Côte d’Ivoire: la FIFA confirme la suspension de Sylvain Gbohouo

La FIFA confirme la suspension du gardien de but, titulaire, des Éléphants footballeurs, Sylvain Gbohouo, pour dopage, et l’invite à soumettre « une explication complémentaire » à la Commission de discipline de l’organisation dans un délai de 20 jours.

« A toutes fins utiles, nous notons que la suspension provisoire imposée à l’encontre du joueur Sylvain Gbohou, en date du 22 décembre 2021 a été confirmée », indique le président de la Commission de discipline de la FIFA, à la suite de l’audience du 5 janvier 2022. 

Avec ce délai de 20 jours accordé au portier ivoirien, à partir de la réception de la présente « communication », signée le 10 janvier 2022 à Zurich, la FIFA souligne que « la présente procédure suit son cours ordinaire ». 

Il devra soumettre une « explication complémentaire à la Commission de discipline de la Fédération internationale de football association (FIFA), conformément à l’article 53 (5) du règlement antidopage » de l’organisation.

M. Gbohou risque de manquer la CAN au Cameroun qui se tient du 9 janvier au 6 février 2022. Il a été suspendu de toute compétition de football à la suite d’un contrôle antidopage positif mi-novembre 2021.  

Le Comité de normalisation de la Fédération ivoirienne de football (CN-FIF) a fait appel de la suspension infligée au portier titulaire de la sélection ivoirienne. Si d’ici au 6 février, il y a un retour favorable de la FIFA, il pourra prendre part à la CAN 2021. 

Bujumbura veut normaliser ses relations avec Kigali

Les relations diplomatiques entre le Rwanda et le Burundi se sont détériorées depuis 2015.Le Burundi multiplie les signes d’ouverture et de paix avec ses voisins. Ce pays d’Afrique de l’Est a envoyé une mission au Rwanda pour apaiser les tensions entre les deux pays. La délégation burundaise est conduite par le ministre chargé des Affaires de la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE), de la Jeunesse, de la Culture et des Sports, Ezéchiel Nibigira. Elle s’est entretenue, hier lundi, avec le président Paul Kagamé pour lui transmettre un message du président burundais, le général de division Evariste Ndayishimiye.

Il s’agit du dernier signe d’une série de tentatives des deux pays pour rétablir leurs relations diplomatiques rompues, les responsables qualifiant l’atmosphère actuelle de « progressiste ».

Les relations diplomatiques entre le Rwanda et le Burundi se sont détériorées depuis 2015. Au cours de cette période, les deux pays ont échangé des accusations et contre-accusations d’abriter et de soutenir des milices désireuses de déstabiliser leur pays respectif.

Mais aujourd’hui, l’optimisme s’est accru pour normaliser les relations tendues, après que le Premier ministre Edouard Ngirente s’est rendu au Rwanda l’année dernière pour participer à la commémoration du 59ème anniversaire de l’indépendance de ce pays.

En septembre dernier, le ministre rwandais des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Vincent Biruta, avait également rencontré son homologue burundais, l’ambassadeur Albert Shingiro, en marge de la 76e Assemblée générale des Nations Unies à New York. Les deux ministres avaient échangé sur les questions de relations bilatérales.

Depuis avril 2015, le Rwanda a accueilli plus de 70.000 réfugiés burundais. Ce qui avait le Burundi à accuser le Rwanda d’aider et d’entraîner les rebelles qui cherchent le déstabiliser le pays, une accusation que Kigali n’a cessé de démentir avec fermeté.

Deux sommets de la SADC sur la crise mozambicaine

Les pays d’Afrique australe tiennent deux rencontres au Malawi dédiées à la situation sécuritaire au Mozambique.La Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) va évaluer son engagement dans la lutte contre le terrorisme au Mozambique. Ainsi, ce mardi et demain mercredi, ses Etats membres tiennent deux sommets au Malawi, auxquels prend part le chef de l’Etat sud-africain, Cyril Ramaphosa, qui préside l’organe de la SADC chargé de la politique, de la défense et de la coopération en matière de sécurité.

