Obsèques Hamed Bakayoko: suspension des cours à Abobo

Les cours sont suspendus mardi et mercredi à Abobo, en raison des cérémonies d’hommage à Hamed Bakayoko, le premier ministre ivoirien, également maire de cette commune décédé la semaine dernière en Allemagne.

« La direction régionale d’Abidjan 4 sera le cadre de cérémonies d’hommage à M. le premier ministre Hamed Bakayoko, maire de la commune d’Abobo. Les cours vaqueront les mardi 16 et mercredi 17 mars 2021 », annonce le directeur régional de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle d’Abidjan 4, Gla Marie-Claire, dans une note d’information.

« Pour le respect de la mémoire de cet illustre disparu, les élèves sont invités à reprendre les cours dans la discipline le jeudi 18 mars 2021», ajoute la note d’information.

La commune d’Abobo organise ce mardi une cérémonie d’hommage à son premier magistrat Hamed Bakayoko, par ailleurs, premier ministre, chef du gouvernement et ministre d’Etat, ministre de la défense décédé des suites d’un cancer à l’âge de 56 ans.

Notons que, son inhumation est prévue vendredi prochain à Séguéla dans le Nord-ouest ivoirien dont il est originaire.

 

 

Abobo : un jeune homme tue sa compagne et l’a jette dans un ravin

Le mercredi 02 septembre 2020, aux environs de 09 heures, un corps sans vie a été découvert dans un ravin à Abobo plaque 2. 
En effet, après le constat établi par le chef de service du commissariat de police du 13e arrondissement, il s’agissait du corps d’une personne adulte de sexe féminin. Ce corps a été retrouvé dans un ravin mesurant 25 mètres de profondeur.
Par ailleurs, la victime était vêtue de robe fleurie, et mesurait environ 1, 66 mètres. Celle-ci a été retrouvée couchée sur le dos en état de putréfaction.
Quelque temps plus tard, des hommes âgés de 46 ans et  28 ans, ont déclaré au commissariat la disparition d’une fille. Et ce, depuis le dimanche 30 août 2020. Pour le premier âgé de 46, il s’agissait de sa fille, quant au deuxième, la disparue était sa compagne.
Cependant, suite à une série d’interrogatoire et de perquisition au domicile du compagnon de cette dernière, il serait passé aux aveux. Ainsi, il a reconnu être l’auteur du meurtre de la nommée de sa petite amie. Et également mère de leur fils âgé d’un an et trois mois.
À en croire les explications de ce dernier,  une dispute aurait éclaté entre sa petite amie et lui. Cette dernière, toujours selon ses dires, armée d’un couteau se serait attaquée à lui. Dans son élan, il l’aurait assommée mortellement de deux coups de pierre à la nuque.
Après l’avoir tué, il l’a mise dans un gros sac qu’il a gardé dans une barrique. Le lendemain, il a eu besoin des services de charretiers pour transporter et jeter la victime dans ledit ravin.
Cependant, face à de telles révélations de sa part, il sera déféré devant les tribunaux pour répondre de ses actes.

Abobo : Un voleur de viande de brousse interpellé par le commissariat du 34e

Dans la nuit du 03 au 04 août 2020, le commissariat du 34e arrondissement d’Abobo baoulé a interpellé un voleur de viande de brousse. 

En effet, aux environs de 02h de matin une équipe du commissariat du 34e patrouillant dans les rues d’abobo Djibi village a interpellé un individu. Ce dernier, transportant un gros sac s’est dépêché de jeter le sac dans la broussaille afin de s’enfuir.

Mais, malheureusement, il a été rattrapé rapidement par  les agents du commissariat. Ramené auprès de son sac, les agents du commissariat ont procédé par une fouille.

À en croire les informations publiées sur Facebook de la page Police Secours , les agents auraient découvert plusieurs gibiers fumés.

Par ailleurs, âgé de 45 ans et résidant à Abobo belle ville, ce voleur aurait conduit ces officiers sur les lieux de son crime. Il a avoué avoir suivi toute au long de la journée l’approvisionnement du maquis en viande de brousse. Ensuite, il aurait attendu tard dans la nuit pour pouvoir voler.

