Côte d’Ivoire: 3 personnes tuées dans un accident sur l’autoroute du Nord

Une collision entre un camion de transport de marchandises diverses et un véhicule de particulier a fait cinq victimes dont trois décès certains vendredi sur l’autoroute du nord voie nord PK134 aux environs de 12h25 mn (heure locale et GMT).

L’information a été donnée par le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) dans une note d’information parvenue à APA. Les deux blessés de cet accident, a souligné le GSPM, ont été évacués à l’hôpital Saint Jean Baptiste de Bodo. 

Dans la nuit de mercredi à jeudi, une collision entre un autocar et un camion-remorque est survenue sur l’axe Bouaflé-Yamoussoukro (centre) faisant une vingtaine de morts et une trentaine de blessés. 

Mardi dernier, un autre accident de la circulation impliquant deux camions de transport de marchandises diverses sur l’autoroute du nord, a fait sept victimes dont trois morts.  

Selon le gouvernement ivoirien, la surcharge, l’état des routes et l’imprudence des conducteurs sont généralement à l’origine de 94% des accidents de la route qui surviennent en Côte d’Ivoire.

Covid-19: la Côte d’Ivoire élargit la vaccination aux personnes âgées de 18 ans et plus

Le Conseil national de sécurité (CNS) de Côte d’Ivoire, présidé par le chef de l’Etat Alassane Ouattara, a prolongé vendredi l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 30 juin 2021 et élargi la vaccination de Covid-19 aux personnes âgées de 18 ans et plus.

« Afin de juguler la crise sanitaire liée à la Covid-19, le Conseil national de sécurité, après analyse, a décidé de prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 30 juin 2021 et d’élargir la vaccination aux personnes de 18 ans et plus », a déclaré à la presse le directeur de Cabinet du président ivoirien, Fidèle Sarassoro.

Le Conseil national de sécurité a en outre décidé de la décentralisation de la campagne de vaccination contre la Covid-19 , ainsi que de la poursuite et l’intensification de la sensibilisation en vue du strict respect des mesures barrières à travers le pays où le variant anglais a été détecté.   

Depuis le 1er mars 2021, date de démarrage de la vaccination, près de 30.000 personnes ont déjà été vaccinées. La Côte d’Ivoire, selon M. Sarassoro, recevra à la fin du premier semestre 2021, au total, près d’un million de doses à travers l’initiative Covax.

La Côte d’Ivoire a reçu le 26 février 2021, 504.000 doses de vaccin AstraZeneca dans le cadre du mécanisme Covax. Ensuite, le pays a accueilli, au nom de l’amitié ivoiro-indienne, 50.000 doses d’AstraZeneca le 5 mars.   

Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Eugène Aka Aouélé, sur la base du rapport du Comité de veille de la Covid-19 et des conclusions de l’OMS, a indiqué que les avantages du vaccin AstraZeneca l’emportent sur ses risques. 

La campagne prenait jusque-là en compte pour la première phase, les personnes en première ligne, à savoir le personnel de santé, les forces de défense et de sécurité, les enseignants, les personnes âgées d’au moins 50 ans et les gens porteurs de maladies chroniques.   

Dans l’optique de briser la chaîne de transmission de la Covid-19, le Conseil national de sécurité a exhorté les populations à respecter scrupuleusement les mesures barrières, tout en invitant les personnes cibles à se faire vacciner.   

Egypte : Au moins 32 morts dans la collision de deux trains de voyageurs

Par Mohamed Fayed — Au moins 32 personnes ont été tuées et 66 autres blessées ce vendredi dans la collision de deux trains de voyageurs à Souhaj, à environ 460 kilomètres au sud du Caire, a indiqué le ministère de la Santé.Le parquet a annoncé avoir ouvert une enquête pour élucider les circonstances de l’accident.

L’Egypte est régulièrement le théâtre de graves accidents routiers ou ferroviaires, dus à une circulation anarchique, des véhicules vétustes ou encore à des routes et des voies ferrées mal entretenues et peu surveillées.

