Huawei fait montre d’une sécurité sociale et spatiale réussie face à la Covid-19 en Côte d’Ivoire

La pandémie de Covid-19 a affecté l’élan de travail et le portefeuille de plusieurs entreprises, mais Huawei Côte d’Ivoire, a tiré son épingle du jeu, faisant montre d’une sécurité sociale et spatiale réussie, rapporte le journaliste ivoirien Fernand Dédeh, après une visite dans la filiale.Huawei Côte d’Ivoire, filiale du géant informatique chinois, a su organiser l’environnement du travail sur les plans social et spatial pour lutter contre la crise sanitaire, qui a touché fortement de grandes entreprises internationales, dit-il, au vue de son «exemplarité » face à la crise de la Covid-19. 

« Mon incursion dans les locaux de l’entreprise à Abidjan-Plateau, à l’immeuble Botreau Russell, a suffi pour me rendre compte du degré de mobilisation et de responsabilité de cette entreprise en temps de crise », explique M. Dédeh.

En effet, ajoute-t-il, « pour assurer la sécurité de ses employés et partenaires, Huawei a très vite adopté des mesures strictes, et ce dès le déclenchement de la crise sanitaire ».

Pour assurer la sécurité de ses employés et des visiteurs, l’administration a très vite édicté des mesures strictes en interne. Et ce, dès le déclenchement de la pandémie. Ainsi, avant d’avoir accès aux bureaux, employés et visiteurs arborent obligatoirement un masque et se plient à une prise de température corporelle. 

Depuis le début de la crise sanitaire, le télé-travail, déjà utilisé par les équipes pour respecter des délais de commandes ou concevoir des logiciels, est comme encré dans l’ADN du personnel. Cette culture a donné à l’entreprise de toujours garder son fil d’activités.

De ce fait, la plupart des salariés ont été invités à demeurer chez eux. Toutefois, l’entreprise a mis à leur disposition une connexion internet pour poursuivre leurs activités. Et quand, la nécessité d’échanger s’imposent, ils ont recours à la visioconférence.

Les plateformes de télé-travail de la filiale, pouvant réunir jusqu’à 200 personnes par séance, ont permis de débattre sur des opportunités et les limites créées par la crise de la Covid-19. Les déplacements vers les bureaux, note-t-il, se font selon le nombre requis pour les rassemblements.

L’occupation des espaces respecte la limitation des rassemblements et la distanciation sociale, avec  un effectif réduit, parfois, de moitié, afin d’obéir aux règles édictées par les autorités ivoiriennes. Une disposition qui protège les employés.

La désinfection quotidienne des locaux est de mise. Car, le virus ne doit pas pénétrer l’espace de travail. Ainsi, chaque salarié est doté d’un gel hydro-alcoolique par semaine. Ensuite, la direction délivre au personnel des repas riches en protéines, pour renforcer leur système immunitaire, renseigne l’influent journaliste. 

La filiale a, sur le plan financier, tenu ses engagements malgré les effets désastreux de la crise sanitaire, qui a aussi réduit, à travers le monde entier le chiffre d’affaires du groupe. Huawei a assuré entièrement les salaires de ses employés.

La Côte d’Ivoire, l’un des pays les plus touchés de l’Afrique de l’Ouest, enregistre aujourd’hui plus de 5 000 cas de contamination à la Covid-19. Le premier cas a été détecté le 11 mars 2020, ce qui a amené l’Etat à déployer un plan de riposte.

Paris : Djalega Léon Gnahoré, le héros qui a secouru les occupants d’un bâtiment en feu

Le jeune ivoirien de 31 ans, Djalega Léon Gnahore a porté secours aux habitants d’un immeuble en feu dans la ville de Paris en France.

Cet employé d’une société d’entretien et de nettoyage sortait les poubelles le jeudi vers 7h45 dans l’immeuble du XIVe arrondissement de Paris. Pendant ce temps, il aperçoit de la fumée s’échappant du 2e étage. Sans hésiter, il fonce alors dans le bâtiment afin de prévenir les habitants dont la majorité était encore endormis. « J’ai commencé à frapper aux portes du rez-de-chaussée et à crier pour réveiller tout le monde, raconte Djalega en jetant souvent un œil sur les briques calcinées. Et je suis monté au 2e étage, car je sais qu’il y a une dame très âgée. Elle est sourde et ne voit plus très bien».

