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Côte d’Ivoire : un projet de loi sur les start-ups en préparation

Le contenu de ce texte de loi a été évoqué par un conseiller technique du ministère de tutelle à l’occasion de la première édition du Salon des téléphones et applications mobiles dénommé « STAM ».« Nous avons un projet de texte de loi sur les start-ups qui va sortir bientôt », a annoncé Mme Florence Fadika, conseiller technique en charge de la conduite du changement et de l’innovation, représentant le ministre de la Communication et de l’économie numérique.

« Ce projet de loi, c’est pour confirmer les choix forts que le gouvernement a fait en termes d’accompagnement de cet écosystème. Il s’agit de définir ce qu’est une start-up, de décliner des mesures d’accompagnement qui vont aller avec les start-ups et tous les acteurs de cet écosystème », a-t-elle dit.

Selon le conseiller technique Florence Fadika, ce projet de loi vise notamment à promouvoir l’écosystème et faire en sorte que la Côte d’Ivoire utilise l’innovation au niveau de l’économie numérique pour devenir un « pays fort » dans la sous-région et en Afrique.

L’écosystème de la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire, dira-t-elle, « est très actif et c’est un écosystème que nous suivons parce que nous comptons appuyer » les acteurs et « aider toutes les différentes couches de cet écosystème ».

Pour elle, « il ne faut laisser personne sur le banc de la route », c’est pourquoi le ministère de la Communication et de l’économie numérique suit cet environnement « parce qu’il est important que nous prenions les réalités du terrain, leur maturité » en vue d’un accompagnement efficient.

« Ce texte doit rester collé à la réalité et à la maturité de notre écosystème », a-t-elle insisté en marge de l’ouverture officielle du Salon des téléphones et des applications mobiles qui se tient les 16 et 17 décembre 2022 à Abidjan.

Le salon se veut « une tribune de promotion des outils, des technologies et des applications » dans l’industrie du mobile, a déclaré le commissaire exécutif de l’évènement, Arthur Assi, insinuant que cet espace met également en lumière les talents locaux qui se spécialisent dans ce secteur.

Le téléphone mobile permet d’effectuer une infinité d’opérations d’ordre scientifique, ludique, culturel, lucratif et de faire des recherches. Les smartphones et les tablettes numériques, accessibles à la majeure partie des populations, ont bouleversé les modes de vie.

Cet événement offre, par ailleurs, une perspective de réflexion sur l’avenir de l’industrie de la téléphonie mobile et de penser à une véritable transformation digitale africaine en tablant sur toutes les chaînes de valeur et la production des équipements.

L’ex-ministre de l’Economie numérique, des télécommunications et de l’innovation, Roger Félix Adom, a relevé que la monnaie numérique qui existe en Côte d’Ivoire depuis 2008 a, avec le mobile money, entraîné une augmentation de 20% des titulaires des comptes bancaires.

Lorsque les opérateurs de téléphonie ont lancé en 2007, en Côte d’Ivoire le mobile money, le taux de bancarisation dans le pays était de moins de 5%, mais aujourd’hui il a atteint les 34%, a fait observer M. Roger Félix Adom, un expert du secteur de la téléphonie.

La Côte d’Ivoire compte actuellement près de 46 millions de personnes abonnées à la téléphonie mobile, environ 24 millions de personnes connectées à Internet en mobilité et près de 26 millions de personnes qui utilisent le mobile money.

Le pays, en matière de télécommunication, occupe la 9e place en Afrique et la deuxième place en Afrique de l’Ouest. Le thème de cette première édition du STAM est « Impact social et économique des applications et des téléphones mobiles ».

Visas Schengen: fin de la crise Maroc-France

Des mesures avec nos partenaires marocains pour la reprise normale et complète des activités consulaires entre les deux pays, a souligné la ministre française des Affaires étrangères.La crise autour des visas octroyés au Maroc pour entrer en France semble toucher à sa fin. C’est ce qui ressort des déclarations de la ministre française des Affaires étrangères en déplacement à Rabat pour préparer la visite d’Etat du président français, Emmanuel Macron, prévue début 2023.