La tragédie ferroviaire la plus meurtrière de l’histoire de l’Egypte s’est produite en 2002, avec l’incendie d’un train qui avait fait quelque 370 morts à une quarantaine de kilomètres au sud du Caire.

En février 2019, un train s’était encastré dans un mur de la gare centrale Ramsès au Caire, entraînant une explosion et un incendie dans lesquels une vingtaine de personnes avaient péri.

Patrick Achi nommé officiellement Premier ministre de la Côte d’ivoire

Le président de la République de Côte d’ivoire, Alassane Ouattara, a procédé ce vendredi 26 mars 2021, à la nomination de Patrick  Achi, au poste de Premier ministre de la Côte d’Ivoire.

L’information a été donnée par le directeur de cabinet du président de la République, M. Yacinthe Sarassoro. « Le président de la République, Alassane Ouattara a procédé ce vendredi 26 mars 2021 à la signature du décret portant nomination de Patrick Jérôme Achi en qualité de Premier ministre, chef du gouvernement ». A déclaré M. Sarassoro.

Patrick Achi, nommé Premier ministre par intérim le 08 mars 2021, se voit ainsi confirmé dans cette fonction. Il succède à Hamed Bakayoko, décédé le 12 mars.

Cependant, le nouveau chef du gouvernement, devra dans les jours à venir proposer un gouvernement au chef de l’Etat.

Côte d’Ivoire: Patrick Achi nommé Premier ministre

Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a confirmé vendredi, au poste de Premier ministre, Patrick Achi, ministre d’Etat et secrétaire général de la présidence, qui assurait l’intérim de Hamed Bakayoko, décédé le 10 mars 2021.

« Le président de la République, Alassane Ouattara a procédé ce vendredi 26 mars 2021 à la signature du décret portant nomination de Patrick Jérôme Achi en qualité de Premier ministre, chef du gouvernement », a déclaré Fidèle Sarassoro, directeur de Cabinet du président ivoirien. 

Suite à cette nomination, « le président de la République demande au Premier ministre de lui proposer un nouveau gouvernement dans les meilleurs délais », a ajouté M Fidèle Sarassoro, dans une déclaration. 

Le nouveau Premier ministre ivoirien Patrick Achi a été été nommé Premier ministre par intérim le 8 mars 2021. 

Can 2022 : le Zimbabwe qualifié pour la 3e fois consécutive

Le Zimbabwe est qualifié pour la Coupe d’Afrique des nations, prévue au Cameroun en janvier 2022, après sa victoire 1-0 contre son voisin botswanais jeudi soir.Perfect Chikwende de l’équipe tanzanienne du Simba Sports Club a permis aux Warriors zimbabwéen de mener au score dès la première mi-temps (et de se qualifier pour la phase finale de la CAN) lors d’un match agréable du groupe H disputé au stade Obed Itani Chilume de Francistown au Botswana.

Avec cette victoire, le Zimbabwe passe à huit points, derrière l’Algérie, leader du groupe, qui s’est également qualifiée à l’issue de son match nul 3-3 avec la Zambie dans l’autre manche du Groupe H disputé jeudi à Lusaka.

Ces résultats signifient que le dernier match de groupe prévu lundi entre le Zimbabwe et la Zambie à Harare ne sera qu’une simple formalité pour les Warriors.

Ainsi, le Zimbabwe s’est qualifié pour la phase finale de la CAN trois fois de suite, après l’avoir fait lors des deux derniers tournois organisés en 2017 et 2019.

Un pont à Rosso pour rapprocher Dakar et Nouakchott

Les gouvernements mauritanien et sénégalais ont signé le contrat de construction de cette infrastructure à la frontière des deux pays.C’est un projet de grande envergure. Un pont sur le fleuve Sénégal va bientôt relier les deux villes jumelles : Rosso Sénégal et Rosso Mauritanie. Les premiers jalons de ce projet viennent d’être posés. En effet, les ministres mauritanien et sénégalais en charge des Transports, Mohamed Lemine Dhehby et Mansour Faye, ont paraphé hier jeudi un contrat dans ce sens.

