Vive polémique autour d’une vidéo intime de Didier Drogba sur la toile

Une vive polémique des internautes s’est emparée mercredi de la toile après la diffusion d’une courte vidéo de l’ex-footballeur international ivoirien Didier Drogba en compagnie d’une jeune dame.

En effet, dans cette vidéo de moins de deux minutes, l’on voit l’ancien capitaine de la sélection ivoirienne de football, couché torse nu sur un lit avec cette jeune dame elle aussi torse nu visiblement, qui le mord sur son épaule.

 « Tu dis à personne. Regarde-moi ça. Elle est positive, elle veut me contaminer en me mordant », a affirmé la star ivoirienne du ballon rond poussant un grand cri avec un brin d’humour. Sur la toile, des internautes se sont offusqués de cette vidéo de l’ex-attaquant vedette de Chelsea dénonçant cette publication alors que d’autres, ses inconditionnels fans, ont volé à son secours, avec des arguments pour sa défense. 

De son côté, Didier Drogba n’a pas à tarder à réagir  sur son compte Instagram.  « Je n’ai pas l’habitude de discuter de ma vie privée. Mais en raison des spéculations dans les médias aujourd’hui, je vais confirmer que malheureusement, après 20 ans ensemble, Lalla (son épouse) et moi, avons pris la décision difficile de nous séparer l’année dernière. Nous demeurons très proches et notre objectif principal a été nos enfants et de les protéger ainsi que la vie privée de la famille », s’est justifié Didier Drogba sur Instagram. 

Cette polémique autour de Didier Drogba intervient dans un contexte de crise à la Fédération ivoirienne de football ( FIF), une institution où il est l’un des candidats déclarés pour l’élection à la présidence. 

Pour résoudre cette crise liée à l’élection à la présidence de la FIF, la Fédération internationale de football association ( FIFA) a décidé de mettre en place un comité de normalisation.

Cacao ivoirien: une « grève illimitée » contre le blocage de la commercialisation annoncée

Trois organisations syndicales de la filière cacao en Côte d’Ivoire, premier producteur mondial, annoncent une « grève illimitée » à partir de lundi pour protester contre le blocage de la commercialisation de leurs produits.

Dans un préavis de grève adressé au ministre de l’Agriculture et du développement rural, ces trois organisations syndicales indiquent être confrontées, depuis le 17 novembre 2020 à un blocage de la commercialisation de leurs produits.

Il s’agit du Syndicat national agricole pour le progrès en Côte d’Ivoire (SYNAPCI), de l’Association nationale des producteurs de café-cacao de Côte d’Ivoire (ANAPROCI) et du Syndicat national des exploitants agricoles de Côte d’Ivoire (SYNEAGRI-CI).

Joint au téléphone, mercredi, Kanga Koffi, le président de l’ANAPROCI, a déclaré que « la grève est maintenue et elle aura bel et bien lieu à partir du lundi 18 janvier 2021 », ajoutant que les gens vont constater comment cela va se mener, sans autres précisions.

Ces trois organisations professionnelles agricoles (OPA) qui clament avoir « interpellé les autorités compétentes », disent « constater que le problème de la commercialisation demeure, pire, elle s’est aggravée et devient préoccupante ».

Elles notent que le prix bord champ, fixé à 1.000 Fcfa/Kg, « n’est pas respecté dans la quasi-totalité des zones de production de café-cacao ». Selon des producteurs, le kilogramme est cédé à 850 Fcfa ou 900 Fcfa.

Le blocage de la commercialisation est notamment dû au fait que les exportateurs ne prennent presque plus le cacao des producteurs, ce qui constitue un énorme préjudice pour eux, dans un contexte marqué par ailleurs par la Covid-19.

Les producteurs regroupés au sein de ces faîtières attendent un soutien du Conseil café-cacao, l’organe de régulation de la filière. Ils souhaitent le paiement des arriérés du report de stock de la campagne 2016-2017, suite à la mévente du café-cacao sur le marché mondial.

En outre, ces trois syndicats dénoncent « un appui clanique de certaines OPA par le Conseil café-cacao en violation des dispositions fixant les règles relatives à la commercialisation du café-cacao et à la régulation de la filière ».

Moussa Koné, président du SYNAPCI, à l’instar des autres leaders syndicaux, reproche aux autorités compétentes « une mauvaise gestion des acquis des producteurs de café-cacao et des fonds alloués à certaines de ces sociétés, à savoir la SIFAC-COOP » et d’autres structures.

La Côte d’Ivoire et le Ghana qui cumulent plus de 60% de la production mondiale de cacao, ont mis en place un mécanisme de Différentiel de revenu décent (DRD) de 400 dollars, visant à relever le revenu des paysans.

