Makhtar Diop nommé DG de la Société financière internationale

Le Sénégalais Makhtar Diop est nommé Directeur général et vice-président exécutif de la Société financière internationale (IFC, sigle anglais).L’annonce a été faite, ce jeudi, par David Malpass, le président du Groupe de la Banque mondiale. Makhtar Diop dont la nomination prendra effet au 1er mars 2021 aura, entre autres missions, la promotion de l’expansion économique et l’amélioration des conditions de vie des populations en favorisant l’essor du secteur privé dans les pays en développement.

« Makhtar Diop a à son actif une expérience approfondie dans les domaines du développement et de la finance et une carrière marquée par un leadership énergique et le sens du service vis-à-vis des pays en développement, tant dans le secteur public que dans le privé », indique M. Malpass, cité par un communiqué de presse.

Il apportera à l’IFC des compétences qui aideront le Groupe de la Banque mondiale à poursuivre avec célérité son action dans la lutte contre la crise mondiale et à continuer d’œuvrer en faveur d’une relance verte, résiliente et inclusive.

« Nous avons besoin d’un environnement porteur et d’entreprises florissantes afin d’attirer des investissements, créer des emplois et favoriser le déploiement d’une électricité bas carbone et de transports propres, de l’eau potable, des infrastructures et des services numériques, et pour contribuer plus largement à l’ensemble des progrès de développement essentiels à notre mission de réduction de la pauvreté et de prospérité partagée », poursuit David Malpass.

M. Diop aura pour tâches principales d’approfondir et stimuler la stratégie « 3.0 » de l’IFC, dont l’objectif est de favoriser la création de nouveaux marchés et mobiliser des capitaux privés à grande échelle, et de mettre en œuvre les engagements pris au titre du programme d’augmentation du capital de l’institution. (…)

La stratégie 3.0 de l’IFC consiste notamment à agir davantage en amont, c’est-à-dire en intervenant à un stade plus précoce du processus de développement des projets afin de créer les conditions qui permettent de mobiliser des solutions auprès du secteur privé et de défricher de nouvelles possibilités d’investissement. Elle prévoit également d’étendre l’impact d’IFC dans les pays les plus pauvres et les plus fragiles, avec l’objectif de tripler ses investissements annuels pour son propre compte dans ces pays.

Ancien ministre de l’Économie et des Finances du Sénégal, Makhtar Diop est actuellement vice-président de la Banque mondiale pour les Infrastructures et dirige à ce titre les actions menées par l’institution pour mettre en place des infrastructures efficaces dans les économies émergentes et en développement, au service d’une croissance sans exclus et durable.

Dans le cadre de ces fonctions, il supervise les activités stratégiques de la Banque mondiale dans les secteurs de l’énergie, du transport et du développement numérique, ainsi que ses initiatives visant à accroître l’offre de services d’infrastructures de qualité au moyen de partenariats public-privé.

Il avait occupé auparavant pendant six ans le poste de vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique, qui a mené sous sa direction une expansion majeure de ses activités, avec des engagements d’un montant record de 70 milliards de dollars.

Une autre tempête tropicale attendue au Mozambique (experts)

Une nouvelle tempête tropicale se dirige vers le Mozambique et pourrait se transformer en cyclone si les conditions dans l’océan Indien restent favorables, ont averti les météorologues.Le Service météorologique sud-africain (SAWS) a déclaré qu’un système tropical appelé Guambe s’est développé et s’intensifie actuellement dans la moitié sud du canal du Mozambique.

Selon les prévisionnistes du SAWS, bien que l’approche du système météorologique de Guambe soit actuellement classée comme une tempête tropicale modérée, elle « devrait néanmoins s’intensifier dans les prochains jours ».

« Alors qu’il est peu probable que l’Afrique du Sud subisse des impacts négatifs de Guambe, il est fort possible qu’une combinaison de pluies tropicales torrentielles et d’inondations importantes affecte une grande partie de la côte et de l’intérieur adjacent du sud du Mozambique, surtout la région de Beira, à travers Vilankulos et vers le sud à Inhambane », a déclaré le SAWS jeudi.

