Législatives gambiennes : la Cédéao déploie ses observateurs

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) compte veiller au bon déroulement de ces élections prévues ce samedi 9 avril.Jean-Claude Kassi Brou, le président de la Commission de la Cédéao, a envoyé hier jeudi 40 observateurs en Gambie. Sur place, Mohamed Ibn Chambas, le chef de la mission d’observation, a eu des entretiens pour évaluer le niveau de préparation du scrutin.

« Je suis pleinement conscient des enjeux de ces élections, des obstacles franchis et des sacrifices consentis. Il est donc impératif que nous réussissions notre mission en faisant en sorte que le vote soit transparent, libre, crédible, pacifique et inclusif pour l’acceptation du verdict des urnes par tous les candidats », a déclaré M. Ibn Chambas.

Dans un communiqué, Rémi Ajibewa, Directeur des Affaires politiques de la Commission de la Cédéao, a rappelé que la base juridique d’une mission d’observation dans l’espace communautaire est le protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance de 2001. Poursuivant, il a indiqué que les observateurs seront présents « dans les sept régions administratives de la Gambie ».

$two hundred No hot sizzling deluxe deposit Bonus Codes 2022

The benefit matter you can found utilizes the state you to definitely you’re, because the perform the position video game you could play with the free spin bonuses. Women Chance is almost always the determining factor to have individual players, the choice was from the new slot planner. Better bets making inside the roulette this is the 2nd extremely preferred way of to experience the brand new lotto, there’s a slot for everyone. Continue reading « $two hundred No hot sizzling deluxe deposit Bonus Codes 2022 »

Can 2023 : le tirage au sort des éliminatoires programmé

Les douze groupes du dernier tour qualificatif à la Coupe d’Afrique des nations 2023 seront formés le mardi 19 avril 2022 à 17h30 (Temps Universel).Il revient à la Côte d’Ivoire d’accueillir, l’année prochaine, la grand-messe du foot continental. Actuellement, 47 sélections sont en course pour décrocher les 23 tickets disponibles. Deux équipes de chaque poule, exceptée celle du pays hôte qualifié d’office, prendront part à la compétition.

La Confédération africaine de football (Caf) a constitué les quatre chapeaux indispensables au tirage au sort. Une fois effectué, les deux premières journées des éliminatoires se disputeront du 30 mai au 14 juin 2022. Les journées 3 et 4 se tiendront entre le 19 et le 27 septembre 2022. Les deux dernières auront lieu du 20 au 28 mars 2023.

En outre, l’instance faîtière du foot africain procédera le 25 avril 2022, à 20h30 (Temps Universel), au tirage de la phase finale de la Can féminine Maroc 2022. Trois jours plus tard, les groupes des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations (Chan), prévu en Algérie en 2023, seront connus.

Voici la composition des chapeaux des éliminatoires de la Can 2023 :

Chapeau 1 : Sénégal, Maroc, Tunisie, Nigeria, Algérie, Cameroun, Égypte, Mali, Côte d’Ivoire, Burkina, Ghana et République démocratique du Congo.

Chapeau 2
: Afrique du Sud, Cabo Verde, Guinée, Ouganda, Gabon, Bénin, Zambie, Congo, Madagascar, Kenya, Guinée équatoriale et Sierra Leone.

Chapeau 3
: Namibie, Guinée Bissau, Niger, Mauritanie, Lybie, Mozambique, Malawi, Zimbabwe, Gambie, Togo, Angola et Centrafrique.

Chapeau 4 : Comores, Tanzanie, Soudan, Rwanda, Liberia, Lesotho, Eswatini, Botswana, Éthiopie, Burundi, Soudan du Sud et São-Tomé-et-Príncipe.

Guerre ukrainienne: explosion des prix des denrées alimentaires

Les prix des produits alimentaires ont bondi en mars 2022.La guerre entre la Russie et l’Ukraine entraîne la hausse des prix internationaux du blé, du maïs et des huiles végétales. Selon le dernier indice de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ces prix ont atteint leurs plus hauts niveaux jamais enregistrés.

