Covid-19: l’UA ouvre une pharmacie en ligne pour des fournitures médicales

L’Union africaine (UA) a mis en place une pharmacie en ligne pour permettre à ses Etats membres d’accéder à des fournitures médicales essentielles pour lutter contre la pandémie de coronavirus, a déclaré vendredi le président de l’Union, Cyril Ramaphosa.Le président sud-africain s’exprimait à l’occasion du lancement de la Plateforme africaine des fournitures médicales lors d’une conférence de presse virtuelle à Pretoria.

Cette pharmacie unique de l’UA est une initiative à but non lucratif conçue pour servir de réponse immédiate, intégrée et pratique à la pandémie de Covid-19, a déclaré Ramaphosa.

Il a ajouté que les Etats membres de l’UA pourraient s’approvisionner en fournitures médicales directement auprès des fabricants pour les quantités nécessaires et à des prix compétitifs.

« Une fois qu’un vaccin sera disponible, il sera également ajouté à ce portail conformément à notre engagement déclaré de garantir un accès équitable à toute forme de médicament salvateur », a-t-il déclaré.

Il a révélé que les ressources « seront garanties par les gouvernements sur la base d’un quota déterminé, entre autres, par le niveau de vulnérabilité. Les avantages d’une telle mise en commun des ressources sont innombrables. »

Ramaphosa a déclaré que les pays auraient facilement accès à un marché en ligne en un clic, par opposition au «processus onéreux et long de parcourir le monde pour se procurer ces fournitures médicales».

« Considérez-le comme l’Amazonie, l’Alibaba ou même l’eBay des ressources de coronavirus sur le continent africain – fabriquées en Afrique par des Africains – la différence fondamentale étant que sur cette plateforme, l’acheteur n’est pas un groupe d’individus mais des gouvernements », a-t-il ajouté.

La plateforme africaine des fournitures médicales a été développée en partenariat avec la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), au nom des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies, a poursuivi le président de l’UA.

Afreximbank facilitera les paiements, tandis que les partenaires logistiques, y compris les transporteurs nationaux africains et les transitaires mondiaux, vont accélérer la livraison, a-t-il conclu.

Covid-19: l’UA ouvre une pharmacie en ligne pour des fournitures médicales

L’Union africaine (UA) a mis en place une pharmacie en ligne pour permettre à ses Etats membres d’accéder à des fournitures médicales essentielles pour lutter contre la pandémie de coronavirus, a déclaré vendredi le président de l’Union, Cyril Ramaphosa.Le président sud-africain s’exprimait à l’occasion du lancement de la Plateforme africaine des fournitures médicales lors d’une conférence de presse virtuelle à Pretoria.

Cette pharmacie unique de l’UA est une initiative à but non lucratif conçue pour servir de réponse immédiate, intégrée et pratique à la pandémie de Covid-19, a déclaré Ramaphosa.

Il a ajouté que les Etats membres de l’UA pourraient s’approvisionner en fournitures médicales directement auprès des fabricants pour les quantités nécessaires et à des prix compétitifs.

« Une fois qu’un vaccin sera disponible, il sera également ajouté à ce portail conformément à notre engagement déclaré de garantir un accès équitable à toute forme de médicament salvateur », a-t-il déclaré.

Il a révélé que les ressources « seront garanties par les gouvernements sur la base d’un quota déterminé, entre autres, par le niveau de vulnérabilité. Les avantages d’une telle mise en commun des ressources sont innombrables. »

Ramaphosa a déclaré que les pays auraient facilement accès à un marché en ligne en un clic, par opposition au «processus onéreux et long de parcourir le monde pour se procurer ces fournitures médicales».

« Considérez-le comme l’Amazonie, l’Alibaba ou même l’eBay des ressources de coronavirus sur le continent africain – fabriquées en Afrique par des Africains – la différence fondamentale étant que sur cette plateforme, l’acheteur n’est pas un groupe d’individus mais des gouvernements », a-t-il ajouté.

