Parlement ivoirien: vote d’une loi visant l’annulation du permis de conduire

Les députés ivoiriens de la Commission défense et sécurité ont adopté jeudi à l’unanimité une loi donnant l’autorisation au tribunal de prononcer l’annulation du permis de conduire pour homicide ou blessures involontaires.

Il s’agit d’un projet de loi modifiant la loi No 63-527 du 26 décembre 1963 portant fixation des peines applicables à certaines infractions commises en matière de police de la circulation, qui a été votée à l’unanimité des députés de la Commission défense et sécurité, en session.

L’article 8 nouveau indique que « lorsque le titulaire d’un permis de conduire est condamné pour homicide ou blessures involontaires commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule, le tribunal ou la Cour peut, en raison des circonstances de l’infraction, prononcer l’annulation du permis de conduire ».

Cette annulation peut être générale ou s’appliquer seulement à une catégorie déterminée de permis, note l’article, qui ajoute que la décision qui la prononce fixe un délai de deux ans au moins et de cinq ans au plus, avant l’expiration duquel le condamné ne pourra solliciter un autre permis.

Toutefois, la demande présentée à cette fin ne sera recevable que si son auteur justifié avoir été reconnu apte après avoir subi un examen médical et psychotechnique dont les modalités seront fixées par décret, mentionne le texte de loi.

La loi poursuit pour dire que « devra être déclaré définitivement inapte à la conduite des véhicules, quiconque ayant été frappé d’une précédente mesure d’annulation ». Il tombera sous le coup des dispositions de cette loi après qu’ un nouveau permis lui aura été délivré.

Le ministre de la Justice, Sansan Kambilé, présent à cette session, a fait savoir que l’objectif affiché de cette loi est de « réprimer très sévèrement les homicides et les blessures involontaires en matière d’accidents de la circulation ».

Autrefois, le législateur avait imposé au juge d’annuler le permis de conduire pour homicide et des blessures involontaires « à la suite de l’appréciation de l’aptitude physique ou des connaissances de l’auteur de l’accident en matière de conduite ».

Pour le ministre de la Justice, cette disposition ancienne rendait difficile l’annulation du permis de conduire qui est « nécessaire de nos jours pour réprimer très sévèrement les auteurs de ces genres d’accidents ».

Désormais, « cela va relever de l’appréciation souveraine du juge de dire si effectivement le permis doit être retiré en ce qui concerne les accidents causés par les chauffeurs indélicats », a précisé M. Sansan Kambilé.

Mozambique : la SADC va envoyer des troupes à Cabo Delgado

La Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) va envoyer des troupes pour contenir l’État islamique qui opère dans le nord du Mozambique.À l’issue d’un sommet extraordinaire de ses dirigeants, qui s’est tenu mercredi dans la capitale mozambicaine Maputo, la SADC a approuvé une proposition de son organe chargé de la politique, de la défense et de la coopération en matière de sécurité visant à stationner une force d’intervention dans la province mozambicaine troublée de Cabo Delgado.

« Le sommet a approuvé les recommandations du rapport du président de l’organe de coopération en matière de politique, de défense et de sécurité, ainsi que le mandat de la mission de la force en attente de la SADC en République du Mozambique, qui sera déployée pour aider le Mozambique à lutter contre le terrorisme et les actes d’extrémisme violent à Cabo Delgado », a déclaré le bloc régional dans un communiqué publié après le sommet.

Il n’a toutefois pas révélé les détails de la mission de la force d’intervention proposée et sur le moment où les troupes seraient déployées.

La décision de déployer une force d’intervention régionale fait suite à une récente recrudescence des attaques contre des civils et des installations gouvernementales par des insurgés connus localement sous le nom d’Al-Shabab, bien qu’il n’y ait aucun lien avec l’organisation somalienne qui porte un nom similaire et est affiliée à Al-Qaeda.

Le président du Mozambique, Filipe Nyusi, aurait jusqu’à présent résisté à l’idée d’une véritable force d’intervention régionale, préférant que son gouvernement gère seul certains aspects de la réponse pour des raisons de souveraineté.

La SADC a appelé ses États membres, en collaboration avec les agences humanitaires, à continuer à apporter leur soutien à la population touchée par les attaques terroristes à Cabo Delgado, y compris aux plus de 700.000 personnes déplacées internes.

RCA : Mankeur N’diaye condamne le non-respect du droit international humanitaire

Le chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (Minusca) a dénoncé les « violations » des droits humains à l’origine d’une « crise humanitaire sans précédent ».Mankeur N’diaye patauge dans le bourbier centrafricain. Ce dernier a donc tiré la sonnette d’alarme lors de la présentation, devant le Conseil de sécurité des Nations Unies, du rapport du Secrétaire Général, Antonio Guterres, sur la situation en RCA.

