Congo-Brazzaville : Denis Sassou Nguesso réélu à la tête du pays.

Le président sortant du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, a été réélu avec 88,57 % des voix pour un mandat de cinq ans, selon les résultats provisoires officiels de la Commission électorale, annoncés par le ministre de l’Intérieur.

Les résultats provisoires officiels de la présidentielle au Congo-Brazzaville, annoncés mardi 23 mars, donnent Denis Sassou Nguesso vainqueur avec 88,57 % des voix. Il briguera à la tête du pays un nouveau mandat de cinq ans.

Denis Sassou Nguesso, devance de loin son principal rival Guy-Brice Parfait Kolélas, qui obtient 7,84 % de voix. Mais rappelons que Guy-Brice Parfait Kolélas est décédé ce lundi des suites de la COVID-19. La participation à cette élection présidentielle s’est établie à 67,55 %.

Par ailleurs, l’opposant Mathias Dzon qui a obtenu 1,90 % des voix, a annoncé son intention de déposer un recours pour demander l’annulation du premier tour, qu’il qualifie de « calamiteux ».

Le président Sassou Nguesso, 77 ans dont 36 au pouvoir, pourra encore briguer un nouveau mandat en 2026, selon la révision constitutionnelle qu’il a fait adopter en 2015.

 

Centrafrique : 44 rebelles tués par les forces Républicaines

Des rebelles au nombre de 44 ont été tués lors d’une offensive armée par les forces centrafricaines. Ces derniers ont tenté d’imposer un blocus à la capitale Bangui afin de renverser le régime du président Faustin Archange Touadéra.

Selon les informations données par le gouvernement centrafricain, une cinquantaine de combattants dans la ville de Boyali tentaient de bloquer l’accès vers la capitale. Parmi ces derniers, 44 rebelles ont été neutralisés dont plusieurs mercenaires tchadiens, soudanais et peuls. Notons de plus, que cette intervention a eu lieu dans la ville de Boyali, à une centaine de kilomètres de la capitale Bangui.

Par ailleurs, il faudrait souligner, que le gouvernement centrafricain a annoncé la capture de 3 prisonniers. À en croire le gouvernement, ils auraient été emmenés dans la capitale après l’opération des Forces armées centrafricaines.

Toutefois, rappelons que le 17 décembre dernier, les six groupes armés les plus puissants qui occupaient les deux tiers de la Centrafrique en guerre civile depuis huit ans se sont alliés au sein de la Coalition des patriotes pour le changement (CPC). Par la même occasion ils ont annoncé le 19 décembre, huit jours avant l’élection présidentielle, une offensive dans le but d’empêcher la réélection du président Touadéra.

Présidentielle ivoirienne : les locaux de la CEI vandalisés à Bangolo

À quelques semaines du scrutin présidentiel en Côte d’ivoire, les locaux de la CEI basés à Bangolo ont été vandalisés par des individus.

En effet, le siège de la commission électorale indépendante (CEI) dans la ville de Bangolo, à l’ouest du Pays a été vandalisé le week-end dernier par des individus non identifiés. Cet acte intervient pendant la phase de distribution des cartes d’électeurs pour le scrutin présidentiel du 31 octobre 2020.

Par ailleurs, notons des individus non identifiés ont attaqué le vendredi dernier des sites de la CEI installés à Bangolo empêchant de fait le retrait des cartes d’électeurs et la poursuite de l’opération. Une situation qui a été signalée dans plusieurs bureaux de la commission sur l’étendue du territoire nationale.

Cependant, notons que ces incidents n’ont pas pu empêcher certains citoyens pour le retrait de leurs cartes. À une semaine des élections présidentielles, l’ambiance socio-politique est toujours partagée. D’un côté, l’opposition ivoirienne qui proteste contre le 3e mandat d’Alassane Ouattara. De l’autre côté le pouvoir en place qui demeure ferme dans sa position quant à l’éligibilité du président sortant.

