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Mois : avril 2022
Le Rwanda drague les investisseurs sénégalais
Plusieurs opérateurs économiques et acteurs financiers ont assisté, ce mercredi, à la présentation du Centre financier international de Kigali (KIFC, sigle anglais) à l’ambassade rwandaise à Dakar.Le Rwanda veut attirer davantage d’investisseurs sénégalais. Dans les locaux de sa représentation diplomatique au pays de la Téranga, une délégation venue spécialement de Kigali s’est livrée à une véritable opération de charme envers les hommes d’affaires locaux. Pour les convaincre, Ntoudi Mouyelo, responsable des investissements et des partenariats stratégiques au sein de l’Agence Rwanda Finance qui développe et fait la promotion du KIFC a vanté les avantages qu’offre ce centre.
« L’Afrique manque en général de centres financiers qui permettent aux capitaux d’être déployés à travers le continent. Et la position du Rwanda est d’être la nouvelle maison pour ces investisseurs aussi bien africains qu’étrangers qui cherchent à avoir une plateforme qui leur permet, en étant conforme à la réglementation internationale, de déployer leurs capitaux sur les différents projets et opportunités qu’elle offre », a soutenu M. Mouyelo.
En plus d’être ouvert à toute l’Afrique, le KIFC se distingue par sa célérité dans le traitement des dossiers des potentiels investisseurs. « Au Rwanda, la création d’une entreprise ne prend que six heures et le processus de cotation à la bourse de Kigali ne dure que trois mois », a expliqué Ntoudi Mouyelo. Cette diligence s’explique, d’après lui, par la forte collaboration qu’entretiennent le KIFC et les différents ministères sectoriels.
Pour attirer plus d’investisseurs au KIFC, le pays de l’Afrique de l’Est a par ailleurs adopté dix-sept lois sur les deux dernières années. Celles-ci ont, entre autres, permis de fixer les taux d’imposition entre 3 % et 15 % sur les revenus en fonction du secteur d’activité.
« Le Rwanda a l’ambition de devenir un pays émergent. Et pour cela, nous nous donnons les voies et moyens pour assainir le climat des affaires et faciliter les investissements, tout en les protégeant. Nous assurons aux investisseurs aussi la possibilité de rapatrier l’argent qu’ils ont gagné au Rwanda le plus facilement possible et le plus rapidement possible », a relevé l’ambassadeur du Rwanda au Sénégal, Jean Pierre Karabaranga.
A travers la rencontre de ce mercredi, le diplomate espère ainsi mettre à profit les excellentes relations qu’entretient son pays avec Dakar pour rapprocher leur secteur privé respectif. D’ailleurs, a annoncé M. Karabaranga, une délégation d’opérateurs économiques sénégalais se rendra à Kigali d’ici la fin de l’année pour découvrir les opportunités d’investissement qu’offre le Rwanda. De même, a-t-il ajouté, il est prévu, « dans deux mois », l’établissement d’une liaison aérienne directe entre les deux capitales.
« Les opérateurs économiques sénégalais sont invités à venir au Rwanda non seulement pour profiter de ce lien que nous avons pu créer avec les investisseurs africains et étrangers, mais également pour bénéficier de l’écosystème que le Rwanda offre en termes d’accès à des professionnels de tous les secteurs », a conclu Ntoudi Mouyelo.
Côte d’Ivoire Terminal réceptionne six portiques de parc
Cette livraison fait partie d’une commande globale de 13 engins de manutention.Le 23 avril 2022, Côte d’Ivoire Terminal a réceptionné six portiques de parc pour le second terminal à conteneurs en cours de construction au port d’Abidjan.
Les engins de manutention de 30 mètres de haut, vont permettre d’assurer le chargement, le déchargement et le rangement des conteneurs sur le parc à conteneurs, a annoncé ce mercredi Bolloré Transport & Logistics dans un communiqué de presse.
