Le Botswana et la Namibie appellent au calme face aux tensions frontalières

Le Botswana et la Namibie ont appelé au calme et à la patience, suite au climat de tension née de la fusillade du mois dernier dans laquelle trois Namibiens et un ressortissant de la Zambie ont été tués par les Forces de défense du Botswana (BDF).Les quatre victimes ont été abattues par des soldats des BDF en début novembre, du côté botswanais de la rivière Chobe. Ils étaient accusés d’être des braconniers.

Dans une déclaration commune mercredi soir, le Président du Botswana Mokgweetsi Masisi et son homologue namibien Hage Geingob ont appelé les citoyens des deux pays voisins de l’Afrique australe à rester calmes et à s’abstenir de toute action de représailles.

Une enquête conjointe a été convenue et est en cours d’examen par les deux gouvernements, indique le communiqué.

En conséquence, les deux chefs d’Etat souhaitent exhorter les citoyens et les résidents de la République du Botswana et de la République de Namibie à rester calmes, patients et à maintenir leurs liens historiques fondés sur leur culture commune et leur respect mutuel,” poursuit le communiqué.

L’assassinat des quatre personnes avait soulvé des tensions entre les deux pays, les Namibiens organisant des manifestations qui ont entraîné la destruction de biens et la perturbation des mouvements transfrontaliers.

Les élections législatives auront lieu le 06 Mars 2021

La date des élections législatives en Côte d’Ivoire est enfin connue.

En effet, le porte-parole du Gouvernement, Sidi Touré, a annoncé le mercredi 30 décembre 2020, à l’issue du conseil des ministres, la prise d’un décret portant convocation des collèges électoraux en vue de l’élection des députés le 06 mars 2021.

« Les collèges électoraux sont convoqués le samedi 06 mars 2021 en vue de l’élection des députés à l’Assemblée nationale pour la législature 2021-2025. L’ouverture des scrutins est fixée de 8 h et clôt à 18 h, soit dix heures de vote « , a indiqué M. Touré.

En outre, selon le porte-parole du Gouvernement, le choix de cette date vise à respecter les dispositions constitutionnelles en la matière. Il s’agit notamment de la date constitutionnelle d’ouverture de la session parlementaire prévue au mois d’avril 2021.

Il rappelle ensuite, qu’il faut tenir compte des délais prescrits par le code électoral, à savoir, les délais entre la date de l’élection et la date limite de dépôt des candidatures, la publication des candidatures et l’examen des contentieux.

Notons que, ce conseil des ministres du mercredi 30 décembre 2020, qui a eu lieu au Palais présidentiel d’Abidjan-plateau, est le dernier de l’année.

À lire aussi: Dialogue politique: L’opposition ajourne l’apposition de leurs signatures au bas du rapport final

La presse sénégalaise tire un bilan sombre de 2020

Les quotidiens sénégalais, parvenus à APA jeudi, tirent essentiellement le bilan sombre de l’année 2020 marquée par la pandémie du coronavirus et son lot de conséquences désastreuses.« 2020, une année à oublier » barre le journal L’AS dans sa Une sur fond sombre comme pour dire que l’année qui vient de s’écouler a été noire à tout point de vue.

La Tribune parle de « 2020 malédictions » et « 2021 d’incertitudes» qualifiant l’année qui s’achève +d’année de toutes les turpitudes, drames et tristesses+.

« 2020, l’an pire du Djoloff » titre L’Observateur qui parle d’une année marquée par la pandémie de la Covid-19 avant de dégager les perspectives pour 2021 . +Société, culture, sport et justice, les maux de l’année exprimés par des spécialistes + dans le journal.

« Maux dits 2020 » titre Le Quotidien qui évoque l’apparition de la pandémie du coronavirus et ses nombreuses conséquences. Le journal estime que « les médias n’auront eu aucun mal à déterminer l’Homme de l’année ou l’Evènement de l’année », puisque « la Covid-19 s’est imposée d’elle-même».

Walf Quotidien évoque «  le casse du siècle » pour évoquer « une année 2020 Covidée » qui pourrait aussi être qualifiée d’année de « combines politiques » avec le dialogue national qui a favorisé l’entrisme d’Idrissa Seck et Oumar Sarr dans le gouvernement.

« Plus jamais 2020 » regrette EnQuête qui la qualifie « d’année de malheurs, de morts et de desolation ».

La fin de l’année, c’est aussi un moment choisi par le Chef de l’Etat pour s’adresser à la Nation. Sud Quotidien parle de la +gouvernance politique, économique et sociale+ comme les principaux « chantiers de Macky pour 2021 ».

Pour L’Observateur « Macky (fait) face aux enjeux de 2021 ». Le journal d’ajouter « ce que les secteurs prioritaires attendent du Chef de l’Etat ».

La Culture occupe la Une du Soleil avec une photo Youssou Ndour et Coumba Gawlo Seck en communion. Le journal informe que « la loi sur le statut de l’artiste est voté au Sénégal». Le Soleil indique qu’il a fallu dix ans pour faire aboutir le projet de loi n° 32/2020 portant sur le statut de l’artiste et des professionnels de la culture au Sénégal.

Vox Populi s’arrête sur le clin d’oeil de Macky à Wade et signale que  +l’Université du Futur africain+ portera le nom de l’ancien Président sénégalais Abdoulaye Wade, selon une décision prise en Conseil des ministres par le Président Macky Sall.

Libération met en évidence les bisbilles entre l’Artp (Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes » et certains médias ayant reçu des sommations de payer des titres redevances. A ce titre, le journal informe que « l’Artp s’abat D-Media, Gfm, Walf, Sud, Vibe et Saphir Fm ».

