Tentative d’assaut contre Mellilia: 18 morts

Les autorités locales de Nador ont fait savoir que le bilan des morts dans l’assaut de migrants clandestins sur la clôture séparant Nador et Melilia s’élève à 18 morts, plusieurs personnes blessées lors de ce triste évènement ayant finalement succombé à leurs blessures.Admis en urgence dans les services hospitaliers de Nador et d’Oujda, 13 nouveaux décès sont à déplorer parmi les 76 candidats à l’émigration clandestine blessés au moment de forcer le passage pour le préside.

Pour rappel, un groupe de migrants illégaux issus de pays d’Afrique subsaharienne, dont le nombre est estimé à 2.000 personnes, a tenté, vendredi 24 juin 2022, de forcer le passage vers Melilia. Ceci, en escaladant le grillage séparant cette ville de Nador. Les forces de l’ordre sont intervenues pour mettre fin à cette tentative, au cours de laquelle les migrants ont usé d’une grande violence. Quelque 140 membres des forces de l’ordre ont été blessés, dont 5 grièvement, pendant cette intervention.

Cinq candidats à l’émigration clandestine ont trouvé la mort sur le champ en se bousculant pour forcer l’entrée ou en tombant du haut dudit grillage, précisent les autorités locales dans un communiqué.

Les blessés, tant parmi les forces de l’ordre que chez les migrants, ont été transférés à l’hôpital El Hassani de Nador et au CHU d’Oujda afin de recevoir les soins nécessaires.

Pour l’heure, aucun décès n’est à déplorer chez les forces de l’ordre marocaines.

Plusieurs associations et organisation des droits de l’Homme ont appelé à l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire indépendante à la fois par le Maroc et l’Espagne pour jeter la lumière sur cette tragédie humaine, invitant les représentations diplomatiques des pays Africains présents au Maroc afin qu’ils assument pleinement leur responsabilités pour la protection de leurs ressortissants.

Côte d’Ivoire: le taux d’accès à l’électricité estimé à 92%

Le taux d’accès à l’électricité en Côte d’Ivoire est estimé à 92%, a indiqué vendredi le ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Mamadou Sangafowa Coulibaly, lors d’une visite du président nigérien Mohamed Bazoum, à la centrale thermique de la CIPREL. »Le taux d’accès à l’électricité a atteint 92% dans notre pays », a déclaré le ministre ivoirien Mamadou Sangafowa Coulibaly, à l’occasion d’une visite de M. Mohamed Bazoum, à la Compagnie ivoirienne de production d’électricité (CIPREL).

Il a relevé qu’entre 2012 et 2021, la Côte d’Ivoire a plus que doublé ses exportations d’énergie dans la sous-région. Celles-ci sont passées de 620 gigawattheures (GWh) à 1275 GWh, soit une croissance de 105%. 

« Nous avons dans le même temps multiplié par trois le nombre d’abonnés dans notre pays, passant de 1,1 million d’abonnés à 3,25 millions, soit une hausse de 195% », a ajouté le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly.

L’énergie produite en Côte d’Ivoire est essentiellement d’origine thermique et hydraulique avec des progrès réels en cours dans les énergies renouvelables. Le pays s’est engagé à porter la part des énergies renouvelables à 45% de l’énergie totale produite en 2030 contre 30% aujourd’hui.

La CIPREL représente 32% de la production totale d’électricité et 38% de l’énergie thermique du pays. Avec une production importante de gaz, la Côte d’Ivoire ambitionne d’être un hub énergétique régional. 

Le président nigérien, Mohamed Bazoum, qui achève une visite de 48h à Abidjan, s’est dit « impressionné » de ce qu’il a vu, rappelant que la Côte d’Ivoire, en 95, était en butte à des difficultés dans la production d’énergie, mais aujourd’hui a une capacité suffisante d’énergie et en exporte. 

« Nous sommes dans une logique d’interconnexion au niveau de la Cedeao et l’électricité produite en Côte d’Ivoire (peut servir) le plus loin possible, au sein de la région ouest-africaine », a-t-il poursuivi. 

Le directeur général de la CIPREL, Mme Kadidjatou Diallo, a noté que cette centrale, créée en 94, opère sous forme de « BOT » de production d’électricité. Elle a investi 330 milliards Fcfa pour 556 Mw de puissance installée et a un engagement annuel contractuel de 3.510 GWh depuis janvier 2022.  

La CIPREL appartient au groupe industriel panafricain Eranove,  qui existe depuis plus de 60 ans. En 2021, le groupe enregistrait 8334 collaborateurs, 1247 MW de capacités opérées et 5522 GWh d’électricité produite. 