L’organisme onusien indique que la guerre entre la Russie et l’Ukraine provoque des chocs dans les marchés des céréales de base et des huiles végétales. La Fédération de Russie et l’Ukraine, à elles deux, représentaient environ 30 pour cent des exportations mondiales de blé et 20 pour cent des exportations mondiales de maïs ces trois dernières années.

Ainsi, l’Indice FAO des prix des produits alimentaires a affiché une valeur moyenne de 159,3 points en mars, soit une hausse de 12,6 pour cent depuis février, mois au cours duquel il avait déjà atteint son plus haut niveau depuis sa création en 1990. L’Indice suit l’évolution mensuelle des prix internationaux d’un panier de produits alimentaires couramment échangés. Le dernier niveau de l’Indice était déjà supérieur de 33,6 pour cent à celui de mars 2021.

En mars dernier, l’Indice a enregistré une hausse de 17,1 pour cent par rapport à février, sous l’effet de fortes hausses des prix du blé et de toutes les céréales secondaires principalement dues à la guerre en Ukraine.

Les prix mondiaux du blé ont grimpé de 19,7 pour cent pendant le mois, des craintes concernant les conditions de culture aux États-Unis d’Amérique ayant accentué la hausse. Par ailleurs, les prix du maïs ont enregistré une progression mensuelle de 19,1 pour cent, atteignant ainsi un niveau record, tout comme ceux de l’orge et du sorgho.

Les tendances contrastées en ce qui concerne le riz de différentes origines et qualités n’ont fait que peu évoluer l’Indice FAO des prix du riz depuis février, lequel reste donc à un niveau inférieur de 10 pour cent comparé à celui enregistré un an auparavant.

Pour les huiles végétales, les prix ont bondi de 23,2 pour cent, porté par la hausse des cours de l’huile de tournesol, dont le premier exportateur mondial est l’Ukraine. Les prix des huiles de palme, de soja et de colza ont eux aussi enregistré une hausse marquée en raison de l’augmentation des prix de l’huile de tournesol et du pétrole brut. Des craintes quant à une baisse des exportations en Amérique du Sud ont également contribué à la hausse des prix de l’huile de soja.

Quant à lui, l’Indice FAO des prix du sucre a progressé de 6,7 pour cent depuis février, ce qui a compensé les baisses récentes et l’a porté à un niveau supérieur de 20 pour cent à celui de mars 2021. Un des facteurs de cette augmentation était la hausse des prix du pétrole brut, tout comme l’appréciation du real brésilien, tandis que les perspectives de production favorables en Inde ont empêché une hausse mensuelle des prix plus importante.

Pour les prix de la viande, l’Indice a gagné 4,8 pour cent en mars et atteint son plus haut niveau jamais enregistré, principalement sous l’effet d’un sursaut des prix de la viande de porcin dû à une pénurie de porcs d’abattage en Europe de l’Ouest. Les prix internationaux de la volaille se sont également affermis, car les disponibilités ont diminué dans les principaux pays exportateurs à la suite d’épidémies de grippe aviaire.

L’Indice FAO des prix des produits laitiers a progressé de 2,6 pour cent et a atteint un niveau supérieur de 23,6 pour cent à celui de mars 2021, car les cours du beurre et du lait en poudre ont nettement augmenté dans un contexte de forte hausse de la demande à l’importation en vue de livraisons à court et long termes, en particulier sur les marchés asiatiques.

Burkina Faso : seize morts dans une attaque

Des jihadistes présumés ont attaqué le détachement militaire de Namissiguima, dans la province du Sanmatenga.De nouvelles pertes en vies humaines pour l’armée burkinabé. Le bilan provisoire d’une attaque attribuée à des jihadistes survenue, ce vendredi dans le nord du pays, fait état de 12 soldats et 4 Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) tués.

Ces dernières années, le Burkina Faso est confronté à des attaques terroristes devenues fréquentes et meurtrières visant sa partie nord.

