Présidentielle ivoirienne 2020: le Rhdp veut enrôler au moins 20 000 jeunes à Port-Bouët

Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp, pouvoir), envisage d’enrôler au moins 20 000 jeunes à Port-Bouët, cité balnéaire située dans le sud d’Abidjan, a indiqué samedi le coordonnateur régional du parti, Abdourahmane Cissé, en marge des états généraux de la jeunesse locale de la formation sur l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.« Nous nous sommes fixés un objectif minimum d’enrôler au moins 20 000 jeunes » de la commune de Port-Bouët, a dit Abdourahmane Cissé, à l’ouverture de ces états généraux qui dureront deux jours, visant à définir les stratégies pour la victoire d’Amadou Gon Coulibaly à la présidentielle d’octobre 2020.

Les jeunes du Rhdp, mis en mission, réfléchissent au travers de ces états généraux  sur «le rôle de la jeunesse dans la victoire du candidat Amadou Gon Coulibaly», plébiscité dans la nuit du 12 au 13 mars 2020 pour diriger l’équipe Rhdp à la future élection présidentielle.

M. Cissé, ministre du Pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, qui a procédé à l’ouverture de ces assises en tant que coordonnateur régional du Rhdp, a invité les jeunes à faire un rapport, qui au-delà des problèmes, fait un diagnostic et propose des solutions.

Il a souhaité que la stratégie pour atteindre les objectifs assignés soit déclinée en quelque dix points ou actions essentielles, qui devraient être mises en œuvre dans le calendrier de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

Pour une efficacité dans les actions de la jeunesse Rhdp à Port-Bouët, M. Abdourahmane Cissé a doté le bureau des jeunes d’ordinateurs, d’imprimante, de smartphones et d’un fonds en vue d’enrôler surtout les jeunes majeurs dans le cadre de l’inscription sur le listing électoral, en cours.

Plus de 75% des jeunes en Côte d’Ivoire ont moins de 35 ans, selon le dernier recensement de la population. Le Rhdp veut pour ces joutes électorales à venir enrôler un nombre important de jeunes afin de s’assurer une victoire au premier tour du scrutin.

Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), un ex-allié au pouvoir, a remporté les dernières municipales à Port-Bouët. Le Rhdp a du fer à retorde, mais Fernand Traoré, coordonnateur de la jeunesse locale du Rhdp, estime que les soutiens logistiques et financiers de M. Cissé vont permettre aux jeunes de ratisser large.

Selon M. Traoré, la jeunesse Rhdp de Port-Bouët dispose d’un fonds qui a d’ailleurs permis d’apporter un appui financier à quelque neuf jeunes. Et ce, pour répondre à des préoccupations d’ordre social de ces derniers.

Le Rhdp, dira M. Abdourahmane Cissé, a mis les jeunes au centre de sa politique. A l’âge de 32 ans, ce jeune polytechnicien a occupé le poste de ministre du Budget de la Côte d’Ivoire, première puissance économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).

La jeunesse d’aujourd’hui, est le ferment du développement socio-économique du pays, demain, a-t-il soutenu, invitant les jeunes à soutenir Amadou Gon Coulibaly pour que les jeunes participent davantage à l’éclosion d’un pays industrialisé.

Au regard du contexte de la crise sanitaire de la Covid-19, les jeunes ont été répartis en quatre ateliers. Le premier atelier traitera de la matrice d’actions, le second de la stratégie de porte-à-porte, le troisième, des activités génératrices de revenus et le 4è de la formation de la jeunesse sur le processus électoral.

Présidentielle ivoirienne 2020: le Rhdp veut enrôler au moins 20 000 jeunes à Port-Bouët

Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp, pouvoir), envisage d’enrôler au moins 20 000 jeunes à Port-Bouët, cité balnéaire située dans le sud d’Abidjan, a indiqué samedi le coordonnateur régional du parti, Abdourahmane Cissé, en marge des états généraux de la jeunesse locale de la formation sur l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.« Nous nous sommes fixés un objectif minimum d’enrôler au moins 20 000 jeunes » de la commune de Port-Bouët, a dit Abdourahmane Cissé, à l’ouverture de ces états généraux qui dureront deux jours, visant à définir les stratégies pour la victoire d’Amadou Gon Coulibaly à la présidentielle d’octobre 2020.

Les jeunes du Rhdp, mis en mission, réfléchissent au travers de ces états généraux  sur «le rôle de la jeunesse dans la victoire du candidat Amadou Gon Coulibaly», plébiscité dans la nuit du 12 au 13 mars 2020 pour diriger l’équipe Rhdp à la future élection présidentielle.

M. Cissé, ministre du Pétrole, de l’énergie et des énergies renouvelables, qui a procédé à l’ouverture de ces assises en tant que coordonnateur régional du Rhdp, a invité les jeunes à faire un rapport, qui au-delà des problèmes, fait un diagnostic et propose des solutions.

Il a souhaité que la stratégie pour atteindre les objectifs assignés soit déclinée en quelque dix points ou actions essentielles, qui devraient être mises en œuvre dans le calendrier de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

Pour une efficacité dans les actions de la jeunesse Rhdp à Port-Bouët, M. Abdourahmane Cissé a doté le bureau des jeunes d’ordinateurs, d’imprimante, de smartphones et d’un fonds en vue d’enrôler surtout les jeunes majeurs dans le cadre de l’inscription sur le listing électoral, en cours.

Plus de 75% des jeunes en Côte d’Ivoire ont moins de 35 ans, selon le dernier recensement de la population. Le Rhdp veut pour ces joutes électorales à venir enrôler un nombre important de jeunes afin de s’assurer une victoire au premier tour du scrutin.

Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci), un ex-allié au pouvoir, a remporté les dernières municipales à Port-Bouët. Le Rhdp a du fer à retorde, mais Fernand Traoré, coordonnateur de la jeunesse locale du Rhdp, estime que les soutiens logistiques et financiers de M. Cissé vont permettre aux jeunes de ratisser large. 

Selon M. Traoré, la jeunesse Rhdp de Port-Bouët dispose d’un fonds qui a d’ailleurs permis d’apporter un appui financier à quelque neuf jeunes. Et ce, pour répondre à des préoccupations d’ordre social de ces derniers. 

Le Rhdp, dira M. Abdourahmane Cissé, a mis les jeunes au centre de sa politique. A l’âge de 32 ans, ce jeune polytechnicien a occupé le poste de ministre du Budget de la Côte d’Ivoire, première puissance économique de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).