« Le sommet de la Troïka de la SADC examinera les progrès de la force sous-régionale déployée au Mozambique pour aider ce pays à lutter contre le terrorisme et les actes d’extrémisme violent », a annoncé la présidence de la République sud-africaine.

Les troupes de la SADC combattent une insurrection islamiste croissante qui a fait plus de 3.000 morts et déplacé près de 270.000 autres depuis son début en 2017 dans la province mozambicaine septentrionale de Cabo Delgado, où une usine de gaz offshore de plusieurs milliards de dollars est menacée par les insurgés.

Ces pays soldats sont issus de l’Angola, du Botswana, de la République démocratique du Congo, du Lesotho, du Malawi, de l’Afrique du Sud, de la Tanzanie et de la Zambie.

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Guinée – Mali : les limites d’une alliance frontalière

Le Comité national de rassemblement pour le développement (CNRD) qui dirige la Guinée depuis le coup d’Etat du 5 septembre 2021, a signifié dans une déclaration qu’il gardait ses frontières ouvertes avec le Mali prenant ainsi le contrepied de la Cedeao.La Guinée dans le viseur de la Cedeao, ignore les sanctions prises par la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest envers le Mali. Le CNRD dirigé par Mamady Doumbia motive sa décision par le fait que son pays était déjà suspendu des instances de l’institution sous-régionale lors du sommet de la Cedeao du 8 septembre 2021.

Partant de là, la Guinée ne se sent pas concernée par ces mesures contre le Mali car selon le communiqué signé du Colonel Sadiba Koulibaly, chef d’Etat-major général des Armées guinéennes, la République de Guinée n’a pas été associée aux décisions. En conséquence, « le CNRD souligne que les frontières aériennes, terrestres et maritimes de la République de la Guinée restent ouvertes à tous les pays frères conformément à sa vision panafricaniste », martèle le communiqué.

La Guinée réitère sa volonté de « respecter et d’appliquer les conventions, accords et traités bilatéraux et multilatéraux auxquels elle est partie ». Pays côtiers, Conakry pourrait se positionner durant cette crise comme le nouvel et principal allié du Mali. La frontière entre les deux pays s’étend d’ouest en est sur 858 kilomètres. Mais cette large zone minière riche en or, fait souvent l’objet d’affrontements meurtriers entre Guinéens et Maliens. 

Conflits communautaires à la frontière

Il s’agit de la résurgence d’un vieux conflit frontalier datant des années 70 qui oppose les villages de Siradiouba (Mali) et Dalakan (Guinée Conakry). En 2017, un différend au sujet de la paternité de la zone minière de Niaouleni située entre un village guinéen et malien avait viré en affrontements faisant 22 morts dont l’adjoint au commandant de la compagnie de Kati. Le projet de la matérialisation de la frontière entre les deux pays, longtemps annoncée, pourrait être réactivé au grand bonheur de la partie malienne qui en aura besoin pour ses activités de transit en vue d’éviter l’étouffement. Mais cette supposée alliance frontalière peut-elle prospérer si les pays de la Cedeao durcissent leurs sanctions contre Conakry à l’avenir ?

Pour le Mali qui importe 70% de ses besoins alimentaires, le corridor routier Dakar – Bamako reste un axe stratégique. Si conséquences économiques risquent aussi de toucher Dakar, il est important de noter que 80% du fret malien passe par le Sénégal et le Port de Dakar ravitaille en grande partie Bamako. Dans ce cas de figure, la Mauritanie pourrait être une porte de sortie pour le Mali qui n’a pas accès à la mer. Toutefois, la République arabe comme le Sénégal devront trouver un compromis avec la Cedeao pour adopter une position qui ne la fragilisera pas dans cette crise malienne.

Les « sanctions économiques et financières » prononcées par l’organisation intergouvernementale ouest-africaine mise sur pied en 1975, bien que reposant sur un éventail de mesures très large, ne concernent toutefois pas les denrées alimentaires, les produits de premières nécessités comme les médicaments ou encore les produits pétroliers.

Alpha Blondy s’indigne des sanctions de la Cedeao contre le Mali

La star internationale du raggae, Alpha Blondy, déclare dans une vidéo s’indigner des lourdes sanctions imposées par la Cedeao et l’Uemoa contre le Mali.