Lorsqu’il parvient à la rejoindre, c’est le choc : « Elle avait le feu sur sa tête ! J’ai retiré mon tee-shirt pour éteindre les flammes dans ses cheveux et je l’ai portée pour sortir en catastrophe. Je ne voyais pas grand-chose avec la fumée », rapporte franceinfo.

Djalega  est quand même parvenus à sortir. Entre-temps sur place sont arrivés les sapeurs-pompiers qui ont pris la charge tout en exigeant à ce dernier d’aller aussi à l’hôpital parce que « j’avais respiré beaucoup de fumée. Je n’avais rien senti moi. On a été séparés avec la dame mais on m’a dit qu’elle allait bien. Je suis content».

Arrivé en France en décembre 2018, l’ancien vendeur de téléphones à Abidjan a convergé vers la France dans l’espoir de trouver  une meilleure vie. L’homme courageux affirme que la marche s’est avérée difficile mais il tient le coup « ça n’a pas été facile mais j’aime mon travail. Je suis très touché car les habitants m’ont applaudi». Lâche Djalega dans un grand sourire.

Côte d’Ivoire: Un faux pasteur torture sa fille qu’il accuse de sorcellerie en plein direct sur Facebook

Un jeune homme nommé Franck Otchoumou, habitant le quartier Colombie des Deux plateaux à Abidjan (Côte d’Ivoire) a été arrêté par la police. Ce jeune homme infligeait des sévices à sa fille, qu’il filmait et diffusait en direct sur Facebook.

Une vidéo d’une durée de plus d’une heure de temps illustre le jeune Franck Otchoumou, se déclarant serviteur de Dieu. Dans un long monologue, le jeune présente sa fille et l’accuse de sorcellerie. Selon le faux pasteur, la fillette n’aurait pas fermé une porte de la maison et la soumet à un interrogatoire musclé.

Soudain, jeune homme se lance dans une séance d’exorcisme en déshabillant la fillette. Il lui met du sel dans ses parties intimes, espérant obtenir des aveux. Les cries et les supplications de sa fille ne semble pas inquiéter Franck Otchoumou. La vidéo devient illisible mais on entend toujours la fillette pleurer et crier, tandis que l’homme aligne des mots de rage.

Il a fallu l’intervention des administrateurs qui ont pris connaissance de la fameuse vidéo, et ont aussitôt alerté le commissariat le plus proche à savoir le 12ème arrondissement de Cocody. « Les équipes de secours une fois sur place ont été confrontés à un refus du « pasteur » d’ouvrir la porte. Pendant ce temps, la petite fille dont nous ignorons l’âge subissait toutes sortes d’agressions. Les policiers sur ordre de madame le commissaire ont réussi à avoir accès à la maison et ont mis aux arrêts le « Pasteur » du nom de Otchoumou Franck. La jeune fille a été automatiquement prise en charge par un médecin », indique Police Secours.

Civid-19: Levée partielle du confinement au Botswana

Le Botswana a levé mardi la mesure de confinement imposée aux habitants de la capitale Gaborone la semaine dernière, après que 16 personnes suspectées d’avoir contracté le coronavirus ont été déclarées négatives, a déclaré le directeur des services sanitaires, Malaki Tshipayagae.La levée de cette mesure sur la région du Grand Gaborone a été annoncée par le président Mokgweetsi Masisi dans une édition spéciale du journal officiel lundi, dans lequel il a révélé que les restrictions qui s’appliquaient depuis la semaine dernière seraient levées à partir de minuit le 15 juin.

 « La levée du confinement est basée sur les preuves soumises par le directeur des services de santé selon lesquelles les risques posés par la Covid-19 pour la zone du Grand Gaborone ont diminué », a déclaré M. Masisi.

Il a toutefois exhorté les Botswanais à éviter « les déplacements non essentiels, à moins d’avoir une autorisation » particulière, et à respecter les règles strictes d’hygiène et de distanciation physique.

L’interdiction des déplacements entre les épicentres de la maladie est maintenue, sauf pour se rendre dans des exploitations agricoles ou à des funérailles, selon le règlement publié au Journal officiel lundi.

Les entreprises, les écoles et les lieux de culte pourront rouvrir lorsqu’ils auront convaincu le directeur des services de santé de leur « capacité à prévenir la propagation de la Covid-19 ».

Le Botswana est l’un des pays le moins touché par le coronavirus. A la date du 16 juin, le pays n’a enregistré que 60 cas confirmés dont 24 guérisons et un décès.