Le texte souligne que les nouveaux portiques fournis par ZPMC sont dotés des dernières technologies qui intègrent notamment un système de contrôle de pointe et un système d’alimentation électrique de nouvelle génération permettant de réduire considérablement les émissions de CO2 mais aussi la consommation d’énergie.
« Les nouveaux portiques de parc qui ont été réceptionnés participent de la démarche éco-responsable mise en œuvre dans le cadre de ce projet. Outre les constructions aux normes environnementales pointues, les équipements du futur terminal participent du processus de labellisation Green Terminal », a déclaré Koen De Backker, Directeur général de Côte d’Ivoire Terminal.
La réception de ces premiers équipements est une étape majeure du projet de construction de ce terminal, qui vise à améliorer la desserte logistique de la Côte d’Ivoire et des pays de la sous-région.
Grâce à un investissement global de 262 milliards Fcfa, le second terminal du port d’Abidjan sera équipé à sa mise en service en novembre 2022, de 6 portiques de quai, 13 portiques de parcs et 36 tracteurs, tous électriques.
« Ces équipements sont les premiers d’une longue série, avec la réception prochaine, en mai 2022, des premiers tracteurs électriques et des portiques de quai en août 2022. L’arrivée de ce matériel matérialise les engagements d’investissements pris par Côte d’Ivoire Terminal et ses actionnaires de référence, Bolloré et APMT », a indiqué Olivier De Noray, Directeur général des concessions de Bolloré Ports.
La RDC lance une campagne de vaccination contre Ebola
Trois équipes de vaccination sont déployées sur le terrain et travailleront pour atteindre toutes les personnes à haut risque.La République démocratique du Congo (RDC) a démarré ce mercredi 27 avril 2022 la vaccination contre la maladie à virus Ebola dans la ville de Mbandaka, capitale de la province de l’Équateur, dans le nord-ouest du pays. L’initiative vise à arrêter la propagation du virus à la suite de la survenue de l’épidémie qui a fait deux morts depuis le 21 avril.
Dans un communiqué de presse, le Bureau Afrique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) informe qu’environ200 doses du vaccin rVSV-ZEBOV contre Ebola, ont été expédiées à Mbandaka depuis la ville orientale de Goma. D’autres doses seront délivrées progressivement dans les prochains jours.
La vaccination utilise la « stratégie en anneau » où toutes les personnes qui sont entrées en contact avec un patient souffrant d’Ebola confirmé reçoivent le vaccin ainsi que les agents de première ligne.
Jusqu’à présent, 233 contacts ont été identifiés et sont sous surveillance. Trois équipes de vaccination sont déjà sur le terrain et travailleront pour atteindre toutes les personnes à haut risque. Seuls deux cas, tous deux décédés, ont été confirmés depuis le début de l’épidémie. La maladie n’est actuellement signalée que dans le district sanitaire de Mbandaka.
« Avec des vaccins efficaces à portée de main et l’expérience des agents de santé de la République démocratique du Congo dans la riposte contre Ebola, nous pouvons dès maintenant changer pour le mieux le cours de cette épidémie », a déclaré le Dr Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique.
Elle a ajouté : « Nous soutenons le pays dans tous les aspects clés de la riposte d’urgence contre Ebola pour protéger et sauver des vies ».
Les autorités sanitaires congolaises intensifient la riposte en plus de la vaccination. Un centre de traitement d’Ebola de 20 lits a été mis en place à Mbandaka. La surveillance des maladies et l’investigation des cas suspects sont en cours pour détecter toute nouvelle infection, avec l’appui de l’OMS qui fournit un soutien matériel et met à disposition six épidémiologistes pour aider dans la riposte.
De son côté, l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) du pays a effectué une analyse d’un échantillon du premier cas confirmé, dont les résultats montrent que l’épidémie en cours est un incident parallèle du virus hôte ou du réservoir animal. Des investigations sont en cours pour déterminer la source de la nouvelle épidémie et comment elle a pu infecter le premier cas confirmé.
