Affaire « Trafic de drogue » : Hamed Bakayoko porte plainte à Abidjan contre des journalistes et des cyberactivistes

Le ministre d’État ivoirien chargé de la défense, par ailleurs premier ministre par intérim, Hamed Bakayoko qui a été accusé récemment dans un média international de trafic de drogue, a déposé une plainte devant le procureur de la République près le Tribunal de première instance d’Abidjan contre des journalistes, des cyberactivistes et la société Vice Média pour diffamation.L’information a été donnée mardi dans un communiqué du Conseil de M. Bakayoko signé par Me Niamkey Marie-Hélène. « Pour la sauvegarde de ses droits, M. Hamed Bakayoko, ministre d’État chargé de la défense a déposé une plainte le 23 juin 2020 entre les mains du procureur de la République près le Tribunal de première instance d’Abidjan pour diffamation, atteinte à l’ordre public et  injures commises par le biais d’un système d’information», rapporte le communiqué. 

Poursuivant Me Niamkey a  fait savoir que  la plainte de M. Bakayoko est contre la société Vice Média, la société Vice Belgique,  la société Vice France, M. Bauwens Daan Jan ( Journaliste belge), Ibekwe Nicholas Leonard ( Journaliste Nigérian), Mme Camara Maïmouna alias La Guêpe ( Cyberactiviste ivoirienne), X plus connu sous le nom de Kyria Doukouré et «  tous ceux qui s’avéreront». 

Début juin, les journalistes Ibekwe Nicholas et Daan Bauwens ont accusé dans un média international ( Vice Média), le premier ministre ivoirien par intérim Hamed Bakayoko d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire. Une information qui a été abondamment  relayée par des cyberactivistes sur les réseaux sociaux. 

Covid-19 : les électeurs malawites ne respectent pas les mesures-barrières

Les électeurs malawites ont fait la queue pour accomplir leur devoir citoyen à l’occasion de la reprise du scrutin présidentiel, en faisant fi de toutes les mesures de distanciation physique ordonnées par la Commission électorale du pays, selon les médias locauxDepuis le début du vote à 7 heures, heure locale, mardi, plusieurs photos et vidéos sont apparues, montrant des électeurs trop proches les uns des autres dans les bureaux de vote.

La distance obligatoire à respecter entre les électeurs est de deux mètres, comme l’exige la Commission électorale.

Les responsables de cette Commission semblent désireux d’appliquer les normes de sécurité sanitaire, notamment des réservoirs d’eau placés près des bureaux de vote où les électeurs peuvent se laver les mains ; mais tous les bureaux de vote ne sont équipés de ces matériels.

Les Malawites ont voté mardi sous haute surveillance, lors de la reprise du scrutin présidentiel, après que des allégations d’irrégularités généralisées ont forcé la Cour constitutionnel à l’annulation du scrutin précédent tenu en mai 2019.

Pour la deuxième fois en 13 mois, les Malawites se sont rués vers les bureaux de vote disséminés à travers le pays pour choisir un nouveau président.

 Peter Mutharika était sorti vainqueur du scrutin de 2019, battant un groupe de six autres candidats à la présidentielle.

Il a vaincu de peu son principal rival, Lazarus Chakera, en remportant 38,57% des suffrages exprimés lors des élections présidentielles tenues parallèlement aux scrutins pour les membres de l’Assemblée nationale et les conseillers des collectivités locales.

Chakwera a remporté 35,42% des voix tandis que Saulos Chilima arrivait loin derrière, avec 20,24% des suffrages exprimés.

Pour le scrutin de ce mardi, Mutharika aura comme principal challenger Chakwera, un pasteur de 65 ans devenu politicien, candidat à la nouvelle Alliance Tonse qui comprend plusieurs petits partis.

Son colistier est Chilima, l’ancien adjoint de Mutharika.

Affaire « Trafic de drogue » : Hamed Bakayoko porte plainte à Abidjan contre des journalistes et des cyberactivistes

Le ministre d’État ivoirien chargé de la défense, par ailleurs premier ministre par intérim, Hamed Bakayoko qui a été accusé récemment dans un média international de trafic de drogue, a déposé une plainte devant le procureur de la République près le Tribunal de première instance d’Abidjan contre des journalistes, des cyberactivistes et la société Vice Média pour diffamation.L’information a été donnée mardi dans un communiqué du Conseil de M. Bakayoko signé par Me Niamkey Marie-Hélène. « Pour la sauvegarde de ses droits, M. Hamed Bakayoko, ministre d’État chargé de la défense a déposé une plainte le 23 juin 2020 entre les mains du procureur de la République près le Tribunal de première instance d’Abidjan pour diffamation, atteinte à l’ordre public et  injures commises par le biais d’un système d’information», rapporte le communiqué. 

