Côte d’Ivoire: la « carte d’identité payante » dénoncée par le PDCI

La carte nationale d’identité ne sera pas prise en compte dans le budget 2020 de l’Etat ivoirien.

Les députés  du groupe parlementaire du Parti démocratique de Côte d’Ivoire, PDCI-RDA, s’opposent à la non prise en compte de la gratuité de la CNI dans le budget de l’Etat.

En effet, mercredi, les députés ivoiriens réunis en séance plénière ont adopté à la majorité de ceux présents le projet de loi des finances portant le budget de l’Etat de l’année 2020.

Le budget de l’Etat de Côte d’Ivoire 2020 s’équilibre en ressources et en charges à 861.013.330.830 francs CFA. Il est composé entre autres des recettes et de dépenses budgétaires.

Le groupe parlementaire s’est réjoui de la présence des ministres, sauf ceux de l’Education nationale Kandia Camara et des Affaires Etrangères Amon Tanoh, devant le Parlement pour présenter et défendre les 142 programmes financés par l’Etat dans leurs différents départements ministériels.

Cependant, selon les informations reçues, l’ensemble des députés du PDCI-RDA, se sont abstenus de voter ce budget. En effet, ils ont émis des critiques vis à vis des différents projets mis en place. Particulièrement celui de la non prise en compte de la gratuité de la carte nationale d’identité, CNI. Ils se sont, donc, abstenus de voter et ont demandé « une seconde lecture du projet ».

« Le groupe parlementaire PDCI-RDA a émis de fortes réserves et s’est abstenu de voter le projet de loi des finances portant le budget de l’Etat de l’année 2020″, déclare le porte-parole Olivier Akoto Kouassi.

Par conséquent, les députés du PDCI-RDA ont demandé que le budget de l’Etat prenne en compte la gratuité de la carte nationale d’identité, CNI. Une demande rejetée par les députés du RHDP.

Le coût de délivrance de cette pièce d’Identité, dénoncé par l’opposition et des organisations de la société civile est de 5.000 franc CFA.

 

Côte d’Ivoire: Mise en oeuvre d’une banque agricole à Abidjan

La Côte d’Ivoire lance le processus de création d’une banque agricole.

La Côte d’Ivoire a débuté le processus de création d’une banque agricole; un processus piloté par le ministère ivoirien de l’Économie et des Finances. C’est ce que nous a fait comprendre le représentant de la FAO en Côte d’Ivoire.

 » Il y a une banque agricole qui est en cours de mise en œuvre en Côte d’Ivoire », nos dit Monsieur  Samy Gaiji. Il a tenu ce propos devant les journalistes à l’occasion de l’édition 2019 du Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA).

Par conséquent il s’est félicité du projet de mettre en place une banque agricole, dont il a eu à participer aux consultations et à l’articulation. Ainsi, cette banque aura pour charge d’accompagner les jeunes avec des crédits, dans leurs initiatives agricoles. Il invite à cet effet, les banques à  prendre des risques pour soutenir tous les projets qui leur seront soumis.  » il faut un secteur bancaire beaucoup plus porté sur les risques » ce qui devrait permettre de rendre le pays autosuffisant avec une sécurité alimentaire, a t-il ajouté.

Par ailleurs, lors de cette conférence, le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques,  Dosso Moussa est intervenu sur la création de cette banque agricole. En effet, Il a indiqué que la Côte d’Ivoire compte sur ces innovations technologiques. Car,  il est important de réduire les déficits en protéines animales et halieutiques, afin d’inverser la tendance des importations.

Monsieur Dosso Moussa, a salué  les efforts du gouvernement et l’engagement du chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara à soutenir les divers projets de ce secteur dévasté après les crises successives. Ainsi la création en Côte d’Ivoire d’une banque agricole est un projet à féliciter.

Notons que La FAO accompagne la Côte d’Ivoire dans sa réforme du secteur animal et halieutique. L’institution intervient aujourd’hui sur la peste porcine qui a enregistré une baisse de 5% du cheptel ces dernières années .

 

 

 

 

 

 

Manifestation de la FESCI: plusieurs blessés enregistrés à Abidjan

Une manifestation d’élèves se réclamant de la FESCI fait plusieurs blessés dont un enseignant.

Un groupe d’élèves en colère,se réclamant de la FESCI a organisé une manifestation paralysant, ainsi, les cours à Abidjan.

En effet, ce jeudi 28 novembre 2019, le Lycée technique d’Abidjan a enregistré une première crise d’élèves. Ces élèves faisant partie du plus grand syndicat estudiantin ivoirien, FESCI, ont manifesté ce jour pour plusieurs causes.

Notons que ce syndicat lutte depuis sa création contre les décisions ou les règles des administrations scolaires en Côte d’Ivoire. Ainsi, toutes les difficultés liées aux conditions de vie en milieu scolaire des élèves et étudiants sont dénoncées.