La tempête tropicale Guambe devrait être associée à des vents de surface soutenus pouvant atteindre 89 kilomètres à l’heure, ont averti les experts.

« Des vents terrestres destructeurs et une onde de tempête marine associée peuvent également être attendus le long du littoral », a averti SAWS. Guambe est le septième système tropical dans la partie sud-ouest de l’océan Indien pendant la saison des pluies qui se poursuit depuis octobre 2020 et qui devrait se terminer en avril 2021.

Le plus récent a été le cyclone tropical Eloïse qui a déversé de fortes pluies et entraîné des inondations généralisées dans plusieurs pays d’Afrique australe à la fin du mois de janvier.

Ebola : les USA viennent en aide à la guinée pour éradiquer l’épidémie

A travers une déclaration datée du mardi 16 février 2021, l’administration américaine du président Joe Biden a déclaré que « tout devait être fait pour arrêter les cas d’Ebola en Guinée et en République démocratique du Congo avant qu’elles ne prennent une dimension supérieure ». 

Dans la dite déclaration, elle a souligné qu’au moment où le monde fait face à la pandémie actuelle de Covid-19, Ebola a émergé de nouveau, simultanément en Afrique centrale et en Afrique de l’Ouest.

«  Le monde ne peut pas se permettre de détourner le regard. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour réagir rapidement, efficacement et avec des ressources proportionnées pour mettre fin à ces épidémies avant qu’elles ne prennent une dimension supérieure « , indique-t-elle.

Elle précise que le président Joe Biden a été informé de la situation en Afrique centrale et en Afrique de l’Ouest, et ses prières vont aux familles de ceux qui sont décédés ou touchés par Ébola, la Covid-19 et d’autres défis mondiaux en matière de santé.

 » L’administration Biden fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire en sorte que les Etats-Unis prennent la tête des actions visant à mettre fin à ces épidémies, en collaboration avec les gouvernements affectés, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union africaine et les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies et les États voisins « , informe le porte-parole de la Maison Blanche.

Le 16 février, souligne-t-elle, «  le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan s’est entretenu avec les ambassadeurs de la Guinée, de la république démocratique du Congo, de la Sierra Leone et du Libéria aux États-Unis pour leur faire part de la volonté des États-Unis de travailler en étroite collaboration avec les gouvernements des pays touchés et des pays voisins dont les citoyens risquent d’être exposés à la propagation de l’épidémie actuelle « .

 » M. Sullivan a souligné l’engagement du président Biden à veiller à ce que les États-Unis prennent la tête des efforts de renforcement de la sécurité sanitaire et de mise en place de meilleurs systèmes pour prévenir, détecter et répondre aux urgences sanitaires « , renchérit Jen Psaki.

Elle affirme que les épidémies exigent une riposte rapide et imparable afin d’éviter des conséquences catastrophiques, avant de rappeler que depuis l’épidémie d’Ébola de 2014 en Afrique de l’Ouest,  » les États-Unis se sont efforcés de privilégier et de prioriser l’aide à la sécurité sanitaire avec leurs partenaires dans le cadre du Programme d’action pour la sécurité sanitaire mondiale et avec le soutien solide du Congrès « .

«  Nous ne pouvons pas nous permettre de nous relâcher – alors même si nous combattons la Covid-19, nous devons veiller aux capacités et au financement de la sécurité sanitaire dans le monde entier. Le premier mémorandum sur la sécurité nationale du président Biden ordonnait la priorisation et le renforcement du leadership américain en matière de sécurité sanitaire et de santé mondiale « , ajoute-t-il, tout en rassurant que «  les Etats-Unis sont prêts à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir une riposte mondiale robuste et mettre fin à ces épidémies  » .

Le gouvernement ivoirien procède à la mise en place d’une plateforme de lutte contre les maladies zoonotiques

Le mercredi 17 février 2021, le ministre du plan et du Développement, Nialé Kaba a procédé à la mise en place d’une plateforme de lutte contre les maladies zoonotiques et la covid-19.