La visite s’est déroulée en présence du vice-président de la République de Côte d’Ivoire, M. Meyliet Tiémoko Koné. Le président nigérien est le quatrième chef d’État à visiter les installations de la CIPREL après les présidents ghanéen (en 2017), libérien (en 2018) et sénégalais (en 2019).

La guerre en Ukraine exacerbe la crise alimentaire en Ethiopie (Pam)

Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies a averti que les retombées du conflit Russie-Ukraine exacerbent la crise alimentaire en Ethiopie.Dans un document, le Pam a déclaré que l’Éthiopie est un grand importateur de blé à la fois d’Ukraine et de Russie et que l’interruption de l’approvisionnement liée à la crise ukrainienne exacerbe l’insécurité alimentaire dans ce pays d’Afrique de l’Est.

 « La crise en Ukraine a également augmenté le coût du blé et des engrais pour des millions d’agriculteurs éthiopiens, menaçant la récolte de cette année », a déclaré le PAM dans sa mise à jour opérationnelle.

Selon les données officielles, l’Éthiopie a enregistré un taux record d’inflation alimentaire de 43,9 % en mai, la combinaison du conflit et de la sécheresse ayant contribué à la hausse des prix alimentaires dans le pays.

 L’agence des Nations unies a également mis en garde contre la menace d’une crise de malnutrition en Éthiopie en raison d’un grave manque de financement de ses opérations.

 Selon le Pam, entre janvier et avril, il n’a pu fournir un traitement nutritionnel qu’à 40 % des 1,4 million de femmes et d’enfants souffrant de malnutrition aiguë dans le nord de l’Éthiopie, en raison d’un grave manque de financement.

L’agence des Nations unies a pour objectif d’atteindre plus de 11 millions de personnes vulnérables en Éthiopie au cours des six prochains mois, mais elle est confrontée à un déficit de financement de 470 millions de dollars.

Santé et économie au menu des quotidiens et hebdomadaires marocains

Le retour à la vie normale, les répercussions de la conjoncture mondiale sur la situation au Maroc et les enjeux du maintien inchangé du taux directeur sont les principaux sujets traités par les quotidiens et hebdomadaires marocains parus ce samedi.+La Vie Eco+, qui aborde le retour à la vie normale malgré la persistance de la pandémie, constate qu’au Maroc, à l’instar de beaucoup de pays qui n’ont pas choisi la stratégie intenable du «zéro cas», la vie et les activités sociale, économique et humaine devaient inévitablement reprendre leur cours après deux années de quasi-paralysie.

Les pouvoirs publics et le gouvernement sont « résolument engagés » dans une dynamique de relance en boostant les secteurs productifs, notamment industriels, le tourisme, l’enseignement, le voyage, et l’événementiel, entre autres, estime l’hebdomadaire.

Tout est entrepris aujourd’hui pour que les opérateurs économiques, investisseurs et autres acteurs puissent retrouver rapidement le chemin de la croissance et développer leur business pour atteindre le rythme d’avant-Covid, relève-t-il.

Mais, “normalisation ne veut pas dire banalisation”, car la menace sanitaire n’est pas totalement évacuée et nécessite toujours de la vigilance, puisque la courbe de l’épidémie reprend jour après jour un profil exponentiel inquiétant, avertit-il.

+Challenge+, qui revient sur les répercussions de la conjoncture mondiale délicate sur la situation dans le Royaume, écrit qu’au Maroc, il faudrait savoir bien gérer la conjoncture, en “défendant les plus précaires sans mettre à bas les fondamentaux”, soulignant que les conditions politiques sont importantes.

“Nous avons la chance d’un système stable. Mais sa pérennité dépend de sa réaction au séisme qui est en marche!”, alerte-t-il.

Il convient donc de sauvegarder le pouvoir d’achat et de maintenir les fondamentaux tout en réformant, suggère-t-il.

C’est aussi le moment de donner le pouvoir “aux vrais politiques, ceux qui peuvent nous faire un dessein qui sera notre destin”, car “les comptables mènent dans le mur” alors que “les vrais politiques portent des espérances”, soutient-il.

+Finances News Hebdo+, qui revient sur les enjeux du maintien inchangé du taux directeur à 1,5%, écrit que la Banque centrale est restée fidèle à sa politique monétaire accommodante afin de continuer à soutenir l’activité économique.

Le taux directeur est ainsi maintenu inchangé à 1,50%, alors que dans les grandes économies, les Banques centrales ont adopté une autre attitude, à savoir augmenter les taux directeurs pour faire face à l’inflation, constate la publication.

