La FESCI annonce une visite dans les établissements scolaire le lundi 16 novembre

Le secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI), Saint Clair Allah, a annoncé une visite dans les écoles dès la reprise des cours du lundi 16 novembre 2020.

En effet, rappelons que le ministère de l’Education nationale, avait anticipé les congés de Toussaint d’une semaine. Quant à la rentrée des classes, elle a été prorogé encore d’une semaine. A la lecture de la circulaire, cette prorogation est faite en vue de préparer de façon efficace la reprise des cours qui est désormais prévue pour le lundi 16 novembre 2020.

Pour la FESCI, ce décalage a été fait pour que le gouvernement se donne le temps nécessaire pour trouver des solutions définitives à ses revendications. Il s’agit entre autres de la suppression des cotisations des comités de gestion des établissements secondaires (COGES). Ainsi que des frais annexes pour mettre fin au paiement des frais supplémentaires imposés par certains chefs d’établissements publics.

A cet effet, le secrétaire de la FESCI a informé lors d’une conférence de presse animée, le mardi 10 novembre 2020, une visite dans les établissements.

Selon lui, cette visite aura pour but de vérifier les propos de la ministre Kandia Camara, quant aux frais de COGES. A savoir qu’en dehors des 6000F CFA ou 3000F CFA que l’élève paiera en ligne pour son inscription, aucun autre frais ne lui est obligatoire.

La FESCI suspend son mot d’ordre de grève pour engager des négociations avec les autorités ivoiriennes

La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI), a annoncé la suspension de son mot d’ordre de grève de 72 heures pour faire place aux négociations.

En effet, un mot d’ordre de grève de 72 heures de la FESCI avait été annoncé pour protester contre les frais annexes imposés aux élèves par les Comités de gestion des établissements scolaires ( COGES). Suite à cela, les cours ont été  perturbés dans plusieurs écoles primaires et secondaire du pays.

Par ailleurs, face aux violences politiques ont fait de nombreux dégâts matériels le lundi à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur de la Côte d’Ivoire, la FESCI a décidé de suspendre sa grève. À l’en croire, elle ne souhaite pas être associée à ces violences perpétrées par l’opposition ivoirienne. « estimant que des personnes nous attribuent à tort des violences observées ce jour dans l’intention de salir notre noble lutte « . a-t-elle indiqué.

Toutefois, la fédération estudiantine a tenu félicité les élèves qui ont mis en application le mot d’ordre de grève. « La FESCI voudrait féliciter tous les élèves qui ont fait respecter le mot d’ordre en restant à la maison. (…) ainsi que l’ensemble des partenaires du système éducatif de la suspension du mot d’ordre de grève pour faire place aux négociations sollicitées par les autorités » . indique un communiqué de la FESCI.

La grève de la FESCI a coïncidé avec le mot d’ordre de désobéissance civile lancé par l’opposition ivoirienne. Une situation qui a poussé certains observateurs à accuser ce syndicat d’être en accord avec les opposants.

La FESCI perturbe les cours dans les établissements scolaires

Les établissements scolaires et universitaires en Côte d’ivoire ont été fortement perturbés ce lundi en raison d’un mot d’ordre de grève de 72 heures lancé par la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI).

En effet, la FESCI aurait lancé un mot d’ordre de grève pour protester contre des « frais additionnels » imposés aux élèves. Soulignons que ces frais relèvent du Comité de gestion des établissements scolaires (COGES). Pour ce faire, les élèves et étudiants du privé comme du public, ont dû regagner leurs domiciles.

Par ailleurs, notons que cette grève de la FESCI intervient dans un contexte politique tendu en Côte d’Ivoire. Elle coïncide en outre, avec la phase active du mot d’ordre de désobéissance civile lancé par l’opposition ivoirienne.

Cependant, face aux perturbations observées dans le pays en ce jour, la FESCI affirme ne pas être impliquée dans la désobéissance civile.

Selon le secrétaire général de la FESCI, St-Clair Allah, cette grève n’a aucun rapport avec une quelconque désobéissance civile.  » Elle s’inscrit une dynamique dans laquelle la FESCI est engagée depuis plus de cinq ans. Ainsi elle a pour but d’améliorer les conditions d’études des élèves de notre nation. », a-t-il publié sur compte officiel Facebook.

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Côte d’Ivoire: La FESCI réclame le paiement de la bourse des étudiants

La Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) demande le paiement de la bourse des étudiants suspendues depuis février 2020. Le syndicat des étudiants menace de tout paralyser, si les bourses des étudiants ne sont pas payées.

Dans un communiqué du lundi 11 mai 2020, le secrétaire général de la FESCI, Saint-Clair Allah dit Makélélé a évoqué le non paiement de la bourse des étudiants au titre de l’année académique 2017-2018. Ainsi, la FESCI a appelé au calme les étudiants qui n’ont pas perçu leurs bourses. Le syndicat des étudiants a apaisé les tensions, en vue d’éviter une crise dans le milieu universitaire.

Cependant, la FESCI exige le paiement de la bourse des étudiants après plusieurs mois d’attente. « Plusieurs mois après, force est de constater que malgré notre bonne foi dans la patience, le reliquat des bourses n’a toujours pas été payé. Pire, les autorités ivoiriennes semblent l’avoir relégué aux oubliettes laissant dans le désarroi et la misère des centaines d’étudiants », a déclaré le secrétaire général de la FESCI.

Le secrétaire général de la FESCI, Allah Saint Clair invite les autorités à tout mettre en oeuvre pour le paiement immédiat des bourses. « Faute de quoi, elle se donnera les moyens de réagir pour la satisfaction des ayant-droits » a mis en garde le syndicat des étudiants.

