander la reprise des négociations « Pouvoir-Opposition » pour que toutes les décisions organisant les élections soient conventuelles », a affirmé la vice-présidente du FPI.

Côte d’Ivoire: Simone Gbagbo se réjouit de l’assouplissement des conditions de libération de son époux

Simone Ehivet Gbagbo, l’ex Première Dame de Côte d’Ivoire a réagit suite à l’annonce de l’assouplissement des conditions de libération de son époux, Laurent Gbagbo.  En effet, la chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI), a décidé de briser certaines mesures restrictives, relatives à la libération de l’ancien Président ivoirien.

La décision de la Cour pénale internationale a été accueillie avec joie et enthousiasme, chez les  partisans de Laurent Gbagbo. Depuis 2011, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ont été placé en détention à la Haye. En 2019, l’ex Chef d’Etat ivoirien et son ministre de la jeunesse ont été acquittés par la Cour pénale internationale.

Suite à l’assouplissement des conditions de libération le 28 mai  2020, Laurent Gbagbo peut désormais circuler librement dans le pays de son choix. Pour Simone Gbagbo, cette libération est un grand pas vers la liberté totale de Laurent Gbagbo.

« Je reste très confiante et je suis persuadée que ça va bien se terminer », a-t-elle réagi. «Nous rendons gloire à Dieu. Nous l’attendons en Côte d’Ivoire pour lui souhaiter la bienvenue», a ajouté la deuxième vice-présidente du FPI .

Déconfinement de Laurent Gbagbo et Blé Goudé : Une réjouissance au cœur de leur parti

L’ex-président de la Côte d’Ivoire Laurent Gbagbo et son ex-ministre de la Jeunesse Blé Goudé sont désormais libres de leurs mouvements. La Cour Pénale Internationale (CPI), en a décidé ainsi en attendant leur procès en appel pour crimes contre l’humanité.

En effet, Gbagbo et Blé Goudé sont autorisés à quitter la Blegique où ils avaient été assigné à résidence depuis janvier 2019. La CPI a également assoupli les conditions de mise en liberté des deux hommes.  Pour ce faire, ils n’ont plus l’obligation de remettre leurs passeports à la CPI.

Par ailleurs, cette décision de la cour a suscité beaucoup une vague de réjouissance mais d’espoir chez les partisans des deux hommes. Notamment au sein du parti du Front Populaire Ivoirien (FPI). Pour Laurent Akoun, le vice-président du FPI pro-Gbagbo : « On se faisait une immense joie qu’il puisse aller et venir là où il est et puis jusqu’à ce qu’il rentre chez nous. Ce que nous attendons, c’est son retour, nous espérons toujours. On va aviser cela avec les autorités, elles seront approchées par les canaux officiels. »

Selon lui, ils avaient tous perdu espoir face à la situation d’acquittement de Laurent Gbagbo et Blé Goudé. Quant aux proches et partisans de Gbagbo et Blé Goudé, ils se disent satisfaire de cette décison et attendent avec impatience leur retour.

Cependant, soulignons que Laurent Gbagbo et Blé Goudé peuvent désormais aller vivre dans un des 134 États parties au statut de Rome. Sans toutefois, omettre leur pays natal, la Côte d’Ivoire. Néanmoins, à condition que les autorités du pays acceptent de les accueillir.

 

Présidentielle 2020: Suite à l’opération inondation électorale des Pro Gbagbo, Affi N’guessan mobilise ses partisans

Pascal Affi N’guessan, leader de la branche officielle du Front Populaire Ivoirien (FPI), appelle les jeunes majeurs à se faire enrôler. Ainsi, le Président du Conseil régional du Moronou se prépare pour la présidentielle d’octobre 2020.

À 05 mois des élections présidentielles en Côte d’ivoire, le FPI (Pro Affi N’guessan) appel ses militants et les jeunes majeurs à s’inscrire sur la liste électorale. Ainsi, le député de Bongouanou rejoint la seconde branche du FPI, restée fidèle à Laurent Gbagbo, qui lançait l’opération « inondation électorale » le 22 mai 2020.

Dans un communiqué, Pascal Affi N’Guessan, porte à la connaissance des militants (es) et sympathisants (es) du FPI, que les opérations d’établissement des pièces administratives lancées par le gouvernement depuis le 17 Février 2020 sont toujours en cours.