En outre, soulignons que l’opposition ivoirienne a invité la semaine dernière les populations à un boycott actif du scrutin présidentiel.

Rappelons que 4 candidats sont lices pour le fauteuil présidentiel. Il s’agit notamment d’Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié, Pascal Affi N’Guessan et Kouadio Konan Bertin. Toutefois, les présidents du PDCI  et FPI  ont retiré leur candidature. Celle-ci intervient dans le cadre du mot d’ordre de la désobéissance civile.

Election présidentielle 2020: voici les recommandations du CNDH aux acteurs politiques

La situation socio-politique actuelle inquiète le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH). Elle a organisé une Assemblée Générale le 17 septembre dernier qui a examiné avec la plus grande attention le point de son ordre du jour relatif à la situation sociopolitique en lien avec les droits de l’homme et des personnes interpellées à la suite des manifestations publiques organisées ces derniers mois, par des groupements et partis politiques de l’opposition ainsi que certaines organisations de la société civile.

Dans cette optique, du 18 au 23 septembre 2020, la délégation du CNDH a pu rencontrer respectivement les groupements, partis politiques et candidats à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, représentés par les personnalités suivantes : Monsieur Albert Mabri Toikeusse , Président de l’UDPCI et de la plateforme arc-en-ciel, Monsieur Pascal Affi N’Guessan , Président du FPI, Monsieur George Armand Ouégnin , Président de la plateforme EDS, Madame Minata Koné épouse Zié , Coordinatrice et porte-parole par intérim de GPS, Monsieur Kouadio Konan Bertin, candidat indépendant à l’élection présidentielle, Monsieur Henri Konan Bédié , Président du PDCI et de la plateforme CDRP et Monsieur Justin N’Goran Koffi , Directeur Exécutif Adjoint du RHDP.

Les échanges ont permis de prendre la pleine mesure de la gravité de la situation sociopolitique au regard des préoccupations exprimées relativement aux pertes en vies humaines, aux atteintes graves à l’intégrité physique des personnes, aux destructions de biens et aux incarcérations de militants et de manifestants des groupements, partis politiques et organisations de la société civile, telle que rapportées par les parties prenantes et documentés par les soins du CNDH aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays.

Cette situation demeure d’autant plus préoccupante que le CNDH relève tout en le déplorant, un durcissement des discours politiques éloignant les acteurs de la vie publique des voies de résolution pacifique de leurs différends et poussant des militants ou sympathisants des formations politiques à diffuser des appels et des propos violents et haineux dans certains médias et réseaux sociaux.

Le CNDH observe également une résurgence des actes d’incivisme dans ce contexte électoral.

Le  conseil a aussi pris acte des mêmes préoccupations rapportées par certaines organisations non gouvernementales nationales et internationales, quant à la dégradation de la situation sociopolitique, appelant les Autorités nationales à y remédier ; Réitère sa vive préoccupation face à cette situation qui crée assurément les conditions de graves violations des droits de l’Homme et fait peser de graves menaces sur la paix sociale.

En s’inclinant devant la mémoire de tous ceux qui ont perdu la vie lors des évènements récents et tout en souhaitant un prompt rétablissement aux blessés, le CNDH recommande : La prise de mesures nécessaires pour garantir, dans les conditions prescrites par la loi, l’exercice des libertés publiques par l’ensemble des forces politiques de la Nation ; l’ouverture d’un dialogue pressant et inclusif aux fins de trouver des solutions consensuelles durables en rapport avec les préoccupations légitimes des parties prenantes à la vie politique et sociale ; l’engagement de toutes les parties prenantes à l’exercice démocratique des droits et libertés fondamentales, à l’effet de prévenir les violations des droits de l’homme ;l’implication réelle de toutes les parties prenantes à la vie politique et sociale de la Nation, à la recherche de solutions durables en rapport avec leurs préoccupations légitimes ; l’ouverture d’enquêtes sur les allégations de violences constitutives de violations des droits de l’homme, à l’effet de rechercher, de poursuivre et de punir les auteurs ; l’examen avec diligence et dans un délai raisonnable par l’autorité judiciaire, des cas des personnes interpellées lors des réunions ou manifestations publiques ; la tenue diligente des procès des personnalités politiques détenues, avec la garantie du droit à un procès équitable.

