Au moins 15 civils tués dans une attaque terroriste au Burkina Faso

Le gouvernement burkinabè a annoncé, samedi, qu’au moins quinze civils ont été tués, vendredi soir, dans une attaque perpétrée par des groupes armés terroristes, au nord du Burkina Faso, la zone la plus touchée du pays par des actes terroristes.« Le 29 mai, un convoi de commerçants, venant de Titao pour Sollé, a été attaqué par des groupes armés terroristes entre les localités de Dougouma et Ingané » indique un communiqué du ministre de la Communication, Remis Fulgance Dandjinou, cité par la télévision française France 24.

« Le bilan provisoire fait état de 15 morts, de blessés et de personnes portées disparues, et d’importantes pertes matérielles », ajoute M. Dandjinou, par ailleurs porte-parole du gouvernement.

Des renforts militaires ont été déployés sur le terrain avec des ratissages après cette attaque dont les victimes sont pour la plus part des commerçants.

Au Burkina Faso, les attaques terroristes ont déjà fait plus de 900 morts et 860 000 déplacés au cours de ces cinq dernières années.

Au moins 15 civils tués dans une attaque terroriste au Burkina Faso

Le gouvernement burkinabè a annoncé, samedi, qu’au moins quinze civils ont été tués, vendredi soir, dans une attaque perpétrée par des groupes armés terroristes, au nord du Burkina Faso, la zone la plus touchée du pays par des actes terroristes.« Le 29 mai, un convoi de commerçants, venant de Titao pour Sollé, a été attaqué par des groupes armés terroristes entre les localités de Dougouma et Ingané » indique un communiqué du ministre de la Communication, Remis Fulgance Dandjinou, cité par la télévision française France 24.

« Le bilan provisoire fait état de 15 morts, de blessés et de personnes portées disparues, et d’importantes pertes matérielles », ajoute M. Dandjinou, par ailleurs porte-parole du gouvernement.

Des renforts militaires ont été déployés sur le terrain avec des ratissages après cette attaque dont les victimes sont pour la plus part des commerçants.

Au Burkina Faso, les attaques terroristes ont déjà fait plus de 900 morts et 860 000 déplacés au cours de ces cinq dernières années.

Covid-19: Des centaines de Malawites rapatriés d’Afrique du Sud

Quelque 140 ressortissants sans-papiers malawites rapatriés d’Afrique du Sud sont pour la plupart soumis à des dépistages dans un camp médical à Lilongwe dans le cadre de la prévention contre le coronavirus.Ils sont arrivés vendredi soir dans la capitale malawite à bord d’un vol de la compagnie sud-africaine.

 Un second vol de 140 autres est attendu samedi à l’aéroport international Makazu de Lilongwe en provenance de Johannesburg, a confirmé le porte-parole du ministère malawite des Transports et des Infrastructures publiques, James Chakwera.

 Selon lui, toute personne testée positive au nouveau coronavirus serait admise dans des centres d’isolement pour le traitement. Pour les rapatriés qui ne présentent pas de symptômes, il leur sera remis des frais de transport pour leur permettre de rentrer chez eux.

 Des centaines de Malawites étaient déjà convoyés d’Afrique du Sud la semaine dernière à bord d’une douzaine de bus. Quelque 800 passagers étaient isolés au stade de Blantyre dans le but de les dépister au coronavirus.

Cependant, environ 400 d’entre eux s’étaient échappés du stade par laxisme au niveau sécuritaire. Ils se plaignaient du fait que le gouvernement avait failli à leur assurer un logement, de la nourriture et des toilettes adéquats au stade.

 Selon le directeur-pays de l’Organisation Internationale de la migration, Mpilo Nkomo, le gouvernement du Malawi était mal préparé à accueillir les rapatriés et le fait de les rassembler au stade sans matériel de couchage n’était pas une solution.

 M. Nkomo a indiqué que le gouvernement devrait mettre en place des centres d’isolement aux frontières au lieu de faire entrer ces rapatriés dans le pays et les laisser en contact avec les populations sans être dépistés d’avance au virus.

 En réponse à ces reproches, le Secrétaire en chef auprès du gouvernement, Lloyd Muhara, a déclaré que les autorités étatiques ont noté quelques manquements dans la gestion des rapatriements et ne devraient pas tarder à prendre des mesures pour y remédier.

