Covid-19 et campagne électorale en Ouganda: interdiction des meetings

La Commission électorale ougandaise a interdit les meetings de la campagne électorale afin d’éviter la propagation du coronavirus, a appris APA mardi.Les Ougandais se rendront aux urnes en janvier 2021 pour élire un président et des députés, mais la commission électorale a exprimé son inquiétude quant aux rassemblements de masse lors des meetings qui pourraient voir une recrudescence des cas de coronavirus.

En raison des craintes suscitées par la Covid-19, l’organe électoral a déclaré que tous les candidats aux élections peuvent utiliser les médias pour mener leur campagne, tandis que les électeurs potentiels sont tenus de porter un masque lors des scrutins prévus l’année prochaine.

Le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986, n’a pas encore fait part de son souhait de se présenter pour un sixième mandat.

Covid-19 et campagne électorale en Ouganda: interdiction des meetings

La Commission électorale ougandaise a interdit les meetings de la campagne électorale afin d’éviter la propagation du coronavirus, a appris APA mardi.Les Ougandais se rendront aux urnes en janvier 2021 pour élire un président et des députés, mais la commission électorale a exprimé son inquiétude quant aux rassemblements de masse lors des meetings qui pourraient voir une recrudescence des cas de coronavirus.

En raison des craintes suscitées par la Covid-19, l’organe électoral a déclaré que tous les candidats aux élections peuvent utiliser les médias pour mener leur campagne, tandis que les électeurs potentiels sont tenus de porter un masque lors des scrutins prévus l’année prochaine.

Le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986, n’a pas encore fait part de son souhait de se présenter pour un sixième mandat.

Tripoli pour une enquête internationale sur les fosses communes à Tarhuna

La Libye demande une aide internationale pour enquêter sur les onze fosses communes découvertes dans la ville de Tarhuna, à 65 kilomètres au sud-est de la capitale Tripoli, a appris mardi APA.Les fosses communes ont été découvertes récemment par des soldats fidèles au gouvernement de Tripoli, soutenus par la communauté internationale. Tarhuna était sous le contrôle des forces loyales à Khalifa Haftar. 

Sur la page Facebook officielle du ministère des Affaires étrangères, le ministre libyen des Affaires étrangères Mohammed Siala a demandé une enquête internationale sur les circonstances qui ont conduit à l’enterrement de femmes et d’enfants vivants dans la ville. Le ministre a envoyé une lettre à cet effet au Conseil de sécurité de l’ONU, demandant l’implication de la Cour pénale internationale. 

Le gouvernement soutenu par la communauté internationale a accusé les forces de Haftar d’avoir commis des atrocités dans les zones qu’elles contrôlent et dans celles qu’elles veulent contrôler. 

Il a demandé au Conseil de sécurité des Nations unies d’adopter une position plus déterminée contre ces violations que le ministre des Affaires étrangères a qualifiées de crimes contre l’humanité.

 La Libye, déchirée par la guerre, est contrôlée par deux gouvernements parallèles depuis le renversement de l’homme fort Mouammar Kadhafi en 2011.

Tripoli pour une enquête internationale sur les fosses communes à Tarhuna

La Libye demande une aide internationale pour enquêter sur les onze fosses communes découvertes dans la ville de Tarhuna, à 65 kilomètres au sud-est de la capitale Tripoli, a appris mardi APA.Les fosses communes ont été découvertes récemment par des soldats fidèles au gouvernement de Tripoli, soutenus par la communauté internationale. Tarhuna était sous le contrôle des forces loyales à Khalifa Haftar. 

Sur la page Facebook officielle du ministère des Affaires étrangères, le ministre libyen des Affaires étrangères Mohammed Siala a demandé une enquête internationale sur les circonstances qui ont conduit à l’enterrement de femmes et d’enfants vivants dans la ville. Le ministre a envoyé une lettre à cet effet au Conseil de sécurité de l’ONU, demandant l’implication de la Cour pénale internationale. 

Le gouvernement soutenu par la communauté internationale a accusé les forces de Haftar d’avoir commis des atrocités dans les zones qu’elles contrôlent et dans celles qu’elles veulent contrôler. 

Il a demandé au Conseil de sécurité des Nations unies d’adopter une position plus déterminée contre ces violations que le ministre des Affaires étrangères a qualifiées de crimes contre l’humanité.

 La Libye, déchirée par la guerre, est contrôlée par deux gouvernements parallèles depuis le renversement de l’homme fort Mouammar Kadhafi en 2011.

Éthiopie: le général Kefyalew Tessema, commandant de l’UNISFA

Le Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a nommé hier lundi le major-général éthiopien, Kefyalew Amde Tessema au poste de commandant de la Force de sécurité intérimaire des Nations unies pour Abyei (UNISFA).Il succède à son compatriote Mehari Zewde, qui achèvera sa mission le 7 juillet 2020. Le major-général Kefyalew a une carrière militaire distinguée de plus de trente ans au sein des forces armées éthiopiennes.