« Je voudrais m’indigner de la décision des sanctions qui ont été prises contre le Mali, ou les Maliens. Je voudrais m’adresser singulièrement à tous les présidents de la Cedeao; ces sanctions que vous avez adoptées contre le Mali est un aveu de votre impuissance », a dit Alpha Blondy.

Selon la star mondiale du reggae, les Maliens n’ont pas à être victimes de l' »incapabilité » des chefs d’Etat de la région à trouver une solution aux problèmes djihadistes auquel le Mali fait face,  un facteur majeur d’instabilité du pays.

« Quand ils ont fait le coup d’Etat contre IBK, vous n’avez pas eu cette réaction aussi violente, aussi radicale. Vous aurez du mal à faire comprendre aux gens que ce n’est pas la France qui vous a dicté cette attitude par rapport à son problème avec le Mali et Wagner », a-t-il martelé.

« C’est très maladroit de votre part. Les Maliens n’ont pas à payer le prix de votre incapacité à gérer un problème africain, domestique », a lancé Alpha Blondy, pour qui « on ne peut pas fermer toutes les frontières » et bloquer leur compte à la Bceao, la banque centrale.

Il a estimé que « ce n’est pas juste », avant d’ajouter « je vous demande de réviser votre copie » et de lancer « ça coûtait quoi, si vous voulez aider le Mali que chaque pays de la Cedeao donne 1.000 soldats », une opération que peut d’ailleurs financer la Bceao.

« Vous donnez l’impression que c’est parce que le Mali refuse la collaboration avec l’armée française qu’il fait appel à Wagner, que vous prenez cette décision », a-t-il dit sans ambages.

En tant qu’Africain et ambassadeur de la Cedeao pour la paix en Côte d’Ivoire, il a affirmé s’être permis de s' »indigner de cette décision aussi arbitraire contre un peuple frère » et que les  chefs d’Etat ne feront « pas payer à tous les Maliens les erreurs de (leur) politique ».

« Depuis votre Union africaine, bourrée de marionnettes, le peuple africain ne mérite pas ça. C’est à vous de trouver les solutions, comment aider le Mali à se défaire de ces djihadistes », a-t-il poursuivi.

Pour lui, le problème djihadistes est la cause du « coup d’Etat contre ATT et IBK », alors il faut régler le thermomètre, ce n’est pas en cassant le thermomètre qu’on va baisser la fièvre ». Et de conclure « messieurs les présidents, je vous en prie, ressaisissez-vous ».

Le Mali a décidé à son tour de fermer ses frontières terrestres et aériennes avec les pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).

En réponse aux lourdes sanctions économiques et financières de la Cedeao, le Mali a décidé d’appliquer la « réciprocité ». En plus de la fermeture des frontières, le gouvernement de transition a décidé de « rappeler ses ambassadeurs » dans les pays de l’organisation régionale, informe un communiqué du porte-parole du Gouvernement, le colonel Abdoulaye Maïga.

Selon le dirigeant malien, « ces mesures prises par la Cedeao contre l’Etat malien contrastent avec les efforts fournis par le Gouvernement et sa disponibilité au dialogue en vue de trouver un compromis avec la Cedeao sur le chronogramme des élections au Mali ».

Le Maroc plaide pour un nouveau partenariat gagnant-gagnant entre l’UE et l’Afrique

Le Maroc a plaidé, lundi, pour un nouveau partenariat gagnant-gagnant entre l’Union européenne (UE) et le continent africain, au moment où la France prend pour six mois la présidence tournante du Conseil de l’UE. »Il est nécessaire de définir ensemble un pacte commercial et industriel commun basé sur les atouts de l’Europe en tant que puissance industrielle renouvelée et innovante et l’Afrique qui offre des relais de compétitivité décarbonnée en termes de production, d’innovation et de services », a affirmé le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, dans une intervention par vidéo, à l’ouverture d’une conférence internationale sur le thème « Relations commerciales Union européenne-Afrique : vers de nouveaux partenariats », tenue lundi sous format hybride à Paris et qui a donné le coup d’envoi de la présidence française du Conseil de l’UE.