Poursuivant Me Niamkey a  fait savoir que  la plainte de M. Bakayoko est contre la société Vice Média, la société Vice Belgique,  la société Vice France, M. Bauwens Daan Jan ( Journaliste belge), Ibekwe Nicholas Leonard ( Journaliste Nigérian), Mme Camara Maïmouna alias La Guêpe ( Cyberactiviste ivoirienne), X plus connu sous le nom de Kyria Doukouré et «  tous ceux qui s’avéreront». 

Début juin, les journalistes Ibekwe Nicholas et Daan Bauwens ont accusé dans un média international ( Vice Média), le premier ministre ivoirien par intérim Hamed Bakayoko d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire. Une information qui a été abondamment  relayée par des cyberactivistes sur les réseaux sociaux. 

Covid-19 / Côte d’ivoire : La ministre de la femme organise une tournée de sensibilisation dans la région du N’Zi

Dans le cadre une tournée de sensibilisation sur la Covid-19 dans la région du N’Zi, la ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Ramata Ly-Bakayoko accompagnée de l’honorable Yao Séraphin, a rencontré les leaders communautaires et religieux, les responsables d’associations de femmes et de jeunes de la région. Cette rencontre a eu lieu le vendredi 19 juin 2020.

La ministre a exhorté les leaders communautaires, à être sur le terrain pour sensibiliser les populations. Elle a invité ces derniers à expliquer aux populations les gestes barrières. Notamment, les étapes du lavage des mains et l’importance du port du masque et du respect des mesures barrières.

Région du N'Zi

Toutefois, ces derniers ont promis de s’impliquer dans la sensibilisation afin de freiner la propagation de la maladie. Rappelons aussi, qu’au cours des rencontres avec les guides religieux, les chefs de communautés, Ramata Ly-Bakayoko a procédé à une distribution de masques de protection contre la Covid-19.

Daoukro/Système éducatif formel : Installation d’un comité régional pour l’intégration des écoles islamiques

Dans l’objectif de venir en aide aux enfants des écoles islamiques de Daoukro, un comité de pilotage du processus d’intégration de ces écoles dans le système éducatif formel a été installé dans la ville.

L’information donnée au coup d’une rencontre ce 23 juin 2020, Zagba Léontine, coordonnateur national protection programme de coopération Côte d’Ivoire-Unicef a indiqué qu’« il s’agit d’un organe qui permettra dans l’Iffou, de prendre en compte tous les enfants qui sont dans les structures islamiques d’éducation. Afin que ceux-ci puissent bénéficier de l’éducation formelle en vue d’être compétitifs au même titre que leurs amis des mêmes écoles sur l’échiquier national. Et cela à tous les niveaux ».

Aka Sonoh Julie, préfet de Daoukro, a exhorté les membres du comité régional pour l’intégration des structures islamiques à la prise en compte de tous les enfants de la région de l’Iffou.

Dans son mandat de préfet de région, Sonoh Julie s’est assignée une mission. «  Nous devons tout faire pour que tous les enfants qui sont en dehors du circuit scolaire formel, notamment les enfants des écoles islamiques, puissent intégrer l’école d’éducation formelle. En plus de cela, nous devons vérifier si le programme formel est conforme et exécuté dans les écoles de confession islamique », a-t-elle confié. Mandatant les uns et les autres à l’application des mesures de restriction mis en place par les autorités ivoiriennes dans le cadre de la lutte contre la pandémie à Coronavirus.

Arabie Saoudite / Covid-19 : Maintien du pèlerinage à la Mecque avec un nombre limité de fidèles

l’Arabie saoudite a décidé le lundi 22 juin 2020, de maintenir fin juillet le grand pèlerinage musulman de La Mecque. Cette décision a été prise avec une contrainte, qui est de limiter le nombre de fidèles.

En effet, les autorités saoudiennes ont décidé d’accorder à une catégorie de personnes de pouvoir effectuer le Hajj. Il s’agit notamment des personnes de toutes nationalités, se trouvant actuellement à l’intérieur du royaume saoudien. Selon eux, cet Hajj limité répondra aux exigences de prévention et de distanciation sociale nécessaires pour assurer la sécurité des fidèles. Ainsi, ils réaliseront d’une part les objectifs de la loi islamique.

Cependant, rappelons qu’une incertitude planait autour de la tenue du pèlerinage de La Mecque. Et ce, en raison de la crise sanitaire liée à la covid-19. Par ailleurs, notons que ce pèlerinage avait attiré l’an dernier plus de deux millions et demi de musulmans.

Mais, vu la situation avec la pandémie du coronavirus, ces chiffres représentent une source d’inquiéter. Particulièrement avec un rassemblement religieux qui est important au monde, qui serait un énorme moyen de contamination.