Civid-19: Levée partielle du confinement au Botswana

Le Botswana a levé mardi la mesure de confinement imposée aux habitants de la capitale Gaborone la semaine dernière, après que 16 personnes suspectées d’avoir contracté le coronavirus ont été déclarées négatives, a déclaré le directeur des services sanitaires, Malaki Tshipayagae.La levée de cette mesure sur la région du Grand Gaborone a été annoncée par le président Mokgweetsi Masisi dans une édition spéciale du journal officiel lundi, dans lequel il a révélé que les restrictions qui s’appliquaient depuis la semaine dernière seraient levées à partir de minuit le 15 juin.

 « La levée du confinement est basée sur les preuves soumises par le directeur des services de santé selon lesquelles les risques posés par la Covid-19 pour la zone du Grand Gaborone ont diminué », a déclaré M. Masisi.

Il a toutefois exhorté les Botswanais à éviter « les déplacements non essentiels, à moins d’avoir une autorisation » particulière, et à respecter les règles strictes d’hygiène et de distanciation physique.

L’interdiction des déplacements entre les épicentres de la maladie est maintenue, sauf pour se rendre dans des exploitations agricoles ou à des funérailles, selon le règlement publié au Journal officiel lundi.

Les entreprises, les écoles et les lieux de culte pourront rouvrir lorsqu’ils auront convaincu le directeur des services de santé de leur « capacité à prévenir la propagation de la Covid-19 ».

Le Botswana est l’un des pays le moins touché par le coronavirus. A la date du 16 juin, le pays n’a enregistré que 60 cas confirmés dont 24 guérisons et un décès.

Le Soudan s’oppose à l’extradition d’Omar el-Béchir à la CPI

Le procureur général de Khartoum a déclaré que l’ancien président Omar el-Béchir et d’autres Soudanais recherchés par la Cour pénale internationale, pour crimes de guerre ne seront pas extradés, a appris APA mardi.S’exprimant lundi, Tagelsir al-Hebir a déclaré qu’il n’y aura peut-être pas d’extradition de citoyens de soudanais vers la CPI puisqu’ils ne se présenteront pas nécessairement en personne à La Haye pour leur procès.

 Sans parler d’el-Béchir personnellement, le procureur général a affirmé qu’il pourrait y avoir des obstacles de nature juridique à l’extradition des personnes recherchées par la CPI.

 Toutefois, le dirigeant n’a pas exclu de coopérer avec la CPI sur d’autres sujets.

 Deux mandats d’arrêt de la CPI ont été émis contre el-Béchir pour son rôle présumé dans le meurtre de civils pendant le conflit dans la région soudanaise du Darfour au début des années 2000.

 Il est accusé de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité depuis 2009.

 L’ancien dirigeant Soudanais, évincé à la suite de violentes protestations l’année dernière, avait rejeté les accusations contre lui, les qualifiant « d’absurdes ».

 Les déclarations de Tagelsir al-Hebir interviennent alors qu’Ali Kushayb, l’homme accusé d’avoir joué un rôle majeur dans les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité au Darfour occidental, a plaidé lundi non coupable des accusations portées devant la CPI.

Ali Kushayb, qui est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité au Darfour, est apparu en République centrafricaine la semaine dernière où il s’est rendu à la CPI.

 Apparaissant devant la CPI une semaine après s’être rendu en République centrafricaine, Kushayb a soutenu avoir commis aucun crime au Darfour.

  Il est accusé d’avoir joué un rôle actif dans le conflit au Darfour entre 2000 et 2004, ce qui a donné lieu à un mandat d’arrêt contre lui en 2007.

 Le conflit au Darfour a entraîné la mort d’environ 300.000 personnes et le déplacement de millions d’autres.

Le Soudan s’oppose à l’extradition d’Omar el-Béchir à la CPI

Le procureur général de Khartoum a déclaré que l’ancien président Omar el-Béchir et d’autres Soudanais recherchés par la Cour pénale internationale, pour crimes de guerre ne seront pas extradés, a appris APA mardi.S’exprimant lundi, Tagelsir al-Hebir a déclaré qu’il n’y aura peut-être pas d’extradition de citoyens de soudanais vers la CPI puisqu’ils ne se présenteront pas nécessairement en personne à La Haye pour leur procès.

 Sans parler d’el-Béchir personnellement, le procureur général a affirmé qu’il pourrait y avoir des obstacles de nature juridique à l’extradition des personnes recherchées par la CPI.

 Toutefois, le dirigeant n’a pas exclu de coopérer avec la CPI sur d’autres sujets.