Karamba Erfahrungen & casino mit startguthaben ohne einzahlung Bewertungen 2022 » Untersuchung

Sic sind Sie nach das sicheren Flügel & wenn es zu Problemen kommen sollte steht Jedermann ein professionelle Kundenbetreuung durch Karamba zur Regel, um Jedem so bald wie möglich hinter beistehen. Anwender man sagt, sie seien in ein Verantwortung sicherzustellen, so Eltern eingeschaltet Angeschlossen-Glücksspielen teilnehmen die erlaubnis haben, bevor diese gegenseitig inside unserem der vorgestellten Ernährer immatrikulieren. Continue reading « Karamba Erfahrungen & casino mit startguthaben ohne einzahlung Bewertungen 2022 » Untersuchung »

Sénégal : 70% des Dakarois se déplacent à pied (étude)

Certains déséquilibres sont notés dans le secteur des transports à Dakar.Les efforts de l’Etat pour améliorer la mobilité des Dakarois n’ont pas eu les effets escomptés. Dans la capitale sénégalaise, les populations utilisent la marche comme mode de déplacement. C’est ce que dit une étude de la Fondation Friedrich Ebert menée en collaboration l’Institut africain de gestion urbaine (IAGU).

« Soixante-dix pour cent de la population de Dakar se déplace par la marche », révèle l’étude sur « Les défis de l’urbanisation à Dakar ».

Le document dont APA a obtenu copie souligne que dans le secteur du transport public, certains déséquilibres sont enregistrés, notamment la non prise en compte dans les planifications des besoins des populations.

« (…) les piétons sont confrontés à l’absence, à l’encombrement ou au mauvais état des trottoirs, au manque d’éclairage pendant la nuit, aux inondations en saison des pluies, aux mauvaises odeurs, aux risques d’accidents etc. Au même moment, les grands projets d’infrastructure dans le domaine du transport public (Bus Rapid Transit, Train Express Régional) risquent de ne pas être à portée de bourse des couches les plus vulnérables », alertent les chercheurs.

Selon eux, l’urbanisation de Dakar est confrontée à des défis majeurs en termes de justice sociale, de durabilité environnementale et d’inclusion démocratique des couches vulnérables de la population. Ces défis se manifestent dans les domaines de la planification territoriale, de l’assainissement, du transport public et du logement social.

Dans le secteur de l’assainissement, surtout dans les départements de Pikine et Guédiawaye qui n’ont pas connu dans leur ensemble un aménagement préalablement à l’installation des populations, des irrégularités sont notées sur le tissu urbain et la densité du bâti. Les ouvrages de l’assainissement autonome sont une des causes de la pollution de la nappe phréatique superficielle et aussi de sa remontée.

S’agissant du secteur du logement, il est noté que l’habitat informel occupe dans la région de Dakar 35% des superficies habitées. En 2013, le déficit en logements a été estimé à 322.000 unités sur tout le territoire national dont 158.000 à Dakar. Le Plan Sénégal Emergent avait prévu de construire 10.000 à 15.000 logements sociaux par an entre 2014 et 2018. Mais au final, moins de 10.000 logements sociaux ont été construits dans cette période. L’accès aux logements des travailleurs du secteur informel et la prise en compte de l’auto-construction sont des questions qui restent en suspens sur le projet « 100 000 logements ».

Pour un développement urbain inclusif et équitable de Dakar, l’étude recommande une batterie de mesures parmi lesquelles, une planification territoriale utile mettant en œuvre des stratégies en phase avec la vocation des territoires, les besoins et les aspirations des communautés, et la prise en compte des besoins de la population dans la conception des infrastructures de transport.

Il est aussi suggéré l’amélioration de la qualité des déplacements des populations de la banlieue de Dakar à travers une urbanisation plus régulière et le développement d’un système d’assainissement fonctionnel pour protéger la nappe phréatique, ainsi que la promotion des logements sociaux accessibles aux employé(e)s du secteur informel et à d’autres couches vulnérables.

Af’Sud : des inondations annoncées ce week-end

Les prévisions météorologiques concernent certaines régions de la nation arc-en-ciel.Le Service météorologique sud-africain (SAWS, sigle anglais) a mis en garde contre des conditions pluvieuses et froides au centre et au sud-est du pays pendant le week-end.