La jeunesse d’aujourd’hui, est le ferment du développement socio-économique du pays, demain, a-t-il soutenu, invitant les jeunes à soutenir Amadou Gon Coulibaly pour que les jeunes participent davantage à l’éclosion d’un pays industrialisé.

Au regard du contexte de la crise sanitaire de la Covid-19, les jeunes ont été répartis en quatre ateliers. Le premier atelier traitera de la matrice d’actions, le second de la stratégie de porte-à-porte, le troisième, des activités génératrices de revenus et le 4è de la formation de la jeunesse sur le processus électoral.

Le bilan économique et social du RHDP est «éloquent et incontestable» (Mariatou Koné)

Le bilan de développement économique et social du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) est « éloquent et incontestable», a soutenu, vendredi, à Boundiali (extrême nord), la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Pr Mariatou Koné.Elle s’exprimait au cours d’une campagne de sensibilisation visant à exhorter les militants du RHDP, à s’inscrire massivement sur la liste électorale afin de garantir la victoire de ce parti à la présidentielle ivoirienne d’octobre prochain, rapporte une note d’information de ses services transmise à APA.

« La force du balai réside dans l’assemblage et l’union des brindilles. En nous inscrivant massivement sur la liste électorale, en nous rendant massivement aux urnes le jour du vote, nous construirons la victoire du RHDP », à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, a dit Mme Koné aux militants du parti d’Alassane Ouattara.

 Poursuivant, Pr Mariatou Koné qui est également  maire de la commune de Boundiali, a souligné que «nous sommes convaincus que la victoire est à notre portée surtout avec un bilan de développement économique et social éloquent et incontestable».

La Commission électorale ivoirienne (CEI) a lancé officiellement, mercredi à Abidjan, l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs.

Ce recensement électoral se déroulera du 10 au 24 juin prochain en Côte d’Ivoire et du 13 au 24 juin prochain à l’étranger. La présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

Le bilan économique et social du RHDP est «éloquent et incontestable» (Mariatou Koné)

Le bilan de développement économique et social du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) est « éloquent et incontestable», a soutenu, vendredi, à Boundiali (extrême nord), la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Pr Mariatou Koné.Elle s’exprimait au cours d’une campagne de sensibilisation visant à exhorter les militants du RHDP, à s’inscrire massivement sur la liste électorale afin de garantir la victoire de ce parti à la présidentielle ivoirienne d’octobre prochain, rapporte une note d’information de ses services transmise à APA.

« La force du balai réside dans l’assemblage et l’union des brindilles. En nous inscrivant massivement sur la liste électorale, en nous rendant massivement aux urnes le jour du vote, nous construirons la victoire du RHDP », à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, a dit Mme Koné aux militants du parti d’Alassane Ouattara.

Poursuivant, Pr Mariatou Koné qui est également  maire de la commune de Boundiali, a souligné que «nous sommes convaincus que la victoire est à notre portée surtout avec un bilan de développement économique et social éloquent et incontestable».

La Commission électorale ivoirienne (CEI) a lancé officiellement, mercredi à Abidjan, l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs.

Ce recensement électoral se déroulera du 10 au 24 juin prochain en Côte d’Ivoire et du 13 au 24 juin prochain à l’étranger. La présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

Côte d’Ivoire: lancement d’un observatoire pour renforcer les droits de l’homme en période électorale

Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a lancé jeudi à Abidjan un observatoire pour renforcer les droits de l’homme pendant les processus électoraux qui se tiendront en 2020 et 2021 en Côte d’Ivoire, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.Cet observatoire a pour objectif général d’évaluer les processus électoraux au regard des principes régionaux et internationaux relatifs aux droits de l’homme concernant les élections prochaines en Côte d’Ivoire.

« La mise en place de l’Observatoire vise à accompagner le gouvernement et la commission électorale indépendante (CEI) pour des élections sans violence», a dit Namizata Sangaré, la présidente du CNDH dans un discours lors de cette cérémonie de lancement qui a réuni des présidents d’institutions, des diplomates et des organisations de la société civile.

« Durant le processus électoral, nous porterons une attention particulière aux obligations, aux normes et standards internationaux en matière de droits civils et politiques  et sur le cadre juridique national des libertés publiques ainsi que leur applicabilité en période électorale», a également expliqué Mme Sangaré souhaitant une année électorale apaisée en Côte d’Ivoire.

Poursuivant, elle a expliqué que son organisation a entamé depuis le 08 juin dernier une mission de sensibilisation au respect des droits de l’homme et à la culture de la paix à Abidjan et dans les 31 régions administratives de la Côte d’Ivoire qui s’achèvera le 20 juin prochain.

« Je souhaite que cet Observatoire soit un cadre pour renforcer le civisme des populations et le dialogue dans notre beau pays», a, par ailleurs indiqué Mme Sangaré. « La mission de la CEI est de rendre conforme la volonté du corps électoral à ce qui est exprimé dans les urnes », a affirmé pour sa part, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de cette institution.

De son avis, l’élection fait peur parce que le langage des acteurs politiques est « guerrier». « Il faut veiller à  ce que le langage des acteurs soit apaisant et apaisé. Faisons de sorte qu’il y ait des élections sans crise», a exhorté M. Coulibaly regrettant que « la matière électorale devenue la plus grande passion dans notre pays, est source de tension ».

L’observatoire des droits de l’homme des processus électoraux 2020-2021 en Côte d’Ivoire se compose d’une équipe pluridisciplinaire comprenant des agents qualifiés du CNDH et de l’ensemble des officiers des droits de l’homme des 31  commissions régionales.

Cet instrument vise entre autres, à informer les électeurs de leurs droits, relever les irrégularités, les obstacles et les faiblesses des processus d’identification préélectorale, surveiller les discours de campagne des partis politiques et des candidats, et observer le respect des droits de l’homme au cours du scrutin, au dépouillement et à la proclamation des résultats.

Côte d’Ivoire: lancement d’un observatoire pour renforcer les droits de l’homme en période électorale

Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a lancé jeudi à Abidjan un observatoire pour renforcer les droits de l’homme pendant les processus électoraux qui se tiendront en 2020 et 2021 en Côte d’Ivoire, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.Cet observatoire a pour objectif général d’évaluer les processus électoraux au regard des principes régionaux et internationaux relatifs aux droits de l’homme concernant les élections prochaines en Côte d’Ivoire.