Face à toute cette agitation, la banque centrale marocaine est donc restée sereine, justifiant ainsi ce statu quo : elle a déjà intégré dans ses prévisions l’impact des décisions prises dans le cadre de l’accord social du 30 avril 2022, et a tenu compte de la nature des pressions inflationnistes, essentiellement d’origine externe, et du retour prévu de l’inflation à des niveaux modérés en 2023, rapporte-t-il.

“C’est un choix de politique monétaire qui peut se défendre, mais résistera-t-il à cette conjoncture économique internationale particulièrement défavorable et, surtout, largement chahutée par la guerre en Ukraine ? Peut-on espérer que l’inflation reviendra à des niveaux dits normatifs à moyen terme ? Rien n’est sûr”, fait-il remarquer.

+Rissalat al Oumma+ rapporte que la Banque mondiale vient d’approuver un prêt de 250 millions de dollars en faveur du Projet de développement économique du Nord-Est marocain.

Ce financement contribuera à améliorer la connectivité des transports et à favoriser la croissance du secteur privé dans ce territoire, notamment autour du développement du complexe industrialo-portuaire de Nador West Med (NWM), selon un communiqué de la Banque mondiale, cité par le quotidien.

Mali : plus de 60 terroristes neutralisés au centre (armée)

Une semaine après le massacre de 132 villageois dans le centre du pays, l’armée malienne affirme y avoir « neutralisé » 61 djihadistes.L’armée malienne mène la riposte. Dans un communiqué publié vendredi soir, elle déclare avoir neutralisé « 59 djihadistes » à Diallasougou. C’est dans cette zone du centre que « les priorités opérationnelles ont été orientées suite à l’attaque terroriste contre les populations dans la nuit du 18 au 19 juin », à laquelle a été attribuée la mort de 132 civils. Des « responsables » djihadistes figurent aussi parmi les personnes neutralisées lors de cette opération militaire, précise la même source.

Elle a également fait part de « deux terroristes guetteurs neutralisés » dans la zone de Mondoro (centre), en plus de « 8 suspects terroristes interpellés et mis à la disposition de la prévôté » dans le sud du pays, lors d’une opération distincte.

Le gouvernement malien a attribué à la Katiba Macina du chef djihadiste Amadou Kouffa le massacre des 132 civils à Diallassagou et dans deux localités des environs, dans le centre du pays qui est l’un des principaux foyers de violence qui ensanglante le Sahel depuis des années. Mais la Katiba Macina, affiliée au groupe djihadiste Al-Qaïda, a démenti avoir tué ces 132 civils, dans un communiqué authentifié vendredi par l’organisme américain SITE, spécialisé dans la surveillance des groupes radicaux.

Les évènements de Diallassagou constituent l’un des pires carnages de civils au Mali ces dernières années et la dernière tuerie en date d’une récente série d’attaques à travers le Sahel. Le Mali est plongé dans une profonde crise sécuritaire, politique et humanitaire depuis le déclenchement d’insurrections indépendantiste et djihadiste en 2012 dans le nord. La propagation djihadiste a gagné le centre et les pays voisins, le Burkina Faso et le Niger.

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Côte d’Ivoire: ouverture officielle du poste à péage de Grand-Bassam

L’ouverture du poste à péage de Grand-Bassam, constitue le « premier maillon » de l’autoroute Abidjan-Lagos.Le ministre ivoirien de l’Équipement et de l’entretien routier, Amédé Koffi Kouakou, est revenu sur l’importance de l’ouvrage.

« Au niveau de la Cedeao, il y une décision qui a été prise par les chefs d’Etat de construire l’autoroute Abidjan-Lagos, et la section Abidjan Grand-Bassam, est le premier maillon de l’autoroute Abidjan-Lagos », a dit M. Amédé Koffi Kouakou. 

Il a fait savoir que chacun des pays doit construire la portion de l’autoroute qui le concerne, révélant que lorsque la Côte d’Ivoire a « « sollicité la Chine pour financer ce projet, une des exigences était qu’il y ait un péage sur cette autoroute ».

M. Amédé Koffi Kouakou a soutenu que « pour qu’on puisse aisément financer la route, il faut accompagner et commercialiser la route; ceux qui prennent la route doivent pouvoir payer un droit d’usage », 

Cette autoroute internationale était prévue à péage, mais « nous avons entendu beaucoup de débats concernant le coût (et) je voudrais rassurer les Ivoiriens que (la lutte contre la cherté de la vie) est une préoccupation pour le président Alassane Ouattara »,

 Selon les tarifs arrêtés par le gouvernement, les véhicules légers, représentant la classe 1, payeront 1.000 Fcfa par passage, les véhicules intermédiaires (classe 2) débourseront 1.500 Fcfa.