L’ex Premier ministre révèle que des
responsables et cadres de son Parti, ont été mis en mission, pour apporter assistance aux populations afin de faciliter l’acquisition des dites pièces. Affi N’guessan exhorte les populations à prendre part massivement aux opérations de délivrance de certificat de nationalité, qui leur permettra de s’inscrire massivement sur la liste électorale de 2020.

Présidentielle 2020 : Le FPI invite ses militants à se faire enrôler

Le FPI pro-Gbagbo a appelé ses militants à s’enroler massivement pour obtenir leurs cartes d’identité et autres pièces d’état civil, en vue de la présidentielle 2020.

Par ailleurs, cet appel a pour but de faire inscrire massivement sur les listes électorales les militants du parti. En outre, cela permettra au moment venu de pouvoir peser sur les élections présidentielle. Ainsi que legislatives de la fin de l’année.

A cet effet, le FPI dépechera en début juin, partout en Côte d’Ivoire 200 délégations pour sensibiliser ses militants à cet objectif. Et ce, dans une opération baptisée Inondation électorale.

Cependant, notons que la vision du FPI, demeure intacte pour cette présidentielle 2020. Même si, certains événements ont changé la stratégie du FPI, elle semble rester focaliser sur un but bien précis.

Toutefois,  même si son candidat n’est pas encore désigné, le FPI change de ligne et entend être un acteur à part entière de cette présidentielle 2020.

Rappelons également, que seul le RHDP, à officiellement présenté son candidat. Notamment, Amadou Gon Coulibaly, premier ministre de la Côte d’Ivoire.

Alliance PDCI-FPI (Pro-Gbagbo): Kobenan Kouassi Adjoumani crache ses vérités à Bédié et à Gbagbo

Le ministre Kobenan Kouassi Adjouamni a fustigé l’accord politique signé entre le Front populaire ivoirien (FPI) proche de Laurent Gbagbo et le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI). En effet, le PDCI et le FPI (Pro-Gbagbo) ont procédé à la signature d’un « document cadre de collaboration portant projet de réconciliation des Ivoiriens pour une paix durable », le 30 avril 2020 au siège du PDCI-RDA.

Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a dénoncé une escroquerie politique évoquant ainsi, l’accord politique signé entre le FPI proche de Laurent Gbagbo et le PDCI-RDA le jeudi dernier. Dans une déclaration publiée sur sa page Facebook, le porte-parole du RHDP, estime que Laurent Gbagbo n’est pas fondé à engager des actions politiques au nom de l’entité FPI.

Kobenan Kouassi Adjouami indique que le Président légitimement reconnu du FPI se nomme Pascal Affi N’guessan. Ainsi, le ministre des ressources halieutiques dénonce une nouvelle comédie politique que les deux formations politiques de l’opposition radicale viennent de servir aux Ivoiriens. « Normalement, l’on devrait s’en féliciter. Mais là où le bât blesse, c’est que voilà des gens qui refusent obstinément ou qui affichent une incapacité notoire à se réconcilier avec eux-mêmes, au sein de leurs formations politiques respectives et qui veulent réconcilier tous les Ivoiriens », a déclaré Kobenan Kouassi Adjoumani.

Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani fustige les actions initiées par l’opposition pour la réconciliation nationale « En outre, il n’échappe à personne que même dans leur volonté de réconcilier tous les ivoiriens sans exclusive, le FPI version GOR et le Président du PDCI version Daoukro ont volontairement oublié d’associer Soro Guillaume qui est devenu aussi depuis un certain temps, un adepte curieux de la réconciliation nationale  », a-t-il affirmé.

Toutefois, le porte-parole du RHDP n’a pas été tendre avec le Président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié qu’il accuse d’avoir forcé la main aux partisans de Laurent Gbagbo pour une alliance politique. « Il n’est pas exagéré de dire que le Président Bédié a presque forcé la main au Président Gbagbo. Car, en réalité, que peut présager l’union entre un homme de droite et un irréductible homme de gauche, c’est-à-dire, deux hommes qui n’ont pas la même vision de société ?» a-t-il interrogé.