Le responsable marocain a insisté également sur la nécessité de revoir les accords d’association conclus entre l’UE et les pays du sud de la Méditerranée ont plus de 25 ans.

Selon Mezzour, il est indéniable que ces accords ont favorisé l’accroissement des relations commerciales et les investissements entre l’Afrique et l’Europe, comme il est indéniable que l’UE est un partenaire majeur du développement du continent. « Cependant, nous constatons aujourd’hui une accélération de la tectonique mondiale industrielle et commerciale, accompagnée du resserrement des chaines de valeur, de nouveaux enjeux de souveraineté ou encore de la mise en application de mesures visant à atteindre la neutralité carbone ».

Il a relevé dans ce contexte que dans le cadre de l’agenda 2063, la zone de libre- échange continentale (AZLECAF), illustre la volonté du continent à promouvoir les relations commerciales intercontinentales et à stimuler son développement industriel. Mais, « pour réussir à décarboner, renforcer le tissu industriel, améliorer la compétitivité des entreprises africaines et créer des emplois de part et d’autre de la Méditerranée, nous devons construire un nouveau partenariat gagnant-gagnant », a estimé le ministre marocain pour qui « la coopération Nord-Sud-Sud se doit d’être plus ambitieuse ».

Et d’ajouter que cette coopération Nord-Sud-Sud doit aussi s’inscrire dans une approche conjointe et complémentaire avec notamment le maintien et le développement des industries européennes installées en Afrique, une relocalisation des chaînes de valeur asiatiques dans l’espace euro-méditerranéen -Afrique capitalisant sur la proximité géographique, les coûts logistiques réduits, un gain en compétitivité, ainsi que la réduction de l’empreinte environnementale.

Toujours dans le cadre de cette coopération Nord-Sud-Sud, il faudra aussi veiller à la mise en place de filières industrielles innovantes conjointes favorisant notamment l’industrie 4.0, la mobilité durable et la transition énergétique et à assurer un meilleur accès au marché européen pour les produits africains à travers une harmonie entre les cadres juridiques régissant les échanges commerciaux, une intégration verticale Europe-Afrique et un accompagnement pour la mise en conformité des produits africains aux réglementations techniques.

Sénégal: les débuts des Lions à la Can commentés par la presse

Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à APA titrent principalement sur la victoire étriquée (1-0) des Lions du Sénégal, en match d’ouverture de la coupe d’Afrique des Nations (Can 2021) face au Zimbabwe.

Le Soleil et Stades se font l’écho d’« une victoire au forceps » des Lions qui ont battu (1-0) hier le Zimbabwe pour leur premier match de la CAN 2021. Pour le sélectionneur Aliou Cissé, « notre abnégation a payé ».

« Je m’attendais à une opposition pareille », poursuit-il dans Walf Quotidien, qui note que « les Lions arrachent une petite victoire » sur un pénalty transformé par Sadio Mané à la dernière minute du temps additionnel. Stades note qu’il s’agit ici du sixième but en Coupe d’Afrique de la star sénégalaise de Liverpool.

Les Lions acquièrent une victoire à « l’arrachée », insiste Sud Quotidien là où L’Observateur relève qu’elle l’a été « jusqu’au bout de l’ennui ». Pour L’AS, « les Lions gagnent dans la douleur ». Vox Populi soutient que c’est « une victoire si juste grâce à Mané » et souligne qu’on s’achemine « vers un chaud derby Guinée-Sénégal, ce vendredi ».

Si l’équipe nationale a enregistré l’absence d’une dizaine de joueurs dont des cadres pour cause de Covid-19, l’ancien international Aliou Cissé souligne qu’« on ne peut pas passer notre temps à pleurnicher sur les absences ».

Sur un autre sujet, Vox Populi évoque les sanctions prononcées par l’Uemoa et la Cedeao sur le Mali, notant que la junte au pouvoir dans ce pays « condamne des mesures +inhumaines, illégales et illégitimes ». S’attaquant aux chefs d’Etat de la Cedeao, le chanteur ivoirien Alpha Blondy note que « ces sanctions contre le Mali sont un aveu de votre impuissance ».