 L’Afrique du Sud met souvent en détention de jeunes ressortissants Malawites à la recherche de travail dans la nation-arc-en-ciel mais en fin de compte ils y restent, malgré l’expiration de leur visa d’accueil d’un mois, pour gagner de l’argent en tant qu’ouvriers.

 Les sans-papiers sont retenus au fameux Centre de détention de Lindella jusqu’à la disponibilité de vols pour les rapatrier au Malawi.

Covid-19: Des centaines de Malawites rapatriés d’Afrique du Sud

Quelque 140 ressortissants sans-papiers malawites rapatriés d’Afrique du Sud sont pour la plupart soumis à des dépistages dans un camp médical à Lilongwe dans le cadre de la prévention contre le coronavirus.Ils sont arrivés vendredi soir dans la capitale malawite à bord d’un vol de la compagnie sud-africaine.

 Un second vol de 140 autres est attendu samedi à l’aéroport international Makazu de Lilongwe en provenance de Johannesburg, a confirmé le porte-parole du ministère malawite des Transports et des Infrastructures publiques, James Chakwera.

 Selon lui, toute personne testée positive au nouveau coronavirus serait admise dans des centres d’isolement pour le traitement. Pour les rapatriés qui ne présentent pas de symptômes, il leur sera remis des frais de transport pour leur permettre de rentrer chez eux.

 Des centaines de Malawites étaient déjà convoyés d’Afrique du Sud la semaine dernière à bord d’une douzaine de bus. Quelque 800 passagers étaient isolés au stade de Blantyre dans le but de les dépister au coronavirus.

Cependant, environ 400 d’entre eux s’étaient échappés du stade par laxisme au niveau sécuritaire. Ils se plaignaient du fait que le gouvernement avait failli à leur assurer un logement, de la nourriture et des toilettes adéquats au stade.

 Selon le directeur-pays de l’Organisation Internationale de la migration, Mpilo Nkomo, le gouvernement du Malawi était mal préparé à accueillir les rapatriés et le fait de les rassembler au stade sans matériel de couchage n’était pas une solution.

 M. Nkomo a indiqué que le gouvernement devrait mettre en place des centres d’isolement aux frontières au lieu de faire entrer ces rapatriés dans le pays et les laisser en contact avec les populations sans être dépistés d’avance au virus.

 En réponse à ces reproches, le Secrétaire en chef auprès du gouvernement, Lloyd Muhara, a déclaré que les autorités étatiques ont noté quelques manquements dans la gestion des rapatriements et ne devraient pas tarder à prendre des mesures pour y remédier.

 L’Afrique du Sud met souvent en détention de jeunes ressortissants Malawites à la recherche de travail dans la nation-arc-en-ciel mais en fin de compte ils y restent, malgré l’expiration de leur visa d’accueil d’un mois, pour gagner de l’argent en tant qu’ouvriers.

 Les sans-papiers sont retenus au fameux Centre de détention de Lindella jusqu’à la disponibilité de vols pour les rapatrier au Malawi.

L’Afrique du Sud exporte des produits anti-COVID vers des pays africains

L’Afrique du Sud a exporté quelque 150 millions de litres de gel antiseptique et des millions de masques vers plusieurs pays africains pour les aider à mieux lutter contre la pandémie du coronavirus, a déclaré le ministre du Commerce et de l’Industrie, Ebrahim Patel. La production, la vente et l’exportation d’équipements de protection individuelle, de solution hydro-alcoolique et d’autres produits de lutte contre le coronavirus était une « belle opportunité » pour l’industrie locale, a indiqué samedi le ministre Patel.

 « Nous avons déjà commencé à exporter des EPIs vers nos voisins et vers d’autres pays du continent », a annoncé le ministre.

 Selon lui, à cause de la pénurie d’EPI constatée dans plusieurs pays africains, ceux-ci demandent à l’Afrique du Sud de les aider à s’en procurer dans le cadre de la lutte contre le virus.

« Il est important que nous le fassions parce que, en tant que pays voisin, les Sud-Africains se sentiront plus en sécurité que quand nous nous assurerons que la maladie ne traverse pas les frontières ».

