Éthiopie: les exportations d’électricité vers le Soudan et Djibouti s’élèvent à 65 millions de dollars

L’Ethiopie a gagné 66,4 millions de dollars grâce aux exportations d’éélectricité vers les pays voisins, le Soudan et Djibouti, au cours de la dernière année fiscale éthiopienne qui s’est terminée le 7 juillet 2020.Le Compagnie d’électricité éthiopienne (EEP) a déclaré mardi dans un communiqué que les recettes représentent 116% de l’objectif de 57 millions de dollars. Sur le total des recettes, 29,3 millions de dollars ont été obtenus en vendant de l’énergie au Soudan, tandis que les 37,1 millions restants provenaient de Djibouti. 

Les recettes obtenues ont dépassé de 11,5 millions de dollars de l’année précédente, précise le communiqué. 

L’EEP a attribué cette meilleure performance à des précipitations et à une quantité d’eau suffisantes dans les réservoirs du pays, ainsi qu’à l’engagement du gouvernement à réaliser efficacement le plan. 

L’Éthiopie œuvre dans le but de créer une intégration par l’électricité avec d’autres pays africains, notamment la Tanzanie, le Soudan du Sud et la Somalie. 

La Compagnie a également révélé que la ligne de transmission qui relie le réseau électrique national au Kenya doit être achevée et sera bientôt opérationnelle.

Covid-19: Ramaphosa promet de mettre fin aux détournements de fonds

Le président Sud-africain, Cyril Ramaphosa, a dit être prêt à faire face aux détournements présumés de fonds publics destinés à atténuer les effets de la pandémie de coronavirus pendant ces quatre mois de confinement, a appris APA mercredi.Le président s’exprimait, hier lundi, en réponse aux plaintes du public concernant la gestion, par son gouvernement, des 29 milliards de dollars américains de fonds d’aide accordés à des institutions et des individus qui n’ont pas été correctement gérés en raison de prétendus « détournements » par des fonctionnaires.
 
Ces fonds de secours étaient destinés à l’achat d’équipements médicaux nécessaires aux hôpitaux et aux travailleurs de la santé, et à la protection de ceux qui ont perdu leur emploi en raison du confinement en leur versant 20 dollars par mois.
 
Selon les allégations, les fonds de secours ont plutôt été utilisés pour acheter des équipements de protection individuelle à des prix gonflés, des colis de nourriture sont stockés au lieu d’être distribués aux nécessiteux, et d’autres ressources de l’État destinées aux vulnérables et aux démunis sont détournées.
 
M. Ramaphosa a déclaré que toutes ces manigances allaient bientôt cesser, qualifiant ces pratiques d’« odieuses » et que leurs auteurs seraient traités « avec fermeté et sévérité ».
 
« Tenter de tirer profit d’une catastrophe qui coûte la vie à notre peuple chaque jour est un acte de charognard », a déclaré M. Ramaphosa.
 
Il a ajouté: « Alors que nous nous trouvons en proie à la plus grande urgence sanitaire que notre pays ait connue depuis plus d’un siècle, nous sommes témoins de vols commis par des individus et des entreprises sans conscience. Malheureusement, ce comportement insidieux ne se limite pas aux petites entreprises, mais aussi aux grandes », a-t-il martelé.

Togo: opposants et religieux espionnés par les autorités (médias)

Les voix discordantes du pouvoir du président Faure Gnassingbé au Togo ont subi à leur insu des « infections de leurs smartphones » au cours de l’année 2019, ont révélé lundi des médias étrangers.Selon une enquête du journal français Le Monde et du quotidien britannique The Guardian, le régime togolais a utilisé un logiciel ultra-sophistiqué pour cibler des religieux catholiques, des militants de la société civile et des opposants politiques.

Les deux journaux affirment avoir identifié jusqu’à présent six Togolais dont les téléphones portables ont été infiltrés par le logiciel Pegasus, commercialisé par la société israélienne NSO Group.