En effet, le lancement des activités de cette plateforme nationale « Une Seule Santé » matérialise l’engagement du gouvernement dans cette lutte.

À en croire Mme Nialé Kaba, représentant le Premier Ministre Hamed Bakayoko, cette approche nouvelle s’inscrit dans la vision du Président Alassane Ouattara afin de mettre le bien-être des Ivoiriens au cœur de sa politique de développement. Cette plateforme devra également, matérialiser l’engagement du gouvernement ivoirien et de ses partenaires à lutter de manière efficiente et coordonnée contre les menaces sanitaires, d’une part et d’autre part de susciter un élan pour l’adoption de l’approche « Une Seule Santé » par tous les secteurs.

Elle devra aussi, coordonner dans une approche multisectorielle et multidisciplinaire, toutes les interventions sanitaires en vue de prévenir, détecter et riposter contre les nouvelles infections à potentiel pandémique.

Par ailleurs, notons qu’au cours cette cérémonie de lancement, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Eugène Aka Aouélé a relevé que cette approche globale s’inscrit dans une vision de lutte durable contre les nouvelles maladies.

Cependant, pour concrétiser l’engagement du gouvernement, Mme Nialé Kaba a signé le manuel de gouvernance de la plateforme.

Législatives ivoiriennes 2021 : distribution des cartes d’électeurs du 20 au 27 février 2021

Dans le cadre des législatives ivoiriennes 2021, la distribution des cartes d’électeurs se déroulera du 20 au 27 février 2021 sur toute l’étendue du territoire ivoirien.

En effet, l’annonce de ces dates a été donnée par la CEI compte tenu  du scrutin législatif ivoirien du 06 mars prochain.  »  La CEI informe l’ensemble des électeurs qu’elle procédera en prélude à la tenue du scrutin législatif du 06 mars 2021 à la distribution des cartes d’électeurs. Cette distribution se déroulera dans la période du samedi 20 au samedi 27 février 2021 .« , précise la note de la commission.

Cependant, à en croire l’institution électorale ivoirienne, cette distribution se fera au siège des commissions électorales locales ( CEL). Par ailleurs, notons que cette liste est consultable sur le site de la CEI www.cei.ci.

En outre, pour le retrait de cartes d’électeurs, la commission électorale a communiqué les différentes pièces à fournir. Il s’agit notamment de la carte nationale d’identité ou l’attestation d’identité ou le certificat de nationalité ou le récépissé d’enrôlement délivré par l’Office national de l’état civil et de l’identification ( ONECI).

Toutefois, rappelons qu’au total 255 sièges sont à pourvoir à l’Assemblée nationale ivoirienne.

Vaccins anti-Covid-19 et affaire Sonko à la Une au Sénégal

La réception, hier soir, par le président Macky Sall, des premières doses de vaccin anti-Covid-19, et l’affaire de l’opposant Ousmane Sonko, accusé de viol par une employée d’un salon de massage, meublent la Une des quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA.Après la réception des 200.000 premiers vaccins contre le coronavirus, Le Soleil rapporte que « Macky Sall annonce 6.798.000 doses ».

Ces prochaines livraisons attendues d’ici quelques semaines, précise le journal, sont destinées à la campagne de masse.

« Réception des premiers lots de vaccins-Macky Sall prêt à acquérir 6 millions de doses », renchérit Le Quotidien.

Soulignant que cette commande a été faite auprès de la firme chinoise Sinopharm, Walf Quotidien constate que « la Chine mène le bal en Afrique avec sa diplomation du vaccin ».

Dans Vox Populi, le chef de l’Etat a lancé aux Sénégalais : « Aucune raison de s’inquiéter, de douter ou de spéculer sur les vaccins. Nous avons déjà entamé le processus d’acquisition de 6.798.000 doses. Ce que nous faisons depuis le début de la pandémie, c’est écouter, suivre et soutenir ce que dit la science à travers nos experts ».