Il est également membre du conseil du ministère éthiopien de la Défense nationale depuis 2017. Plus récemment, il a occupé le poste de chef du département principal du génie des forces de défense nationale éthiopiennes, responsable de la planification, de la coordination, de la gestion, de l’organisation, de la formation et des rapports sur les activités de génie connexes.

Auparavant, il a dirigé le commandement occidental de 2017 à 2018. Il a été commandant adjoint du centre de 2016 à 2017 et commandant de division de 2012 à 2016, entre autres fonctions au sein des forces armées éthiopiennes.

En 2015, il a été commandant de secteur de la Mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM) en Somalie.

Le major-général Kefyalew est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université d’Ashland aux États-Unis et d’une licence en commandement et contrôle de l’unité et de la formation militaires de l’Académie des forces composites de la Fédération de Russie.

Éthiopie: le général Kefyalew Tessema, commandant de l’UNISFA

Le Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a nommé hier lundi le major-général éthiopien, Kefyalew Amde Tessema au poste de commandant de la Force de sécurité intérimaire des Nations unies pour Abyei (UNISFA).Il succède à son compatriote Mehari Zewde, qui achèvera sa mission le 7 juillet 2020. Le major-général Kefyalew a une carrière militaire distinguée de plus de trente ans au sein des forces armées éthiopiennes.

Il est également membre du conseil du ministère éthiopien de la Défense nationale depuis 2017. Plus récemment, il a occupé le poste de chef du département principal du génie des forces de défense nationale éthiopiennes, responsable de la planification, de la coordination, de la gestion, de l’organisation, de la formation et des rapports sur les activités de génie connexes.

Auparavant, il a dirigé le commandement occidental de 2017 à 2018. Il a été commandant adjoint du centre de 2016 à 2017 et commandant de division de 2012 à 2016, entre autres fonctions au sein des forces armées éthiopiennes.

En 2015, il a été commandant de secteur de la Mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM) en Somalie.

Le major-général Kefyalew est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université d’Ashland aux États-Unis et d’une licence en commandement et contrôle de l’unité et de la formation militaires de l’Académie des forces composites de la Fédération de Russie.

Covid-19 : L’Etat Ivoirien reçoit des dons d’Olam et de la fondation Temasek

Dans le cadre de la lutte contre la maladie à Coronavirus le Groupe Olam international et de la fondation Temasek font parler leur cœur. Ils ont fait part de deux importants dons à la Côte d’Ivoire, présent réceptionné par le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique.

Le premier don Estimé à environ 350 millions de F CFA est celui d’Olam International donné par la filiale Olam en Côte d’Ivoire. Destiné au personnel soignant et les patients, ce présent est composé de 3 respirateurs, 4 caméras thermiques infrarouge, 1.200 thermomètres infrarouge, 2.400 masques, 4.800 gels hydroalcooliques, 4.800 combinaisons de protection, 8.000 masques KN95, 30.000 paires de gants, et 180.000 masques chirurgicaux.

Quant au second don, celui-ci  est composé de 20.000 kits de dépistage offert par le groupe Olam International et la Fondation Temasek.

Destiné à l’Institut national d’hygiène publique (INHP) et à l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire, cet accompagnement médical vise à augmenter les capacités de protection des populations et de prise en charge des malades. « Il contribuera à soutenir les efforts du gouvernement pour contenir la propagation du coronavirus, et à renforcer les capacités des structures chargées de prendre soin de la population ivoirienne ».
Pour réitérer son engagement dans la lutte contre la Covid-19 Partheeban Theodore, directeur général d’Olam en Côte d’Ivoire a fait part de son soutien indéfectible « Olam continuera de travailler en étroite collaboration avec le gouvernement ivoirien, nos différentes parties prenantes, et les communautés dans lesquelles nous opérons pour réduire la propagation et l’impact du virus ».

Il a ajouté que « l’une des priorités du groupe reste la préservation de l’environnement de travail pour assurer la santé et la sécurité des employés mais aussi celle des communautés ». Exprimant sa reconnaissance à la fondation Temasek pour « l’aide opportune et particulièrement nécessaire dont elle a fait part, nous pourrons gagner cette lutte contre le Coronavirus dans la collaboration et la solidarité ».

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a pour sa part remercié les donateurs pour cet élan de solidarité dans la lutte contre la pandémie à Coronavirus qui fait des victimes en Côte d’Ivoire.