Evaluant les impacts socioéconomiques pour le Sénégal, l’économiste sénégalais Moubarack Lô note que ce « pays est le plus exposé au Mali » même si « le peuple (malien) va souffrir parce que les échanges dépassent le volet économique ».

Economie et environnement au menu des quotidiens marocains

Les enjeux du partenariat entre le Maroc et la Chine, l’utilisation des cryptomonnaies, le passage au vert du Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain et les investissements directs étrangers au Maroc sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mardi.+Aujourd’hui le Maroc+, qui revient sur les enjeux du partenariat entre le Maroc et la Chine, écrit qu’en confirmant, une fois de plus, son option pour un partenariat plus solide et approfondi avec le Maroc, la Chine assoit davantage la vocation du Royaume comme un hub économique régional et continental, estimant que les Chinois, pour être déjà bien implantés dans beaucoup de régions en Afrique, ont probablement pu constater sur le terrain que le Maroc constitue un allié de taille dans le continent.

Mais cette vocation de hub ne peut être pleinement exploitée par le Maroc que s’il dispose réellement lui-même d’un tissu productif plus dense et plus performant à même de permettre une création de valeur ajoutée pour les deux partenaires, constate la publication.

Le partenariat avec une puissance industrielle comme la Chine est une précieuse opportunité pour le Maroc en termes de business, certes, mais il doit aussi servir de levier pour opérer les transferts de technologies et de savoir-faire nécessaires à la transformation à terme de son industrie, soutient-il.

+L’Opinion+, qui s’attarde sur l’utilisation des « cryptomonnaies « , souligne que si les cryptoactifs connaissent une explosion sans précédent dans le monde, surtout depuis le confinement de 2020, au Maroc, ils se retrouvent face à un “rempart juridique” qui les empêchent de connaître l’essor dont ils bénéficient dans d’autres marchés.

Mais malgré les interdictions, d’aucuns prennent la voie de l’investissement en crypto-monnaie, classant le Royaume à la 24ème place mondiale en matière de transactions, relève le quotidien.

Et si la Banque Centrale “marche sur la pointe des pieds” avant de légaliser la cybermonnaie, c’est que “le terrain est très miné”. Car, au final, il s’agit d’une monnaie virtuelle de citoyens, qui ne répond pas, ou du moins pas tout le temps, aux règles du marché financier, relève-t-il.

Des unités de compte privées, qui échappent au contrôle de l’État et de ses bras armés, rendent la garantie de la stabilité des prix, du niveau d’inflation ou encore celle des taux d’intérêt une mission ardue et mettent à risque la stabilité de l’économie réelle, explique-t-il.

+Assahra Al Maghribia+ fait savoir que le Musée Mohammed VI d’Art moderne et Contemporain (MMVI) à Rabat sera le premier musée africain à intégrer une solution solaire avec un système intelligent de stockage et de gestion de l’énergie.

Cette initiative fera de ce Musée « le modèle parfait de l’alliance harmonieuse de l’art à la responsabilité environnementale », indique un communiqué conjoint de la Fondation Nationale des Musées (FNM) et de l’Institut de Recherche en Energie Solaire et Energies Nouvelles (IRESEN).

+Rissalat Al Oumma+ se fait l’écho du rapport publié par le Fonds monétaire arabe qui a souligné que malgré la crise provoquée par l’épidémie de Covid-19 et ses répercussions sur le commerce international, les flux d’investissements étrangers vers le Maroc ont connu, au cours de l’année précédente, une légère augmentation, par rapport à 2019.

Selon ce rapport, le volume des investissements directs étrangers au Maroc s’élevait à 1,763 milliard de dollars en 2020, contre 1,720 en 2019. Le rapport, basé sur les données de la CNUCED, a estimé que ce montant est cependant le plus faible des chiffres enregistrés entre 2014 et 2018, le Maroc ayant réussi à attirer près de 3,56 de dollars en 2018, 2,68 milliards de dollars en 2017, un total de 2,15 milliards de dollars en 2016, et 3,56 milliards de dollars en 2014.