Le pont de Rosso sera construit sur une durée de 30 mois. Le démarrage des travaux est prévu en juin 2021 et la livraison du chantier en décembre 2023. D’un coût global de 87,63 millions d’euros, soit plus de 57 milliards F CFA, les travaux seront confiés à une société chinoise suite à un appel d’offres international.

Le projet a acquis les financements de la Banque africaine de développement (Bad) pour 40,75 millions d’euros et la Banque européenne d’Investissement (BEI) pour 22,30 millions d’euros. L’Union européenne (UE) a aussi fait un don de 20 millions d’euros. A cela, s’ajoute les contributions de 3,50 millions d’euros de la Mauritanie et de 1,4 million d’euros du Sénégal.

Mohamed Lemine Dhehby s’est réjoui de cette signature, notant que le futur pont de Rosso va « favoriser l’intégration régionale et renforcer les liens de fraternité entre nos deux pays frères ». Jusque-là, a rappelé le ministre mauritanien, « le bac de Rosso est resté le seul moyen de transit entre nos deux pays d’une part et entre l’Europe, le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest d’autre part ».

Ce bac « a joué un rôle vital au cours des dernières décennies mais avec la demande croissante de transport sur l’axe reliant l’Europe et l’Afrique via nos deux pays », il était « devenu incompatible avec la croissance rapide des transports sur cet axe », a souligné le ministre mauritanien des Transports.

Son homologue sénégalais, Mansour Faye, a salué lui-aussi cette initiative qui traduit « notre commune volonté d’impulser un souffle nouveau aux relations » entre les deux pays qui « (agissent) ensemble pour construire à tous les niveaux une collaboration dynamique positive et confiante ».

Au-delà de l’image d’intégration régionale, poursuit M. Faye, ce pont « matérialise l’amitié » entre deux peuples et Etats. « Nous avons la responsabilité de préserver cet héritage familial pour léguer à nos enfants et aux générations futures un espace sénégalo-mauritanien stable et apaisé dont toutes les composantes vivent en harmonie », a-t-il noté.

Social, digital et santé au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi s’intéressent à la problématique de la pauvreté, à la transformation digitale et à la suspension des liaisons aériennes avec 37 pays dans le monde pour enrayer la propagation de la pandémie du Covid-19.+L’Economiste+ écrit que sur beaucoup de sujets, y compris celui de la pauvreté, la pandémie a été le creuset d’une perte de sens, rappelant que les engagements affichés pour les objectifs de développement durable (ODD) se donnent pour ambition d’éradiquer toutes les formes de pauvreté avant fin 2030.

Depuis une année, le bilan aurait pu être plus lourd sans les aides de l’État qui ont incontestablement permis de réduire la casse et d’atténuer les effets socioéconomiques de la crise, souligne le journal, expliquant qu’il s’agit seulement d’une thérapie de court terme car les chocs comportementaux ressentis à l’issue des baisses de consommation, d’investissement, d’offre d’emploi, restent en effet posés de manière violente.

Il estime approprié de « composer avec un retournement de cycle qui appelle à revoir à la fois les frontières de la problématique de la pauvreté et les traitements, à même de la juguler ».

Sur un autre registre, +Aujourd’hui Le Maroc+ relève que des thématiques comme la data, les systèmes d’information, la cybersécurité s’imposent aujourd’hui sur l’agenda de toutes les entreprises quelle que soit leur taille et quel que soit l’écosystème dans lequel ces entreprises évoluent.

« C’est une véritable course contre la montre qui est aujourd’hui engagée par tous les acteurs du marché », constate le quotidien, notant que ces derniers savent qu’il est grand temps de prendre le train de la transformation digitale. Si le Maroc n’échappe pas à cette vague digitale qui a, depuis quelques années, commencé à transformer des secteurs tout entiers, il est question aujourd’hui de s’imposer dans un monde qui évolue à la vitesse grand V, estime la publication.