La plateforme africaine des fournitures médicales a été développée en partenariat avec la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), au nom des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies, a poursuivi le président de l’UA.

Afreximbank facilitera les paiements, tandis que les partenaires logistiques, y compris les transporteurs nationaux africains et les transitaires mondiaux, vont accélérer la livraison, a-t-il conclu.

Maroc/Covid-19 : Explosion du nombre de cas de contamination, 539 cas en 24 heures

Un nombre inquiétant de cas de contamination au Covid-19 a été enregistré ce vendredi au Maroc, avec 539 cas détectés en 24 heures, portant le nombre total de cas confirmés au coronavirus à 9613, annonce le ministère de la santé.Cette explosion est en partie due à un foyer d’infection dans des unités de conditionnement de fraises dans la province de Kénitra, à 40 km de la capitale Rabat.

Outre les 457 nouveaux cas enregistrés dans la région Rabat-Salé-Kénitra, les autres cas ont été détectés dans les régions de Casablanca-Settat (13 cas), Marrakech-Safi (29 cas), Tanger-Tétouan-Al Hoceima (27 cas) et Fès-Meknès (13 cas),  fait savoir le ministère, soulignant que les cas actifs sont au nombre de 1283 au niveau national.

À ce jour, le ministère de la Santé dénombre 213 décès et 8117 guéris. 1283 cas sont encore actifs. Un total de 496.023 cas a été exclu suite à un résultat négatif du laboratoire.

Le ministère a invité les citoyens à porter les masques de protection, à respecter les règles d’hygiène et de sécurité sanitaire ainsi que les mesures préventives prises par les autorités marocaines en faisant preuve de responsabilité et de patriotisme.

Le Maroc a pris une série de mesures drastiques pour enrayer la propagation du virus. Ainsi, un état d’urgence sanitaire a été décrété depuis le 20 mars et prorogé jusqu’au 10 juillet prochain.

Maroc/Covid-19 : Explosion du nombre de cas de contamination, 539 cas en 24 heures

Un nombre inquiétant de cas de contamination au Covid-19 a été enregistré ce vendredi au Maroc, avec 539 cas détectés en 24 heures, portant le nombre total de cas confirmés au coronavirus à 9613, annonce le ministère de la santé.Cette explosion est en partie due à un foyer d’infection dans des unités de conditionnement de fraises dans la province de Kénitra, à 40 km de la capitale Rabat.

Outre les 457 nouveaux cas enregistrés dans la région Rabat-Salé-Kénitra, les autres cas ont été détectés dans les régions de Casablanca-Settat (13 cas), Marrakech-Safi (29 cas), Tanger-Tétouan-Al Hoceima (27 cas) et Fès-Meknès (13 cas),  fait savoir le ministère, soulignant que les cas actifs sont au nombre de 1283 au niveau national.

À ce jour, le ministère de la Santé dénombre 213 décès et 8117 guéris. 1283 cas sont encore actifs. Un total de 496.023 cas a été exclu suite à un résultat négatif du laboratoire.

Le ministère a invité les citoyens à porter les masques de protection, à respecter les règles d’hygiène et de sécurité sanitaire ainsi que les mesures préventives prises par les autorités marocaines en faisant preuve de responsabilité et de patriotisme.

Le Maroc a pris une série de mesures drastiques pour enrayer la propagation du virus. Ainsi, un état d’urgence sanitaire a été décrété depuis le 20 mars et prorogé jusqu’au 10 juillet prochain.

Révision de la liste électorale : Le PDCI plaide pour le report de la date de clôture des opérations

Le PDCI a plaidé ce vendredi 19 juin à Abidjan, pour reporter la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale prévue le 24 juin prochain.

En effet, c’est au d’une conférence de presse que le secrétaire exécutif en chef du PDCI, Maurice Kakou Guikahué a fait cette demande. Selon lui, cela permettra l’enrôlement de plus de personnes sur la liste électorale.