La République démocratique du Congo connaît sa 14ème épidémie d’Ebola depuis 1976, dont six depuis 2018 seulement.
Inondations en Afrique du Sud : l’Onu évalue les dégâts
Les récentes inondations dans l’Est de la nation arc-en-ciel ont fait plus de 400 morts et des milliers de sans-abri, selon le bilan officiel.Une équipe technique de l’Organisation des Nations unies (Onu) est en visite dans la province sud-africaine du KwaZulu-Natal pour évaluer les dégâts causés par les récentes inondations qui ont frappé la région. Cela permettra d’accélérer les opérations de secours, a déclaré ce mercredi un haut responsable de l’Onu.
« Ce n’est pas la première fois que l’Onu entreprend une telle action humanitaire dans le pays, puisqu’elle l’a fait il y a trois ans », a déclaré Ayodele Odusola, coordonnateur-résident par intérim de l’Onu en Afrique du Sud.
« Nous avons soutenu la province après les inondations de 2019 et les troubles civils de 2021. Nous continuerons de soutenir les efforts de reconstruction pour nous assurer que personne n’est laissé pour compte dans le cadre du protocole d’accord que nous avons mis en place avec les dirigeants du KwaZulu-Natal », a poursuivi Odusola.
L’équipe technique, composée de membres de diverses agences onusienne devrait terminer son évaluation des dégâts ce jeudi 28 avril 2022.
Afrique de l’Est : l’insécurité alimentaire aiguë s’aggrave
L’alerte est donnée par l’Organisation des Nations unies (Onu).La Corne de l’Afrique connaît l’une de ses pires sécheresses, avec plus de 15 millions de personnes en situation d’insécurité alimentaire aiguë en Ethiopie, au Kenya et en Somalie, a déclaré le Bureau coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA).
« La menace de pertes humaines à grande échelle augmente chaque jour et des fonds supplémentaires sont nécessaires d’urgence pour permettre aux partenaires humanitaires de répondre à cette crise unique en son genre », a indiqué OCHA dans son dernier rapport publié hier mardi.
L’organisme onusien souligne que des familles prennent des mesures désespérées pour survivre, des milliers d’entre elles quittant leur foyer à la recherche de nourriture, d’eau et de pâturages.
Il ajoute que les risques auxquels sont confrontées les femmes et les filles, notamment les violences sexistes et les décès pendant l’accouchement, ont fortement augmenté depuis le début de la sécheresse.
Dans son rapport, OCHA note que la saison des pluies de mars à mai 2022 devrait être moyenne ou inférieure à la moyenne. Cela intervient après que les saisons d’octobre-décembre 2020, de mars-mai 2021 et d’octobre-décembre 2021 ont toutes été marquées par des précipitations inférieures à la moyenne, laissant de larges pans de la Somalie, du sud et du sud-est de l’Éthiopie, ainsi que du nord et de l’est du Kenya confrontés à une sécheresse exceptionnelle.
« Si les pluies de mars-mai (2022) ne sont pas au rendez-vous, ce sera la première fois au cours des 40 dernières années que la région aura enduré quatre saisons consécutives inférieures à la normale », a précisé OCHA.
L’UA salue l’envoi d’une force régionale de paix en RDC
L’Union africaine (UA) s’est félicité de la décision des dirigeants d’Afrique de l’Est de déployer une force régionale de maintien de la paix dans les régions de la République démocratique du Congo (RDC) en proie à des troubles.Dans un communiqué de presse publié lundi soir, le Président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, a déclaré qu’il saluait la récente décision des dirigeants régionaux d’envoyer des soldats de la paix en RDC.
« L’UA salue les résultats du deuxième conclave des chefs d’Etat sur la RDC qui s’est tenu jeudi à Nairobi, en particulier la décision de déployer immédiatement une force régionale pour rétablir la paix et la stabilité en RDC », indique le communiqué.