 Deux mandats d’arrêt de la CPI ont été émis contre el-Béchir pour son rôle présumé dans le meurtre de civils pendant le conflit dans la région soudanaise du Darfour au début des années 2000.

 Il est accusé de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité depuis 2009.

 L’ancien dirigeant Soudanais, évincé à la suite de violentes protestations l’année dernière, avait rejeté les accusations contre lui, les qualifiant « d’absurdes ».

 Les déclarations de Tagelsir al-Hebir interviennent alors qu’Ali Kushayb, l’homme accusé d’avoir joué un rôle majeur dans les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité au Darfour occidental, a plaidé lundi non coupable des accusations portées devant la CPI.

Ali Kushayb, qui est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité au Darfour, est apparu en République centrafricaine la semaine dernière où il s’est rendu à la CPI.

 Apparaissant devant la CPI une semaine après s’être rendu en République centrafricaine, Kushayb a soutenu avoir commis aucun crime au Darfour.

  Il est accusé d’avoir joué un rôle actif dans le conflit au Darfour entre 2000 et 2004, ce qui a donné lieu à un mandat d’arrêt contre lui en 2007.

 Le conflit au Darfour a entraîné la mort d’environ 300.000 personnes et le déplacement de millions d’autres.

Droits de l’Homme: partenariat entre le CNDH et l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI) ont signé mardi à Abidjan un contrat cadre de partenariat en vue de promouvoir l’enseignement à distance sur les questions des droits de l’Homme, lors d’une cérémonie.Ce partenariat du CNHD avec l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire vise à « valoriser la formation à distance et permettre à ceux qui ne peuvent pas se former en présentiel à l’Université des droits de l’Homme, ici au siège, de le faire à travers les TIC », a dit le présidente du Conseil, Mme Namizata Sangaré.  

Selon Mme Namizata Sangaré, les formations sur les droits de l’Homme dispensées au siège du CNDH sont fortement demandées à l’intérieur du pays et ne peuvent pas toucher une grande masse. Ce partenariat vient mettre à la portée de tous les habitants ces formations. 

« Plus les populations connaîtront leurs droits, plus ils les revendiqueront utilement », a soutenu la présidente du CNDH, qui veut davantage vulgariser tout le dispositif de protection mis en place par l’Etat de Côte d’Ivoire pour protéger les droits des populations vivant sur le sol ivoirien. 

Les TIC offrent de nouveaux outils d’enseignement à différents niveaux d’éducation, partant de l’enseignement primaire au supérieur. Au regard de son mandat et de ses besoins, le CNDH a pris attache avec l’UVCI en vue de solliciter et bénéficier de son expertise dans l’atteinte de ses objectifs. 

Les parties ayant constaté une opportunité de partage d’expériences, ont manifesté la volonté de nouer un accord de partenariat. Le directeur de l’UVCI, Tiémoman Koné, s’est félicité de cet acte « historique » et de ce partenariat local.  

Les termes du contrat de partenariat stipulent toutefois qu’il devrait être conclu un protocole d’application qui précisera les conditions de réalisation de la convention. Il est conclu pour une durée d’un an et renouvelable par tacite reconduction.   

Pour être émergent, soulignera M. Koné, un pays doit avoir « au moins 2% de sa population dans l’enseignement supérieur, un indicateur au niveau de l’Unesco », or la Côte d’Ivoire, avec quelque 25 millions d’habitants, enregistre 250 000 étudiants dans le supérieur, soit un taux de 1%. 

L’Université virtuelle de Côte d’Ivoire vise notamment à former une masse critique de personnes dans le pays. Pour M. Koné, le numérique est une solution pour assurer la formation aux différentes couches sociales, développer des thématiques et des initiatives. 

Les populations pourront grâce à ce partenariat, accéder à des thèses sur des sujets relatifs aux droits de l’Homme, dans les différentes universités publiques. Ce contrat devrait aussi permettre l’accompagnent du CNDH dans sa stratégie d’animation de l’Université des droits de l’Homme.

Ce partenariat vise en outre l’accompagnement du CNDH dans sa transformation digitale, entre autres, la mise en place d’une bibliothèque numérique, et le renforcement des capacités des enseignants du Conseil, du personnel administratif et technique de l’institution via les ressources virtuelles de l’UVCI.    

