Maroc : Le Togo annonce l’ouverture prochaine d’un consulat général à Dakhla

Le ministre togolais des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Togolais de l’Extérieur, Robert Dussey, a annoncé, mardi à Rabat, l’ouverture prochaine d’un consulat général de son pays à Dakhla, dans les provinces du sud du Maroc.Cette annonce a été faite lors d’un point de presse conjoint avec son homologue marocain, Nasser Bourita, à l’issue de leur rencontre en marge de la participation du chef de la diplomatie togolaise à la première réunion ministérielle des Etats africains atlantiques.

A l’issue de cette rencontre, les deux ministres ont publié une déclaration conjointe dans laquelle ils se sont félicités de l’excellence des liens d’amitié et de solidarité existant entre les deux pays.

S’agissant de la question du Sahara marocain, le ministre togolais a rappelé le soutien de son pays à l’intégrité territoriale du Maroc et salué « les efforts de l’ONU comme cadre exclusif pour parvenir à une solution réaliste, pratique et durable au différend autour du Sahara », lit-on dans le communiqué conjoint.

Dans ce sillage, le Togo affirme son « appui à l’Initiative du Plan d’autonomie présentée par le Royaume » et qui constitue « la seule et unique solution crédible et réaliste à la résolution de ce différend » et exprime son « appui à la recherche d’une solution durable qui préserve l’intégrité territoriale, l’unité et la souveraineté du Maroc, sous l’égide exclusive de l’ONU et dans le respect de la décision 693 du Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine de juillet 2018 ».

Les deux ministres ont insisté sur l’impératif du « respect des normes et procédures au sein des organes de l’Union Africaine, et  réaffirmé la pertinence de la décision 693 du Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine de Juillet 2018, qui a consacré l’exclusivité de l’ONU en tant que cadre pour la recherche d’une solution au conflit régional autour du Sahara marocain ».

En ce qui concerne la coopération maroco-togolaise, les deux ministres se sont réjouis de l’ouverture de l’Ambassade du Royaume du Maroc à Lomé en octobre 2021 et la nomination du Chef de la Mission Diplomatique marocaine en avril 2022.

Ils ont également réaffirmé leur « ferme volonté de tout mettre en œuvre en vue de raffermir davantage leurs relations, d’intensifier et de diversifier leur coopération dans tous les secteurs porteurs ».

Les deux ministres ont convenu de « renforcer davantage la coopération Sud-Sud ambitieuse à travers un partenariat englobant les domaines d’intérêt commun. Ce partenariat doit également s’appuyer sur l’échange d’expériences ainsi que sur une politique plus volontariste des hommes d’affaires des deux pays ».

Sur le plan économique, les deux parties ont souligné que le volume des échanges commerciaux reste en deçà de l’excellence des relations politiques et ont appelé à les dynamiser davantage, notamment, avec des importations marocaines composées de combustibles minéraux, de café, du coton, des fruits tropicaux, entre autres, et essentiellement des exportations d’engrais, de produits alimentaires, de papier et de câbles électriques.

Sur le plan des investissements, les deux ministres se sont réjouis de la présence du Maroc au Togo à travers des investissements dans le secteur bancaire via l’implantation des filiales d’Attijariwafabank, de la banque Populaire et de Bank of Africa. A cet effet, les deux parties ont décidé de multiplier les missions d’Hommes d’Affaires pour prospecter d’autres opportunités de commerce et d’investissement et de créer un Conseil d’Affaires maroco-togolais.

Les deux parties ont convenu de tenir à Rabat, dans les meilleurs délais possibles, la première session de la Commission mixte de coopération maroco-togolaise, à une date qui sera arrêtée d’un commun accord par voie diplomatique.

UA: La Retraite du Comité des 15 ministres des Finances les 13 et 14 juin au Maroc

La Retraite du Comité des quinze ministres des Finances de l’Union africaine (F15) se tiendra du 13 au 14 juin courant au Maroc, a-t-on annoncé mardi au siège de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba.

L’accord du pays hôte relatif à l’organisation de cette Retraite a été signé, mardi, au siège de l’Union africaine par la Vice-Présidente de la Commission de l’UA, Mme Monique Nsanzabaganwa, et l’Ambassadeur Représentant Permanent du Royaume auprès de l’UA et de la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi.

La Retraite du Comité F15 connaitra la participation, entre autres, des ministres des finances des États membres de l’UA constituant le Comité, du Commissaire au développement économique, commerce, industrie et Exploitation minière de l’UA, des experts des ministères des Finances du Comité, des représentants permanents, ainsi que des représentants de la Commission de l’UA et de l’Initiative africaine concertée sur la réforme budgétaire.