« Nous avons pris des mesures avec nos partenaires marocains pour la reprise normale et complète des activités consulaires entre les deux pays. Notre objectif est de relancer les échanges humains entre le Maroc et la France et de favoriser encore davantage cette imbrication profonde de nos sociétés qui fait que nous avons toujours eu des relations solidaires »,  Catherine Colonna, en marge du point de presse tenu avec son homologue marocain, Nasser Bourita.

Pour rappel, Paris a diminué de moitié les visas octroyés au Maroc. « Le Maroc s’est interdit officiellement de commenter, par respect, une décision unilatérale et souveraine (de la France) », a souligné de son côté Bourita.

Burkina: Akufo-Addo parlait de Wagner «au conditionnel» (diplomate)

Ouagadougou a rappelé son ambassadeur à Accra pour « consultation ».Le gouvernement burkinabè a désapprouvé, ce vendredi 16 décembre, les propos du président ghanéen, Nana Akufo-Addo sur les supposés liens du Burkina Faso avec la société paramilitaire russe, Wagner, a rapporté le ministère des Affaires étrangères.

Lors du sommet Etat-Unis-Afrique tenu récemment à Washington, le chef de l’Etat du Ghana a accusé le Burkina Faso d’avoir fait appel à Wagner dans la lutte contre les groupes terroristes, en lui offrant en contrepartie une mine d’or.

L’ambassadeur du Ghana à Ouagadougou, Boniface Gambila Adagbila a été convoqué à « une audience urgente ». Il a été reçu par le ministre délégué à la Coopération régionale, Jean Marie Traoré.

Le diplomate ghanéen a indiqué que cette sortie de son président ne visait pas à condamner le Burkina Faso, ni à semer le doute dans les esprits, mais l’intention était surtout d’attirer l’attention des partenaires afin de susciter un grand intérêt à l’endroit de ce pays d’Afrique de l’Ouest en proie à des attaques jihadistes.

« Les propos du président ghanéen étaient au conditionnel », a insisté M. Adagbila.

Quant à lui, le ministre délégué à la Coopération régionale a rappelé les liens historiques et de fraternité entre les deux pays, affirmant que le Ghana aurait pu entreprendre des échanges avec les autorités burkinabè sur la question sécuritaire afin d’avoir les « bonnes informations ».

« Il aurait été plus intéressant d’initier un dialogue entre les pays africains participants et non participants en prélude à ce sommet des États-Unis Afrique », a indiqué M. Traoré.

Lui et son hôte ont reconnu la nécessité pour les pays africains, en particulier ceux de la sous-région, de renforcer davantage leurs liens de solidarité et confraternité.

Af’Sud : une conférence élective de l’ANC sur fond de conflits internes

La réunion se déroule du 16 au 20 décembre 2022.Plus de 4.000 délégués prennent part à la 55ème conférence nationale élective du Congrès national africain (ANC), le parti au pouvoir en Afrique du Sud, qui s’est ouverte vendredi à Johannesburg sur fond d’âpres divisions dans ses rangs.

L’ouverture de la conférence a été retardée de plusieurs heures en raison de retards dans l’enregistrement des délégués des neuf provinces du pays. Cela a retardé le discours d’ouverture du président du parti, Cyril Ramaphosa, qui a été reporté de 9 heures (7 heures GMT) à la fin de l’après-midi.

La conférence, qui se tient tous les cinq ans, constitue la plus haute instance décisionnelle de l’ANC lui permettant d’élire la direction du parti et adopter les politiques clés pour gouverner le pays.