En outre, soulignons que l’Arabie saoudite est déjà le pays du Golfe le plus touché par le Covid-19. Il affiche à nouveau des chiffres de contaminations en hausse.

Affaire trafic de drogue: Hamed Bakayoko porte plainte contre le journal « Vice Média »

Le ministre d’Etat Hamed Bakayoko a effectivement porté plainte contre le journal Vice Média, qui le citait dans une affaire de trafic de drogue en Afrique de l’Ouest. Le ministre de la Défense a également porté plainte contre deux individus, qui ont relayé les graves allégations à son encontre.

En effet, Hamed Bakayoko a porté plainte contre le journal Vice Média qui l’avait associé à une affaire de trafic de drogue en Côte d’Ivoire. Il a également porté plainte contre Maïmouna Camara dite « la Guêpe », résidant aux USA et l’avatar « Kyria Doucouré ».

Pour ce faire, la plainte a été déposée à Abidjan par le cabinet d’avocats ivoirien « Virtus ». Il porte plainte pour diffamation contre Vice Media et deux de ses journalistes. Ces derniers sont à l’origine d’un article sans preuve associée à son image.

Rappelons que le ministre de la Défense a été cité dans une enquête internationale sur le trafic de drogue. Notamment, en Afrique de l’Ouest. Notons que cette enquête a été révélée par le journal Vice Media.

Toutefois, les ministres Ly Ramata Bakayoko et Vagondo Diomandé ont évoqué des affirmations diffamatoires à l’endroit du ministre d’Etat. Et ce, suite aux révélations de Nicholas Ibekwe et Daan Bauwens, tous deux journalistes d’investigation à Vice Media.

Pluies diluviennes à Anyama : La ministre Mariatou Koné apporte une aide aux sinistrés

En raison des pluies diluviennes à Anyama, la ministre de la Solidarité, Mariatou Koné a apporté une aide aux familles sinistrées.  Ces familles ont été relogées temporairement à l’église catholique et à la grande mosquée d’Anyama.

À cet effet, elle a offert au nom du gouvernement ivoirien des vivres, et non vivres. Ces dons ont été composés de riz, d’huile, de pâte alimentaire, de tomate, de produits sanitaires et hygiéniques. Cette assistance a été faite en attendant les autres mesures prises par l’Etat.

Par ailleurs, elle a exhorté les populations d’Anyama à quitter les zones à risques afin d’éviter d’autres drames. Rappelons toutefois qu’un  glissement de terrain avec écoulement de boue était survenu le jeudi 18 juin au quartier RAN d’Anyama. Cela a été dû à la forte pluie tombée sur la commune dans la nuit du 17 au 18 juin.

Par conséquent, les pluies torrentielles ont enseveli une vingtaine de maisons. Quant à la voie ferrée, elle a également été endommagée par ce glissement de terrain rendant impossible la circulation des trains.

Ces pluies diluviennes à Anyama ont occasionné 16 décès, huit blessés et 52 familles sinistrées. Celles-ci étaient composées de 733 personnes et cinq personnes portées disparues.

Somalie: attaque suicide contre une base militaire à Mogadiscio

Le groupe militant somalien al-Shabaab a revendiqué la responsabilité d’un attentat-suicide contre une base militaire de Mogadiscio, la capitale, faisant deux morts mardi matin.Le kamikaze bourré d’explosifs s’est fait exploser après avoir infiltré une file de recrues dans un camp d’entraînement dirigé par l’armée turque.

L’explosion s’est produite avant que des sentinelles ne puissent arrêter le kamikaze à l’entrée de l’académie communément appelée Turksom, qui est responsable de la formation des recrues de l’armée somalienne.

L’armée turque dirige l’académie depuis 2017.

Bien que les combattants d’al-Shabaab aient été en grande partie chassés de la plupart des zones urbaines de la Somalie, ils ont conservé leur capacité de nuisance en menant des attaques contre des cibles dans la capitale.

Somalie: attaque suicide contre une base militaire à Mogadiscio

Le groupe militant somalien al-Shabaab a revendiqué la responsabilité d’un attentat-suicide contre une base militaire de Mogadiscio, la capitale, faisant deux morts mardi matin.Le kamikaze bourré d’explosifs s’est fait exploser après avoir infiltré une file de recrues dans un camp d’entraînement dirigé par l’armée turque.

L’explosion s’est produite avant que des sentinelles ne puissent arrêter le kamikaze à l’entrée de l’académie communément appelée Turksom, qui est responsable de la formation des recrues de l’armée somalienne.

L’armée turque dirige l’académie depuis 2017.

Bien que les combattants d’al-Shabaab aient été en grande partie chassés de la plupart des zones urbaines de la Somalie, ils ont conservé leur capacité de nuisance en menant des attaques contre des cibles dans la capitale.