Cette arme numérique vendue aux Etats est conçue « officiellement pour lutter contre le terrorisme et la grande criminalité ». Mais le Togo en fait une autre utilisation selon Le Monde et The Guardian.

Le logiciel permet de géolocaliser une personne, de lire ses messages et mails, ou de prendre le contrôle de sa caméra et de son micro. Ces personnes expliquent avoir reçu un message d’alerte de la messagerie WhatsApp, pour les en informer.

Porte-parole de l’organisation Togo Debout, David Dosseh affirme à RFI ne pas avoir reçu ce type de message, mais avoir été informé par une ONG qu’il était sur écoute. Il n’est pas surpris, mais regrette que les ressources du pays soient employées dans ce cadre.

« D’après ce qu’on m’apprend, ce sont des logiciels vraiment très puissants qui sont utilisés pour espionner les simples citoyens que nous sommes. Cela suppose beaucoup de ressources derrière. Pourquoi dépenser autant d’argent, ces ressources pouvaient certainement être utiles à autre chose, dans d’autres domaines comme la santé, comme l’éducation, comme l’agriculture, etc., des choses qui sont particulièrement en difficulté aujourd’hui au Togo ? », s’interroge-t-il dans ce média.

Les autorités togolaises n’ont pas encore réagi à ces accusations qui rajoutent une couche dans « l’acharnement » qu’elles feraient à leurs opposants.

A la mi-juillet 2020, l’avocat d’Agbéyomé Kodjo, candidat arrivé deuxième à la présidentielle de février remportée par le chef de l’État sortant, annonçait qu’un mandat d’arrêt international avait été délivré contre son client.

L’opposant avait refusé de se présenter à une convocation de la justice le 10 juillet, assurant dans une déclaration diffusée sur les réseaux sociaux qu’il « craignait pour sa vie ».  Le procureur de la République du Togo, Essolissam Poyodi, a confirmé qu’un « mandat d’arrêt international » avait été lancé à son encontre depuis cette date.

Mais pour Me Darius Kokou, dans Jeune Afrique, « c’est un acte d’acharnement de plus contre Agbéyomé Kodjo », qui vit désormais dans la « clandestinité au Togo ».

Semaine nationale de la propreté : Le gouvernement ivoirien invite la population à s’investir

La directrice de cabinet de la ministre de l’Assainissement et de la Salubrité, Mme Nasséré Kaba, a invité les populations ivoiriennes à s’approprier la Semaine Nationale de la Propreté (SNP).

En effet, cette invitation a été lancée, le jeudi 30 juillet 2020. Et ce , au cours d’une conférence de presse à Abidjan. Selon Mme Nasséré Kaba, directrice de cabinet de la ministre de l’Assainissement, cette action sociale aura pour but d’améliorer la qualité du cadre de vie. Ainsi que du bien-être de tous.

Par ailleurs, à en croire les dires de cette dernière, la 5ème édition de la célébration de la SNP exhorte les populations sur plusieurs points. Notamment, sur les efforts à suivre en matière de sensibilisation et d’éducation au changement de comportement. Ils devront être suivis surtout dans un contexte marqué par la pandémie du coronavirus.

« Nous ne pouvons prétendre au développement si nos comportements quotidiens et inciviques doivent nous rendre malades (…) La propreté est une cause nationale. Chaque citoyen doit être promoteur de bonnes pratiques, gardien de son cadre de vie », a-t-elle exhorté.

Cependant, il faudrait noter que la SNP impliquera les principaux acteurs de la promotion de la propreté en Côte d’Ivoire.

La cérémonie dédiée aux ONG de la Salubrité et les activités de sensibilisation meubleront cette 5ème édition de la SNP.