Après avoir critiqué l’accord politique signé entre le FPI (Pro-Gbagbo) et le PDCI, Kobenan Kouassi Adjoumani révèle les dessous de cette alliance en ces termes « Ce que visent Laurent Gbagbo et Bédié, c’est avant tout une alliance de circonstance contre le RHDP dans la perspective de la prochaine élection présidentielle. Le projet de réconciliation n’est qu’un vil prétexte, un alibi, une escroquerie politique, sans plus. Même s’il doit s’allier au diable pour écarter le RHDP du pouvoir, Guikahué, le manipulateur, n’y voit aucun inconvénient » a révélé l’ex Président du Conseil régional du Gontougo.

 

Côte d’Ivoire : Décès à Paris du journaliste Guédé Léonard

Le journaliste Guédé Léonard alias James Cenach, un ancien du défunt journal ‘’Le Nouvel Horizon’’ proche du Fpi est décédé ce jeudi 23 avril 2020, à Paris.

Il a tiré sa révérence dans un hôpital parisien, précisément à porte de Pantin dans le 19e arrondissement de Paris. Selon nos sources, James Cenach a succombé à un cancer qui le rongeait depuis 4 ans.

« Ce cancer s’est dégénéré et il a rendu l’âme ce matin à l’hôpital », a précisé sa fille Nadège Guédé, depuis la capitale française.

Dans les années 2000, après l’accession de Laurent Gbagbo au pouvoir, Guédé Pépé s’est rapproché de Bohoun Bouabré. Le membre du Front Populaire Ivoirien  (FPI) vivait à Paris où il contracte un cancer ces dernières années, qui finit par l’emporter ce jour.

Présidentielle 2020: Une opération de levée de fonds pour la candidature de Simone Gbagbo

L’ex-Première dame, Simone Gbagbo est susceptible d’être candidate à l’élection présidentielle d’octobre 2020. Dans un communiqué, son chef de cabinet Akpa Corentin donne des précisions sur la levée de fonds qui sera bientôt lancée, pour la caution présidentielle de Simone Gbagbo.

Potentielle candidate du Front populaire ivoirien (FPI) à l’élection présidentielle d’octobre 2020, Simone Gbagbo désavoue ses partisans, qui oeuvre à la mobilisation de fonds pour sa candidature. «Il nous revient qu’une opération de la levée de fonds, en vue de la mobilisation de la somme de 50 000 000 FCFA destinés au paiement de la caution de Mme Simone Gbagbo, sera bientôt lancée par des personnes résidantes en Europe », a révélé le chef de cabinet de l’ex-Première dame.

En dépit des remerciements porter à l’endroit des partisans initiateurs de ce projet, Akpa Corentin rappelle qu’aucune instance du parti auquel elle appartient, n’a pour l’heure désigné ses candidats aux différentes élections en Côte d’Ivoire.

« Personne n’a donc été mandaté pour collecter de l’argent à son profit», a clarifié Akpa Corentin. Après plusieurs boycotts, le FPI compte participer à la prochaine élection présidentielle.

Simone Ehivet Gbagbo sera-t-elle candidate du FPI pour la présidentielle d’octobre 2020 ? Pour l’instant, le FPI laisse peser le flou sur le choix de son candidat à cette élection.

Côte d’Ivoire: Le secrétaire général du FPI Assoa Adou devant la cour de cassation

Absent à sa convocation à la préfecture de police d’Abidjan le lundi 23 mars dernier, Assoa Adou  a été convoqué ce mardi 31 mars 2020 à 11 heures devant la Cour de Cassation.

Le secrétaire général du FPI Assoa Adou passe devant la cour de cassation ce mardi 31 mars 2020. Il avait été convoqué à la préfecture de police d’Abidjan, sise à Abobo, le lundi 23 mars 2020. Il a brillé par son absence à cette convocation. Ses avocats avaient signifié que la préfecture de police n’avait pas cette compétence, conformément à la loi 2005-201 du 16 juin 2005 portant statut d’anciens chefs d’Etat, chefs d’institution et ministre.

« Le Front Populaire Ivoirien demande instamment à tous les Ivoiriens d’envahir tous les centres d’enrôlement afin d’obtenir leur carte nationale d’identité. Nous nous battons ensemble pour obtenir sa gratuité » avaient affirmé Assoa Adou au meeting  des partis d’opposition à Yamoussoukro.