« La mise en place de l’Observatoire vise à accompagner le gouvernement et la commission électorale indépendante (CEI) pour des élections sans violence», a dit Namizata Sangaré, la présidente du CNDH dans un discours lors de cette cérémonie de lancement qui a réuni des présidents d’institutions, des diplomates et des organisations de la société civile.

« Durant le processus électoral, nous porterons une attention particulière aux obligations, aux normes et standards internationaux en matière de droits civils et politiques  et sur le cadre juridique national des libertés publiques ainsi que leur applicabilité en période électorale», a également expliqué Mme Sangaré souhaitant une année électorale apaisée en Côte d’Ivoire.

Poursuivant, elle a expliqué que son organisation a entamé depuis le 08 juin dernier une mission de sensibilisation au respect des droits de l’homme et à la culture de la paix à Abidjan et dans les 31 régions administratives de la Côte d’Ivoire qui s’achèvera le 20 juin prochain.

« Je souhaite que cet Observatoire soit un cadre pour renforcer le civisme des populations et le dialogue dans notre beau pays», a, par ailleurs indiqué Mme Sangaré. « La mission de la CEI est de rendre conforme la volonté du corps électoral à ce qui est exprimé dans les urnes », a affirmé pour sa part, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de cette institution.

De son avis, l’élection fait peur parce que le langage des acteurs politiques est « guerrier». « Il faut veiller à  ce que le langage des acteurs soit apaisant et apaisé. Faisons de sorte qu’il y ait des élections sans crise», a exhorté M. Coulibaly regrettant que « la matière électorale devenue la plus grande passion dans notre pays, est source de tension ».

L’observatoire des droits de l’homme des processus électoraux 2020-2021 en Côte d’Ivoire se compose d’une équipe pluridisciplinaire comprenant des agents qualifiés du CNDH et de l’ensemble des officiers des droits de l’homme des 31  commissions régionales.

Cet instrument vise entre autres, à informer les électeurs de leurs droits, relever les irrégularités, les obstacles et les faiblesses des processus d’identification préélectorale, surveiller les discours de campagne des partis politiques et des candidats, et observer le respect des droits de l’homme au cours du scrutin, au dépouillement et à la proclamation des résultats.

Démarrage de l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne

La Commission électorale ivoirienne (CEI) a lancé officiellement mercredi à Abidjan, l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs, a constaté APA sur place.Ce recensement électoral se déroulera du 10 au 24 juin prochain en Côte d’Ivoire et du 13 au 24 juin prochain à l’étranger.

« L’opération de révision de la liste électorale a pour objectif essentiel de prendre en compte les mutations intervenues dans le corps électoral et d’offrir la possibilité à toutes les personnes de nationalité ivoirienne remplissant les conditions prescrites par la loi de s’inscrire sur la liste électorale », a indiqué Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de la CEI dans une allocution à cette occasion.

  Poursuivant, il a expliqué que les  pièces requises pour les requérants en Côte d’Ivoire sont la carte nationale d’identité (CNI)  ou le certificat de nationalité ivoirienne ou l’attestation d’identité ou encore le récépissé délivré par l’Office national de l’état-civil et de l’identification en Côte d’Ivoire (ONECI).

 « Pour venir s’inscrire sur la  liste électorale, il est bon de retenir l’une de ses pièces. Ce ne sont pas des conditions cumulatives. Il suffit d’avoir une seule de ces pièces pour venir vous inscrire sur la liste électorale», a précisé M. Coulibaly. 

En ce qui concerne les ivoiriens de la diaspora, le président de la CEI a fait savoir que pour prendre part à cette opération, ceux-ci devront présenter une CNI, ou un passeport biométrique ou une carte consulaire.

Auparavant, M. Coulibaly a souligné que cette révision de la liste électorale ivoirienne concerne  plusieurs catégories de personnes. Notamment, tous ceux des ivoiriens qui sollicitent leur première inscription sur la liste électorale,  les  nouveaux majeurs et les électeurs déjà inscrits sur la liste électorale et qui souhaiteraient  apporter des modifications à leurs données personnelles ou désireux de changer de lieux de vote.  

Cette dernière catégorie, a indiqué M. Coulibaly,  peut apporter les modifications souhaitées en ligne ou en se rendant dans des centres d’enrôlement.

« Pour l’enrôlement en ligne, vous devriez rapporter la preuve qui fonde le changement de lieu de vote. Cette preuve se faisant par la production d’une attestation de résidence, de domicile ou une attestation fiscale. Et  nous avons conçu à cet effet, des documents spécifiques disponibles dans certaines administrations», a-t-il détaillé insistant que ces documents sont gratuits.

M. Coulibaly a conclu en invitant les partis politiques à exhorter leurs militants afin qu’ils s’approprient cette opération.

Environ 6 600 000 personnes sont inscrites sur  la liste électorale  ivoirienne pour une population électorale estimée à 10 500 000 personnes. Quelque 10 848 centres d’enrôlement sont ouverts pour cette opération sur l’ensemble du territoire ivoirien et 84 à l’étranger. L’élection présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain. 

Démarrage de l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne

La Commission électorale ivoirienne (CEI) a lancé officiellement mercredi à Abidjan, l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs, a constaté APA sur place.Ce recensement électoral se déroulera du 10 au 24 juin prochain en Côte d’Ivoire et du 13 au 24 juin prochain à l’étranger.

« L’opération de révision de la liste électorale a pour objectif essentiel de prendre en compte les mutations intervenues dans le corps électoral et d’offrir la possibilité à toutes les personnes de nationalité ivoirienne remplissant les conditions prescrites par la loi de s’inscrire sur la liste électorale », a indiqué Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de la CEI dans une allocution à cette occasion.

  Poursuivant, il a expliqué que les  pièces requises pour les requérants en Côte d’Ivoire sont la carte nationale d’identité (CNI)  ou le certificat de nationalité ivoirienne ou l’attestation d’identité ou encore le récépissé délivré par l’Office national de l’état-civil et de l’identification en Côte d’Ivoire (ONECI).

 « Pour venir s’inscrire sur la  liste électorale, il est bon de retenir l’une de ses pièces. Ce ne sont pas des conditions cumulatives. Il suffit d’avoir une seule de ces pièces pour venir vous inscrire sur la liste électorale», a précisé M. Coulibaly. 

En ce qui concerne les ivoiriens de la diaspora, le président de la CEI a fait savoir que pour prendre part à cette opération, ceux-ci devront présenter une CNI, ou un passeport biométrique ou une carte consulaire.