Sénégal: le saccage du siège d’un journal privé indigne la corporation

Plusieurs personnalités et organisations des médias continuent d’exprimer leur sentiment de colère et de mépris après la destruction matérielle subie hier lundi par le quotidien privé sénégalais « Les Echos ».Dans des vidéos devenues virales, huit ordinateurs et un téléviseur de marque de la rédaction des Echos se retrouvent à terre, « complètement endommagés ». C’est ainsi que le souligne ledit journal dans sa parution du mardi sous le titre : « Les Moustarchidines perpètrent un +attentat+ à +Les Echos+ ».

Les Moustarchidines sont un mouvement religieux de la communauté tidiane de Tivaouane et dont le guide moral est Serigne Moustapha Sy, par ailleurs président d’honneur du Parti de l’unité et du rassemblement (PUR), arrivé quatrième à la dernière présidentielle avec plus de 4% des voix.

De présumés disciples se sont offusqués après avoir découvert dans la Une de la veille des Echos une nouvelle faisant état de l’hospitalisation de leur guide pour Covid-19. Ils ont décidé ainsi de se faire justice, se rendant dans le siège du journal où ils auraient saccagé le matériel.

Dans un communiqué, le secrétaire national de la jeunesse du PUR, Habib Ndiaye, a dénoncé des « mensonges éhontés » et affirmé que le président du PUR « est bien portant et se trouve quelque part sur la planète Terre en train de vaquer à ses occupations ».

Dénonçant une « campagne de déstabilisation », il prévient le journal : « Laissez-le tranquille si vous voulez la paix (…) Un homme averti en vaut deux ». Par ailleurs, le communiqué ne mentionne pas l’attaque qui a visé la rédaction des Echos.

Selon des informations du groupe Emedia, six personnes ont été arrêtées dans l’affaire et seront auditionnées à la Section de recherches de la gendarmerie, en attendant que l’enquête se poursuive.

Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (Synpics) a annoncé sur sa page Facebook que « les organisations des médias seront au journal Les Echos pour dire leur indignation ». Pour le syndicat, les jeunes du PUR n’ont pas nié l’objet de leur attaque, qui « était d’intimider ou de museler la presse sénégalaise ».                  

Le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a condamné « avec fermeté » le saccage du siège du journal là où le ministre de la Culture et de la Communication l’a qualifié d’«actes irresponsables ». Pour lui, les auteurs « auraient pu aboutir, autrement, à une situation beaucoup plus grave ».

Aussi indignée par la « rédaction vandalisée » des Echos, Reporters sans frontières (RSF) a demandé ce 4 août « une réaction ferme et rapide des autorités » sénégalaises pour « que cette attaque ne reste pas impunie ».

Abobo : Un voleur de viande de brousse interpellé par le commissariat du 34e

Dans la nuit du 03 au 04 août 2020, le commissariat du 34e arrondissement d’Abobo baoulé a interpellé un voleur de viande de brousse. 

En effet, aux environs de 02h de matin une équipe du commissariat du 34e patrouillant dans les rues d’abobo Djibi village a interpellé un individu. Ce dernier, transportant un gros sac s’est dépêché de jeter le sac dans la broussaille afin de s’enfuir.

Mais, malheureusement, il a été rattrapé rapidement par  les agents du commissariat. Ramené auprès de son sac, les agents du commissariat ont procédé par une fouille.

À en croire les informations publiées sur Facebook de la page Police Secours , les agents auraient découvert plusieurs gibiers fumés.

Par ailleurs, âgé de 45 ans et résidant à Abobo belle ville, ce voleur aurait conduit ces officiers sur les lieux de son crime. Il a avoué avoir suivi toute au long de la journée l’approvisionnement du maquis en viande de brousse. Ensuite, il aurait attendu tard dans la nuit pour pouvoir voler.

Cependant, face à cela ce voleur a été conduit devant le parquet pour vol de nuit avec effraction. Quant au propriétaire du maquis, il a été informé par la patrouille. Aussi, notons que toute sa viande lui a été rendue.