Des industriels, des chocolatiers et des négociants ont, selon le Conseil café-cacao, commencé à faire un jeu » et user des « stratégies » pour ne pas payer le Différentiel de revenu décent, un mécanisme visiblement grippé par la pandémie de Covid-19.  

Des producteurs de cacao en Côte d’Ivoire, qui reprochent à des industriels de « contourner » le mécanisme de différentiel de revenu décent, ont menacé début décembre 2020 à Yamoussoukro, de « boycotter » leur programme de durabilité.  

Barrage sur le Nil : l’Ethiopie accuse ses voisins de freiner les négociations

L’Ethiopie a accusé le Soudan et l’Egypte de freiner délibérément l’avancement des négociations trilatérales sur le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (GERD) en cours de construction sur le Nil.Le porte-parole du ministère éthiopien des Affaires étrangères, l’ambassadeur Dina, a déclaré que les deux pays suivent un système leur permettant de porter les questions relatives au GERD devant le Conseil de sécurité des Nations unies s’ils le peuvent, ou d’attendre le remplacement de l’actuel président de l’Union africaine.

Dimanche dernier, le Soudan a exprimé des réserves quant à sa participation aux discussions virtuelles qui devaient se tenir ce week-end sur le remplissage et l’exploitation du barrage, selon le ministère éthiopien de l’Eau, de l’Irrigation et de l’Energie.

Le ministère a déclaré que le Soudan a soumis une demande aux trois pays de tenir une réunion avec les experts et les observateurs de l’UA, rejetant les pourparlers trilatéraux avec l’Ethiopie et l’Egypte.

L’Ethiopie et l’Egypte ont accepté les pourparlers bilatéraux avec les experts et les observateurs de l’UA, conformément à la demande de Khartoum.

Cependant, le Soudan a proposé une idée différente dimanche dernier et a annoncé sa décision de ne pas tenir de discussions bilatérales sauf si l’autorité des experts et des observateurs de l’UA est clairement définie et préparée conjointement par les trois pays.

Le ministère soudanais des Ressources en eau et de l’Irrigation a déclaré la semaine dernière que Khartoum que les négociations devraient avoir lieu avec la médiation de l’Union africaine.

En conséquence, les pourparlers virtuels qui devaient avoir lieu dimanche dernier entre les responsables d’Ethiopie, d’Egypte et du Soudan pour résoudre les différends relatifs au remplissage et au fonctionnement du GERD n’ont pas eu lieu.

Le GERD, un barrage hydroélectrique de 145 mètres de haut, dont la construction est achevée à 75%, est source de graves tensions entre les trois pays au cours des sept dernières années. Les précédents échecs des pourparlers n’ont fait qu’accroître les tensions.

Alors que l’Ethiopie poursuit la construction de ce qu’elle décrit comme un projet stratégique national, la question est de savoir « quand » et non « si » le GERD entrera en service.

Khartoum devrait se ranger du côté d’Addis-Abeba pendant ces pourparlers afin de garantir des conditions favorables sur sa propre source d’approvisionnement en eau.

Une fois les pourparlers terminés, Addis-Abeba prévoit que le GERD lui donnera un poids géopolitique important sur ses voisins en aval, renforçant ainsi son influence dans la région.

Af’Sud/Covid-19: un scientifique dénonce la désinformation sur les vaccins

Le scientifique sud-africain, Salim Abdool Karim, a condamné mercredi la désinformation autour des vaccins contre le coronavirus.A son avis, les informations inexactes entourant les vaccins devraient cesser pour aider à vacciner la population avec succès.

Le président Cyril Ramaphosa a déclaré que son pays a obtenu 20 millions de doses du vaccin contre la Covid-19, un premier lot pour vacciner les Sud-Africains afin de créer une « immunité collective » contre la maladie.

Bien que cela ne suffise pas pour vacciner la totalité des 50 millions d’habitants, le programme de vaccination sera entravé par la désinformation généralisée colportée sur les réseaux sociaux, selon M. Karim.

Les gens doivent « cesser de semer la peur autour du vaccin », a déclaré le scientifique, qui préside le comité consultatif ministériel du pays sur la Covid-19.

« Il y a généralement trois groupes de personnes qui hésitent à prendre les vaccins. Le premier groupe n’en sait tout simplement pas assez sur le sujet. Le deuxième groupe est préoccupé par la désinformation et lit des choses qui ne transmettent pas l’information avec exactitude. Le troisième groupe est composé de personnes délibérément anti-vaccins et que ce groupe finissait souvent par répandre la désinformation
», a expliqué M. Karim.

Il a fait remarquer que si personne n’est obligé de se faire vacciner, les gens doivent être correctement informés.

L’Afrique du Sud devrait commencer à déployer ses vaccins ce mois-ci, en utilisant les 20 millions de doses initiales acquises.

Karim et le médecin américain Anthony Fauci, ont remporté conjointement le prix John Maddox 2020 pour avoir défendu la science dans le contexte de la pandémie de Covid-19.