Le président Ramaphosa cherche à être réélu à la tête de l’ANC pour pouvoir être candidat à la prochaine élection présidentielle. Mais il devra d’abord affronter l’ancien ministre de la Santé, Zweli Mkhize, et l’ancienne cheffe de la Commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, tous deux candidats à la présidence du parti qui dirige la nation arc-en-ciel depuis 1994.

Les débats de la conférence devraient être éclipsés par les luttes internes de l’ANC, dont des factions rivales au chef de l’Etat sortant, Cyril Ramaphosa, remettent en cause son aptitude à exercer ses fonctions.

Ses adversaires veulent qu’il démissionne à la suite d’un scandale de corruption dans lequel il est accusé d’avoir couvert un vol survenu dans sa ferme il y a plus de deux ans. Il est accusé de ne pas avoir signalé le vol à la police, et des questions ont également été soulevées quant à l’origine des fonds.

Report des législatives en Guinée-Bissau

La décision fait suite à une concertation entre les partis politiques et la Commission électorale.Les élections législatives bissau-guinéennes, initialement prévues dimanche 18 décembre 2022 sont reportées au 4 juin 2023, annonce un décret présidentiel. Le document signé par le chef de l’Etat, Umaro Sissoco Embaló a été rendu public ce vendredi 16 décembre, rapporte Radio France Internationale (RFI).

La date du 18 décembre 2022 a été retenue pour organiser ces joutes électorales anticipées, après la dissolution en mai dernier du Parlement par le président Embaló.

Ce dernier expliquait avoir dissous le Parlement à cause de ses divergences persistantes avec l’institution qui, à son avis, était devenue « un espace de guérilla politique et de complot ».

Centrafrique : un agent de Wagner visé par un attentat

Le chef de la Maison russe à Bangui, Dmitri Syty, a été hospitalisé après l’explosion, entre ses mains, d’un colis qui lui était parvenu par la poste.Les Russes seraient-ils devenus indésirables en terre centrafricaine ? Après plusieurs menaces anonymes les sommant à quitter le pays, le chef de la Maison russe à Bangui, Dmitri Syty, a reçu ce vendredi un colis piégé qui a failli lui ôter la vie.

« L’incident s’est produit au moment où Dmitri Syty ouvrait un colis qu’il avait reçu et qui s’est avéré être bourré d’explosifs. La victime a été transportée immédiatement à l’hôpital, où des soins médicaux lui ont été prodigués en urgence », a déclaré, dans un communiqué, le ministère russe des Affaires étrangères.

A en croire le fondateur de l’entreprise de sécurité privée russe Wagner, Evguéni Prigojine, « le 11 novembre, Dmitri Syty a reçu un colis en provenance du Togo, contenant une photo de son fils qui vit en France. Il contenait une note disant qu’il recevrait la prochaine fois la tête de son fils si +les Russes ne se cassent pas du continent africain et n’ouvrent pas les portes aux Français. Aujourd’hui, il a reçu un nouveau colis. Malgré toutes les instructions de sécurité qu’il avait reçues, Dmitri Syty, bouleversé et croyant que la tête de son fils était dans le colis, l’a ouvert. Une explosion a eu lieu ».

Selon la mission diplomatique russe en Centrafrique, l’état de Dmitri Syty est grave, mais sa vie n’est pas en danger.

Pour le ministère des Affaires étrangères, « cet attentat vise clairement à empêcher les activités de la +Maison russe+ à Bangui, et, plus largement, à nuire au bon développement des relations amicales entre nos deux pays ».

Malgré ces menaces récurrentes, « la Fédération de Russie ne se laissera pas intimider par des terroristes et ne fermera pas la Maison russe en RCA », a assuré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov, cité par l’agence Tass.

Burkina : une quarantaine de jihadistes tués dans les Banwa (armée)

L’opération militaire a permis de reconquérir la ville de Solenzo, la semaine dernière.L’armée a annoncé qu’elle mène, depuis le 1er décembre 2022, une opération dénommée « Feleho », « Reprendre son bien » en langue Bwamu. Elle a pour objectif de sécuriser les populations et de créer les conditions pour un retour progressif de l’administration publique, des services sociaux de base dans la province des Banwa (région de la Boucle de Mouhoun).