Eligibilité d’Alassane Ouattara: Yasmina Ouegnin se prononce

La députée de Cocody, Yasmina Ouegnin a donné sa position à travers une publication sur sa page Facebook, au lendemain de la proclamation des candidatures retenues pour l’élection présidentielle. Relativement au débat sur l’éligibilité d’Alassane Ouattara et la Constitution ivoirienne.

Yasmina Ouégnin fait partie des personnalités politiques qui avaient appelé à voter « Non » lors de l’adoption de la nouvelle constitution à l’Assemblée nationale. La députée de Cocody estime que:

« plutôt que de se présenter comme un instrument indispensable à la consolidation de la Démocratie, nécessaire à l’Unité nationale et seul à même d’assurer la Paix », ce projet de révision constitutionnelle représente:

« le fruit de calculs bien trop intéressés et partisans« . C’est d’ailleurs ce qui a motivé sa décision de ne pas voter « Oui ».

Après avoir gardé le silence au moment où le débat sur l’éligibilité d’Alassane Ouattara à la présidentielle du 31 octobre 2020 faisait débat, Yasmina Ouégnin a décidé de sortir de son silence.

« Par respect pour les Institutions de la République, notamment notre Conseil Constitutionnel, je me suis volontairement abstenue de tout commentaire, attendant que les membres de cette haute instance puissent trancher la question« , a écrit la députée sur les réseaux sociaux.

Pour la députée de cocody la décision du conseil constitutionnelle de valider la candidature du président sortant « met fin à la controverse d’un point de vue juridique » elle soutient que cette décision

« ne vide pas pour autant de leurs contenus, les nombreuses récriminations politiques et contestations sociales qui n’ont cessé de prospérer, depuis l’annonce de sa volonté de briguer un 3e mandat par Monsieur Alassane Ouattara« . Tout « en regrettant les motifs exposés par le Conseil constitutionnel », Yasmina Ouégnin s’est ouvertement insurgée contre « cette violation flagrante de notre Loi fondamentale dont ses membres se rendent complices« .

Poursuivant, Yasmina Ouegnin ne manque pas d’ajouter que le rejet des candidatures de poids lourds de la scène politique ivoirienne, notamment  Guillaume Soro, Mamadou Koulibaly, Albert Mabri Toikeusse et Laurent Gbagbo, ainsi que la « caporalisation des différents organes en charge du processus électoral, finissent par donner plus de relief à cette forfaiture qui malheureusement fera date« .

« la validation illégitime de la candidature du président sortant s’inscrit, assurément, dans une logique de préservation des acquis d’un groupement politique au détriment de l’intérêt général, dont le président de la République devrait pourtant demeurer le garant« .

 

 

 

La Cour africaine demande la réintégration de la candidature de Guillaume Soro à la présidentielle 2020

Le mardi 15 septembre, la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP), a demandé la réintégration de la candidature de Guillaume Soro à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

En effet, l’ex premier-ministre s’est vu exclu de l’élection présidentielle par le conseil constitutionnelle ivoirien lundi.

Suite à cela, la cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP), Juridiction avec laquelle Abidjan a pris ses distances, a demandé à la Côte d’Ivoire de permettre à Guillaume Soro de se présenter à la présidentielle du 31 octobre.

La CADHP « ordonne à l »État de prendre toutes les mesures nécessaires en vue de lever immédiatement tous les obstacles empêchant Guillaume Soro de jouir de ses droits d’être élu et d’être élu notamment lors de la présidentielle d’octobre 2020 » selon le texte texte de l’ordonnance  publié sur son site internet.