Joaquim Chissano en visite privée au Zimbabwe

L’ex-président mozambicain s’est notamment entretenu avec Emmerson Mnangagwa, le chef de l’Etat zimbabwéen.Président du Mozambique de 1986 à 2005, Joaquim Chissano a effectué une visite de courtoisie au Zimbabwe. Hier lundi, il a discuté avec l’actuel homme fort d’Hararé, Emmerson Mnangagwa.

« En ma qualité de président de l’Association des anciens chefs d’Etat, nous avons évoqué les perspectives de coopération pour le développement de nos pays », a expliqué M. Chissano à la presse.

L’ancien dirigeant mozambicain, selon ses mots, entretient des relations privilégiées avec Emmerson Mnangagwa depuis les années 1970. Il compte ainsi s’appuyer sur ces liens pour l’entente des deux pays qui partagent avec l’Afrique du Sud le Parc du Grand Limpopo, une initiative d’écotourisme.

À Paris, des artistes ivoiriens s’engagent pour la paix

Des têtes d’affiche ivoiriennes comme Gadji Celi ont rencontré dans la capitale parisienne Kouadio Konan Bertin, le ministre de la Réconciliation et de la Cohésion nationale.La crise postélectorale de 2010-2011 a poussé des acteurs culturels ivoiriens à s’exiler. Parmi ceux-ci, il y a entre autres Gadji Celi, Serge Kassi, François Kency et Abou Galliet, jugés proches de Laurent Gbagbo.

Installés en France, ces artistes ont marqué leur « adhésion totale à accompagner le processus de réconciliation » initié par le gouvernement du président Alassane Ouattara lors d’un entretien avec Kouadio Konan Bertin dit KKB, le ministre de la Réconciliation et de la Cohésion nationale.

Convaincus par le discours de KKB, en présence notamment de Mamadou Touré, ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique, les exilés politiques ont ouvert la porte à un retour en Côte d’Ivoire.

Le gouvernement ivoirien est disposé à faciliter cela pour tous ceux qui le désirent. Fort de ce constat, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) compte supprimer, dès le 30 juin 2022, le statut des réfugiés pour les Ivoiriens à l’étranger.

Récemment reconduit à son poste, Kouadio Konan Bertin a également échangé avec la communauté ivoirienne de France sur le processus de réconciliation en cours dans le pays.

Côte d’Ivoire : Adama Bictogo élu président de l’Assemblée nationale

Le Secrétaire exécutif du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP, parti au pouvoir) a récolté 237 voix sur 248 lors d’un vote organisé ce mardi.Adama Bictogo succède à Amadou Soumahoro à la tête de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire. Le Secrétaire exécutif du parti d’Alassane Ouattara a battu à plate couture le député Jean-Michel Amankou crédité de 6 voix seulement. Deux bulletins nuls et trois bulletins blancs ont été dénombrés.

La victoire nette d’Adama Bictogo s’explique notamment par le soutien des groupes parlementaires de l’opposition à l’hémicycle. En leur nom, Simon Doh a souhaité que cette élection apporte au pays la paix et la stabilité.

Dans son discours, le nouveau président de l’Assemblée nationale a remercié ses pairs avant de s’engager à présider aux destinées de l’institution en recherchant « le
consensus » pour « le
rassemblement ».

La semaine dernière, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) avait porté son choix sur Adama Bictogo, député d’Agboville (Sud), à l’occasion d’une réunion de son groupe parlementaire.

Depuis le décès d’Amadou Soumahoro, survenu le 7 mai 2022 des suites d’une longue maladie, Amy Toungara, la doyenne d’âge de l’Assemblée nationale, assurait l’intérim.

Af’Sud : « parrains » de la corruption, les frères Gupta arrêtés à Dubaï

Les frères Gupta, d’origine indienne, vivaient en exil aux Emirats arabes unis, depuis leur fuite d’Afrique du Sud en 2018.Bourreaux de l’ancien président Jacob Zuma, Rajesh et Atul Gupta ont fui le pays en catastrophe en 2018 pour s’installer à Dubaï.

Ces deux personnages très proches de Jacob Zuma ont quitté l’Afrique du Sud, quand quelques mois avant la perte du pouvoir de Zuma au profit du président Cyril Ramaphosa.

Les frères Gupta sont considérés par la justice sud-africaine comme les piliers du système de détournement d’argent public du temps du président Zuma en Afrique du Sud. Ils sont accusés d’avoir orchestré le pillage des milliards du gouvernement avec l’aide présumée de Jacob Zuma Zuma au pouvoir entre 2009 à 2018.

En 2021, l’Autorité nationale des poursuites d’Afrique du Sud a confirmé que l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) avait émis un mandat d’arrêt pour l’arrestation des deux frères, selon le ministère de la Justice et des Services correctionnels.