« Jamais par le passé, les violations et manquements au droit international humanitaire imputables aux forces armées de la RCA, aux forces bilatérales et autres personnels de sécurité (…) n’ont égalé les proportions documentées par la Minusca », a révélé hier mercredi l’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères.

Ces faits, a-t-il souligné, ont causé de « nouvelles vagues de déplacements » en Centrafrique où « 57 % de la population » ont sérieusement besoin d’une assistance humanitaire.

Mankeur N’diaye, dans son intervention, a indiqué que le pays présidé par Faustin Archange Touadéra vit, « au Centre et au Nord-Est, une guerre asymétrique avec des groupes armés de la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC) ».

Pour le chef de la Minusca, ces rebelles, qui avaient lancé mi-décembre 2020 une offensive visant à renverser le pouvoir, sont « majoritairement responsables de violations graves des droits de l’Homme ».

Outre cette question, le diplomate sénégalais a invité les membres du Conseil de sécurité « à maintenir le mandat électoral de la Minusca ». Un acte qui lui permettrait d’apporter « son appui multiforme aux autorités nationales pour la tenue des élections locales de 2022 ». A cet effet, la Minusca travaille d’ores et déjà à la mobilisation de 10 millions de dollars.

Selon Mankeur N’diaye, « le président Touadéra et les parties prenantes au processus politique ont pris l’engagement de conduire à terme le cycle électoral ». Une attitude qu’il dit apprécier car ces joutes devraient contribuer « à la gouvernance décentralisée, au développement local et à la participation de tous les citoyens à la vie politique, dans l’intérêt de leurs localités respectives ».

A la suite de l’exposé, le Conseil de Sécurité a réitéré son « soutien total » à la Minusca en saluant notamment « son leadership ».

Le Maroc et le Sénégal signent un accord sur la protection des données personnelles

La Commission de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP) au Maroc et son homologue au Sénégal ont signé, mercredi à Rabat, un protocole d’accord visant à promouvoir la coopération bilatérale dans ce domaine.Signé par le président de la CNDP-Maroc, Omar Seghrouchni, et le directeur des affaires juridiques du contentieux et de la conformité de la CDP au Sénégal, Mohamed Diop, ce protocole formalise les relations déjà existantes entre les deux commissions, en mettant en place des dispositions de collaboration, d’échange d’informations, de partage de procédures ou encore de traitement de problématiques communes.

M. Diop a mis en exergue la multiplicité des transferts de données entre les entreprises sénégalaises et marocaines, notamment dans le secteur financier et bancaire, relevant que la signature de ce protocole vient, entre autres, encadrer ces transferts et accompagner les entreprises dans ce domaine.

Le Maroc, à l’instar du Sénégal, fait partie de plusieurs instances internationales, telles que le Réseau africain des autorités de protection des données personnelles (RAPDP) dont la CNDP Maroc assure le secrétariat permanent et l’Association francophone des autorités de protection des données personnelles, d’où la nécessité de concrétiser la coopération bilatérale dans ce sens, a-t-il conclu.

Maroc : Plus de 38.300 individus en détention préventive

La population carcérale au Maroc est au nombre de 86.233 détenus, dont 38.373 personnes sont en détention préventive, soit 44,5% sont en détention préventive, soit pratiquement la moitié de la population dans le milieu carcéral.Selon le ministre de la justice, Mohamed Benabdelkader, le recours important à la détention préventive est dû à des facteurs judiciaires, sociaux et économiques.

La rationalisation du recours à la détention provisoire n’est plus une demande de la société civile, mais une revendication de la part du parquet général lui-même.

Face à cette situation, le gouvernement semble miser sur la réforme des textes juridiques encadrant le recours à cette option par les magistrats compétents.

Madagascar : résurgence de la poliomyélite

De nouveaux cas de poliomyélite ont été détectés à Madagascar dans trois localités du pays.En 2018, Madagascar pensait vaincre la maladie paralysante avec cette fanfaronnade un « Pays libéré de la polio ». Trois ans plus tard, le pays subit un retour de bâton avec l’apparition de plusieurs cas à l’est du pays précisément dans les communautés urbaines de Vangaindrano et Mitsinjo et dans le sud-est d’Ampa­nihy.

La direction du Programme élargi de vaccination (DPEV) n’a pas donné le nombre exact de personnes atteintes mais justifie cette réapparition par l’absence d’une campagne de vaccination pour les enfants touchés, selon Dr Rivomalala Rakotonavalona, coordonnateur du DPEV.