La Côte d’Ivoire a « retiré sa déclaration de compétence » à la Cour, en avril 2020 et de fait se désintéresse depuis de ses décisions. Ce retrait était justement intervenu après que la Cour ait ordonné de suspendre les procédures judiciaires à l’encontre de Guillaume Soro, qui l’avait saisie.

Le conseil constitutionnel a invalidé la candidature de Guillaume Soro en raison d’une condamnation par la justice ivoirienne à 20 ans de prison pour « détournement de deniers publics ».

« Je conteste vigoureusement la décision injuste et infondée prise par le Conseil constitutionnel. Je considère que c’est une décision inique, politiquement motivée, juridiquement boiteuse et qui s’inscrit dans une logique d’anéantissement de la démocratie et l’État de droit« , a-affirmé Mr Soro après l’invalidation de sa candidature.

Notons que la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples est une cour régionale créée par les pays africains afin d’assurer la protection des droits de l’homme et des peuples, des libertés et des devoirs en Afrique.

 

 

 

 

 

 

 

Guinée: les 13 candidatures enregistrées pour l’élection présidentielle 2020

Le mardi 8 septembre 2020, la cour constitutionnelle a bouclé le dépôt des candidatures pour la présidentielle du 18 octobre 2020.

A cet effet, 13 candidatures ont été enregistrées dont celle du président sortant Alpha Condé et son principal opposant Cellou Dalein Diallo. Le président Alpha Condé est candidat à sa propre succession pour un troisième mandant tandis que son principal opposant Cellou Dalein Diallo tente pour la troisième fois de conquérir la magistrature suprême.

Les 13 candidats déclarés à la présidentielle sont:

1)- Alpha Condé, président de la République sortant, qui brigue un 3ème mandat, président du RPG arc-en-ciel

2) -Cellou Dalein Diallo, président de l’UFDG et principal opposant au régime Alpha Condé

3)- Ibrahima Abé Sylla, candidat du parti Nouvelle Génération pour la République (NGR)

4)- Dr. Ousmane Kaba, président du parti PADES

5)- Dr Ousmane Doré, président du parti Mouvement National pour le Développement (MND)

6- Me Abdoul Kabêlê Camara, candidat du parti Rassemblement Guinéen pour le Développement (RGD)

7- Dr Makalé Traoré, présidente Parti de l’Action Citoyenne pour le Travail (PACT)

8-Moro Mandjouf Sidibé, médecin et président de l’AFC

9-Dr Makalé Camara, candidate du parti Front pour l’Alliance Nationale (FAN)

10-Bouya Konaté, président l’UDIR

11)- Edouard Zoutomou Kpoghomou, membre du FNDC et candidat de l’UDRP

12)- Laye Souleymane Diallo, président du Parti liberté et du Progrès (PLP)

13- Abdoulaye Kourouma, président du RRD

Notons que la liste définitive des candidats retenus sera publiée ce mercredi 9 septembre par la Cour constitutionnelle.

Election présidentielle: Maurice Kakou Guikahué défie le RHDP

La Commission électorale indépendante a enregistré 45 candidatures à la présidentielle ivoirienne prévue le 31 octobre 2020.Parmi eux, l’ancien président Laurent Gbagbo ou encore l’ancien Premier ministre Guillaume Soro, ne devraient pas être autorisés à se présenter. C’est donc l’ancien président Henri Konan Bédié qui apparaît comme le principal concurrent du président sortant Alassane Ouattara.  Maurice Kakou Guikahué, secrétaire exécutif du PDCI et directeur de campagne d’Henri Konan Bédié est convaincu d’une chose : Alassane Ouattara ne fait pas peur.

Il est déterminé à faire tomber le (RHDP) Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix.

« Nous n’avons pas peur de Ouattara » a- t-il affirmé.