Droits de l’Homme: partenariat entre le CNDH et l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire

Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI) ont signé mardi à Abidjan un contrat cadre de partenariat en vue de promouvoir l’enseignement à distance sur les questions des droits de l’Homme, lors d’une cérémonie.Ce partenariat du CNHD avec l’Université virtuelle de Côte d’Ivoire vise à « valoriser la formation à distance et permettre à ceux qui ne peuvent pas se former en présentiel à l’Université des droits de l’Homme, ici au siège, de le faire à travers les TIC », a dit le présidente du Conseil, Mme Namizata Sangaré.  

Selon Mme Namizata Sangaré, les formations sur les droits de l’Homme dispensées au siège du CNDH sont fortement demandées à l’intérieur du pays et ne peuvent pas toucher une grande masse. Ce partenariat vient mettre à la portée de tous les habitants ces formations. 

« Plus les populations connaîtront leurs droits, plus ils les revendiqueront utilement », a soutenu la présidente du CNDH, qui veut davantage vulgariser tout le dispositif de protection mis en place par l’Etat de Côte d’Ivoire pour protéger les droits des populations vivant sur le sol ivoirien. 

Les TIC offrent de nouveaux outils d’enseignement à différents niveaux d’éducation, partant de l’enseignement primaire au supérieur. Au regard de son mandat et de ses besoins, le CNDH a pris attache avec l’UVCI en vue de solliciter et bénéficier de son expertise dans l’atteinte de ses objectifs. 

Les parties ayant constaté une opportunité de partage d’expériences, ont manifesté la volonté de nouer un accord de partenariat. Le directeur de l’UVCI, Tiémoman Koné, s’est félicité de cet acte « historique » et de ce partenariat local.  

Les termes du contrat de partenariat stipulent toutefois qu’il devrait être conclu un protocole d’application qui précisera les conditions de réalisation de la convention. Il est conclu pour une durée d’un an et renouvelable par tacite reconduction.   

Pour être émergent, soulignera M. Koné, un pays doit avoir « au moins 2% de sa population dans l’enseignement supérieur, un indicateur au niveau de l’Unesco », or la Côte d’Ivoire, avec quelque 25 millions d’habitants, enregistre 250 000 étudiants dans le supérieur, soit un taux de 1%. 

L’Université virtuelle de Côte d’Ivoire vise notamment à former une masse critique de personnes dans le pays. Pour M. Koné, le numérique est une solution pour assurer la formation aux différentes couches sociales, développer des thématiques et des initiatives. 

Les populations pourront grâce à ce partenariat, accéder à des thèses sur des sujets relatifs aux droits de l’Homme, dans les différentes universités publiques. Ce contrat devrait aussi permettre l’accompagnent du CNDH dans sa stratégie d’animation de l’Université des droits de l’Homme.

Ce partenariat vise en outre l’accompagnement du CNDH dans sa transformation digitale, entre autres, la mise en place d’une bibliothèque numérique, et le renforcement des capacités des enseignants du Conseil, du personnel administratif et technique de l’institution via les ressources virtuelles de l’UVCI.    

Diplomatie : Alassane Ouattara accorde un entretien à l’ambassadeur d’Allemagne en Côte d’ivoire

Le Président de la République de la Côte d’ivoire Alassane OUATTARA, s’est entretenu, ce mardi 16 juin 2020, avec l’Ambassadeur d’Allemagne en Côte d’Ivoire, S.E.M. Michael GRAU. Cet échange, s’est déroulé au sein du Palais de la Présidence de la République de Côte d’ivoire.
À cet effet, le diplomate allemand est venu faire ses adieux au Chef de l’Etat ivoirien. Rappelons que ce dernier se situe à la fin de sa mission en Côte d’ivoire. Aussi, il a réaffirmé la détermination de son pays à œuvrer au renforcement de la coopération avec la Côte d’Ivoire.
Toutefois, ce dernier a évoqué les efforts supplémentaires faits par l’Allemagne en faveur de l’Afrique dans le cadre du programme ‘’Compact With Africa’. Cette initiative vise à encourager les échanges commerciaux et à inciter les entreprises allemandes à investir sur le continent africain.
En outre, Michael GRAU a félicité Alassane OUATTARA pour la bonne gestion de la crise sanitaire liée à la covid-19. Plus particulièrement en exprimant sa solidarité au peuple ivoirien suite à l’attaque terroriste intervenue le jeudi 11 juin 2020 à Kafolo.
Pour terminer cet entretien, le Diplomate allemand a souhaité un climat de paix  pour l’élection présidentielle ivoirienne d’octobre prochain.