Les deux frères doivent maintenant faire face à une procédure judiciaire longue et prolongée pour les extrader vers Pretoria, ajoute le ministère. « Les discussions entre les différents organismes chargés de l’application de la loi aux EAU et en Afrique du Sud sur la marche à suivre sont en cours. Le gouvernement sud-africain continuera à coopérer avec les EAU », a déclaré le ministère.

Travaillant prétendument de mèche avec Zuma et ses hauts fonctionnaires, les hommes d’affaires auraient siphonné des milliards de dollars provenant des milliards d’entreprises publiques du pays. Ils auraient mis leur butin en banque à Dubaï, où ils vivaient en sécurité depuis leur fuite.

Une majorité écrasante de Sud-Africains a accueilli avec soulagement les informations relatives à l’arrestation des Gupta afin qu’ils puissent répondre devant les tribunaux sud-africains.

Afrique du Sud : Ramaphosa au cœur d’une enquête pour «vol»

Le président sud-africain aurait été victime d’un vol de quatre millions d’euros en espèces dans sa ferme située dans la province de Limpopo, à l’extrême nord du pays.Le « farmgate », ou scandale de la ferme en anglais, secoue depuis quelques jours l’Afrique du Sud. Cette affaire, ébruitée par les médias, remonte à février 2020. Elle implique l’actuel président Cyril Ramaphosa au moment où le procès de son prédécesseur Jacob Zuma, destitué pour corruption, est toujours en cours.

Le chef de l’Etat sud-africain participait au sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, en Ethiopie, quand des médias ont indiqué que quatre millions d’euros avaient été dérobés en espèces dans sa ferme, il y a deux ans. Pour gérer cette affaire en toute discrétion à l’époque, Ramaphosa avait sollicité son homologue namibien Hage Geingob pour tenter de mettre la main sur les voleurs en fuite vers la Namibie voisine.

Tout est parti d’une plainte d’un ancien chef des renseignements qui accuse le président Ramaphosa « d’entrave à la justice » après la découverte d’une importante somme d’argent dans une de ses propriétés. Dans sa plainte, Arthur Fraser accuse le président Ramaphosa d’avoir enlevé et séquestré des cambrioleurs puis acheté leur silence.

L’opposition sud-africaine qui a eu vent de cette affaire parle de « gros scandale » et reproche à Cyril Ramaphosa la dissimulation de ce vol. 

Comment le président s’est trouvé avec autant d’argent dans sa ferme, se demandent certains opposants. Pourquoi Cyril Ramaphosa n’a pas signalé ce vol à la police à l’époque des faits, s’interroge une autre partie de l’opposition. Pour se disculper, le président sud-africain a indiqué avoir informé son chef de sécurité qui aurait omis de saisir la police.

En outre, Cyril Ramaphosa précise que la somme volée provenait de ses activités agro-pastorales. Il a clamé son innocence, insistant sur le fait que les allégations portées contre lui font partie d’un complot politique visant à l’évincer du pouvoir.

Mais ces explications sont loin de convaincre ses détracteurs. L’Alliance démocratique, le principal parti d’opposition, exige la lumière sur cette affaire qui porte atteinte à la crédibilité du président. Le Mouvement démocratique, autre formation de l’opposition, demande à Cyril Ramaphosa de prendre « un congé » du pouvoir le temps de connaître les résultats de l’enquête.

L’affaire connaît aussi des répercussions en Namibie où l’opposition demande des comptes au président Hage Geingob. Des rapports affirment qu’il a aidé Ramaphosa à récupérer secrètement la somme dérobée contre versement d’une somme aux suspects.

Des opposants namibiens veulent que M. Geingob fasse l’objet d’une enquête pour avoir violé la souveraineté de la Namibie en permettant aux agents secrets de Cyril Ramaphosa d’envahir le pays pour ses problèmes personnels.

« Nous voulons que notre président, ici en Namibie, nie. Ou bien, nous allons engager des poursuites pour nous assurer que l’enquête soit menée, et que toutes les personnes impliquées soient traduites en justice », a déclaré aux médias le vice-président de l’EFF, Kalimbo Lipumbu.

Sénégal : la presse s’inquiète du risque de chaos social

Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à APA titrent principalement sur le risque de chaos après que la coalition Yewwi Askan Wi (libérer le peuple, opposition) a appelé à une grande manifestation mercredi pour dénoncer l’invalidation de sa liste nationale pour les élections législatives du 31 juillet 2022.« Ça passe ou ça casse », indique Walf Quotidien, évoquant l’invalidation de la liste nationale de Yewwi Askan Wi (libérer le peuple), la coalition de l’opposition des Ousmane Sonko, Khalifa Sall et Cie. Pour Sud Quotidien, « Sonko et Yewwi sont mis hors jeu » après que le Conseil constitutionnel a décidé d’invalider leur liste nationale pour les élections législatives de fin juillet prochain.