Pendant ce temps, L’As note que « le coronavirus reprend l’ascenseur » au Sénégal avec neuf décès et 295 nouvelles contaminations enregistrées, hier mercredi.

Ce journal poursuit l’affaire Ousmane Sonko et titre : « Incitation à la violence-La DIC (division des investigations criminelles) cueille l’enseignant Alioune Badara Dia. L’épouse de Birame Soulèye Diop, une victime collatérale. Les accusateurs de Me Dior Diagne activement recherchés ».

De son côté, Vox Populi renseigne que l’administrateur de Pastef, Birame Soulèye Diop est recherché par la police.

« Affaire Sonko-Les détails des auditions à la gendarmerie », titre L’Observateur, affichant « les déclarations jamais entendues sur l’affaire Sonko-Adji Sarr ».

Ces « heurts de validation » de la commission ad hoc chargée de lever l’immunité parlementaire du député Ousmane Sonko font la Une du Quotidien, qui informe que l’opposition a boycotté la séance d’hier.

Dans ce journal, le député Cheikh Bamba Dièye révèle : « X est venu secrètement pour se transformer en Sonko ».

Ce qui pousse Walf Quotidien à titrer : « Levée de l’immunité parlementaire-Les juges de Sonko s’installent dans la cacophonie ».

Maroc : 34 projets approuvés pour un coût global de plus de 1,2 milliard de dollars

Un total de 34 projets a été examiné et approuvé par la commission des investissements au Maroc, réunie mercredi sous la présidence du chef du gouvernement, Saad Eddine El Otmani.D’un montant global de 1,26 milliard de dollars (11,3 milliards DH), ces projets devant permettre la création de 3.500 emplois directs et 5.819 emplois indirects, indique un communiqué du ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’économie verte et numérique

La répartition des investissements par secteur fait ressortir le secteur du tourisme et loisirs arrive en tête avec 3,29 milliards DH (1 dollar = 8,95 DH), soit plus de 29% des investissements projetés, suivi par le secteur du transport et infrastructure avec 2,47 milliards DH et le secteur de l’éducation et de l’enseignement supérieur avec 2,27 milliards DH, alors que celui des énergies renouvelables et du dessalement d’eau de mer occupe la 4ème position avec 2 milliards DH.

Par répartition sectorielle des emplois, il ressort que le secteur du tourisme et loisirs est le principal pourvoyeur d’emplois, souligne la même source, notant que les projets relevant de ce secteur prévoient la création de 1.365 emplois directs soit 39% des emplois à créer.

Pour ce qui est de la répartition des investissements par région d’implantation, la région de Casablanca-Settat vient en première position avec 3,84 milliards, soit 34% des investissements projetés, suivie de la région de Rabat-Salé-Kénitra avec des projets d’investissement de l’ordre de 3,39 milliards DH.

Avec 7,45 milliards les projets à capitaux marocains représentent la majeure partie des investissements projetés, soit près de 66%. Ces projets ont vu le jour dans le cadre de la mise en œuvre de grands projets dans les secteurs de l’industrie, de l’éducation et de l’enseignement supérieur et du tourisme et loisirs.

Les joint-ventures Maroc-France occupent le 2ème rang avec des investissements estimés à 2 milliards DH, soit plus de 17% du montant d’investissement global approuvé par la commission, suivis des investissements provenant des Emirats Arabes Unies avec 1,44 milliard DH.

Maroc : saisie de plus de 900 kg de résine de cannabis

Les services sécuritaires de la ville de Casablanca ont arrêté, lundi et mardi derniers, six individus dont une femme pour leurs liens présumés avec un réseau criminel actif dans le trafic international de drogue et de psychotropes, indique mercredi un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).Les opérations de fouille effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de 912 kg de résine de cannabis dans le domicile de l’un des prévenus au quartier Sidi Moumen à Casablanca, outre un véhicule 4×4 qui se trouvait dans un entrepôt dans la zone rurale de Had Soualem, précise la même source.

Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent.