Rappelons que Allah Saint Clair a été élu à la tête de la FESCI, le samedi 1 er juin 2019. Il a succédé à Assi Fulgence Assi qui a été secrétaire général de la FESCI durant 5 ans.

Décès de 3 élèves: La FESCI demande la démission de Kandia Camara

La ministre Kandia Camara appelée à démissionner suite aux différentes manifestations qui ont entraîné la mort de 3 élèves.

Ce jeudi 12 décembre 2019, la Fédération Estudiantine et Scolaire (FESCI) a tenu une réunion au sujet des différentes violences enregistrées dans certains établissements publics de Côte d’Ivoire. Après avoir échangé sur les raisons de ces manifestations et les dispositions prises par le gouvernement. La FESCI a jugé la ministre Kandia Camara incapable de maîtriser la situation.

En effet, depuis le mois de novembre, plusieurs groupes d’élèves ont manifesté dans divers établissements pour réclamer des congés anticipés à l’approche des fêtes de fin d’année. Ces réclamations se sont faites dans la violence et des confrontations avec les agents de polices ont eu lieu. Le bilan de ces revendications fait état de trois morts dans les lycées et collèges.

Ainsi, la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire a appelé Kandia Camara, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle à démissionner de son poste.

Par ailleurs, la FESCI envisage de porter plainte contre tous ceux, qui sont liés de prêt ou de loin à ces différentes violences enregistrées à Daloa, Dimbokro et Anyama.

Les 29 et 30 novembre derniers, la FESCI est allée en séminaire pour définir une politique d’anticipation sur le phénomène des congés anticipés. Le ministère de l’éducation national a essayé plusieurs solution qui n’ont pas eu le résultat escompté .

Ainsi, depuis le 5 décembre 2019, la FESCI a déployé ses membres sur l’ensemble du territoire pour sensibiliser les élèves sur le respect du calendrier scolaire.

Une initiative qui n’a pas été au goût de la ministre Kandia Camara, qui avait estimé que la solution n’est pas de sensibiliser les élèves mais qu’il faut être ferme en impliquant la police.

 

 

Perturbation des cours dans les écoles d’Abidjan: des élèves arrêtés.

Plusieurs élèves ont entamé depuis près d’une semaines, des actions visant à perturber les cours de sorte à ce qu’ils partent plus tôt en congés de Noel .

Des perturbations dans certaines écoles d’Abidjan ont commencé depuis le 28 Novembre 2019. La raison est la suivante : des élèves, comme chaque année, veulent aller en “congés de Noël “, 03 semaines avant la date fixée par l’Education Nationale.

Ainsi, ces manifestations d’individus se réclament de la FESCI, ont débuté au Lycée technique d’Abidjan. En effet, des individus armés de bâtons et de projectiles, ont fait irruption dans la cour du lycée technique de Cocody. Ainsi, Dr Brice Kouassi, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de l’Education Nationale a dépêché ses collaborateurs sur les lieux pour ramener le calme.

Le bilan de ces actions est lourd. On note des enseignants et des élèves blessés. Ainsi que plusieurs tables-bancs cassés. Ces élèves manifestaient d’après des témoins pour  «  L’insuffisance des tables-bancs, la cherté de la cantine installée et le non-paiement des bourses « .

Récemment, c’est à dire hier et aujourd’hui, d’autres manifestations ont eu lieu dans d’autres écoles. En effet, trois élèves  ont débarqué dans la commune de Koumassi lundi 2 décembre 2019, pour perturber les cours dans des établissements scolaires.

Selon les renseignements recueillis auprès des élèves, cette perturbation tire son fondement dans le désir d’anticiper les congés scolaires de fin d’année. Suite à leurs actes de vandalisme, plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés dans ces établissements.

L’intervention du commissaire de Police du 36ème arrondissement et ses hommes, a permis de rétablir l’ordre et interpeller trois élèves. Il s’agit des élèves venus respectivement des écoles de Koumassi, et de Marcory . Tous ces élèves perturbateurs seraient de nationalité ivoirienne, ils ont été appréhendés par les forces de sécurité.

Manifestation de la FESCI: plusieurs blessés enregistrés à Abidjan

Une manifestation d’élèves se réclamant de la FESCI fait plusieurs blessés dont un enseignant.

Un groupe d’élèves en colère,se réclamant de la FESCI a organisé une manifestation paralysant, ainsi, les cours à Abidjan.

En effet, ce jeudi 28 novembre 2019, le Lycée technique d’Abidjan a enregistré une première crise d’élèves. Ces élèves faisant partie du plus grand syndicat estudiantin ivoirien, FESCI, ont manifesté ce jour pour plusieurs causes.

Notons que ce syndicat lutte depuis sa création contre les décisions ou les règles des administrations scolaires en Côte d’Ivoire. Ainsi, toutes les difficultés liées aux conditions de vie en milieu scolaire des élèves et étudiants sont dénoncées.

C’est ainsi que ce jeudi, un groupe d’élèves a manifesté au Lycée technique d’Abidjan pour plusieurs raisons. En l’occurrence,l’insuffisance des tables bancs, la cherté de la cantine et le paiement de leurs bourses.

Par conséquent, l’on a enregistré plusieurs blessés, parmi lesquels l’on compte un enseignant de l’établissement en question.

« Plusieurs blessés ont été enregistrés parmi les élèves. Des enseignants ont été brutalisés dont un est aussi mal au point », selon les témoignages.

Les forces de police arrivées sur place à temps ont pu contrôler la situation. Les cours ont été suspendus et reprendront le lundi prochain.

Les services du Secrétariat d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle assurent être à pied d’œuvre pour trouver des solutions durables à ces problèmes.