« Yewwi sur le chant de mars », note L’Observateur. Pour Alioune Tine, un des leaders de la société civile nationale, « on peut revivre pire que les événements du mois de mars ». Les Echos soulignent de leur côté qu’on risque d’assister à un « mercredi 8 juin de tous les dangers ». Le journal indique en effet que « Yewwi est sur le pied de guerre, Benno promet de faire face, Serigne Moustapha Sy appelle ses disciples à se tenir prêts ».

Alors que l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye prédit dans Walf Quotidien la « fin de règne » de Macky Sall, le ministre de l’Intérieur Antoine Diome sollicite de son côté des prières pour un « Sénégal uni et stable, loin des contingences antidémocratiques, anarchistes, populistes et ou déstabilisatrices ». M. Diome s’exprimait hier lors de la 134e édition du pèlerinage marial de Popenguine. A cette occasion, l’Église a indexé « la violence, la corruption et le mensonge » comme les « maux » qu’il faut combattre.

A cette tension politique s’ajoute une inflation débordante sur les prix des denrées de première nécessité. L’Observateur note que le prix du super carburant a augmenté. Le quotidien précise que « l’Etat +pompe+ les particuliers et épargne les transporteurs ».

Mais une source souffle au journal que « la vérité du marché est de 1182 FCFA le litre d’essence ». Ainsi, « l’Etat braque les riches », signale Walf Quotidien où « un économiste prédit d’autres hausses ». En revanche, L’AS note que « Macky perfuse l’administration territoriale » avec une « augmentation tous azimuts de salaires ».

Sur un autre sujet, Les Echos reviennent sur la « belle victoire des Lions (3-1) face aux Ecureuils du Bénin », samedi dernier, comptant pour la première journée des éliminatoires de la CAN Côte d’Ivoire 2023. « Sadio Mané plante trois buts », note le journal là où Stades souligne qu’un « Sadio record dévore les Ecureuils ».

Le champion d’Afrique en titre et star de Liverpool devient du coup le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe nationale du Sénégal. « Je suis content et fier », dit celui qui est ardemment annoncé pour un transfert du côté du Bayern Munich. Avec ses coéquipiers, il va affronter ce soir le Rwanda « pour la confirmation », signalent Les Echos.

Tourisme et économie au menu des quotidiens marocains

Les enjeux de l’assouplissement des restrictions pour stimuler le tourisme, le soutien de l’entreprise et l’aide accordée aux transporteurs routiers sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mardi.+Aujourd’hui Le Maroc+, qui aborde les enjeux de l’assouplissement des restrictions pour stimuler le tourisme, souligne la nécessité de « regarder de prés » les solutions conçues par certains pays pour attirer les touristes étrangers.

En se ruant sur les grands marchés émetteurs pour attirer les touristes étrangers, certains pays ne lésinent pas sur les moyens: campagnes de communication à grande échelle, promotions sur les tarifs, densification des liaisons aériennes, sans oublier les roadshows et autres opérations de marketing direct, constate le journal.

Simultanément, les destinations ont rajouté dans leurs dispositifs de vente des arguments massue, notamment ceux relatifs aux restrictions de voyage comme l’abandon des pass sanitaires, des tests PCR et autres “avantages” de circonstance qui ont leur poids, note-t-il.

L’Economiste, qui s’attarde sur le soutient de l’entreprise, écrit que la crise sanitaire a conduit l’Etat à déployer toute une batterie de mesures pour éviter aux entreprises le grand plongeon, ajoutant qu’une deuxième vague de soutien a été lancée avec le conflit ukrainien.

Les entreprises qui pourront résister au tsunami doivent aussi avoir face à elles une administration de «choc» qui doit les accompagner et les aider à reprendre leurs investissements sur le marché local et à l’international, poursuit-il, estimant que les prochains mois seront « cruciaux » pour les entreprises « qui sortiront indemnes ou pas de la vallée de la mort ».

+L’Opinion+ écrit qu’aucune mesure supplémentaire n’est prévue, hormis l’aide accordée aux transporteurs routiers, pour faire face à la hausse continue des prix des carburants. C’est là en substance le message adressé par la ministre de l’Économie et des finances, Nadia Fettah Alaoui, aux membres de la Chambre des représentants.

Sur un ton résolu, la ministre a indiqué que cette flambée des prix des matières premières touche une large partie des pays du monde, dont certains peinent même à s’approvisionner.

Le choix du gouvernement, rappelle l’argentière du Royaume, a été d’accorder des subventions aux transporteurs routiers, étant donné qu’ils sont les acteurs d’un secteur horizontal, premier en termes de consommation de carburants, et qui influe sur les prix de tous les produits, souligne le quotidien.

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