En terre ou en mer, les saisies de drogue se sont multipliées au Maroc, ces derniers mois, dans un contexte marqué par l’état d’urgence sanitaire décrété dans le pays depuis le 20 mars dernier et prolongé jusqu’au 10 mars prochain.

En 2020, plus de 217 tonnes de résine de cannabis ont été saisies au Maroc, selon le dernier bilan fourni par la DGSN.

2ème édition des Assises du Numérique en Côte d’Ivoire: bilan et perspectives de la réforme du secteur au centre des échanges.

Le ministre ivoirien de l’Économie numérique et de la poste, Mamadou Sanogo, a procédé à l’ouverture officielle ce mercredi 17 février de la deuxième édition des Assises du Numérique à Abidjan.

En effet, ce forum de réflexion sur l’écosystème du numérique en Côte d’Ivoire, se déroule autour du thème « Bilan et perspective, 7 ans après la réforme du secteur des Télécoms/TIC « .

Le ministre Sanogo est revenu lors de l’ouverture des travaux sur les fruits de la réforme.

Selon lui, elle a permis à la Côte d’Ivoire de connaître plusieurs avancées significatives en matière de Télécommunications/TIC. En effet, » la Côte d’Ivoire enregistre plus de 37 millions d’abonnés à la téléphonie mobile, soit un taux de pénétration de 145% » a-t-il révélé.

Par ailleurs, avec un chiffre d’affaires du secteur qui s’élève à plus de 1000 milliards de Francs CFA à en croire le ministre, « la couverture de la population au large bande mobile avoisine les 91%. »

En outre, le ministre Sanogo souligna l’importance de ces assises dont les résultats des travaux qui se tiendront du 17 au 19 février sont attendus par le gouvernement.

 » Ces assises constituent une opportunité pour l’ensemble des acteurs de l’écosystème du numérique pour arrêter des stratégies et initiatives qui vont booster le secteur.

Mes attentes sont fortes quant aux conclusions de ces Assises, car elles devront permettre d’accélérer la transformation numérique de notre économie, d’accroitre la création de richesses et des emplois, et en définitive, de contribuer au bien-être de la population » a-t-il fait savoir.

La première édition, tenue en 2015, a permis de poser les jalons de l’évolution du numérique en Côte d’Ivoire grâce aux débats éclairés sur les thèmes du Cyberespace et des données personnelles.

Décès : les membres du PDCI rendent un hommage à la mémoire de Guy Alain Emmanuel Gauze.

L’ex-ministre des Matières premières et vice-président du Comité des sages du PDCI-RDA, l’ambassadeur Guy Alain Emmanuel Gauze, a été célébré par les membres du PDCI.

En effet, cet hommage à la mémoire d’un homme exceptionnel s’est tenu le mercredi 17 février 2021, à la Maison du PDCI-RDA à Cocody.

De même, à cette occasion solennelle, le drapeau a été remis à la veuve, 50 roses symbolisant les 50 années de militantisme du défunt, ont été remises par Mme Adèle N’dioré à la famille par le canal de Loïc Gauze, fils du défunt, sous la mélodie de l’hymne du PDCI-RDA.

Par ailleurs, Basile N ‘guessan, a rendu un long et vibrant hommage à un militant fidèle.

« C’est en 1980 qu’il s’engage volontairement dans le militantisme au PDCI. Très vite, il gravit les échelons du parti.  Il faisait partie de ces jeunes, des militants sans grade, que le président Houphouët-Boigny, président du PDCI avait désigné pour permettre au parti de reprendre la main sur le terrain après les soubresauts du retour au multipartisme »

En outre, le ministre Boniface Nama Britto, porte-parole de la famille éplorée, a remercié le président du PDCI, pour cet hommage de qualité rendu à l’illustre et intrépide serviteur de l’Etat.

La Côte d’Ivoire vient de perdre un expert des matières premières, un diplomate hors norme et un négociateur subtil pour le compte de son pays. Son inhumation se tiendra le samedi 20 février 2021, dans son village dans le département de Daloa.