Ce prix, créé en 2012 par l’organisation caritative « Sense About Science » et la revue scientifique Nature, honore « les personnes qui ont contribué à promouvoir une science et des preuves solides malgré les hostilités ».

Covid-19: Le Malawi déclare l’état de catastrophe nationale

Le Mali a déclaré l’état de catastrophe nationale face à la hausse des cas de coronavirus.Le président Lazarus Chakwera qui a pris la décision, a aussi lancé un appel à l’aide pour faire face à la recrudescence des cas de Covid-19 dans ce pays d’Afrique australe qui a enregistré plus de 2000 nouveaux cas et plusieurs décès la semaine dernière.

Dans un discours à la nation, hier mardi, Chakwera a déclaré l’état de catastrophe nationale dans les 28 districts du pays afin de contenir la propagation du coronavirus.

« Je déclare l’état de catastrophe nationale dans tous les districts du pays à partir de ce 12 janvier 2021 », a déclaré Chakwera.

Cette déclaration fait suite à la mort de quatre hauts fonctionnaires au cours des derniers jours, dont deux ministres.

Les ministres des Transports Sidik Mia et des Collectivités locales Lingson Berekanyama ont tous deux succombé à la maladie mardi.

Les autres hauts fonctionnaires sont l’ancien gouverneur de la Banque centrale du Malawi, Francis Perekamoyo, et le Secrétaire principal du ministère de l’Information, Ernest Kantchentche.

Chakwera a sollicité le soutien de la communauté internationale et des organisations locales dans la lutte contre la Covid-19.

« Je lance donc un appel à la communauté internationale, aux agences des Nations unies concernées, aux organisations non gouvernementales et au secteur privé pour qu’ils apportent des contributions exceptionnelles aux ressources nécessaires pour relever le défi actuel de la pandémie », a-t-il déclaré.

Le dirigeant malawite a depuis déclaré une période de deuil de trois jours, du 12 au 14 janvier, pour honorer les fonctionnaires et les citoyens que le pays a perdus à cause de la pandémie.

Le pays a enregistré plus de 9000 cas depuis avril 2020, dont plus de 2000 depuis le 1er janvier.

La Namibie suspend le transport ferroviaire

Le transport ferroviaire est suspendu en Namibie.L’opérateur ferroviaire public TransNamib a pris cette décision après que des inondations ont endommagé le matériel ferroviaire dans tout le pays.

La porte-parole de TransNamib, Abigail Raubenheimer, a déclaré ce mercredi que la décision de suspendre les services fait suite aux fortes pluies qui sont tombées dans le sud du pays la semaine dernière. Les pluies ont causé beaucoup de dégâts sur des sections de la ligne de chemin de fer.

« En tenant compte de la sécurité des passagers, nous ne voulons prendre aucun risque », a déclaré Mme Raubenheimer.

Un train TransNamib a déraillé fin décembre 2020 sur un pont dans le sud du pays.

L’ARTCI « n’a pas pour objectif de casser leur business ». ( Directeur Général de l’ARTCI).

Le directeur général de l’ARTCI, sort de son silence.

En effet, le Collectif des Entrepreneurs de la Livraison Urbaine en Côte d’Ivoire  avait révélé que suite à une rencontre avec l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire, il a été convenu les points suivants :

  • Chaque entreprise ou structure doit désormais s’acquitter d’une caution de cinq millions de FCFA sur une période de 10 ans pour exercer. Elles doivent aussi ouvrir un dossier à l’ARTCI d’un montant de 400.000 FCFA.

Une décision qui a provoqué une vague d’indignation auprès de l’opinion. La raison, les personnes qui exercent cette activité sont pour la plupart de la catégorie sociale moyenne de la société.

Attaquée, l’ARTCI tient à clarifier les choses. « Depuis quelques jours, certaines informations circulent sur Internet, imputant à l’ARTCI l’intention d’écarter « Les livreurs urbains » à travers des barrières financières alors qu’il n’en est rien », précise le régulateur.

« Nous n’avons pas demandé aux livreurs urbains de payer une somme de 5 millions FCFA. L’ARTCI n’a donné aucune instruction pour les arrêter, on n’a pas pour objectif de casser leur business », ajoute le Directeur General de l’ARTCI, Bilé Diéméléou.

Toutefois, il invite à nouveau les « livreurs urbains » à prendre contact avec la Direction des activités postales de l’ARTCI. Par ailleurs, il rassure l’ensemble des opérateurs du secteur postal de sa disponibilité à les accompagner dans le développement de leurs activités.

La Hausse des prix : les raisons avancées par le gouvernement.

l’ARTCI prend des mesures pour la protection du consommateur.