 Les exportations étaient importantes pour exprimer la solidarité aux pays voisins, notamment le Botswana, l’eSwatini, le Lesotho, la Namibie et la Zambie.

 D’autres pays africains ont également importé des EPI d’Afrique du Sud. Il s’agit entre autres de l’Algérie, de l’Egypte, du Gabon, du Ghana, du Kenya, du Nigeria et de l’Ouganda.

 « A long terme, nous pensons tirer aussi des opportunités économiques. L’Afrique, en tant que continent, doit s’assurer que les pays disposent de la capacité requise pour la production de ces EPI », a souligné le ministre.

« Nous ne devons jamais revivre les pénuries notées au niveau mondial qui mettent en danger la vie des populations », a-t-il alerté.

L’Afrique du Sud exporte des produits anti-COVID vers des pays africains

L’Afrique du Sud a exporté quelque 150 millions de litres de gel antiseptique et des millions de masques vers plusieurs pays africains pour les aider à mieux lutter contre la pandémie du coronavirus, a déclaré le ministre du Commerce et de l’Industrie, Ebrahim Patel. La production, la vente et l’exportation d’équipements de protection individuelle, de solution hydro-alcoolique et d’autres produits de lutte contre le coronavirus était une « belle opportunité » pour l’industrie locale, a indiqué samedi le ministre Patel.

 « Nous avons déjà commencé à exporter des EPIs vers nos voisins et vers d’autres pays du continent », a annoncé le ministre.

 Selon lui, à cause de la pénurie d’EPI constatée dans plusieurs pays africains, ceux-ci demandent à l’Afrique du Sud de les aider à s’en procurer dans le cadre de la lutte contre le virus.

« Il est important que nous le fassions parce que, en tant que pays voisin, les Sud-Africains se sentiront plus en sécurité que quand nous nous assurerons que la maladie ne traverse pas les frontières ».

 Les exportations étaient importantes pour exprimer la solidarité aux pays voisins, notamment le Botswana, l’eSwatini, le Lesotho, la Namibie et la Zambie.

 D’autres pays africains ont également importé des EPI d’Afrique du Sud. Il s’agit entre autres de l’Algérie, de l’Egypte, du Gabon, du Ghana, du Kenya, du Nigeria et de l’Ouganda.

 « A long terme, nous pensons tirer aussi des opportunités économiques. L’Afrique, en tant que continent, doit s’assurer que les pays disposent de la capacité requise pour la production de ces EPI », a souligné le ministre.

« Nous ne devons jamais revivre les pénuries notées au niveau mondial qui mettent en danger la vie des populations », a-t-il alerté.

Sénégal : Hausse de 433,40 milliards de FCFA de la masse monétaire en février

La masse monétaire du Sénégal a connu une augmentation de 433,40 milliards de FCFA (environ 693,440 millions de dollars) au mois de février 2020 comparée à la même période de l’année 2019, a appris samedi APA auprès de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).Cette masse monétaire s’est établie à 5590,3 milliards de FCFA durant la période sous revue contre 5156,9 milliards de FCFA au mois de février 2019, soit une progression de 8,4% en valeur relative (1 FCFA équivaut à 0,0016 dollar). Cette situation est occasionnée principalement  par les dépôts transférables (plus 15,3% à 2611,5 milliards de FCFA). Les autres dépôts inclus dans la masse monétaire (plus 3,6% à 1695,9 milliards de FCFA) et la circulation fiduciaire (plus 2,2% à 1282,9 milliards de FCFA). 

Par rapport au mois de janvier 2020 où elle se situait à 5544,1 milliards de FCFA, la masse monétaire a connu un accroissement de 46,2 milliards de FCFA en valeur absolue et 0,8% en valeur relative. 