Politique, économie et santé au menu des quotidiens marocains

Le discours du Trône et l’évolution, la situation épidémiologique au Maroc et la contrefaçon des billets de banque sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mardi.+Al Bayane+ souligne que comme il fallait s’y attendre, le discours que Sa Majesté le Roi Mohammed VI vient de prononcer au peuple marocain, à l’occasion du 21ème anniversaire de son intronisation, avait une charge sociale à foison, relevant qu’il est bien évident que la pandémie qui infligeait, au fil du temps, des coups cinglants à la santé des populations et à l’économie, a mis le pays dans un état de banqueroute désastreuse.

« L’effort éléphantesque du royaume pour juguler le fléau, en forte grimpée, sous les directives éclairées de Sa Majesté, fut l’objet d’admiration des observateurs de toute la planète », explique le journal, notant qu’à suivre la confection idéelle du discours royal, on se rend compte qu’elle se fonde essentiellement sur un seul piédestal, celui du souci permanent vis-à-vis de l’élément humain.

Abordant la situation épidémiologique, +Aujourd’hui le Maroc+ écrit que l’évolution des indicateurs depuis quelques jours n’a rien de rassurant aussi bien pour les nouveaux cas déclarés que pour le nombre de décès qui monte de jour en jour.

La flambée des chiffres est une situation « normale » par laquelle tous les pays sont passés une fois le déconfinement mis en œuvre, précise la publication, expliquant que le problème n’est pas tant dans la levée du confinement lui-même, mais dans la manière dont il est géré.

Pour le quotidien, un reconfinement ne réglera pas le problème mais contribuera juste à arrêter la flambée naturellement puisque tout sera à l’arrêt. Il permettra également aux pouvoirs publics de profiter de quelques jours de répit pour bien préparer une seconde tentative de déconfinement qui serait cette fois-ci mieux déployée et surtout, rigoureusement suivie et appliquée. « Les stratégistes appellent cette démarche le stop-and-go », précise-t-il.

+Les Inspirations Eco+ fait remarquer qu’au cours de l’année dernière, pas moins de 9.575 faux billets ont été détectés par les autorités monétaires, ce qui représente un volume en progression de 6% sur un an.

La Banque centrale indique en effet, dans son rapport annuel sur la situation économique, monétaire et financière au titre de l’exercice 2019, que les contrefaçons ont particulièrement concerné les billets de 200 dirhams, qui représentent une part de 69% des coupures saisies.

Par série d’émission, les contrefaçons ont notamment concerné celle de 2012, qui représente 46% des billets concernés. En ce qui concerne le ratio de contrefaçon, on apprend que seuls 5,2 billets sur un million de billets en circulation sont contrefaits, ce qui demeure un niveau faible en comparaison à la situation internationale.

La publication souligne aussi que l’entretien de la qualité a porté sur un volume de 3,2 milliards de billets, en augmentation de 5%, dont 85% effectué par les centres privés de tri (CPT) et le reste par la Banque centrale. Le rapport montre également que le traitement des CPT a permis de produire 1,7 milliard de billets valides recyclés directement dans les banques et 474 millions de billets valides versés à la Banque centrale, soit un taux de recyclage global de 79%.

Présidence à la FIF : Sory Diabaté démarre sa campagne à Adzopé

Candidat à la présidence de la FIF, Sory Diabaté et son staff ont démarré sa campagne dans la ville d’Adzopé.

En effet, après avoir déposé son dossier de candidature le 30 juillet dernier, ce aurait entamé une tournée à l’intérieur du pays. Cette tournée dans l’est du pays, aura pour but de présenter son projet aux membres actifs de la région.

« La zone Est,  compte 8 clubs, ce qui est énorme. Il était donc important pour nous de commencer notre tournée de présentation et d’explication de notre projet, par cette zone », a-t-il indiqué.