+Les Inspirations Eco+ rapporte que le Maroc a stoppé ses liaisons aériennes avec pas moins de 37 pays. Les derniers ajouts contiennent 5 pays africains. Il s’agit du Mali, Ghana, RDC, Guinée-Conakry et de la Libye. Ce qui porte leur nombre à 37 au total. Parmi ces pays, le journal cite l’Italie, la Belgique, la Turquie, la Suisse, l’Allemagne, l’Autriche, le Portugal ou encore l’Australie.

Selon lui, les décisions de suspension des liaisons aériennes sont prises en fonction de l’évolutions de la situation sanitaire et d’autres indicateurs. « Elles émanent de concertations entre les ministères de la Santé et des Affaires étrangères » puis sont communiquées à la Direction générale de l’aviation civile avant que s’enclenche le processus d’informations des compagnies aériennes.

Justement sur le plan de la pandémie, l’Afrique enregistre 1 million de nouveaux cas tous les 69 jours et plus de 4,1 millions de cas depuis le début de la pandémie dans un contexte où la majorité des pays africains n’ont commencé à vacciner leurs populations qu’au cours des dernières semaines.

Ces suspensions des liaisons impactent de surcroît le trafic aérien dans les aéroports marocains. Se référant aux dernières statistiques de l’ONDA, le journal affirme que le trafic de passagers au mois de février a dégringolé de près de 78,5%. Le volume du trafic commercial passager est ainsi passé à seulement 420.384 voyageurs contre plus de 1,95 millions à fin février 2020.

Divergence de vues entre Nicéphore Soglo et Talon, deux modèles socio-politiques

L’ancien chef d’Etat béninois, Nicéphore Soglo, a récemment défrayé la chronique via des attaques répétées contre le président Patrice Talon, faisant sienne la position de l’opposition qui considère que le pays fait face à une dérive autocrate.

Une accusation qui résume la fracture entre les « anciens » et les « modernes » dans l’appréhension de la démocratie béninoise. Les enjeux démocratiques, aujourd’hui, intègrent plusieurs paramètres en raison de nouvelles contraintes socio-politiques.     

Nicéphore Soglo, adossé à sa famille, est une personnalité importante et populaire au Bénin. En tant que premier président du Bénin démocratique au sortir de la dictature, en 1991, sa voix bénéficie d’une aura particulière. 

Il était jusqu’en 2017 l’un des principaux soutiens de Patrice Talon, jusqu’à leur rupture après les poursuites engagées contre son fils Léhady Soglo, alors maire de Cotonou, pour abus de fonction. Ces poursuites aboutirent à sa révocation de la mairie et à des poursuites judiciaires. 

Peu de temps avant, Léhady Soglo avait été évincé de son propre parti, fondé par ses parents, du fait d’une gestion jugée solitaire et peu efficiente. Un double affront que n’a jamais pardonné le clan Soglo à Patrice Talon, jugé être l’architecte de cette disgrâce. 

Inflation des partis politiques

On peut croire Nicéphore Soglo quand il déclare dans la presse ne rien avoir de personnel contre Patrice Talon. Car en réalité, les épisodes d’affrontements passés et actuels sont l’épiphénomène d’une divergence de vues fondamentale, non pas entre deux hommes mais entre deux modèles sociaux-politiques. 

De fait, l’ex-président béninois pourrait être vu comme le parangon (modèle) de la « première République » du Bénin, une démocratie nouvelle fondée sur une inclusivité ethnique et régionale, formellement niée sous le régime précédent. 

Cette volonté d’inclusivité démocratique s’est traduite dans les modes de scrutin et le découpage des circonscriptions électorales; ces dernières favorisant clairement des élections sur une base locale, ethnique puis régionale. 

Dans un pays marqué par un passif ethno-régional fait de rivalités parfois conflictuelles mais aujourd’hui relativement apaisées, la mathématique ethnique électorale ne comportait pas de danger réel en termes de stabilité ; elle permettait au contraire une participation forte à la vie politique béninoise pour l’ensemble des communautés. 