Réduction des risques d’inondation : la Banque mondiale met plus de 180 milliards FCFA à disposition

Pour prévenir les risques d’inondation et améliorer la qualité de gestion des déchets solides à Abidjan la Banque mondiale a approuvé un crédit de 315 millions de dollars (environ 182 milliards de Francs CFA) à la Côte d’Ivoire.

Cette contribution inscrite dans le cadre du Projet d’Assainissement et de Résilience Urbaine (PARU), « vise à améliorer la gestion des eaux pluviales et des ordures ménagères dans l’objectif de palier aux risques d’inondations et sanitaires élevés auxquels sont confrontés les ménages urbains pauvres », mentionne une note de ladite Banque.

La phase 1 de mise en œuvre de ce projet est dotée d’une enveloppe de 37 millions de dollars (environ 21 milliards FCFA). Celle-ci sera consacrée à la construction ou à la réhabilitation de systèmes de drainage dans les quartiers les plus exposés de la capitale économique, cas de Yopougon et Abobo, les deux quartiers les plus peuplés du district d’Abidjan.

Dans le cadre de ce projet (PARU), l’installation d’un système d’alerte précoce des inondations est en cours. Une méthode qui permettra non seulement de renforcer les capacités des institutions en charge de l’assainissement mais aussi cette de la planification urbaine, à travers la formation et l’équipement en technologies numériques dédiées.

La Directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, Coralie Gevers, s’est prononcée sur les avantages de la création de nouveaux systèmes de drainage. « Telle que déjà en cours à Yopougon où il y a un grand chantier, la création de nouveaux systèmes de drainage améliorera fortement la qualité de vie des communautés environnantes ». Coralie Gevers a par ailleurs ajouté que «  ce renforcement ne peut être durable que si elle est accompagnée par la mise en place d’une collecte régulière des déchets solides et une meilleure planification urbaine ». 

Coronavirus / District d’Abidjan : Fermeture de 577 bars et boites de nuits

Dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus en Côte d’ivoire, 577 bars et boîtes de nuit ont été fermés dans le district d’Abidjan. Cette information a été donnée par le porte-parole de la police nationale, le commissaire principal, Charlemagne Bleu. Et ce, au cours du point de presse sur la gestion du Coronavirus, le 15 juin 2020 à Abidjan.

Selon lui, dans la période du 1er mai au 15 juin 2020, ce sont au total, 577 bars et boîtes de nuit qui ont été fermés. Ainsi que 2 515 maquis, qui  ont été visités dans le cadre de la sensibilisation au respect des mesures barrières.

Par ailleurs, il a rappelé le maintien de la fermeture des bars, boîtes de nuit, cinémas et lieux de spectacle a été fixé jusqu’au 30 juin 2020. Ces fermetures suivent conformément, la décision du conseil national de sécurité du 11 juin 2020. Il a également annoncé l’interpellation de quatre propriétaires de boîtes de nuit et bars, la saisie d’appareils de sonorisation et de 433 bouteilles alcoolisées.

Toutefois,il a rassuré les populations sur l’engagement des forces de défense et de sécurité. Notamment dans la mise d’ordre dans le secteur du transport, afin d’endiguer la propagation de la pandémie.

Rappelons cependant, que le bilan s’alourdit avec plus de 95% des cas de COVID-19, enregistrés dans le Grand Abidjan. Notons aussi que la Côte d’ivoire compte

Attaque à Kafolo: Richard Adou « Pour le moment, nous sommes au stade primaire des enquêtes »

Le  Procureur de la République, Richard Adou s’est exprimé sur l’attaque de Kafolo le lundi 15 juin 2020, à l’occasion de la conférence inaugurale de la 2ème session de formation sur le système judiciaire ivoirien. Après avoir été à Kafolo dans le cadre d’une enquête, Richard Adou a confirmé l’acte terroriste perpétré dans la ville.

Le Procureur de la République, Richard Adou s’est rendu dans la ville de Kafolo après l’attaque terroriste des postes mixtes armées-gendarmerie. A la tête d’une Cellule spéciale d’instruction et de lutte contre le terrorisme, Richard Adou assure que les enquêtes sur l’attaque de Kafolo sont en cours. « Nos services sont à pied d’œuvre. Bientôt vous aurez d’autres informations. Pour le moment, nous sommes au stade primaire des enquêtes », a déclaré le Procureur de la République, lors de sa conférence.

Avant le début de la conférence inaugurale de la 2ème session de formation sur le système judiciaire ivoirien, il a fait observer une minute de silence pour le repos des âmes des 12 éléments des forces de défense et de sécurité tombés sous les balles des individus armés à Kafolo.

« Nous avons vu que depuis l’attentat terroriste de Grand-Bassam jusqu’à Kafolo tout ce qui est terrorisme vient pour ôter la vie. Personne ne peut accepter cela », a-t-il déclaré.