L’opération a mobilisé toutes les forces armées nationales et les volontaires pour la défense de la patrie (VDP) de la zone, a rapporté l’armée, dans un communiqué publié vendredi 16 décembre.

« Les actions offensives terrestres, combinées aux frappes de l’aviation et de l’artillerie ont permis d’obtenir des résultats tactiques importants », s’est-elle réjoui.

Une quarantaine de jihadistes ont été neutralisés et des bases terroristes détruites dans plusieurs localités de la province.

« Le 02 décembre 2022, une unité a été accrochée par un groupe terroriste dans les environs de Bolomakoté dans le département de Bondokuy. Au moins 15 terroristes ont été neutralisés », a indiqué l’armée.

Elle a ajouté que le 07 décembre dernier, les unités ont tendu une embuscade à un groupe de terroristes en mouvement près de Ouarkoye. « 24 terroristes ont été neutralisés et leur armement récupéré », peut-on lire dans la note officielle.

Un engin explosif improvisé a été désamorcé sur l’axe Kosso-Founa.

L’armée a insisté sur le fait que des manœuvres ont été réalisées dans le « strict respect des règles d’engagement ». Début novembre, elle avait été accusée d’exactions contre des civils dans le Nord.

« Côté ami, un soldat a malheureusement perdu la vie au tout début de l’opération. On enregistre également une douzaine de soldats blessés lors des incidents survenus. Ils ont tous été pris en charge », ont déclaré les forces de défense et de sécurité.

Au cours de l’opération, des soldats ont aussi porté assistance aux populations locales. Plusieurs dizaines de personnes ont bénéficié de prestations médicales

L’opération « Fehelo » a permis de reconquérir la ville de Solenzo, il y a quelques jours. L’armée avait hissé le drapeau du Burkina au Haut-commissariat des Banwa, marquant la fin de la présence des djihadistes dans la ville.

Le Rwanda veut booster ses services de livraison par drone

L’Etat rwandais prévoit d’effectuer près de 2 millions de livraisons instantanées et plus de 200 millions de kilomètres en mode autonome d’ici à 2029.Leader mondial de la logistique et des livraisons instantanées, Zipline a annoncé ce jeudi 15 décembre 2022 un nouveau partenariat avec le Rwanda. L’objectif de ce partenariat est d’effectuer près de 2 millions de livraisons instantanées et de parcourir plus de 200 millions de Km en autonomie d’ici à 2029.

Avec ce nouveau partenariat, le Rwanda compte tripler son volume de livraison en aménageant de nouveaux sites de livraison en milieu rural et urbain dans tout le pays et en proposant des services à d’autres entités gouvernementales.

Ce faisant, le Rwanda met en place des services de logistique et de livraison innovants et écoresponsables. Par ailleurs, il sera le tout premier pays au monde capable d’effectuer des livraisons instantanées à toute sa population, et ce, de manière autonome.

Ce service, qui a débuté avec la livraison du sang il y a six ans, intègre désormais des médicaments, des approvisionnements médicaux, des produits de nutrition et de santé animale. Ce nouveau partenariat élargit cette base pour soutenir les secteurs de la finance, du commerce numérique et du tourisme.

Tout organisme au sein du gouvernement, y compris le ministère de l’Agriculture et des Ressources animales, le ministère des Technologies de l’information et de la communication pourra recourir à ce système de livraison instantanée ainsi que le Conseil de développement du Rwanda, le Rwanda Medical Supply et l’Agence nationale pour le développement de l’enfant.