Auparavant, M. Coulibaly a souligné que cette révision de la liste électorale ivoirienne concerne  plusieurs catégories de personnes. Notamment, tous ceux des ivoiriens qui sollicitent leur première inscription sur la liste électorale,  les  nouveaux majeurs et les électeurs déjà inscrits sur la liste électorale et qui souhaiteraient  apporter des modifications à leurs données personnelles ou désireux de changer de lieux de vote.  

Cette dernière catégorie, a indiqué M. Coulibaly,  peut apporter les modifications souhaitées en ligne ou en se rendant dans des centres d’enrôlement.

« Pour l’enrôlement en ligne, vous devriez rapporter la preuve qui fonde le changement de lieu de vote. Cette preuve se faisant par la production d’une attestation de résidence, de domicile ou une attestation fiscale. Et  nous avons conçu à cet effet, des documents spécifiques disponibles dans certaines administrations», a-t-il détaillé insistant que ces documents sont gratuits.

M. Coulibaly a conclu en invitant les partis politiques à exhorter leurs militants afin qu’ils s’approprient cette opération.

Environ 6 600 000 personnes sont inscrites sur  la liste électorale  ivoirienne pour une population électorale estimée à 10 500 000 personnes. Quelque 10 848 centres d’enrôlement sont ouverts pour cette opération sur l’ensemble du territoire ivoirien et 84 à l’étranger. L’élection présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain. 

Le Malawi organise une nouvelle présidentielle le 23 juin

Le Parlement du Malawi a retenu mardi la date du 23 juin pour l’organisation d’une nouvelle élection présidentielle, mettant ainsi fin à des semaines de doute sur un scrutin considéré comme gage de stabilité dans ce pays d’Afrique australe.

Les députés ont voté une motion portant sur une nouvelle élection prévue le mois courant au lieu de la date du 2 juillet initialement prévue.

 La motion a été finalement adoptée, malgré les manifestations des députés du parti au pouvoir, Democratic Progressive Party, qui souhaitaient que le scrutin se tienne en juillet comme annoncé précédemment par la Commission électorale nationale.

 En février dernier, la Cour constitutionnelle avait ordonné l’organisation d’une nouvelle présidentielle suite à une requête de l’opposition aux fins d’annulation des résultats du scrutin de mai 2019 pour cause d’«irrégularités ».

Le Président sortant Peter Mutharika en découdra avec le candidat de l’opposition Lazarus Chakwera qui s’est allié avec le vice-président Saulos Chilima pour remporter l’élection.

Saulos Chilima qui s’est embrouillé avec son ancien mentor sera donc le colistier de Chakwera.

Le Malawi organise une nouvelle présidentielle le 23 juin

Le Parlement du Malawi a retenu mardi la date du 23 juin pour l’organisation d’une nouvelle élection présidentielle, mettant ainsi fin à des semaines de doute sur un scrutin considéré comme gage de stabilité dans ce pays d’Afrique australe.

Les députés ont voté une motion portant sur une nouvelle élection prévue le mois courant au lieu de la date du 2 juillet initialement prévue.

 La motion a été finalement adoptée, malgré les manifestations des députés du parti au pouvoir, Democratic Progressive Party, qui souhaitaient que le scrutin se tienne en juillet comme annoncé précédemment par la Commission électorale nationale.

 En février dernier, la Cour constitutionnelle avait ordonné l’organisation d’une nouvelle présidentielle suite à une requête de l’opposition aux fins d’annulation des résultats du scrutin de mai 2019 pour cause d’«irrégularités ».

Le Président sortant Peter Mutharika en découdra avec le candidat de l’opposition Lazarus Chakwera qui s’est allié avec le vice-président Saulos Chilima pour remporter l’élection.

Saulos Chilima qui s’est embrouillé avec son ancien mentor sera donc le colistier de Chakwera.

Burundi : l’UA « prend acte » des résultats définitifs de la Présidentielle

L’Union Africaine (UA), à travers un communiqué reçu ce lundi à APA, prend note officiellement des résultats définitifs de l’élection présidentielle au Burundi publiés le 4 juin dernier.À cet effet, le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat « forme ses vœux de plein succès au président élu Evariste Ndayishimiye dans l’exercice de ses nouvelles responsabilités ».

Après la tenue de la présidentielle le 20 mai 2020, il « exhorte les acteurs politiques et sociaux burundais au  dialogue pour faire face, dans un esprit de tolérance et de prise en compte de l’intérêt supérieur de la Nation, aux défis auxquels le pays est confronté ».

Le président de la Commission réaffirme également « la solidarité de l’Union Africaine avec le  peuple burundais  et exprime sa volonté d’œuvrer avec les nouvelles autorités à une ère nouvelle de coopération fructueuse entre notre organisation continentale et le Burundi dans sa quête légitime de paix, de sécurité, de stabilité, de démocratie et de prospérité ».

Burundi : l’UA « prend acte » des résultats définitifs de la Présidentielle

L’Union Africaine (UA), à travers un communiqué reçu ce lundi à APA, prend note officiellement des résultats définitifs de l’élection présidentielle au Burundi publiés le 4 juin dernier.À cet effet, le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki Mahamat « forme ses vœux de plein succès au président élu Evariste Ndayishimiye dans l’exercice de ses nouvelles responsabilités ».

Après la tenue de la présidentielle le 20 mai 2020, il « exhorte les acteurs politiques et sociaux burundais au  dialogue pour faire face, dans un esprit de tolérance et de prise en compte de l’intérêt supérieur de la Nation, aux défis auxquels le pays est confronté ».

Le président de la Commission réaffirme également « la solidarité de l’Union Africaine avec le  peuple burundais  et exprime sa volonté d’œuvrer avec les nouvelles autorités à une ère nouvelle de coopération fructueuse entre notre organisation continentale et le Burundi dans sa quête légitime de paix, de sécurité, de stabilité, de démocratie et de prospérité ».

Malawi: élection de nouveaux membres de la commission électorale

Le président du Malawi, Peter Mutharika, a nommé le juge de la Cour suprême, Chifundo Kachale à la tête d’une Commission électorale de sept membres, alors que le pays se dirige vers une nouvelle élection présidentielle très attendue.Le secrétaire général de la présidence et du gouvernement, Lloyd Muhara, a déclaré dimanche soir que les autres membres de la CEM seraient Arthur Nanthuru, Steve Duwa, Jean Mathanga, Linda Kunje, Anthony Mukumbwa et Olivia Liwewe. 

De la précédente commission dont le mandat a pris fin ce lundi, seuls Mathanga et Kunje ont été retenus. 