C’est ainsi que ce jeudi, un groupe d’élèves a manifesté au Lycée technique d’Abidjan pour plusieurs raisons. En l’occurrence,l’insuffisance des tables bancs, la cherté de la cantine et le paiement de leurs bourses.

Par conséquent, l’on a enregistré plusieurs blessés, parmi lesquels l’on compte un enseignant de l’établissement en question.

« Plusieurs blessés ont été enregistrés parmi les élèves. Des enseignants ont été brutalisés dont un est aussi mal au point », selon les témoignages.

Les forces de police arrivées sur place à temps ont pu contrôler la situation. Les cours ont été suspendus et reprendront le lundi prochain.

Les services du Secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle assurent être à pied d’œuvre pour trouver des solutions durables à ces problèmes.

 

 

Le CDRP d’Henri Konan Bédié lance ses activités contre le RHDP

La Coalition pour la Démocratie, la Réconciliation et la Paix, a signé un manifeste lançant ses activités.

C’est un éventail large des partis politiques ivoiriens de l’opposition, CDRP,  contre le RHDP  qui s’est réuni ce jeudi. De l’Union des sociaux démocrates, en passant par le Cojep de Charles Blé Goudé jusqu’au Parti communiste révolutionnaire.

A cet effet, un manifeste sous l’égide du PDCI d’Henri Konan-Bédié a été signé. C’est une image forte d’unité qui s’en dégageait ce jour.

« Retenez que le président Soro apporte son soutien à la coalition. Notre volonté au Raci a toujours été de voir les Ivoiriens unis et rassemblés. Aujourd’hui la politique qui consiste à diviser (les ivoiriens) ne nous arrange pas.

Ce qui est le plus important aujourd’hui pour nous, c’est que la Côte d’Ivoire soit unie et rassemblée. Et que les populations ivoiriennes apprennent à se faire confiance. Pour nous, c’est le socle du développement », nous dit Mamadou Kanigui Soro, président de ce parti.

Par ailleurs, cette réunion avait principalement pour but de lancer les activités de la Coalition pour la Démocratie, la Réconciliation et la Paix, CDRP. De ce fait, le président Henri Konan Bédié a, d’abord, remercié les leaders des partis politiques qui ont répondu présents. Par la suite, il a relevé le péril qui guette notre démocratie.

Henri Konan Bédié a fait l’état des lieux de la gouvernance du pouvoir RHDP Unifié. Il a noté son incapacité à gérer efficacement les secteurs de production nationale. D’où l’accroissement de la pauvreté dans les zones rurales et urbaines.

Ainsi, ce manifeste analyse :

-les dérives du pouvoir RHDP Unifié qui viole la Constitution et les lois de la République de manière constante.

-les mauvais résultats de la gestion du pouvoir RHDP Unifié, surtout dans les domaines de l’éducation, de la santé et de la sécurité,

-la politique du « Tabouret » du pouvoir RHDP Unifié qui est un système d’injustice sociale, notamment dans les nominations aux hautes fonctions de l’administration.

Enfin, le Président Henri Konan Bédié a appelé les membres de la Coalition à initier des actions concrètes, en vue de corriger l’ensemble de ces tares, afin de préserver notre pays du chaos.

 

 

 

Université en Côte d’Ivoire: vingt étudiantes en science décorées

Les meilleures étudiantes en Sciences des universités publiques de Côte d’Ivoire décorées ce jeudi.

Le Programme d’Appui Stratégique à la Recherche Scientifique a récompenser l’excellence des jeunes étudiantes scientifiques. Dans cette optique, vingt étudiantes ont été décorées et récompensées.

Ce jeudi 28 novembre 2019, lors d’une cérémonie de distinction des meilleures étudiantes en Sciences, Technologie, Ingénierie et Mathématiques, PASRES a remis aux lauréats la somme d’un million de FCFA et un ordinateur chacune.

Ce programme a pour objectif de promouvoir et encourager les vocations scientifiques féminines. Ainsi, cette initiative a pour but de valoriser et encourager l’intégration des femmes dans les disciplines scientifiques.

« Je voudrai réaffirmer l’engagement du PASRES à réduire les obstacles qui freinent une intégration des femmes dans la science ». C’est ce qu’a indiqué Docteur Yaya Sangaré, Secrétaire Exécutif du PASRES.

Par la suite, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a encouragé cette vision.

A cet effet, Dion Yodé Simplice, n’a pas manqué d’encourager ces jeunes filles. Il a exhorté à briser les barrières et stéréotypes qui les éloignent des disciplines scientifiques.

De leur côté, les lauréats ont exprimé leur remerciements à l’égard de tous les acteurs du projet. Par conséquent, elles ont de continuer à exceller dans leur différents domaines.