Après la détection de plusieurs cas en 2015, le pays avait lancé plusieurs campagnes de vaccination pour éradiquer la maladie et pensait y parvenir en 2018. Des performances qui avaient valu à Madagascar le label de « Polio Free » de l’Organisation mondiale de la santé (Oms). Mais l’Oms avait rappelé « l’importance du maintien des efforts pour aller vers l’éradication de la polio à l’échelle mondiale » à l’époque.

L’apparition de la pandémie de la Covid-19 a chamboulé l’immunisation des enfants. Le taux de couverture vaccinale a diminué avec les efforts réalisés par le gouvernement pour stopper la propagation du coronavirus, exposant le pays à une recrudescence de la « paralysie infantile » pourtant évitable par la vaccination.

Social, santé et migration au menu des quotidiens marocains

L’intervention de l’Etat dans la vie nationale, l’assouplissement des restrictions liées à la pandémie du Covid-19, l’attitude des Marocains vis-à-vis des migrants et la campagne de vaccination, sont les principaux sujets traités par les éditorialistes des quotidiens parus jeudi.+Aujourd’hui le Maroc+, qui aborde l’intervention de l’Etat dans la vie nationale, écrit que l’administration publique et les fonctionnaires ont été « incontestablement les chevilles ouvrières » du dispositif exceptionnel qui a permis au Maroc de lutter et surmonter la crise sanitaire avec succès.

Les départements de la santé, de l’éducation, de l’intérieur, de l’agriculture, de l’industrie, des finances, ainsi que les agents d’autorité et les forces de l’ordre toutes catégories confondues, en première ligne depuis mars 2020, ont pu relever le défi « malgré son envergure, son caractère inédit et sa complexité », relève le journal.

De plus, le Maroc s’apprête à lancer des chantiers encore « plus complexes », et « déterminants » qui devront « impérativement » être mis sur les rails dès cette année, ajoute-t-il, soulignant que dans tout cet « enchevêtrement » de processus et de réformes, la principale locomotive « ne sera autre que l’Etat et donc les fonctionnaires ».

+L’Opinion+, qui revient sur les enjeux de l’assouplissement des restrictions liées à l’épidémie de coronavirus, estime que le paysage d’après la bataille contre le Covid « devrait être sinistré ».

La reprise est « lente » et « rien ne semble indiquer qu’elle devrait s’accélérer à court terme”, d’autant plus que les signes de la pandémie “sont toujours présents » et des foyers apparaissent sans prévenir, sous des formes diverses, explique la publication.

L’assouplissement des mesures de l’état d’urgence sanitaire tend à rendre une normalité à la vie en société, mais la crainte n’a pas disparu pour autant et les barrières psychologiques sont certainement « les plus difficiles à lever », estime-t-il.

+Le Matin+ note que plus des deux tiers des migrants au Maroc (67,3%) estiment que les Marocains ont une attitude plutôt positive envers les migrants, indique une enquête du Haut-Commissariat au Plan (HCP), réalisée au cours du premier trimestre de l’année 2021.

Les nationalités, qui ont le plus exprimé cette opinion, sont les yéménites (87,5%), les syriens (86,8%), les sénégalais (78,7%) et les guinéens (66,9%), précise le HCP dans une note sur les résultats de l’enquête nationale sur la migration forcée de 2021, laquelle a couvert un échantillon de 3.000 migrants répartis en 2.200 migrants régularisés ou en situation irrégulière et 800 réfugiés ou demandeurs d’asile.

+Al Massae+ croit savoir que le Maroc attend l’arrivée de deux livraisons supplémentaires de vaccins contenant 950 000 doses, la première en provenance de Chine, contenant 300 000 doses, et une autre transportant 650 000 doses du vaccin « AstraZeneca » que le Maroc réceptionnera dans le cadre du programme « Covax », selon des sources du journal.

La quantité des doses de Sinopharm, le vaccin chinois, vient s’ajouter aux 9,700 millions de doses que le Maroc avait précédemment reçues au cours des mois d’avril et mai. La situation épidémiologique au Maroc est toujours stable et ne connaît pas d’évolutions inquiétantes, selon ces sources.

Les cas critiques dans les services de réanimation et de soins intensifs sont toujours situés à des niveaux peu préoccupants. Il en est de même pour les décès, dont le nombre est aussi faible. Des indicateurs qui permettent de classer le Maroc parmi les pays en zone verte.

La presse sénégalaise célèbre le 10e anniversaire du 23 juin

Les journaux sénégalais, reçus jeudi à APA, font la part belle aux activités de commémoration de cette date ayant sonné le glas de la présidence d’Abdoulaye Wade (2000-2012).Sud Quotidien note une « célébration à double vitesse ». Ce journal souligne que « la majorité présidentielle enflamme la Place de la nation » (ex-Place de l’Obélisque) tandis que le « Mouvement pour la Défense de la Démocratie (M2D) mobilise (aux HLM Grand-Yoff) contre le 3e mandat ».