Les nouveaux membres remplacent la précédente Commission dirigée par Jane Ansah qui a démissionné il y a quelques semaines dans des circonstances controversées suite à des mois de protestations sur la gestion par sa commission des élections de mai 2019. 

Les résultats de la présidentielle de l’année dernière ont été annulés par la Cour constitutionnelle en février suite à des irrégularités. 

Une nouvelle élection présidentielle est prévue pour la fin de ce mois ou le début du mois de juillet.

Malawi: élection de nouveaux membres de la commission électorale

Le président du Malawi, Peter Mutharika, a nommé le juge de la Cour suprême, Chifundo Kachale à la tête d’une Commission électorale de sept membres, alors que le pays se dirige vers une nouvelle élection présidentielle très attendue.Le secrétaire général de la présidence et du gouvernement, Lloyd Muhara, a déclaré dimanche soir que les autres membres de la CEM seraient Arthur Nanthuru, Steve Duwa, Jean Mathanga, Linda Kunje, Anthony Mukumbwa et Olivia Liwewe. 

De la précédente commission dont le mandat a pris fin ce lundi, seuls Mathanga et Kunje ont été retenus. 

Les nouveaux membres remplacent la précédente Commission dirigée par Jane Ansah qui a démissionné il y a quelques semaines dans des circonstances controversées suite à des mois de protestations sur la gestion par sa commission des élections de mai 2019. 

Les résultats de la présidentielle de l’année dernière ont été annulés par la Cour constitutionnelle en février suite à des irrégularités. 

Une nouvelle élection présidentielle est prévue pour la fin de ce mois ou le début du mois de juillet.

Côte d’Ivoire: 5 millions de nouveaux électeurs attendus sur la liste électorale

Environ cinq millions de nouveaux électeurs sont attendus pour l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne qui aura lieu du 10 au 24 juin prochain dans 10 848 centres d’enrôlement en Côte d’Ivoire, a annoncé jeudi à Abidjan, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de la Commission électorale indépendante ( CEI, organe électoral).« Au dernier recensement, nous avions 6 600 000 personnes sur la liste électorale pour une population électorale de 10 500 000 personnes en âge de voter. Donc, nous attendons pour cette opération plus ou moins 5 millions de nouveaux électeurs à recenser », a fait savoir M. Coulibaly qui s’exprimait dans une conférence de presse au siège de son institution aux II-Plateaux dans l’Est d’Abidjan. 

Quelque 10 848 centres d’enrôlement seront ouverts pour cette opération sur l’ensemble du territoire ivoirien et 84 à l’étranger, a ajouté le président de l’institution chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire. 

«En plus de l’enrôlement physique, nous envisageons d’instituer l’enrôlement en ligne qui est une innovation et ne concernera que les personnes déjà inscrites sur la liste électorale et qui désirent mettre à jour leurs données», a par ailleurs, souligné M. Coulibaly.

 Dans la foulée, le président de la CEI a précisé que 35 000 agents recenseurs sont en formation pour la conduite de cette opération sur toute l’étendue du territoire national. 

Auparavant, le patron de l’institution électorale ivoirienne a expliqué les trois objectifs principaux de l’opération de révision de la liste électorale qui sont la mise à jour de toutes les informations sur ce document, l’inscription de nouvelles personnes et le retrait de la liste des personnes qui ne méritent plus d’y être. 

« La Covid-19 a eu un impact sur notre calendrier électoral. Mais nous avons surmonté cela», a indiqué M. Coulibaly assurant que les autres dates du processus électoral seront respectées. L’élection présidentielle en Côte d’Ivoire est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

Côte d’Ivoire: 5 millions de nouveaux électeurs attendus sur la liste électorale

Environ cinq millions de nouveaux électeurs sont attendus pour l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne qui aura lieu du 10 au 24 juin prochain dans 10 848 centres d’enrôlement en Côte d’Ivoire, a annoncé jeudi à Abidjan, Coulibaly-Kuibiert Ibrahime, le président de la Commission électorale indépendante ( CEI, organe électoral).« Au dernier recensement, nous avions 6 600 000 personnes sur la liste électorale pour une population électorale de 10 500 000 personnes en âge de voter. Donc, nous attendons pour cette opération plus ou moins 5 millions de nouveaux électeurs à recenser », a fait savoir M. Coulibaly qui s’exprimait dans une conférence de presse au siège de son institution aux II-Plateaux dans l’Est d’Abidjan. 

Quelque 10 848 centres d’enrôlement seront ouverts pour cette opération sur l’ensemble du territoire ivoirien et 84 à l’étranger, a ajouté le président de l’institution chargée d’organiser les élections en Côte d’Ivoire. 

«En plus de l’enrôlement physique, nous envisageons d’instituer l’enrôlement en ligne qui est une innovation et ne concernera que les personnes déjà inscrites sur la liste électorale et qui désirent mettre à jour leurs données», a par ailleurs, souligné M. Coulibaly.

 Dans la foulée, le président de la CEI a précisé que 35 000 agents recenseurs sont en formation pour la conduite de cette opération sur toute l’étendue du territoire national. 

Auparavant, le patron de l’institution électorale ivoirienne a expliqué les trois objectifs principaux de l’opération de révision de la liste électorale qui sont la mise à jour de toutes les informations sur ce document, l’inscription de nouvelles personnes et le retrait de la liste des personnes qui ne méritent plus d’y être. 

« La Covid-19 a eu un impact sur notre calendrier électoral. Mais nous avons surmonté cela», a indiqué M. Coulibaly assurant que les autres dates du processus électoral seront respectées. L’élection présidentielle en Côte d’Ivoire est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

Malawi : Human Rights Watch appelle à un vote libre et équitable

Les autorités du Malawi devraient garantir des conditions propices à un vote libre et équitable lors de la prochaine reprise de l’élection présidentielle, a déclaré mercredi l’organisation de défense des droits humains.HRW a indiqué que les autorités de Lilongwe devraient « élaborer immédiatement des processus qui garantiront des élections libres, équitables et sûres », à un moment où règne la confusion quant à la date réelle de la reprise du vote attendue avec impatience.

« Elles devraient appliquer une série de mesures pour protéger les citoyens contre la violence et poursuivre les responsables en justice », a déclaré Dewa Mavhinga, Directrice de HRW en Afrique australe.

La reprise a été ordonnée par la Cour constitutionnelle du Malawi en février après que l’opposition du pays a réussi à faire appel du résultat du scrutin présidentiel de l’année dernière, qui a été remporté de justesse par le président Peter Mutharika.