En outre, soulignons que l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne, a débuté le 10 juin dernier. Celle-ci, devrait s’achever normalement le 24 juin 2020.

Toutefois, rappelons que M. Guikahué, avait dénoncé des lourdeurs dans l’établissement des pièces administratives. Notamment, celles requises pour cette opération d’enrôlement. Ainsi qu’un dysfonctionnement de la Commission électorale indépendante (CEI) dans la conduite du processus électoral.

Par ailleurs, il avait indiqué que son parti est attente du verdict de la Cour africaine des droits de l’homme. Et ce, avant son entrée ou non dans cette institution électorale.

Cependant, le PDCI a son avis bien tranché sur l’institution de la CEI. Pour le parti, la CEI est déséquilibrée en faveur du pouvoir et ne répond pas aux standards internationaux. Notons également que l’élection présidentielle ivoirienne, est prévue pour le 31 octobre prochain.

Côte d’Ivoire : Installation d’un call centre pour lutter contre les violences basées sur le Genre

Le ministère ivoirien de la Femme, de la famille et de l’enfant de concert avec le Fonds des Nations-Unies pour la population ( UNFPA) a annoncé jeudi à Abidjan l’installation d’un call center ( Centre d’appel) en vue de lutter contre les violences basées sur le Genre ( VBG) en Côte d’Ivoire.L’annonce a été faite par Mariam Assamoi, chef de cabinet de la ministre ivoirienne de la Femme, de la famille et de l’enfant lors d’une cérémonie de remise de don de l’UNFPA  au Comité national de lutte contre les violences faites aux femmes et enfants (CNLVFE). 

Ce don  de matériels d’équipements d’une valeur d’environ 43 millions FCFA est composé entre autres, d’onduleurs, des ordinateurs portables, des matelas, d’un groupe électrogène, des mégaphones, des kits de lavage des mains, des bottes, des cache-nez et des dispositifs de lavage des mains. Ces équipements permettront notamment de lutter contre les VBG dans le contexte de la COVID-19 et d’équiper le centre d’appel.

« A travers ce don, vous nous permettez de combler un grand vide dans notre réponse en permettant l’installation d’une ligne verte. Elle permettra aux victimes et témoins d’appeler pour dénoncer les cas de VBG et pour avoir les bonnes informations », a dit Mme Assamoi dans un discours au cours de cette cérémonie. 

« Le COVID-19 est toujours présent. Observons les mesures sanitaires, mais restons vigilants par rapport aux cas de VBG dans notre entourage. Nous ne devons pas accepter que cette situation ( de la COVID-19 et de confinement) donne l’occasion à certaines personnes de maltraiter les plus faibles dans les ménages », a exhorté Mme Assamoi qui s’exprimait au nom de la ministre Ramata Ly-Bakayoko.

 Pour part, Dr Almouner Talibo qui représentait l’UNFPA a salué les efforts du gouvernement ivoirien dans la lutte contre les VBG. Poursuivant, il a réaffirmé l’engagement de son institution à accompagner la Côte d’Ivoire dans cette lutte. 

« L’UNFPA s’engage dans la promotion des droits des femmes en Côte d’Ivoire. Nous serons à vos côtés tout au long de cette crise même au-delà », a promis Dr Talibo.

 Chaque année, au moins un cas de viol sur un enfant est signalé dans toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Au cours de l’année 2019, de nombreux cas de viols sur mineurs ont été enregistrés dans différentes localités du pays.

Côte d’Ivoire : Installation d’un call centre pour lutter contre les violences basées sur le Genre

Le ministère ivoirien de la Femme, de la famille et de l’enfant de concert avec le Fonds des Nations-Unies pour la population ( UNFPA) a annoncé jeudi à Abidjan l’installation d’un call center ( Centre d’appel) en vue de lutter contre les violences basées sur le Genre ( VBG) en Côte d’Ivoire.L’annonce a été faite par Mariam Assamoi, chef de cabinet de la ministre ivoirienne de la Femme, de la famille et de l’enfant lors d’une cérémonie de remise de don de l’UNFPA  au Comité national de lutte contre les violences faites aux femmes et enfants (CNLVFE). 