Rappelons que des centres d’enrôlement pour l’établissement de la Carte Nationale d’Identité (CNI) ont été saccagés dans plusieurs localités du pays par des individus.

Côte d’Ivoire: Le Front Populaire Ivoirien appelle les ivoiriens à s’enrôler pour la CNI

Le secrétaire général Assoua Adou du Front populaire ivoirien (FPI) proche de Laurent Gbagbo, demande aux ivoiriens de se faire enrôler pour l’obtention de la carte nationale d’identité. Lors d’une conférence de presse tenu le mercredi 11 mars 2020, Assoua Adou  a donné son opinion sur l’actualité politique en Côte d’Ivoire.

En présence de Maurice Kakou Guikahué du (PDCI), Armand Ouegnin (EDS), le secrétaire général du FPI appellent les populations ivoiriennes à se faire enrôler. Après avoir boycotté le recensement de la population en 2014 et le processus électoral de 2015, le FPI prend conscience de ses erreurs dues au boycott.

Rappelons qu’en 2015, Aboubakar Koné le porte parole du FPI, a jugé qu’il était inopportun d’organiser l’élection présidentielle d’octobre 2015 en Côte d’Ivoire. Il lançait une mise en garde contre ceux qui prétendait se présenter à l’élection présidentielle de 2015, sous la bannière du FPI. « Le FPI s’opposera par les moyens légaux à l’organisation et à la tenue de l’élection présidentielle…tant que les préoccupations légitimes dûment exprimées et largement partagées par l’opinion nationale… ne seront pas satisfaites» avait-il déclaré.

A l’approche de la présidentielle d’octobre 2O2O, le FPI parti d’opposition, compte participer activement à la vie politique en Côte d’Ivoire. L’absence du FPI aux échéances électorales précédentes, a sérieusement impacté l’échiquier politique ivoirien.

 

Simone Gbagbo: ‘‘le train de la réconciliation est en marche en Côte d’Ivoire’’

L’ex-première dame ivoirienne, Mme Simone Ehivet Gbagbo, a évoqué lors d’une cérémonie du FPI à Abidjan, les récentes rencontres effectuées par son mari, avec Henri Konan Bédié et Pascal Affi N’Guessan.

« Le premier acte fort de la réconciliation a été posé par le président Gbagbo qui a accepté de rencontrer le président Bédié. Ils ont ouvert de la sorte les discussions (…) Le deuxième acte fort, c’est lorsque le président Gbagbo a rencontré Affi. Le train de la réconciliation nationale est donc en marche. Je nous invite à entrer dans ses wagons sans crainte avec assurance » a souhaité Mme Gbagbo dans un discours lors d’une cérémonie de son parti politique « les journées du militant » du FPI.

Selon elle, ce train de la réconciliation est prêt à embarquer tout le monde, ivoiriens comme étrangers vivant en Côte d’Ivoire. Elle a par ailleurs exhorté les militants de son parti et au-delà, à s’armer de grandeur d’âme et de pardon en soulignant « la nécessité d’oublier les humiliations, les arrestations, les emprisonnements d’hier ».

Par ailleurs, Mme Gbagbo a appelé avec insistance les militants de FPI à la réconciliation en interne en estimant : « nous pouvons faire des erreurs, mais nous n’avons pas droit à l’échec ».

 

De son retour de la Haye, Affi veut rencontrer Ouattara pour le cas Gbagbo et Blé Goudé

De son retour de la Haye, où il a rencontré l’ex-Chef d’Etat ivoirien Laurent Gbagbo, Affi N’Guessan président du FPI, a prévu une rencontre avec le Président de la République Alassane Ouattara. Mais en l’absence du président Ouattara, il échangera avec le vice-président M. Daniel Kablan Duncan ce jeudi 13 février 2020.

A l’occasion de cette rencontre, les deux personnalités parleront du retour au pays de Laurent Gbagbo et de Blé Goudé, après leur acquittement prononcé par la CPI.

Pour Affi N’guessan, Ouattara et son régime doivent reconnaître leur défaite et accepter l’acquittement de Gbagbo et Blé Goudé. Selon lui, il n’est pas concevable que l’Etat ivoirien puisse s’opposer à leur retour, par l’intermédiaire des avocats envoyés à la CPI.