Sénégal : Hausse de 433,40 milliards de FCFA de la masse monétaire en février

La masse monétaire du Sénégal a connu une augmentation de 433,40 milliards de FCFA (environ 693,440 millions de dollars) au mois de février 2020 comparée à la même période de l’année 2019, a appris samedi APA auprès de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).Cette masse monétaire s’est établie à 5590,3 milliards de FCFA durant la période sous revue contre 5156,9 milliards de FCFA au mois de février 2019, soit une progression de 8,4% en valeur relative (1 FCFA équivaut à 0,0016 dollar). Cette situation est occasionnée principalement  par les dépôts transférables (plus 15,3% à 2611,5 milliards de FCFA). Les autres dépôts inclus dans la masse monétaire (plus 3,6% à 1695,9 milliards de FCFA) et la circulation fiduciaire (plus 2,2% à 1282,9 milliards de FCFA). 

Par rapport au mois de janvier 2020 où elle se situait à 5544,1 milliards de FCFA, la masse monétaire a connu un accroissement de 46,2 milliards de FCFA en valeur absolue et 0,8% en valeur relative. 

Présidentielle ivoirienne de 2020: les cybermilitants du RHDP en formation à Abidjan

Un atelier de formation destiné aux relais régionaux et cybermilitants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) en vue de l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain s’est ouvert, samedi à Abidjan, autour du thème, « communication du RHDP, quelle approche participative pour une meilleure efficacité ?».« Nous sommes dans un monde nouveau…où la digitalisation va prendre toute sa place », a déclaré à l’ouverture des travaux, le directeur exécutif du RHDP, Adama Bictogo, relevant que les relais et les cybermilitants ont un «rôle important à jouer dans la sensibilisation, le rapprochement et la propagande».

« L’organisation reste l’arme essentielle pour la victoire », a-t-il poursuivi, notant que le RHDP dispose de deux plateformes pour y parvenir. Il s’agit de la plateforme physique, c’est-à-dire le contact avec le terrain, les populations à travers les acteurs politiques, et de la plateforme numérique où la capacité de toucher des personnes est très importante.

Pendant deux jours, les travaux qui se dérouleront en ateliers et en séances plénières permettront à quelques « 400 personnes ressources qui interviennent sur les réseaux sociaux » de s’approprier le «profil» d’Amadou Gon Coulibaly, candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a expliqué, le Directeur exécutif adjoint du RHDP en charge de la communication, Mamadou Touré.

Cet atelier qui définira par ailleurs, un «message cohérent» de communication dans la « discipline, l’organisation et la structuration » devra  également aboutir à la construction d’une «vraie équipe» de cybermilitants  prêts à défendre « vaille que vaille » l’action du gouvernement et le programme du RHDP sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.  En outre, la stratégie de séduction du RHDP sera présentée  aux participants de cet atelier.

Présidentielle ivoirienne de 2020: les cybermilitants du RHDP en formation à Abidjan

Un atelier de formation destiné aux relais régionaux et cybermilitants du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, au pouvoir) en vue de l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre prochain s’est ouvert, samedi à Abidjan, autour du thème, « communication du RHDP, quelle approche participative pour une meilleure efficacité ?».« Nous sommes dans un monde nouveau…où la digitalisation va prendre toute sa place », a déclaré à l’ouverture des travaux, le directeur exécutif du RHDP, Adama Bictogo, relevant que les relais et les cybermilitants ont un «rôle important à jouer dans la sensibilisation, le rapprochement et la propagande».

« L’organisation reste l’arme essentielle pour la victoire », a-t-il poursuivi, notant que le RHDP dispose de deux plateformes pour y parvenir. Il s’agit de la plateforme physique, c’est-à-dire le contact avec le terrain, les populations à travers les acteurs politiques, et de la plateforme numérique où la capacité de toucher des personnes est très importante.

Pendant deux jours, les travaux qui se dérouleront en ateliers et en séances plénières permettront à quelques « 400 personnes ressources qui interviennent sur les réseaux sociaux » de s’approprier le «profil» d’Amadou Gon Coulibaly, candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle, a expliqué, le Directeur exécutif adjoint du RHDP en charge de la communication, Mamadou Touré.

Cet atelier qui définira par ailleurs, un «message cohérent» de communication dans la « discipline, l’organisation et la structuration » devra  également aboutir à la construction d’une «vraie équipe» de cybermilitants  prêts à défendre « vaille que vaille » l’action du gouvernement et le programme du RHDP sur les réseaux sociaux, a-t-il ajouté.  En outre, la stratégie de séduction du RHDP sera présentée  aux participants de cet atelier.