La victoire de Mutharika a été annulée pour de sérieuses irrégularités, et il a été ordonné la tenue de nouvelles élections dans les 150 jours, les 150 jours expirant le 3 juillet.

Selon la Coalition des défenseurs des droits de l’homme du Malawi, il y a eu un pic de violence à motivation politique contre les membres de l’opposition, les militants des droits de l’homme et les journalistes depuis mai, sans que les responsables présumés n’aient été arrêtés.

Parmi les actes de violence figurent l’attentat au cocktail Molotov contre des bureaux de Lilongwe du Mouvement de transformation uni, dirigé par le vice-président Saulos Chilima et la lapidation de son convoi alors qu’il se rendait à un rassemblement de campagne.

Un certain nombre de journalistes ont été attaqués alors qu’ils couvraient des rassemblements électoraux à travers le pays, la branche locale du Media Institute of Southern Africa déclarant que « les journalistes sont de plus en plus victimes de violences politiques alors que le pays se prépare pour les nouvelles élections présidentielles ».

Il y a une confusion au sujet de la date de la reprise, la Commission électorale du Malawi ayant initialement choisi le 2 juillet comme date du scrutin, pour la modifiant ensuite au 23 juin sur l’avis de la Commission des affaires juridiques du Parlement.

Le Procureur général du pays, Kalekeni Kaphale, a cependant fait valoir que la Commission s’était mal orientée car il n’avait pas le pouvoir de fixer les dates des élections et que seul le Parlement en tant qu’organe à part entière avait le mandat de le faire.

Malawi : Human Rights Watch appelle à un vote libre et équitable

Les autorités du Malawi devraient garantir des conditions propices à un vote libre et équitable lors de la prochaine reprise de l’élection présidentielle, a déclaré mercredi l’organisation de défense des droits humains.HRW a indiqué que les autorités de Lilongwe devraient « élaborer immédiatement des processus qui garantiront des élections libres, équitables et sûres », à un moment où règne la confusion quant à la date réelle de la reprise du vote attendue avec impatience.

« Elles devraient appliquer une série de mesures pour protéger les citoyens contre la violence et poursuivre les responsables en justice », a déclaré Dewa Mavhinga, Directrice de HRW en Afrique australe.

La reprise a été ordonnée par la Cour constitutionnelle du Malawi en février après que l’opposition du pays a réussi à faire appel du résultat du scrutin présidentiel de l’année dernière, qui a été remporté de justesse par le président Peter Mutharika.

La victoire de Mutharika a été annulée pour de sérieuses irrégularités, et il a été ordonné la tenue de nouvelles élections dans les 150 jours, les 150 jours expirant le 3 juillet.

Selon la Coalition des défenseurs des droits de l’homme du Malawi, il y a eu un pic de violence à motivation politique contre les membres de l’opposition, les militants des droits de l’homme et les journalistes depuis mai, sans que les responsables présumés n’aient été arrêtés.

Parmi les actes de violence figurent l’attentat au cocktail Molotov contre des bureaux de Lilongwe du Mouvement de transformation uni, dirigé par le vice-président Saulos Chilima et la lapidation de son convoi alors qu’il se rendait à un rassemblement de campagne.

Un certain nombre de journalistes ont été attaqués alors qu’ils couvraient des rassemblements électoraux à travers le pays, la branche locale du Media Institute of Southern Africa déclarant que « les journalistes sont de plus en plus victimes de violences politiques alors que le pays se prépare pour les nouvelles élections présidentielles ».

Il y a une confusion au sujet de la date de la reprise, la Commission électorale du Malawi ayant initialement choisi le 2 juillet comme date du scrutin, pour la modifiant ensuite au 23 juin sur l’avis de la Commission des affaires juridiques du Parlement.

Le Procureur général du pays, Kalekeni Kaphale, a cependant fait valoir que la Commission s’était mal orientée car il n’avait pas le pouvoir de fixer les dates des élections et que seul le Parlement en tant qu’organe à part entière avait le mandat de le faire.

Le Pdci et le Fpi appellent leurs militants à œuvrer de concert pour la présidentielle de 2020

Le Comité national paritaire de collaboration du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir) et du Front populaire ivoirien (Fpi) ont appelé mercredi leurs militants à œuvrer de concert pour la présidentielle de 2020, dans une déclaration.La déclaration du Comité national paritaire de collaboration a été lue par Dano Djédjé, un haut cadre du Fpi, le parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, à l’issue d’une séance de travail des deux partis au siège du Pdci, à Abidjan. 

Il s’agit dans cette « bataille commune de ramener la cohésion entre les Ivoiriens et une paix durable dans notre pays pour une nouvelle Côte d’Ivoire », a indiqué Dano Djédjé, invitant les militants des deux formations à œuvrer ensemble au processus électoral. 

Le Pdci et le Fpi demandent à tous leurs militants d’ « œuvrer désormais de concert » sur le terrain pour la mise en œuvre des mots d’ordre du Comité paritaire de collaboration des deux partis sur les questions relatives à la paix et à la réconciliation des Ivoiriens, a dit M. Dano Djédjé.

De ce fait, tous les responsables et membres des structures des deux partis sont invités à œuvrer sur les questions électorales. Il leur est fait injonction de mettre l’accent sur, entre autre, l’établissement des pièces administratives par les militants pour l’acquisition de la Carte d’identité nationale, nécessaire pour prendre part à la présidentielle du 31 octobre 2020. 

Pour conduire ensemble ce processus de réconciliation des Ivoiriens, le Fpi et le Pdci ont convenu d’établir le 30 avril 2020 un « accord cadre de collaboration », paraphant un document cadre de collaboration portant sur le « Projet de réconciliation des Ivoiriens pour une paix durable».

Cet accord de collaboration qui implique toutes leurs militantes et tous leurs militants sur toute l’étendue du territoire national, concerne également ceux de l’étranger et tout le personnel politique de leurs structures respectives de base.

Le rapprochement entre ces deux partis s’est renforcé à la suite d’une visite du président du Pdci, Henri Konan Bédié, à l’ex-président Laurent Gbagbo à Bruxelles, le lundi 29 juillet 2019 pour lui témoigner sa solidarité et son soutien fraternels après son acquittement par la CPI. 

Les deux hommes d’Etat avaient exprimé leurs vives préoccupations face au climat politique qui couve encore les germes d’une crise sociopolitique majeure dans le pays, qui a traversé des crises successives depuis le coup d’Etat de 1999 et une grave crise postélectorale en 2011.