Maurice Kakou Guikahué défie le RHDP

Alassane Ouattara avait décidé de se retirer de la scène politique  à la fin de son second mandat. Mais le décès brutal de son successeur Amadou Gon Coulibaly en tant que candidat du RHDP a tout fait basculer. Le président Ouattara n’a pas pu résister à l’appel de ses partisans qui sollicitaient son retour dans l’arène politique, s’est finalement déclaré candidat à la présidentielle d’octobre 2020.

Engagé dans la bataille électorale , le président sortant  Alassane Ouattara devra affronter Henri Konan Bédié, le candidat du PDCI. Pour Maurice Kakou Guikahué , la victoire de Bédie face à Ouattara ne fait l’ombre d’aucun doute. il l’a confié sur les ondes de  RFI. Selon le secrétaire exécutif du PDCI , Ouattara

« ne peut pas gagner les élections ». « Nous n’avons pas peur de lui. En 2010, si Bédié avait choisi Gbagbo, Gbagbo était président. Bédié a choisi Ouattara, Ouattara a été président. C’est nous qui avons battu sa campagne. Ses éléments RDR  ne pouvaient pas rentrer dans certaines régions. C’est nous qui sommes rentrés au PDCI pour battre campagne. Aujourd’hui nous ne sommes pas avec lui , il y’a des zones où ils ne pourront pas faire grande chose. C’est ça la réalité!  » propos de Maurice Kakou Guikahué.

L’ ex- ministre ivoirien de la santé estime  que la victoire de Ouattara est inenvisageable.   » Alassane Ouattara ne vaut plus mathématiquement un million d’ électeurs » a t- il affirmé.

Election présidentielle 2020 : Les certificats de résidence délivrés gratuitement aux électeurs

La direction générale de la police nationale, a informé les citoyens que les certificats de résidence spéciaux sont délivrés gratuitement aux électeurs désirant changer de lieu de vote. Cette information a été donnée dans une note diffusée sur les réseaux sociaux.

En effet, cette opération se situe dans le cadre de la révision de la liste électorale, pour la présidentielle 2020. Ainsi, ces documents, ont été confectionnés par la Commission électorale indépendante (CEI) et ont été mis à la disposition de la police nationale.

Par ailleurs, soulignons que cette opération ne concerne que les personnes majeures. Notamment, il s’agira des électeurs voulant apporter des modifications sur leurs données personnelles sur la liste électorale. Notons que, ces modifications portent généralement sur leur statut matrimonial, leur domicile ou leur nom.

Toutefois, rappelons que la révision de la liste électorale en Côte d’Ivoire a démarré ce mercredi 10 juin. Celle-ci prendra fin le 24 juin 2020.

Succession de Ouattara : Hamed Bakayoko applaudit le choix du candidat du RHDP

Le Ministre de la défense,  c’est prononcé sur le choix de son leader. Pour Hamed Bakayoko « après ADO, c’est Amadou Gon Coulibaly, c’est mon intime conviction » C’était lors d’un Conseil politique élargi du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp).

Suite à la décision du président ivoirien, Alassane Ouattara « je voudrais annoncer solennellement, que j’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020 et de transférer le pouvoir à une jeune génération ».

Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), dirigé par Alassane Ouattara a posé son choir sur le premier ministre de Côte d’Ivoire Amadou Gon Coulibaly en vue de prendre la relève.

Se réjouissant de cette initiative, le ministre de la Défense, très proche du couple présidentiel ivoirien  a insisté « de nous tous, de notre génération, Amadou Gon est celui qui a partagé des confidences du président Ouattara, et il lui a parlé au quotidien, c’est l’un des gardiens des secrets du maître Alassane Ouattara ».

Selon M. Bakayoko, Amadou Gon Coulibaly est le mieux placé pour assurer la relève, si le peuple veut que le pays continue d’évoluer dans l’esprit de la gouvernance du président Ouattara.