Cependant, face à cela ce voleur a été conduit devant le parquet pour vol de nuit avec effraction. Quant au propriétaire du maquis, il a été informé par la patrouille. Aussi, notons que toute sa viande lui a été rendue.

Abobo : 4 adolescents interpellés pour vol dans une cour commune

Dans la nuit du lundi au mardi 14 juillet 2020, 4 adolescents ont été interpellés pour vol dans la commune d’Abobo. Ces derniers ont été arrêtés ce matin par les éléments du commissariat du 34e arrondissement.

En effet, ces adolescents ont été appréhendés aux environs de 2h. Et ce, pendant qu’ils venaient d’opérer dans une cour commune à Abobo.

Toutefois, notons que les habitants de la cour n’y étaient pas. Car ces derniers ont dû se réfugier ailleurs, en raison des pluies diluviennes qui s’abattent sur Abidjan.

Par ailleurs, ces 4 adolescents ont avoué les faits de vol avec effraction dans une cour commune de 03 portes. Pour ce faire, ils ont conduit la patrouille du 34e arrondissement, dans la cour cambriolée.

Quant à la fouille de leur sac, elle  a permis de découvrir plusieurs éléments volés. Notamment, 01 pied de biche, 01 poste radio, des baffles, des fils de courant, des robinets de cuisine, des douches démontés.

Cependant,  ces 4 adolescents âgés de 12 à 15 ans, ont été conduits à la brigade des mineurs pour d’enquête.

Pluies diluviennes à Abobo: L’effondrement d’un mur emporte une écolière de 06 ans

La saison pluvieuse a endeuillé la famille Kéhi le samedi 13 juin 2020 dans la commune d’Abobo. Kéhi Eunice, une fillette de 06 ans a été retrouvée morte, sous les décombres d’un mur effondré.

La famille Kéhi attendait paisiblement la fin d’une pluie forte pluie, dans le quartier « Belle-Ville » d’Abobo. Cette pluie intense a inondé la cour et les alentours du quartier. Impossible de pointez le nez dehors, sous cette forte pluie matinale.

Aux alentours de 06 heures du matin, un mur de la maison s’écroule sur la fillette Kéhi Eunice, en classe de CP1. C’est la panique dans toute la maisonnée et dans le voisinage. Les cris de détresse ont alerté quelques voisins, qui sont venu en aide à la famille Kéhi.

La fillette a été retrouvée inerte après que tout le monde ait procédé au nettoyage des lieux. Après le malheureux constat du décès effectué par la police, la dépouille de Kéhi Eunice a été acheminée à la morgue d’Anyama.

Côte d’Ivoire: Des individus découverts en flagrant délit de fraude sur l’identité à Abobo

Deux individus ont été interpellés par les policiers du Commissariat du 14ème arrondissement d’Abobo. Ils ont tenté de frauder sur l’identité, afin d’obtenir la carte nationale d’identité (CNI) dans un centre d’enrôlement d’Abobo. 

Dans un centre d’enrôlement de la commune d’Abobo, deux individus ont été interpellés pour fraude sur l’identité.

Il s’agit de Diakité Seydou, âgé de 60 ans qui détenait une fausse Cni, sous l’identité de un individu nommé Kouakou Ahissi François. Le second répondant au nom de Da Wargninin Lamine, âgé de 45 ans et complice du premier cité a été également interpellé.

Les deux individus fraudeur exercent la fonction de cultivateur, selon les fausses pièces d’identité qu’ils détenaient.

Abobo: Les gbakas sont en colère contre la police Sotra

Le lundi 27 avril 2020, plusieurs mini cars communément appelés gbakas, ont cessés de circuler dans la commune d’Abobo. Sur l’axe Abobo-Adjamé menant au quartier du Plateau Dokoui, des usagers ont été obligés à continuer leurs trajets à pied.