Ce choix primordial d’une construction démocratique sur une base communautaire a fini par montrer ses limites. En effet, l’inflation de partis politiques (près de 200), construits sur des bases ethno-régionales voire hyper-localistes, a fini par brouiller la vie politique. 

Il en résultait une diversité telle à l’Assemblée nationale que les gouvernements étaient issus de grandes coalitions particulièrement fluctuantes… d’où une forte instabilité. 

Nécessaire modernisation

Ce climat peu propice à des politiques de long terme prêtait largement le flanc au clientélisme et à la corruption. De facto dans les années 2000, le Bénin était considéré comme l’un des pays les plus « corrompus » d’Afrique. 

Ceci explique les réformes constitutionnelles, votées en 2019, prévoyant des restrictions (budgétaires et humaines) dans les conditions d’obtention du statut de parti politique et mettant également en place un système de parrainage d’élus.

Le président Patrice Talon s’est clairement employé à professionnaliser la vie politique autour des quelques formations incitées à s’organiser sur une base nationale intercommunautaire et non plus régionale ou inter-communale. 

Cependant, M. Talon ne semble pas nier le fait ethnique et localiste :  les découpages électoraux locaux, notamment communaux, n’ont en effet pas vraiment changé. L’objectif semble donc de concilier identités régionales ancestrales et concept de Nation au sens contemporain.

C’est bien deux visions politiques, voire deux visions du monde, qui s’affrontent, l’une clanique et reposant sur des équilibres communautaires fluctuants ; et l’autre transversale, avec un référentiel national primant sur les identités locales, sans pour autant les nier. 

Le modèle de Patrice Talon sera-t-il plus probant ? S’il est trop tôt pour le dire, il est certain qu’une partie de l’opposition refuse catégoriquement ce constat, quitte à tout mettre en œuvre pour l’en empêcher. 

Comme porter des accusations de dérive autocratique, voire de tentatives criminelles à l’encontre du président en exercice. Ce qui, en contexte électoral, ne peut qu’exacerber les tensions internes du pays. 

Le Professeur Gilbert Aké N’gbo parti à la retraite avec 27 mois de salaires impayés.

Le Professeur titulaire de chaire, Gilbert Marie Aké N’gbo est à la retraite depuis le jeudi 31 décembre 2020. 

En effet, bientôt trois mois qu’il est à la maison, le premier ministre Gilbert Marie Aké N’gbo devrait logiquement jouir pleinement aujourd’hui des retombées financières de ces longues années de travaux scientifiques consacrés à la Recherche. Mais , il n’en est rien!

L’État de Côte d’Ivoire, lui doit vingt sept(27) mois de salaires impayés. Cette histoire crée un malaise dans l’entourage de l’ancien chef du gouvernement ivoirien. Les caisses de l’État sont-elles autant vides au point d’en arriver à priver ce grand homme de ses avoirs de longs mois durant ? La dure réalité est pourtant là.

Par ailleurs,  personne à ce jour, n’a encore osé hausser le ton ou donner de la voix pour non seulement dénoncer cette injustice qui est faite au premier ministre Aké N’gbo et réclamer en retour ce qui revient de droit à cet éminent Professeur titulaire de chaire.

En outre, des avocats ont été commis aux fins de faire triompher les droits de l’employé Gilbert Marie Aké N’gbo. Cependant, le processus de règlement de ces nombreux mois de salaires impayés semble avancer à pas de tortue. Malheureusement. Rappelons que le premier ministre Gilbert Marie Aké N’gbo fait partie des dirigeants ivoiriens dont les comptes ont été gelés en 2011 lors de la crise postélectorale en Côte d’Ivoire.

Rappelons qu’il était un ancien pensionnaire de la prison civile de Boundiali, et a été condamné à 20 ans de prison dans l’affaire du « casse de la Bceao ».