« Le Président de la Commission félicite le président kenyan Uhuru Kenyatta et les dirigeants d’Afrique de l’Est pour leurs efforts communs en vue de trouver une solution durable à la situation dans l’est de la RDC et dans l’ensemble de la région des Grands Lacs », ajoute le communiqué.
M. Mahamat a également déclaré que l’UA poursuivrait son engagement à être l’un des garants des efforts de paix en RDC et dans la région au sens large.
Cinq pays africains ont décidé jeudi de déployer une force régionale en République démocratique du Congo pour lutter contre l’insurrection rebelle dans le pays.
Les présidents, dont Uhuru Kenyatta du Kenya, Yoweri Museveni de l’Ouganda, Evariste Ndayishimiye du Burundi, Félix Tshisekedi de la RDC et Paul Kagamé du Rwanda, représentés par leurs ministres des affaires étrangères, ont demandé à tous les groupes armés de la RDC de participer sans condition au processus politique visant à résoudre leurs griefs.
La partie orientale de la RDC est agitée depuis des décennies par des violences commises par de multiples milices, en particulier les rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) et ceux du Mouvement du 23 mars (M23), un cauchemar commun des pays de la région.
Sénégal : la famille de la femme décédée en couches retire sa plainte
Alors que la famille d’Astou Sokhna a accordé son pardon, le procès des six sages-femmes d’un hôpital du nord du Sénégal, poursuivies pour non-assistance à personne en danger, a été renvoyé au 5 mai prochain.Les prévenues n’étaient pas seules ce mercredi 27 avril au tribunal de grande instance de Louga (nord). Dès les premières de la matinée, les alentours de l’édifice ont été pris d’assaut par de nombreuses personnes dont des agents de santé solidaires reconnaissables à travers leurs blouses blanches. Ils sont venus de partout pour assister au jugement de leurs collègues dont quatre sages-femmes placées sous mandat de dépôt depuis que la justice s’est saisie de cette affaire.
L’entrée était toutefois filtrée par l’impressionnant dispositif sécuritaire déployé par la police. Seuls les témoins et les journalistes étaient autorisés à accéder à la salle d’audience où les plaidoiries n’ont finalement pas eu lieu.
Le juge a prononcé le renvoi du procès jusqu’au 5 mai, en audience spéciale, sur demande des conseils de la partie civile. Ils expliquent leur démarche par le fait qu’ils venaient de prendre connaissance du dossier.
En revanche, la demande de liberté provisoire des avocats de la défense pour les quatre sages-femmes a été rejetée par le tribunal de Louga. La veille pourtant, une médiation d’une autorité maraboutique de la région a abouti au retrait de la plainte par la famille d’Astou Sokhna. Néanmoins, le pardon de l’époux et de la mère de la femme enceinte décédée n’a pas empêché la poursuite de l’action judiciaire.
Vent d’apaisement ?
gée de 34 ans et enceinte de neuf mois, Astou Sokhna était venue accoucher au début de ce mois à la maternité de l’hôpital régional de Louga. Après plusieurs heures sans assistance, selon son mari, elle succombe. Sa famille a dénoncé un décès par déni de soins après une longue agonie alors que l’hôpital avait conclu à une mort naturelle.
Depuis lors, la clameur populaire et médiatique s’abat sur les professionnels de santé, notamment les sages-femmes qui sont souvent accusées de négligence et de mauvais accueil des malades.
Après avoir limogé le directeur de l’hôpital, le chef de l’État a demandé aux services compétents de faire « toute la lumière » sur ce drame. Une mission d’audit du ministère de la Santé et une autosaisine du procureur ont été également annoncées.
Face à ce qu’il qualifie de « mépris », le Collectif des travailleurs de la santé et de l’action sociale (CTSAS) a décrété jeudi dernier une « grève générale » de vingt-quatre heures, précisant que la « durée de la lutte dépendra du (…) traitement de cette affaire Astou Sokhna et de celui de nos plateformes revendicatives par l’Etat du Sénégal ».