Le Pdci et le Fpi appellent leurs militants à œuvrer de concert pour la présidentielle de 2020

Le Comité national paritaire de collaboration du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir) et du Front populaire ivoirien (Fpi) ont appelé mercredi leurs militants à œuvrer de concert pour la présidentielle de 2020, dans une déclaration.La déclaration du Comité national paritaire de collaboration a été lue par Dano Djédjé, un haut cadre du Fpi, le parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, à l’issue d’une séance de travail des deux partis au siège du Pdci, à Abidjan. 

Il s’agit dans cette « bataille commune de ramener la cohésion entre les Ivoiriens et une paix durable dans notre pays pour une nouvelle Côte d’Ivoire », a indiqué Dano Djédjé, invitant les militants des deux formations à œuvrer ensemble au processus électoral. 

Le Pdci et le Fpi demandent à tous leurs militants d’ « œuvrer désormais de concert » sur le terrain pour la mise en œuvre des mots d’ordre du Comité paritaire de collaboration des deux partis sur les questions relatives à la paix et à la réconciliation des Ivoiriens, a dit M. Dano Djédjé.

De ce fait, tous les responsables et membres des structures des deux partis sont invités à œuvrer sur les questions électorales. Il leur est fait injonction de mettre l’accent sur, entre autre, l’établissement des pièces administratives par les militants pour l’acquisition de la Carte d’identité nationale, nécessaire pour prendre part à la présidentielle du 31 octobre 2020. 

Pour conduire ensemble ce processus de réconciliation des Ivoiriens, le Fpi et le Pdci ont convenu d’établir le 30 avril 2020 un « accord cadre de collaboration », paraphant un document cadre de collaboration portant sur le « Projet de réconciliation des Ivoiriens pour une paix durable».

Cet accord de collaboration qui implique toutes leurs militantes et tous leurs militants sur toute l’étendue du territoire national, concerne également ceux de l’étranger et tout le personnel politique de leurs structures respectives de base.

Le rapprochement entre ces deux partis s’est renforcé à la suite d’une visite du président du Pdci, Henri Konan Bédié, à l’ex-président Laurent Gbagbo à Bruxelles, le lundi 29 juillet 2019 pour lui témoigner sa solidarité et son soutien fraternels après son acquittement par la CPI. 

Les deux hommes d’Etat avaient exprimé leurs vives préoccupations face au climat politique qui couve encore les germes d’une crise sociopolitique majeure dans le pays, qui a traversé des crises successives depuis le coup d’Etat de 1999 et une grave crise postélectorale en 2011.

Présidentielle ivoirienne: installation de 180 comités de base du RHDP à Port-Bouët

Le Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) continue d’étendre sa toile dans la commune de Port-Bouët (Sud d’Abidjan), en vue de l’élection présidentielle d’octobre prochain.Ce sont 180 nouveaux comités de base du RHDP qui ont été installés samedi à Port-Bouët, portant le nombre des comités de base à 750 dans cette commune.

En recevant les différents comités de base, Siandou Fofana, Coordonnateur régional de cette formation politique à Port-Bouët,  leur a donné une feuille de route.

« Je voudrais d’emblée féliciter ceux qui ont travaillé à la réalisation de cette action. Ils font montre d’une disponibilité sans égal. Aux nouveaux adhérents, je dirai : soyez les bienvenus au RHDP. Désormais, le seul combat qui vaille la peine de mener est celui de la victoire d’Amadou Gon Coulibaly en octobre 2020 », a lancé M. Fofana.

« Chacun de vous doit se consacrer à l’essentiel qui est la victoire du RHDP au scrutin présidentiel prochain », a-t-il insisté devant les militants de Port-Bouët.

Soulignant que l’objectif visé étant d’atteindre à Port-Bouët la barre de 2000 comités de base, Siandou Fofana a invité ses collaborateurs  à redoubler d’efforts pour recruter de nouveaux militants, surtout les nouveaux majeurs.

« L’édification de cette victoire qui se dessine commence par l’enrôlement des nouveaux majeurs. Allez dans toutes les zones, quartiers, ilots et familles pour convaincre les jeunes à s’établir leur carte nationale d’identité (CNI) afin de pouvoir s’inscrire sur la liste électorale», a-t-il exhorté.

Le RHDP a désigné l’actuel premier ministre, Amadou Gon Coulibaly pour être son candidat à l’élection présidentielle ivoirienne prévue le 31 octobre prochain.  Les partis de l’opposition notamment le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et le Front populaire ivoirien (FPI) s’activent également de leur côté pour choisir leur candidat.

Présidentielle ivoirienne: installation de 180 comités de base du RHDP à Port-Bouët

Le Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) continue d’étendre sa toile dans la commune de Port-Bouët (Sud d’Abidjan), en vue de l’élection présidentielle d’octobre prochain.Ce sont 180 nouveaux comités de base du RHDP qui ont été installés samedi à Port-Bouët, portant le nombre des comités de base à 750 dans cette commune.

En recevant les différents comités de base, Siandou Fofana, Coordonnateur régional de cette formation politique à Port-Bouët,  leur a donné une feuille de route.

« Je voudrais d’emblée féliciter ceux qui ont travaillé à la réalisation de cette action. Ils font montre d’une disponibilité sans égal. Aux nouveaux adhérents, je dirai : soyez les bienvenus au RHDP. Désormais, le seul combat qui vaille la peine de mener est celui de la victoire d’Amadou Gon Coulibaly en octobre 2020 », a lancé M. Fofana.

« Chacun de vous doit se consacrer à l’essentiel qui est la victoire du RHDP au scrutin présidentiel prochain », a-t-il insisté devant les militants de Port-Bouët.

Soulignant que l’objectif visé étant d’atteindre à Port-Bouët la barre de 2000 comités de base, Siandou Fofana a invité ses collaborateurs  à redoubler d’efforts pour recruter de nouveaux militants, surtout les nouveaux majeurs.

« L’édification de cette victoire qui se dessine commence par l’enrôlement des nouveaux majeurs. Allez dans toutes les zones, quartiers, ilots et familles pour convaincre les jeunes à s’établir leur carte nationale d’identité (CNI) afin de pouvoir s’inscrire sur la liste électorale», a-t-il exhorté.

Le RHDP a désigné l’actuel premier ministre, Amadou Gon Coulibaly pour être son candidat à l’élection présidentielle ivoirienne prévue le 31 octobre prochain.  Les partis de l’opposition notamment le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et le Front populaire ivoirien (FPI) s’activent également de leur côté pour choisir leur candidat.