 

Répression du viol au Sénégal, le gouvernement à pied d’oeuvre

Face aux différents cas de viol au Sénégal enregistrés dans la société sénégalaise, le gouvernement est décidé à agir. Ainsi, des sanctions pouvant aller jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité pour cas de viol et de pédophilie sont envisagés.
Mercredi, le Conseil des ministres a adopté le projet de loi modifiant la loi n° 65-60 du 21 juillet 1965 portant Code pénal. Avec des chapitres visant à durcir la répression du viol au Sénégal et de la pédophilie et des sanctions pouvant aller jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité.

Au stade actuel de la législation, le viol est encore considéré comme simple délit, passible de cinq à dix ans de prison.

Ainsi, la criminalisation du viol est une demande des associations de défense des droits des femmes. Ceci intervient après la série d’agressions sexuelles relevée ces derniers mois.

Au mois de mai, le corps de Bineta Camara, 23 ans, a été par exemple retrouvé à son domicile de Tambacounda (Est). La jeune femme avait péri lors d’une tentative de viol.

Au lendemain de ce drame, une manifestation avait rassemblé à Dakar 300 personnes pour dire ‘’stop aux violences faites aux femmes’’.

Le président Macky Sall avait alors demandé au ministre de la Justice de préparer un projet de loi criminalisant le viol et la pédophilie. Il sera présenté à l’Assemblée nationale

Poste à péage sur l’axe Abidjan-Adzopé, mis en place pour le 15 Décembre

Exploitation des postes à péage de Moapé et de Thomasset  pour Décembre 2019.

Le conseil des ministres, a adopté le mercredi dernier la mise en place de deux ponts à péage. Ainsi, une exploitation des postes à péage de Moapé et de Thomasset débutera le 15 Novembre 2019.

Dans le cadre d’une visite officielle du président de la République, les ministres ont adoptés plusieurs décisions et arrêtés .

Cette mesure s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement et de renforcement du réseau routier engagé par le Gouvernement.

Par ailleurs, les usagers auront, pour se familiariser, deux semaines de grâce, en attendant l’ouverture des ponts pour le 15 Décembre 2019.

Dans son communiqué, le porte parole du gouvernement, Sidi Touré, à indiquer le bien fondé de cette stratégie du gouvernement. Selon lui, cette stratégie permettra d’identifier certains axes routiers nouvellement construits ou réhabilités.

«A cet effet, les postes de péage de Moapé et de Thomasset sur la route de l’est ont été achevés et le poste de pesage d’Abengourou sur l’axe pont Comoé-Abengourou-Agnibilékro entièrement installés et testés, » a indiqué le porte-parole du Gouvernement.

Sidi Touré a également informé la presse que le conseil a entériné la date de mise en exploitation fixée au 15 décembre 2019 et approuvé les tarifs consensuels arrêtés par l’ensemble des parties prenantes constituées par l’administration routière, l’administration du territoire, la chefferie traditionnelle, les associations de jeunes et de femmes, des syndicats des transporteurs et de conducteurs et les associations de consommateurs et commerçants au cours d’un atelier organisé à Abengourou en juillet 2019.

Enfin les tarifs de péage se présentent comme suite : classe 1, 500 FCFA, classe 2, 1500 FCFA, classe 3, 2500FCFA et classe 4, 3500 FCFA.

 

 

Un enfant pourra désormais porter le nom de sa mère et de son père

Conseil des ministres:  » La mère peut désormais décider de faire adjoindre son nom à celui du père ».

Plusieurs projets ont été arrêtés, notamment celui du nom de la mère, lors du conseil des ministres à Katiola.  Le président de la République de Côte d’Ivoire, était hier dans la région de Katiola pour une visite d’Etat.

« En vue d’assurer l’égalité entre l’homme et la femme dans leurs rapports de parents, la mère peut désormais décider de faire adjoindre son nom à celui du père, pour permettre à l’enfant, de filiation légitime ou naturelle, de porter un nom double », a déclaré le porte parole du gouvernement.

Ainsi, à compter de ce jour, tout enfant pourra porter le nom de ses deux parents si il le souhaite. C’est l’une des nombreuses décisions prises au cours de ce conseil, en rapport avec l’égalité homme/femme.

Cette décision s’intègre dans cadre de la réforme des codes usuelles. Car au vue de l’évolution de la population ivoirienne, il est nécessaire de mettre en place une telle loi. Par ailleurs, l’adoption d’une telle loi est poussée   l’impératif de l’adaptation de la législation nationale aux standards internationaux, notamment en matière d’égalité homme et femme.

Par conséquent, pour les besoins d’une mise en place formelle de l’égalité des sexes dans ce pays, la loi autorise à la mère d’adjoindre son nom à celui du père sur l’extrait de naissance de son enfant.