Ce don  de matériels d’équipements d’une valeur d’environ 43 millions FCFA est composé entre autres, d’onduleurs, des ordinateurs portables, des matelas, d’un groupe électrogène, des mégaphones, des kits de lavage des mains, des bottes, des cache-nez et des dispositifs de lavage des mains. Ces équipements permettront notamment de lutter contre les VBG dans le contexte de la COVID-19 et d’équiper le centre d’appel.

« A travers ce don, vous nous permettez de combler un grand vide dans notre réponse en permettant l’installation d’une ligne verte. Elle permettra aux victimes et témoins d’appeler pour dénoncer les cas de VBG et pour avoir les bonnes informations », a dit Mme Assamoi dans un discours au cours de cette cérémonie. 

« Le COVID-19 est toujours présent. Observons les mesures sanitaires, mais restons vigilants par rapport aux cas de VBG dans notre entourage. Nous ne devons pas accepter que cette situation ( de la COVID-19 et de confinement) donne l’occasion à certaines personnes de maltraiter les plus faibles dans les ménages », a exhorté Mme Assamoi qui s’exprimait au nom de la ministre Ramata Ly-Bakayoko.

 Pour part, Dr Almouner Talibo qui représentait l’UNFPA a salué les efforts du gouvernement ivoirien dans la lutte contre les VBG. Poursuivant, il a réaffirmé l’engagement de son institution à accompagner la Côte d’Ivoire dans cette lutte. 

« L’UNFPA s’engage dans la promotion des droits des femmes en Côte d’Ivoire. Nous serons à vos côtés tout au long de cette crise même au-delà », a promis Dr Talibo.

 Chaque année, au moins un cas de viol sur un enfant est signalé dans toutes les régions de la Côte d’Ivoire. Au cours de l’année 2019, de nombreux cas de viols sur mineurs ont été enregistrés dans différentes localités du pays.

3ème édition du concours féminin d’art oratoire: la ville de Grand-Bassam accueille l’évènement

La finale de la 3ème édition du concours d’Art oratoire féminin et de débats se tiendra finalement le mercredi 24 juin 2020 à partir de 9 heures, à Grand-Bassam.

La 3ème édition placée sous le haut parrainage de  Kandia Camara, ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation professionnelle verra de grandes innovations. Le nouveau sujet du concours des oratrices portera sur « Le coronavirus : symptômes, méthodes de préventions et nouveau mode de vie », le changement de thématique, en vue de contribuer à sa manière, non seulement à la lutte contre la pandémie mais aussi à sensibiliser les élèves en faisant d’eux des acteurs actifs dans cette lutte.

Le concours féminin d’art oratoire créé depuis le 21 février 2013 à l’initiative de l’Ong Audace CI, cette compétition a pour objectif principal de « former la jeunesse féminine ivoirienne aux vertus de la prise de parole en public et aux vertus du débat en vue du développement du leadership », relève la présidente de cette édition,  l’écrivaine Flore Hazoumé.

Ce concours dont la première édition s’est tenu en 2018, met uniquement des jeunes filles des lycées et collèges de Côte d’Ivoire en compétition dans les catégories de l’Art oratoire et du débat.