En fait, rapporte Vox Populi, il y avait « deux mobilisations (et) deux états d’esprit ».  A en croire journal, voici le condensé des discours prononcés par les membres de l’opposition : « Ce qui se passe à la Place de la Nation est une farce. Bon nombre de leaders qui étaient dans la lutte il y a 10 ans ont trahi le peuple ».

De son côté, le Mouvement du 23 juin (M23) originel surligne, dans ce journal, « des acquis démocratiques » sous le magistère du président Macky Sall. Mais ce dernier, informe Le Quotidien, était « dans tous les discours » de l’opposition.

Citée par ce journal, Aminata Lô Dieng, ancienne ministre en charge des Relations avec les Institutions, affirme que « le peuple a forcé Wade à reculer. Dix ans après, on retrouve les mêmes revendications. Cela traduit l’échec de Macky Sall ».

WalfQuotidien se fait l’écho de « la bataille de l’héritage » autour du 23 juin 2011. Dans ses colonnes, ce journal mentionne que le rassemblement à la Place de la nation « ressemblait plus à un meeting du parti au pouvoir » avec « un folklore et une désorganisation indescriptible » à l’opposé du M2D constant dans le « rejet du troisième mandat ».

Pour sa part, Libération indique que les deux camps se sont livrés à une « bataille de la mobilisation ». En guise d’illustration du fossé qui les sépare, ce quotidien ouvre ses colonnes à Ousmane Sonko et Mor Ngom.

Le leader des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef, opposition) demande aux jeunes de se préparer « au combat » alors que le ministre-conseiller du chef de l’Etat estime qu’on ne doit pas accepter « qu’un seul individu prenne en otage tout le pays ».

Dans L’AS, Mor Ngom déclare que le Sénégal doit veiller à « la consolidation de (son) modèle démocratique, à l’expression plurielle, à la vitalité des règles garantissant l’équilibre de (sa) société ».

Sur un tout autre sujet, Professeur Souleymane Mboup, président-fondateur de l’Institut de formation en santé de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef), pense dans L’Observateur que le Sénégal gagnerait à « se préparer à une éventuelle 3e vague » du nouveau coronavirus.

En tout cas, si un tel scénario advenait, fait savoir dans ce quotidien Docteur Alioune Badara Ly, Directeur adjoint du Centre des opérations d’urgence sanitaire (Cous), « les capacités de lits de réanimation ont été augmentées avec une disponibilité accrue en oxygène ».

Le Soleil, quant à lui, s’intéresse au Stade du Sénégal en construction à Diamniadio (périphérie de Dakar) et dont « les travaux avancent à grands pas ». En effet, le quotidien national révèle que « le niveau d’exécution est à 66 % ».

Record se demande s’il n’y a pas « du plomb dans l’aile du consensus » pour l’élection du président de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) car Mady Touré, le fondateur de l’Académie Génération Foot, « dépose sa candidature ce jeudi ».

Enfin, Stades évoque « le sprint final pour le titre » dans le championnat d’élite de football avec quatre prétendants au sacre : Teungueth FC, AS Pikine, Génération Foot et Diambars.

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Gbagbo saisira Facebook et Twitter pour fermer des comptes portant son nom

Me Habiba Touré, avocat de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, a annoncé mercredi que Facebook et Twitter seront saisis pour fermer des comptes portant le nom de l’ex-chef d’Etat.

« Depuis quelques temps, des propos sont attribués à M. Laurent Gbagbo sur des comptes Facebook, Twitter et autres. Nous tenons à rappeler que M. Gbagbo ne dispose d’aucun compte sur les réseaux sociaux », écrit Me Habiba Touré dans une note de presse.

« Pour l’heure, nous saisissons Facebook et Twitter pour faire fermer tous les comptes usant abusivement du nom de M. Laurent Gbagbo « , mentionne le texte signé de Me Habiba Touré. 

Selon Me Habiba Touré, l’ancien président ivoirien « ne disposait que d’une page Internet qui est actuellement en maintenance » et  » au moment opportun, il lui sera créé des comptes officiels sur les réseaux sociaux ».  

M. Gbagbo est rentré jeudi à Abidjan après dix ans d’absence dans le pays. Il a été définitivement acquitté par la Cour pénale internationale le 31 mars 2021 dans l’affaire de crimes contre l’humanité perpétrés lors des violences postélectorales ivoiriennes de 2010-2011.