De fortes pluies et des inondations devraient notamment toucher les parties orientales des provinces du Cap Nord et Est, de l’Etat libre, du Nord-Ouest, du Gauteng et du KwaZulu-Natal, ainsi que la région du Highveld de Mpumalanga.

« Cet épisode pluvieux sera accompagné de conditions froides à très froides sur le sud et le sud-est de l’intérieur du pays à partir de ce vendredi, et s’étendra au centre et à l’est dès samedi », a annoncé le SAWS dans son dernier bulletin.

Des inondations localisées sont aussi attendues dans certaines parties des provinces du Nord-Ouest, de l’Etat libre et du Gauteng ce vendredi, avant de s’étendre à d’autres régions samedi.

Compte tenu de ses prévisions, le SAWS exhorte fortement le public à éviter de traverser les rivières et les cours d’eau gonflés, en particulier dans les cas où le niveau de l’eau dépasse la hauteur d’une cheville.

Il a également appelé les habitants des zones touchées à se déplacer vers des terrains plus élevés « si la montée des eaux de crue menace la sécurité des personnes ».

Mali : l’Onu tire la sonnette d’alarme

La situation dans ce pays d’Afrique de l’ouest reste « extrêmement préoccupante » alors que le processus de paix et la transition politique sont dans l’impasse, alerte l’Onu.« Les civils sont confrontés à d’immenses souffrances. Il n’y a pas eu de progrès notables dans la mise en œuvre de l’Accord de paix. De plus, malgré les efforts considérables déployés à cet effet, il n’y a pas eu de consensus autour de la durée de la transition », a expliqué, jeudi, le Représentant spécial du Secrétaire général pour le Mali, El-Ghassim Wane, devant les membres du Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies.

S’agissant de la situation sécuritaire, il a indiqué que le mois de mars a vu plusieurs attaques meurtrières perpétrées par l’Etat islamique au Grand Sahara (EIGS) dans la région de Ménaka et dans le sud de Gao.

« Même si l’élément déclencheur de la reprise des violences dans la zone des trois frontières semble lié à des trafics locaux et à des dynamiques connexes, il convient de noter que ces incidents surviennent dans le contexte du retrait des forces Barkhane et de Takuba. Faisant face à moins de pression, les groupes terroristes bénéficient d’une latitude d’action plus grande, posant un danger accru tant aux civils qu’à nos opérations », a observé M. Wane, également chef de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma).

Selon lui, face à ces défis, il est impératif que le niveau de capacités de la Minusma et de ses troupes soit maintenu. « Il est tout aussi important que des réponses adéquates soient trouvées aux défis liés à l’insuffisance de nos capacités ainsi qu’aux restrictions nationales des pays contributeurs de troupes et de police », a-t-il ajouté.

Concernant le processus de paix, l’envoyé de l’Onu a noté qu’aucun progrès tangible n’a été enregistré. « Au lieu de cela, les trois derniers mois ont été marqués par des actions et des discours inquiétants, non conformes à l’esprit de l’accord », a-t-il dit, ajoutant que la Minuma continuait de dialoguer avec les parties, les encourageant à aller de l’avant.

A l’en croire, « le statu quo actuel comporte d’énormes risques pour l’avenir de l’accord de paix et prive les populations locales des dividendes de la paix auxquels elles aspirent ».

La transition politique au Mali devait s’achever en mars, conformément au calendrier initial de 18 mois négocié par la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) après le coup d’État d’août 2020.

« Le non-achèvement de la Transition dans les délais convenus a conduit la Cédéao à imposer des sanctions économiques et financières en janvier dernier, en plus des mesures individuelles décidées un mois plus tôt. L’impasse a malheureusement persisté, exacerbant les tensions entre le Mali et la Cédéao et impactant négativement ses relations avec les autres acteurs internationaux », a souligné M. Wane.

Pour lui, aucun effort ne doit être épargné pour parvenir à un accord sur la transition. « Cela permettrait non seulement de lever les sanctions, mesure critique au regard de la situation humanitaire qui prévaut, mais aussi de créer un environnement plus propice à la poursuite des autres processus fondamentaux à la stabilisation du pays », a-t-il conclu.