Seront en compétition cette année, 4 oratrices issues de 4 établissements de la ville de Grand-Bassam ce sont :

Kouamé Ellamien Eny Melvyne (2nd C 2) du Lycée d’Excellence Alassane Ouattara,

-Akoi Tanna Ingrid Bréféra (2nd C 1) du Lycée Moderne 2

-Onwuka Peace Sheila Victoria (Tle A 3 ) du Groupe Scolaire Edoukou Miézan

– Mombohi Sarah Princesse Yasmine (4ème 1 ) du Groupe Scolaire Les Patronnages

Au terme de ce concours, quatre (4) Prix seront décernés aux candidates qui seront départagées par un jury de 5 personnes. Notons-le

« Prix Fondation Mayama de la 1ère Meilleure Oratrice »

« Prix Ong Yelenba de la 2ème Meilleure Oratrice »

« Prix Rex O’Neal de la 3ème Meilleure Oratrice »

« Prix Saxer Aviation de la 4ème Meilleure Oratrice »

Cette année, toute la cérémonie de la compétition sera filmée et diffusée sur les réseaux.

Le PDCI demande la prorogation de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne

Le secrétaire exécutif en chef du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ( PDCI, opposition) Maurice Kakou Guikahué a plaidé vendredi à Abidjan pour une prorogation d’au moins deux semaines de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale prévue le 24 juin prochain.« Le PDCI demande la prorogation de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale d’au moins deux semaines», a plaidé M. Guikahué dans une conférence de presse, estimant que cela permettra l’enrôlement de plus de personnes sur la liste électorale. 

Auparavant, il a dénoncé des lourdeurs dans l’établissement des pièces administratives requises pour cette opération d’enrôlement et le « dysfonctionnement » de la Commission électorale indépendante (CEI) dans la conduite du processus électoral. 

« Des gens qui ont voté en 2010 ne figurent plus sur la liste électorale. La CEI serait-elle en train de porter le manteau de l’arbitre et du joueur?», s’est interrogé M. Guikahué.

 De son avis, « cette attitude de la CEI est suspecte ». Dans la foulée, le chef du secrétariat exécutif du PDCI a indiqué que son parti est attente du verdict de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples avant son entrée ou non dans cette institution électorale. 

Le PDCI qui dit ne pas  reconnaître la CEI, soutient que cette institution est « déséquilibrée » en faveur du pouvoir et « ne répond pas aux standards internationaux ». 

L’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs,  a débuté le 10 juin dernier et devrait s’achever le 24 juin prochain. La prochaine élection présidentielle ivoirienne est prévue le 31 octobre prochain.

Le PDCI demande la prorogation de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale ivoirienne

Le secrétaire exécutif en chef du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ( PDCI, opposition) Maurice Kakou Guikahué a plaidé vendredi à Abidjan pour une prorogation d’au moins deux semaines de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale prévue le 24 juin prochain.« Le PDCI demande la prorogation de la date de clôture de l’opération de révision de la liste électorale d’au moins deux semaines», a plaidé M. Guikahué dans une conférence de presse, estimant que cela permettra l’enrôlement de plus de personnes sur la liste électorale. 

Auparavant, il a dénoncé des lourdeurs dans l’établissement des pièces administratives requises pour cette opération d’enrôlement et le « dysfonctionnement » de la Commission électorale indépendante (CEI) dans la conduite du processus électoral. 

« Des gens qui ont voté en 2010 ne figurent plus sur la liste électorale. La CEI serait-elle en train de porter le manteau de l’arbitre et du joueur?», s’est interrogé M. Guikahué.

 De son avis, « cette attitude de la CEI est suspecte ». Dans la foulée, le chef du secrétariat exécutif du PDCI a indiqué que son parti est attente du verdict de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples avant son entrée ou non dans cette institution électorale. 

Le PDCI qui dit ne pas  reconnaître la CEI, soutient que cette institution est « déséquilibrée » en faveur du pouvoir et « ne répond pas aux standards internationaux ». 

L’opération de révision de la liste électorale ivoirienne pour laquelle sont attendus environ 5 millions de nouveaux électeurs,  a débuté le 10 juin dernier et devrait s’achever le 24 juin prochain. La prochaine élection présidentielle ivoirienne est prévue le 31 octobre prochain.