« On ne peut pas accepter que le gouvernement de Côte d’ivoire demande, face à la communauté internationale, que des dignes fils de ce pays quel que soit ce qui s’est passé en 2010-2011 restent pratiquement dans les liens de la détention » s’est indigné Affi N’Guessan.

Il ajoute par ailleurs qu’il faudrait que Ouattara ouvre les yeux, en mettant de côté ses intérêts personnels, pour mettre au premier plan l’intérêt national. Dans le cas où le Chef de l’Etat ne serait pas prêt à accepter cette situation, le président du FPI annonce des mesures de la part de son parti politique. « Nous allons réagir pour que Ouattara révise sa position, pour qu’il comprenne que la Côte d’ivoire n’est pas un bien privé » déclare-t-il.

Affi N’Guessan en route pour le processus de réunification du FPI

Le président contesté du Front Populaire Ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, entame un chemin vers la réunification du FPI.

En effet, depuis ses rencontres avec l’ancien chef d’Etat ivoirien Laurent Gbagbo à Bruxelles le 3 et 4 janvier dernier, les deux personnalités ont beaucoup échangé sur l’actualité nationale et le processus de réconciliation en Côte d’ivoire.

Par ailleurs, ils ont abordé les différentes perspectives d’une paix durable entre les ivoiriens à l’approche des élections présidentielles 2020.

A cet effet, M. Pascal Affi N’Guessan est attendu en terre ivoirienne pour faire  connaitre ce plan d’action élaboré qui a pour but principal de réconcilier le FPI.

 

 

Côte d’Ivoire: Affi N’Guessan se dresse contre Alassane Ouattara et le met en garde pour l’élection présidentielle 2020

A l’occasion des présentations des voeux de nouvel an 2020 aux membres de son parti, le samedi 25 Janvier, Affi N’Guessan, président du FPI s’est dressé contre le président Alassane Ouattara et l’a mis en garde concernant l’élection présidentielle à venir, lors de son discours.

Le président de l’ex parti au pouvoir, Front Populaire Ivoirien n’est pas allé de main morte avec le président Alassane Ouattara vis à vis des intentions qui lui sont prêtées, de vouloir installer Amadou Gon comme son successeur.

Selon lui, au vu des poursuites infligés à l’ex- président de l’assemblée nationale, Soro Guillaume, « comment penser que le RHDP ne mettras pas tout en oeuvre pour utiliser toute les institutions chargés des élections pour frauder dans le but de gagner les élections en 2020 »

Il continu son discours en mettant en gardes le parti au pouvoir (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix) RHDP:

« Soit les élections sont faites de façon transparentes avec une CEI (Commission Électorale Indépendante) qui inspire confiance à tous où nous seront tous dans la rue ou en prison pour que Alassane Ouattara installe Amadou Gon comme président de la république »

« Nous assisterons pas impassible, comme des moutons et laisser Alassane Ouatarra installé frauduleusement Amadou Gon contre la volonté du peuple Ivoirien… Ça ne se passera jamais! « 

Selon Affi N’Guessan, « comme Dieu n’est pas d’accord avec ce que Alassane Ouattara veut faire c’est pourquoi il (Dieu) a ouvert les portes de l’unité du FPI » parlant de sa rencontre avec l’ancien président Laurent Gbagbo.

« Gbagbo m’a mis en mission pour réconcilier son peuple et je ne faillirai pas à cette mission », a déclaré Affi Nguessan.

Enfin il déclare que pour lui, « tout est accompli après cette rencontre historique« , car le FPI qui était divisé avec une frange sous son contrôle, pourra désormais retrouver son unité. Il a assuré que les partisans pouvaient compter sur lui pour que cette « unité de la grande famille soit très rapidement une réalité »

 

Côte d’Ivoire: Le FPI et la plateforme de Ouegnin annoncent un grand meeting le 1er Février à Yopougon

Le Front Populaire Ivoirien (FPI , les Gbagbo ou Rien) et la plateforme de Ouegnin, Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS) annoncent un grand meeting à Yopougon le 1er Février 2020.

Les membres de la plateforme Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté et le Front populaire Ivoirien ont rendus publique la tenue du meeting du 1 Février le lundi 20 Janvier 2020, sur le réseau social Facebook.

Plus de 50 délégations sillonneront toute les communes de la ville d’Abidjan pour sensibiliser sur les grands enjeux du procès et de la levée de toute les restrictions contre l’ex-président, Laurent Gbagbo, acquitté mais toujours en liberté sous conditions à Bruxelles.