Les gbakas sont rentrés en grève le lundi 27 avril 2020 dans la commune d’Abobo. En effet, l’Union des syndicats des transporteurs et chauffeurs de la commune d’Abobo (USTCCA), ont exprimé leurs ras-le-bol face à certaines tracasseries de la police Sotra. Doumbia Mory, chef du syndicat nous relate les faits qui ont déclenché cette grève.

« Tout a commencé aux environs de 09 heures au premier arrêt Sotra au Plateau Dokoui. La police spéciale de la Société de transport d’Abidjan s’est planquée en ce lieu en véhicule banalisé, avec ses agents en civil. Elle a commencé à verbaliser les gbakas qui déchargeaient leurs clients dans les rayons de cet arrêt » a expliqué le responsable syndicaliste.

La sanction est sévère car sept minicars tombent dans le filet de cette police. Ils doivent payer 10.000 FCfa chacun en « arrangement » au risque de voir leurs pièces confisquées contre un papillon qui vaut 22.000 F Cfa.

« La police Sotra exagère. Les gbakas ne déchargeaient pas précisément à l’arrêt et elle vient tomber sur les gens. Avec la crise liée au coronavirus, les transporteurs font de grandes pertes ; nous n’allons pas accepter de perdre davantage », s’écrie Doumbia Mory, exaspéré par la police Sotra.

« Les bus de la Sotra sont devenus également des gbakas ; ils ne chargent pas uniquement à leurs arrêts; ils prennent les passagers partout comme les gbakas, qu’on arrête de nous fatiguer », a révélé Doumbia Mory.

Après une atmosphère électrique aux feux tricolores du Plateau Dokoui, l’intervention de la police du 14e arrondissement du Commissaire Cyrille Romuald Sangaré, a permis aux transporteurs de regagner l’usage de la route.

Abobo: Une importante quantité de cannabis saisie avec une dame de 38 ans

La police a saisi dans la matinée du  mardi 10 mars une importante quantité de cannabis à Abobo. Une dame de 38 ans interpellée par la police spéciale des stupéfiants et de drogues.

C’est à Abobo que dame Coulibaly Ninnin, ivoirienne, 38 ans et mère de  03 enfants a été arrêtée en face de la mairie d’Abobo. Elle détenait un colis suspects contenant 04 balles de 80 blocs de cannabis.

Après la fouille des dits colis, la police a découvert 320 blocs de cannabis, soit 320 kg. Les enquêtes sont en cours afin de démanteler ce réseau de stupéfiants.

Des femmes se mobilisent à Abobo, pour demander à Ouattara de Briguer un 3e mandat

Des femmes partisanes du président ivoirien Alassane Ouattara ont manifesté ce lundi 09 mars à Abobo, suite à sa décision de ne pas se présenter pour un 3e mandat. Cette décision qui est perçue pour ces femmes comme un danger pour la paix et la stabilité en Côte d’ivoire.

A cet effet, certaines pancartes illustrées par des phrases telles que « 9 ans de paix et de stabilité, on veut Ado » montre le désir pour ces femmes de le voir encore pour un troisième mandat.

Pour certaines manifestantes, Ouattara surnommé « Ado » est une chance pour la Côte d’ivoire. Quant à d’autres elles se sont exprimées par ses dires : «On veut ADO, ADO pour toujours, ADO est une chance pour la Côte d’Ivoire »

Par ailleurs, cette manifestation vient confirmer la volonté de certains proches du président qui estiment que renoncer à un troisième mandat en 2020, n’est pas d’une bonne initiative.

Selon l’artiste-chanteuse ivoirienne Mawa Traoré : « Papa ADO nous sommes avec toi aujourd’hui, nous sommes avec toi demain. Si nous sommes là aujourd’hui, c’est pour la paix ». Elle a souhaité que Ouattara ne renonce pas à se présenter.

Rappelons que le jeudi 05 mars, Alassane Ouattara avait annoncé devant le parlement réuni en congrès à Yamoussoukro qu’il ne sera pas candidat pour les élections présidentielle d’octobre 2020. Il souhaite transférer le pouvoir à une nouvelle génération.