Grâce à ce nouvel accord, ce système de logistique instantanée sera intégré dans divers secteurs des opérations nationales, qu’il s’agisse d’assurer une chaîne d’approvisionnement fiable en soins de santé, de lutter contre la malnutrition ou de créer une expérience écotouristique mémorable, a déclaré Clare Akamanzi, directrice générale du Rwanda Development Board.

« Le Rwanda est un centre d’innovation et nous sommes ravis d’être le premier pays au monde à lancer un service national de livraison par drone », a ajouté Clare Akamanzi, directrice générale du Rwanda Development Board.

De ses centres de distribution de Muhanga et Kayonza, l’opérateur assure la livraison de 75% des approvisionnements en sang du pays, en dehors de Kigali. Grâce au réseau de livraison instantanée, plus de 400 hôpitaux et cliniques reçoivent du sang, des médicaments et les approvisionnements dont ils ont besoin dans les minutes qui suivent leur commande, ce qui leur permet de traiter aussi bien les problèmes médicaux quotidiens que les urgences.

Sur la base de données provenant des hôpitaux publics rwandais, des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie ont constaté une réduction de 88% des cas de mortalité maternelle à l’hôpital dus à une hémorragie du post-partum.

Cette diminution résulte directement du recours au système de logistique et de livraison instantanée. Aujourd’hui, davantage de mères sont en vie parce qu’elles se sont rendues dans un établissement médical qui bénéficie du réseau de livraison instantanée.

D’après Daniel Marfo, vice-président principal et responsable des activités et des opérations de Zipline en Afrique, « la logistique instantanée a permis de sauver des milliers de vies et de régler certains problèmes les plus fondamentaux de la planète : la famine et la malnutrition, la saturation du réseau routier et la pollution de l’environnement, ainsi que le manque d’accès aux soins de santé ».

Rien que cette année, grâce à ce système logistique, le ministère de l’Agriculture a distribué plus de 500 000 doses de vaccins de santé animale et plus de 8 000 unités de sperme porcin aux vétérinaires et aux éleveurs.

Les éleveurs qui ont recours aux services de livraison instantanée ont vu le taux de fertilité de leurs animaux augmenter de 10% par rapport à la moyenne nationale. Les éleveurs peuvent ainsi élever plus de porcs avec un profil génétique plus sain, agrandir leur entreprise et proposer aux communautés un meilleur accès aux protéines et améliorer la santé de la population.

«Le Rwanda n’est pas responsable du conflit en RDC» (Kagame)

Kinshasa accuse Kigali de soutenir les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23).Le président rwandais, Paul Kagame a déclaré que le conflit en République démocratique du Congo (RDC) voisine, en particulier dans la partie orientale du pays, ne devrait pas être imputé à son pays. De l’avis du dirigeant rwandais, le conflit entre le Mouvement du 23 mars (M23) et l’armée congolaise reflète plutôt l’incapacité de Kinshasa à résoudre ses problèmes internes de longue date concernant les Congolais d’origine rwandaise.

« Ce qui se passe en RDC ne doit pas être mis sur le dos du Rwanda, étant donné que plus de cent groupes armés, et pas seulement le groupe rebelle M23, sont actifs dans le pays », a notamment dit, vendredi 16 décembre 2022 à Washington (Etats-Unis), où il séjourne dans le cadre du sommet États-Unis-Afrique.

Il a ajouté que le M23 est né de l’incapacité du gouvernement congolais à résoudre les problèmes des Congolais parlant le kinyarwanda.

« Ce que je veux dire clairement, c’est que ce problème n’a pas été créé par le Rwanda et qu’il n’est pas le problème du Rwanda. C’est le problème du Congo. Ce sont eux qui doivent y faire face », a-t-il déclaré.

Par ailleurs, Kagame a souligné que son pays a attiré l’attention de Kinshasa et de la communauté internationale sur la collaboration présumée entre les rebelles rwandais des FDLR et l’armée nationale congolaise, des allégations qui, selon lui, ont été largement ignorées.