Ce drame est venu s’ajouter en effet sur la crise que vit le secteur de la santé au Sénégal depuis de nombreux mois. Les syndicats observent régulièrement des mouvements d’humeur pour pousser l’Etat à satisfaire leurs doléances portant notamment sur le régime de leurs indemnités et leurs conditions de travail.
Contacté par APA, un infirmier en service dans un centre de santé de l’est du pays les trouve « exécrables ». « Nous travaillons dans des conditions difficiles. La logistique fait défaut dans certaines structures où nous n’avons même pas d’ambulance pour évacuer les patients. Certains bâtiments menacent ruine », déplore-t-il.
Par ailleurs, le ministre de la Santé et de l’action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a rencontré lundi 25 avril, l’Alliance des syndicats de la santé « And Gueusseum » pour tenter de mettre fin à l’escalade dans son secteur. Il s’est engagé à matérialiser dix-sept points inscrits dans le cahier de revendications.
Il s’agit entre autres de la régularisation de la situation administrative des techniciens supérieurs de santé, la signature du décret fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la fonction publique locale et le versement des aides sociales dans les corps des assistants sociaux. « Cette signature est le résultat d’un dialogue permanent avec les partenaires sociaux », s’est réjoui le ministre, invitant maintenant les syndicats à cesser leur mouvement de grève.
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Côte d’Ivoire : le quotidien Le Temps suspendu par l’ANP
L’Autorité nationale de la presse (ANP), le régulateur de la presse écrite et numérique en Côte d’Ivoire, a suspendu le journal pour parutions et l’un de ses journalistes pour un mois, suite à des « manquements ».La décision, prise en Conseil de discipline le 21 avril 2022, porte notamment sur des sanctions applicables au quotidien Le Temps édité par l’entreprise de presse Cyclone Sarl et au journaliste Guigrei Dallou Simplice alias Simplice Allard, auteur de l’article incriminé.
L’article incriminé, à l’origine de cette mesure, a été publié par le quotidien dans son édition numéro 5.446 du jeudi 14 avril 2022. Il est intitulé « Après la visite de Gbagbo aux Wê/Le parti au pouvoir en perte de vitesse/Ce qui inquiète le régime ».
Dans cet article, l’auteur, selon le régulateur, s’essaie à une analyse du contexte sociopolitique depuis le retour de l’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, en Côte d’Ivoire. Cependant, l’article contient « de nombreux manquements au code de déontologie du journaliste ».
A l’entame de son article, le journaliste plante un décor alarmiste de la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire, en ces termes : « peur panique au sommet du Rhdp (…) où le souverain Ouattara lui-même ne sait plus où donner de la tête ».
Poursuivant son analyse, l’ANP note que le journal s’autorise des écrits injurieux, des expressions malveillantes et offensantes à l’encontre du président de la République, en écrivant « Alassane Ouattara sait qu’il ne pèse pas lourd dans l’électorat ivoirien, sinon, il n’userait pas de violence pour s’imposer ».
« Les Ivoiriens le vomissent comme on vomirait un corps abject qui rentre dans la bouche par inadvertance. Et il y a plusieurs raisons à cette révulsion populaire. Mais, la principale cause reste sans conteste, le recours à la violence pour un oui ou pour un non et le pic a été atteint avec la déportation de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale », a-t-il ajouté.
L’ANP dénonce « l’apologie de la violence, l’irrévérence envers le chef de l’Etat, l’incitation des populations à la haine et à la détestation, un procès d’intention, des accusations sans fondements et de la manipulation de l’information ».
Pour l’organe de régulation, « les manquements relevés dans l’article en cause sont de nature à nuire à la paix et la cohésion sociale ». Le droit fondamental du journaliste d’informer et d’éveiller les consciences comporte des limites et des règles déontologiques.