Selon eux, en attendant que la reprise du dialogue politique avec le pouvoir en place porte des fruits , l’opposition à travers ce meeting rencontreront leurs militants pour parler de réconciliation.

Ils promettent un déferlement lors de ce meeting du 1er Février à la place Ficayo de Yopougon. Le dress-code exigé aux militants qui prendront part au meeting est le « blanc-noir ».

« Le secrétaire générale du parti de Laurent Gbagbo demande que nous soyons tous habilles en blanc-noir » indique la note d’information.

Rappelons que, ce meeting s’inscrit après plusieurs reports et interdiction des autorités de toute manifestations à caractère politique dans la ville d’Abidjan afin de maintenir la quiétude sur toute l’étendue du territoire nationale, jusqu’au 05 Janvier 2020.

 

 

 

Côte d’Ivoire: Affi N’Guessan enfin reçu par Laurent Gbagbo à Bruxelles

Affi N’Guessan, président du Front Populaire Ivoirien (FPI), et ancien premier ministre a été reçu les 3 et 4 Janvier 2020 à sa demande, par Laurent Gbagbo, fondateur du parti FPI.

En effet, c’est dans un communiqué signé de Issiaka Sangaré, secrétaire général et porte-parole du parti que l’on a appris la nouvelle.

« Le vendredi 03 et samedi 04 janvier 2020, à sa demande, le président du FPI, l’ex-Premier ministre Pascal Affi N’guessan a été reçu à Bruxelles, par l’ancien président Gbagbo », indique le communiqué.

Cependant, cette rencontre a été l’occasion pour le président Affi d’exprimer sa solidarité à l’ancien président Laurent Gbagbo, acquitté et mis en liberté sous condition à Bruxelles.

Les deux hommes n’ont pas manqué de faire un tour d’horizon notamment sur l’actualité nationale et à la situation interne du FPI.

« Le président du FPI, Affi Nguessan a pris congé de M. Gbagbo sans manquer de lui exprimer ses vifs remerciements pour l’accueil qui lui a été réservé », conclut le communiqué.

Notons qu’une visite annoncée entre les deux personnalités, il y a quelques mois, n’avaient pas eu lieu, suite à des conditions imposées par Laurent Gbagbo.

 

Le discours de Ouattara ne convainc pas et ne rassure personne ( Pascal Affi N’Guessan)

Au soir du 31 Décembre 2019, le président de la république, Alassane Ouattara s’est exprimé sur la chaîne national pour les traditionnels vœux du nouvel an, à l’endroit du peuple Ivoirien. Selon l’opposant Pascal Affi N’Guessan, ce discours, ne convainc pas et ne rassure personne.

En effet, le président du Front populaire ivoirien (FPI),Pascal Affi N’Guessan, soutient qu’ Alassane Ouattara ne convainc pas et ne rassure personne.

Cependant, il rajoute que le RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix), parti au pouvoir, n’a pas conscience du degré de pourrissement qui a atteint le sommet du système.

« Le discours des élites et en particulier celui du Président de la République ne convainc pas et ne rassure personne en Côte d’Ivoire, à l’exception bien entendu de ses proches », a écrit M. Affi N’Guessan, pour qui le parti présidentiel, « enivré par le pouvoir, n’a pas conscience du degré de pourrissement qui a atteint le sommet du système ».

Le président du FPI, a dénoncé un sentiment incontestable d’une société à double vitesse, avec d’un côté la classe dirigeante et de l’autre l’immense majorité des populations.

« Comme s’il y avait deux Côte d’Ivoire qui se côtoient sans se mêler et sans se connaitre véritablement », estimant que « les populations les plus défavorisées ne goûtent pas aux fruits de la croissance ».

Il termine en souhaitant que la sagesse habite le gouvernement et qu’il se débarrasse de tout esprit d’affrontement et de violence afin que l’échéance électorale de 2020 soit une occasion de restauration de notre pays.

Toutefois Pascal Affi N’Guessan n’a pas manqué de réaffirmer son ambition « d’offrir aux Ivoiriens une alternative crédible à la hauteur de leurs attentes légitimes par une victoire à l’élection présidentielle prochaine ».