À l’en croire, il ne serait pas venu perdre le temps dans des crises inutiles. Selon lui, il aurait acquis de l’expérience au cours de ces 18 ans dans le monde sportif ivoirien. Pour ce faire, il voudrait mettre ses acquis au service du football ivoirien.

Cependant, rappelons que pour cette course à la présidence de la FIF, trois candidats sont lices. Notamment, Idriss Diallo, Didier Drogba et Sory Diabaté. Cette compétition s’annonce rude au vu des éléments inattendus, qui font jaser la toile.

De plus, soulignons que le comité électoral de la FIF a cinq jours pour trancher sur les différents dossiers en leur possession. Elle a débuté depuis le samedi 01 août, pour prendre fin le mercredi 05 août 2020.

Hamed Bakayoko prend ses fonctions de premier ministre

Ce mardi 04 août 2020, le nouveau premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko a pris ses fonctions.

En effet, le nouveau premier ministre de la Côte d’ivoire a été reçu à la primature par un accueil chaleureux de la garde d’honneur. Quant à ses collaborateurs, tous l’attendaient à l’intérieur des locaux. Cette prise de service s’est faite dans l’application des strictes mesures édictées par le conseil nation de sécurité. Et ce, en raison de la Covid-19.

Par ailleurs, rappelons que M. Bakayoko a été nommé le jeudi 30 juillet dernier au poste de premier ministre de la Côte d’ivoire. Sa nomination a été procédée par la signature d’un décret du président de la République, Alassane Ouattara.

Toutefois, soulignons que ce dernier cumulera ce nouveau poste de premier ministre, avec son ancien poste. Notamment, celui de ministre de la défense.

Hamed Bakayoko, succédant à Gon Coulibaly qui s’est éteint le 08 juillet dernier, devra affronter ce nouveau défi.

https://www.facebook.com/HamedBakayokoOfficiel/videos/295481998181482/

La presse sénégalaise indignée par le saccage du journal Les Échos

Les quotidiens sénégalais parus, ce mardi, accordent un traitement de faveur au saccage du journal Les Échos, après qu’il a publié un article faisant état de la contamination du guide des Moustarchidines, Serigne Moustapha Sy, au coronavirus. »Saccage des locaux du quotidien Les Échos: Le Synpics, le Cdeps et le Forum civil s’indignent », rapporte Sud Quotidien, qui fait état de plusieurs dégâts matériels.

« Les Échos subit la furie des nervis moustarchidines…qui saccagent sa rédaction », renchérit Vox Populi. Parlant d’attaque contre la presse, EnQuête note que ce saccage serait l’oeuvre de talibés de Serigne Moustapha Sy en colère.

« Saccage du journal Les Échos: PUR barbarie », titre Le Quotidien, soulignant que le parti de Serigne Moustapha Sy, le PUR, déclare adresser ses avertissements à la rédaction dudit journal. Selon nos confrères, la Section de recherches de la gendarmerie a ouvert une enquête.

 Aprés cinq mois de Covid-19 au Sénégal, L’As note que « la peur cède à l’amusement ». « Coronavirus et évacuation sanitaire: Les dures réalités locales », titre EnQuête. Selon ce journal, coincés au pays, certains VIP sont confrontés aux dures réalités du système sanitaire national, marqué par des plateaux au rabais, des personnels insuffisants et des conditions d’hygiène peu reluisantes.

À propos de la gestion de la pandémie,  Walf Quotidien affiche « le sermon du Khalife général des tidianes » qui demande à l’Etat de dire la vérité aux Sénégalais.

« Gestion de la Covid-19: Le Khalife des tidianes asséne ses vérités. Serigne Babacar Sy Mansour dans la mystique de la riposte », poursuit Rewmi Quotidien. À la Une de Vox Populi, le guide religieux lance aux autorités: « Dites la vérité aux Sénégalais. La population n’a pas encore compris la gravité de la situation. Que les gens arrêtent de parler et se mettent au travail ».