En effet, l’information concernant la limitation des bonus de téléphonie mobile à 100% a également fait beaucoup de bruits ces derniers jours sur les réseaux sociaux. Pour quelle raison l’ARTCI impose aux opérateurs de téléphonie mobile de plafonner les bonus à 100% ? L’ARTCI explique, « le but est d’assurer la protection des consommateurs et favoriser un développement pérenne du marché de la téléphonie mobile ».

De plus, selon l’autorité de régulation des télécommunications/tic de Côte d’Ivoire, contrairement à ce que pense la majorité des Ivoiriens, les bonus 200% voire même 400% ne profitent pas réellement aux consommateurs.

Cette nouvelle mesure vise donc la protection du consommateur et non une sanction pour les consommateurs.

Le gouvernement recule face à la grogne des populations.

Par contre, le gouvernement ivoirien est revenu sur sa décision après la grogne générale des populations quant à l’augmentation du prix de certains produits du marché. Le mardi, 12 janvier le Ministre du Commerce et de l’Industrie a fait une déclaration à ce sujet. 


« À l’issue de ces discussions, nous sommes convenus, ce jour, de suspendre les hausses de prix de l’huile de table raffinée, intervenues en ce mois de janvier 2021 et de geler les prix de la farine de blé. 
Quant au sac de la farine boulangère de 50kg, il demeure au prix maximum de 19000FCFA.

Je voudrais me réjouir du bon état d’esprit et de la bonne ambiance qui ont prévalu au cours de ces négociations et féliciter les industriels pour les efforts qu’ils ont bien voulu consentir au profit des populations ivoiriennes ».

Retour de Gbagbo: Des jeunes cadres décident de réhabiliter sa résidence à Mama.

Réhabilitation de la résidence de Laurent Gbagbo à Mama.

Des jeunes cadres ivoiriens regroupés au sein d’une union dénommée : Union Nationale des Parlements et Agoras de Côte d’Ivoire ont décidé d’offrir un lot de matériels devant servir à équiper la résidence du président Laurent Gbagbo en attendant son retour à Mama.

En effet, une tondeuse tractée de dernière génération, trois brouettes, sept râteaux, sept pelles et sept grandes poubelles, sont les dons apportés par les cadres de l’Unapoci. Le tout accompagné d’une enveloppe dont le montant  est resté secret pour l’assistance.

Le ministre Sébastien Danon Djedje et la notabilité de Mama, ainsi que les membres de la famille biologique du président Laurent Gbagbo ont remercié, les généreux donateurs de l’Unapoci conduits par leur président, Tiehidé Ladislas.

Rappelons que le président Laurent Gbagbo a manifesté en décembre dernier, sa volonté de renter en Côte d’Ivoire après son acquittement. Il a pour ce faire, instruit Assoa Adou, le Secrétaire général du FPI, son parti, de se rapprocher des autorités ivoiriennes afin que son retour en Côte d’Ivoire se passe dans de meilleures conditions.

Par ailleurs, deux rencontres ont déjà eu lieu entre le premier ministre Hamed Bakayoko et les émissaires de l’ancien prisonnier de la Cour pénale internationale. Depuis lors, plus aucune nouvelle officielle sur la date du retour de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé en Côte d’Ivoire.

Covid-19 : la Tunisie décrète un confinement général

La Tunisie a décrété, mardi, un confinement général assorti d’un « couvre-feu renforcé » de quatre jours à compter de demain jeudi, a appris APA.Face à une deuxième vague qui a atteint des chiffres records, entraînant une situation « très dangereuse », le ministre tunisien de la Santé, Faouzi Mehdi, a annoncé mardi un confinement général à partir de jeudi jusqu’à dimanche.

Le « couvre-feu renforcé » accompagnant ce confinement démarre à 15 heures Gmt et finit à 5 heures Gmt. Un couvre-feu était déjà en vigueur de 19 heures à 5 heures depuis octobre 2020.

Les écoles, lycées et facultés sont aussi fermés du 13 au 24 janvier et toutes les manifestations culturelles interdites durant cette période. Selon le ministre de la Santé, 5.854 cas confirmés d’infection au coronavirus ont été recensés en milieu scolaire dont 32 décès et 4 205 établissements touchés.

Ces mesures de restrictions annoncées dans un contexte de tensions sociales entrent en vigueur le jour du dixième anniversaire de la révolution, qui avait entraîné la chute Zine El-Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011.

La Tunisie est le troisième pays le plus touché par la deuxième vague de la pandémie après l’Afrique du Sud (34.334 décès) et le Maroc (7784 décès).

Le pays qui avait enregistré une cinquantaine décès lors de la première vague, a déjà recensé 5343 morts et 164.936 cas selon l’Observatoire national des maladies nouvelles et émergentes.

« La situation est très dangereuse et dépasse les capacités de prise en charge des malades », a prévenu Nissaf Ben Alya, directrice de l’Observatoire.