Les véhicules de la classe 3, poids lourds, autocars, véhicules à deux essieux, eux, payeront 2.500 Fcfa par passage, tandis que ceux de la classe 4, poids lourds, véhicules à 3 essieux et plus, s’acquitteront du montant de 3.500 Fcfa par passage.

Le ministre ivoirien de l’Équipement et de l’entretien routier, Amédé Koffi Kouakou a fait observer que les populations ont également le choix d’emprunter la voie du côté du littoral, qui elle n’est pas à péage.  

Le péage comprend 16 voies, soit huit voies de chaque côté de la route pour éviter de longues queues sur cette autoroute de 2×3 voies. Sur le flanc, il a été construit une gare de l’autoroute Abidjan Grand-Bassam, avec un centre de contrôle de tous les péages de Côte d’Ivoire.

La Côte d’Ivoire, qui est passée de 6.500 Km de routes bitumées en 2011 à plus de 7.500 Km aujourd’hui, enregistre actuellement quelque 2.000 Km en cours de construction. Le pays envisage d’atteindre plus de 9.500 Km de voies goudronnées en 2023.

M. Marius Comoé, président d’une association de consommateurs, a dit que ce qui préoccupe les populations, c’est de savoir si c’est une nécessité de passer par ce péage. Les consommateurs veilleront à ce que la voie sur le littoral passant par Grand-Bassam soit toujours ouverte. 

Des députés ont aussi effectué le déplacement pour l’inauguration de l’autoroute Abidjan Grand-Bassam. M. Basile Fregbo, président par intérim du groupe parlementaire du Rhdp (pouvoir), a salué « un travail de qualité » et la voie alternative pour les citoyens pour aller à Grand-Bassam. 

La BADEA soutient le programme DJOLIBA de la BOAD

La Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA), a apporté, vendredi, son soutien au projet d’augmentation du capital de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD).Le plan DJOLIBA est le nouveau plan stratégique 2021-2025 de la Banque Ouest africaine de Développement (BOAD).  Il vise à accroître de 50% le financement des projets de développement et notamment ceux liés à la transition écologique, soit environ 6 milliards de dollars de nouveaux prêts. 

L’augmentation de capital envisagée est de l’ordre de 1,5 milliard de dollars. Il permettra à l’institution de répondre aux besoins croissants des populations de l’Union en infrastructures de transport, énergie, habitat, agriculture, éducation et santé. 

En marge de la 2e session ordinaire du Conseil des Ministres de l’Union monétaire ouest africaine (Umoa), qui s’est tenu ce vendredi à Dakar, Sani Yaya, ministre de l’Economie et des Finances de la République togolaise, et président en exercice du Conseil des Ministres de l’Umoa, Serge Ekué, Président de la BOAD, et Sidi Ould Tah, Directeur général de la BADEA ont procédé à la signature d’une déclaration tripartite. Celle-ci engage les trois entités régionales à œuvrer en faveur du succès du projet DJOLIBA.

« La relation avec la BADEA, que nous renforçons aujourd’hui, n’est pas qu’institutionnelle, mais bien un partenariat business pour faire avancer le développement durable de nos pays », s’est félicité M. Ekué, sans pour autant préciser le montant exact que la BADEA mettait à disposition de son institution. 

Depuis deux ans, la BOAD cherche à convaincre ses actionnaires d’abonder de nouveau à son capital et à attirer de nouveaux partenaires stratégiques. C’est dans ce cadre qu’intervient cet encours de la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique. 

Cette dernière « va ainsi financer pour chacun de huit Etats membres de l’Umoa la participation à l’augmentation de capital par l’octroi d’un prêt sur-mesure à des conditions privilégiées », a fait savoir M. Ekué.

Le ministre togolais de l’Economie et des Finances, Sani Yaya, président en exercice du Conseil des ministres de l’Umoa, a salué « la franche collaboration » qu’entretiennent les deux institutions. Il a déclaré que ces fonds vont contribuer « à renforcer le soutien des financements que la BOAD apporte aux Etats membres ». 

« Ces fonds sont destinés à renforcer les capacités de la BOAD en matière de ressources capitalistiques afin de répondre aux besoins et aux aspirations des Etats membres et des peuples de la zone », a-t-il précisé. 

De son côté, le Directeur général de la BADEA, Sidi Ould Tah, a réitéré l’engagement de l’institution qu’il dirige à augmenter ses volumes d’interventions dans l’espace communautaire en développant de nouveaux produits susceptibles de booster le développement économique et social des Etats. 

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