Côte d’Ivoire: des militants du RHDP invités à «redoubler d’efforts pour prendre le terrain politique» à Béoumi

Le ministre ivoirien de la Communication et des médias Sidi Tiémoko Touré, par ailleurs, coordinateur régional du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) de Gbêkê 3, a exhorté les militants de cette formation politique «à redoubler d’efforts et d’ardeur pour prendre le terrain politique à Béoumi» dans le Centre du pays.Selon une note d’information transmise dimanche à APA, M. Touré s’exprimait lors d’une rencontre d’information et d’évaluation des acquis au niveau de l’implantation du parti présidentiel ivoirien dans la coordination de Gbêkê 3.

Cette rencontre, ajoute la note,  était également l’occasion pour le ministre Sidi Touré, de s’assurer du travail fait sur le terrain à quelques mois de l’élection présidentielle et remobiliser toutes les structures pour la victoire de son parti dès le premier tour de l’élection présidentielle d’octobre prochain.

 Pour sa part, le délégué départemental du RHDP de cette localité, Martial Meh a rassuré en retour le ministre Sidi Touré de la présence de la quasi-totalité des structures du parti dans les sous-préfectures du département de Béoumi.

 M. Meh qui a insisté sur la nécessité d’établir les documents afférents au processus électoral à venir, a instruit les délégués des sept sous-préfectures « à mettre tout en oeuvre pour que les nouveaux majeurs inscrits dans les différentes sections puissent avoir leurs documents administratifs à temps pour pouvoir participer à la révision de la liste électorale ».

Côte d’Ivoire: des militants du RHDP invités à «redoubler d’efforts pour prendre le terrain politique» à Béoumi

Le ministre ivoirien de la Communication et des médias Sidi Tiémoko Touré, par ailleurs, coordinateur régional du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) de Gbêkê 3, a exhorté les militants de cette formation politique «à redoubler d’efforts et d’ardeur pour prendre le terrain politique à Béoumi» dans le Centre du pays.Selon une note d’information transmise dimanche à APA, M. Touré s’exprimait lors d’une rencontre d’information et d’évaluation des acquis au niveau de l’implantation du parti présidentiel ivoirien dans la coordination de Gbêkê 3.

Cette rencontre, ajoute la note,  était également l’occasion pour le ministre Sidi Touré, de s’assurer du travail fait sur le terrain à quelques mois de l’élection présidentielle et remobiliser toutes les structures pour la victoire de son parti dès le premier tour de l’élection présidentielle d’octobre prochain.

Pour sa part, le délégué départemental du RHDP de cette localité, Martial Meh a rassuré en retour le ministre Sidi Touré de la présence de la quasi-totalité des structures du parti dans les sous-préfectures du département de Béoumi.

M. Meh qui a insisté sur la nécessité d’établir les documents afférents au processus électoral à venir, a instruit les délégués des sept sous-préfectures « à mettre tout en oeuvre pour que les nouveaux majeurs inscrits dans les différentes sections puissent avoir leurs documents administratifs à temps pour pouvoir participer à la révision de la liste électorale ».

Présidentielle ivoirienne de 2020: les cybermilitants du RHDP en formation à Abidjan

Un atelier de formation destiné aux relais régionaux et cybermilitants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) en vue de l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain s’est ouvert, samedi à Abidjan, autour du thème, « communication du RHDP, quelle approche participative pour une meilleure efficacité ?».« Nous sommes dans un monde nouveau…où la digitalisation va prendre toute sa place », a déclaré à l’ouverture des travaux, le directeur exécutif du RHDP, Adama Bictogo, relevant que les relais et les cybermilitants ont un «rôle important à jouer dans la sensibilisation, le rapprochement et la propagande».

« L’organisation reste l’arme essentielle pour la victoire », a-t-il poursuivi, notant que le RHDP dispose de deux plateformes pour y parvenir. Il s’agit de la plateforme physique, c’est-à-dire le contact avec le terrain, les populations à travers les acteurs politiques, et de la plateforme numérique où la capacité de toucher des personnes est très importante.

Pendant deux jours, les travaux qui se dérouleront en ateliers et en séances plénières permettront à quelques « 400 personnes ressources qui interviennent sur les réseaux sociaux » de s’approprier le «profil» d’Amadou Gon Coulibaly, candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a expliqué, le Directeur exécutif adjoint du RHDP en charge de la communication, Mamadou Touré.

Cet atelier qui définira par ailleurs, un «message cohérent» de communication dans la « discipline, l’organisation et la structuration » devra  également aboutir à la construction d’une «vraie équipe» de cybermilitants  prêts à défendre « vaille que vaille » l’action du gouvernement et le programme du RHDP sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.  En outre, la stratégie de séduction du RHDP sera présentée  aux participants de cet atelier.

Présidentielle ivoirienne de 2020: les cybermilitants du RHDP en formation à Abidjan

Un atelier de formation destiné aux relais régionaux et cybermilitants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) en vue de l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain s’est ouvert, samedi à Abidjan, autour du thème, « communication du RHDP, quelle approche participative pour une meilleure efficacité ?».« Nous sommes dans un monde nouveau…où la digitalisation va prendre toute sa place », a déclaré à l’ouverture des travaux, le directeur exécutif du RHDP, Adama Bictogo, relevant que les relais et les cybermilitants ont un «rôle important à jouer dans la sensibilisation, le rapprochement et la propagande».

« L’organisation reste l’arme essentielle pour la victoire », a-t-il poursuivi, notant que le RHDP dispose de deux plateformes pour y parvenir. Il s’agit de la plateforme physique, c’est-à-dire le contact avec le terrain, les populations à travers les acteurs politiques, et de la plateforme numérique où la capacité de toucher des personnes est très importante.

Pendant deux jours, les travaux qui se dérouleront en ateliers et en séances plénières permettront à quelques « 400 personnes ressources qui interviennent sur les réseaux sociaux » de s’approprier le «profil» d’Amadou Gon Coulibaly, candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a expliqué, le Directeur exécutif adjoint du RHDP en charge de la communication, Mamadou Touré.

Cet atelier qui définira par ailleurs, un «message cohérent» de communication dans la « discipline, l’organisation et la structuration » devra  également aboutir à la construction d’une «vraie équipe» de cybermilitants  prêts à défendre « vaille que vaille » l’action du gouvernement et le programme du RHDP sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.  En outre, la stratégie de séduction du RHDP sera présentée  aux participants de cet atelier.