L’enfant issu aussi bien de la filiation légitime que de la filiation naturelle, peut porter un nom double.

Ce même décret permet désormais à des personnes ayant des noms différents, de porter le nom de leurs auteurs communs. En ce qui concerne la procédure de changement de nom, le but est d’uniformiser les noms dans la même famille.

Vincent Toh Bi Irié fait une découverte écœurante dans les « coins de manger » à Abidjan

Descente du préfet d’Abidjan dans les « coins de manger » à Abidjan: conditions infectes de préparation des produits alimentaires.

Sur sa page facebook,  le préfet d’Abidjan, Vincent Toh Bi Irié, informe de la descente surprise de ses hommes dans les différents quartiers d’Abidjan, en l’occurrence Attecoubé, Adjamé et Abobo où sont préparés les produits alimentaires de grande  consommation.

A son arrivée, Le préfet Vincent Toh BI Irié  surpris de constater encore une fois l’existence d’endroits capables d’écœurer plus d’un décide d’agir. En effet, dans ces endroits  où se préparent de la viande, du choukouya, des brochettes, des arachides, des jus, aucune norme de propreté n’est respectée. La préparation de ces produits se fait dans les conditions déplorables. On y trouve des eaux sales, des margouillats, des mouches, des souris etc.

Le préfet d’Abidjan, Vincent Toh Bi Irié était accompagné des services de sécurité, de santé, de l’hygiène publique, du Commerce, de l’environnement, des ressources halieutiques, du District et des Mairies. Il a visité tout le circuit de production de la peau d’animaux appelée “kplô” et très appréciée des Abidjanais. « Des camions entiers de peaux d’animaux sèches depuis des années ou des mois arrivent par camions d’autres pays. Ces vieilles peaux sont récupérées et brûlées à l’aide de pneus usagés.  A t-il déclaré sur sa page facebook.

« Ailleurs nous avons vu des peaux plus fraîches venant de l’abattoir de Port-Bouet “braisées” à l’aide de matières plastiques récupérées dans des carcasses de voitures. Ces peaux sont ensuite trempées dans des eaux d’une propreté approximative. une partie de ces peaux devient du « kplô« . Poursuit-il

Comme l’on peut le constater les populations d’Abidjan sont exposées à des intoxications. Plusieurs maladies sont liées à cette consommation. Cependant, le « kplô  » n’est pas le seul aliment à être soumis à ce genre de traitement. Dans ces « glôglô » d’Adjamé, Attécoubé et Abobo on y voit également:

« des grains d’arachide grillés avec des sacs en plastique et d’autres matières en plastique à forte chaleur de combustion. Un peu plus loin, les fleurs d’oseille servant à fabriquer du bissap sortent de gros sacs importés et sont séchés à l’air libre, exposées à tout aléa », A t-il déclaré

Ainsi, Vincent Toh Bi Irié, invite tous les vendeurs d’Abidjan à respecter les normes de production et de fabrication d’aliments. Il demande aux populations d’être attentives et prudentes.

CEI: Alain Lobognon donne son avis

Le député de Fresco s’est prononcé sur la CEI lors de son passage au Nouveau Réveil.

Alain Lobognon était dans les locaux du Nouveau Réveil, le mardi dernier 26 Novembre 2019. Il était l’invité de l’émission « le fauteuil blanc » où il était emmené à se prononcer sur le thème suivant: « La Côte d’Ivoire face aux défi de la démocratie. »

Au cours de cet échange, il a donné son avis sur la Commission Électorale Indépendante et sur la position du nouveau président de cette institution. A ce sujet, le député de Fresco a émis des réserves quant à l’impartialité de ce président: « Ce que nous reprochons à Coulibaly Kuibiert c’est son manque de réserve et son militantisme pour le RHDP. Il se fait passer pour un arbitre alors qu’il est  joueur. »

En ce qui concerne la CEI, l’ancien ministre des sport estime qu’elle ne respecte pas les exigences données par la Cour africaine des droits de l’homme: «  Nous militons pour une CEI véritablement indépendante. Nous restons toujours à l’écoute de la Cour africaine des droits de l’homme. Cette cour a exigé une commission électorale consensuelle. Mais actuellement avec cette CEI le jeu est faussé. Cette CEI est frappée d’une suspicion légitime. »

Un plus loin dans son propos, il a émis la volonté d’avoir « Une CEI qui mérite la confiance des ivoiriens » et qui réuni toutes les conditions pour une élection transparente. Actuellement le problème se situe au niveau des cartes nationales dont ne disposent pas tous les ivoiriens et le vieillissement de la liste électorale qu’il faut mettre à jour et qui sera composé que d’ivoiriens.

Ainsi pour lui, le pays surf sur du faux et la commission électorale n’est pas indépendante.