En Sport, Stades évoque « les défis fous des Lions pour 2021 » avec leurs clubs. Sadio Mane qui veut tout rafler avec Liverpool, Kalidou Koulibaly qui espère soulever son premier scudetto pour honorer Diego Maradona et Gana Guèye qui espère convaincre son nouveau coach Pochettino entre autres challenges.

Santé et social au menu des quotidiens marocains

La campagne de vaccination, l’avènement du nouvel an et la généralisation de la couverture sociale sont les principaux sujets commentés par les quotidiens marocains parus ce jeudi.+L’Economiste+ s’interroge « Mais où sont donc passés les vaccins annoncés ? », ajoutant que l’opinion publique s’impatiente alors que les images de démarrage de campagnes de vaccination se multiplient dans le monde.

« Nous voilà dépourvus et à la merci de fournisseurs aux agendas incontrôlables, pensent les uns. C’est probablement en relation avec la fiabilité des produits, répondent les vaccino-sceptiques. Le sujet prend un tour tragique compte tenu des derniers développements : l’apparition d’une souche de virus qui plaide pour l’accélération des vaccinations de manière à éviter des catastrophes plus grandes encore », écrit-il.

Ce n’est pas la première fois que la réponse à la pandémie est conditionnée par une question d’approvisionnement et/ou des stocks disponibles, rappelle la publication, avant de marteler qu’il est « toujours possible de se consoler en observant que la shortlist des fabricants est peu fournie… Lorsque les interrogations sont loin d’être exotiques et que  les enjeux engagent la souveraineté d’un pays,  le pire cependant serait de n’en tirer aucun enseignement ».

+Al Bayane+ écrit qu’« on a tous vraiment hâte de quitter cette année 2020 qui rend, fort heureusement, ses ultimes soupirs ».

On aura vécu, tout au long du reste, le spectre d’un fléau pandémique terrible porteur de mal et de désarroi, démolisseur des turbos de l’économie et ravageur de la vie et de l’avenir, explique la publication, notant que la crise virale aura sans doute, constitué une belle leçon de conscience pour remettre en cause nombre de conduites au niveau de la précarité des politiques publiques, notamment de la santé et de l’éducation nationale.

« Une nouvelle année qui aura rompu, sans répit, avec un tas de dysfonctionnements politiques, sociaux et économiques ralentisseurs de la bonne marche de notre pays », ajoute le journal.

« C’est de cette nouvelle année-là qu’on voudra si ardemment pour que son lugubre homologue ne soit plus qu’un mauvais souvenir et que le lendemain soit synonyme de santé, de prospérité et de progrès », conclut-il.

+Aujourd’hui le Maroc+ souligne que le chantier de la généralisation de la couverture sociale a pris une tournure inattendue et dommageable dès qu’il est arrivé dans la sphère des politiques. Depuis quelques jours, les députés et les conseillers sont en train de se disputer le statut de chef de file du projet en matière de législation, rappelle le quotidien, déplorant que le sujet principal ne concerne plus le contenu de la réforme en elle-même mais plutôt qui est habilité à la piloter au niveau des textes de lois qui devront la régir.

Guinée: Cellou Dalein « empeché» d’effectuer un voyage vers le Mali pour les obsèques de Soumaïla Cissé

L’opposant guinéen Cellou Dalein Diallo dit avoir été « empêché » d’effectuer un voyage de Conakry ( Guinée) pour Bamako au Mali où il devrait prendre part aux obsèques de l’opposant malien Soumaïla Cissé. 

« Mon voyage d’aujourd’hui sur Bamako via Dakar a été empêché par Alpha Condé. Rappelons que j’y allais pour prendre part aux obsèques de mon ami Soumaïla Cissé dont le corps est attendu demain jeudi à Bamako et l’inhumation prévue le vendredi après la grande prière », a écrit mercredi M. Cellou dans une note d’information transmise jeudi à APA. 

Selon M. Cellou, une fois à l’aéroport de Conakry, son directeur de protocole n’a pu régler  les formalités liées à son voyage vers Bamako  « sur instruction du commissaire de l’aéroport  ».  

« Je me suis dirigé vers le bureau du commissaire. Mais ce dernier était introuvable jusqu’à la fermeture du vol. Je décidai alors de revenir tranquillement à la maison, déçu d’ avoir été empêché, arbitrairement,  d’aller à Bamako accompagner mon ami Soumi à sa dernière demeure », a déploré M. Cellou.

 Ancien Premier ministre, président de l’Union des forces démocratiques de Guinée ( UFDG) et plusieurs fois candidats malheureux à l’élection présidentielle en Guinée, Cellou Dalein Diallo est considéré comme le principal opposant  au régime du président Guinéen Alpha Condé. 

Candidat malheureux à la présidentielle guinéenne du 18 octobre dernier, M. Cellou a recueilli selon l’institution électorale guinéenne 33,5% des voix contre 59,49% pour le président sortant Alpha Condé. 

Côte d’Ivoire: le poste de péage de Thomasset attaqué par des individus armés

Le poste de péage de Thomasset sur la route de l’Est ivoirien, a été attaqué jeudi aux environs de 3h du matin ( heure locale et GMT) par des individus non encore identifiés, rapporte un communiqué de la Direction générale du Fonds d’entretien routier (FER) parvenu à APA.

« Cette attaque a occasionné de nombreux dégâts matériels. Heureusement, aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée », a expliqué le FER précisant que les enquêtes sont en cours pour déterminer la nature, les circonstances et le bilan de cette attaque.

Par ailleurs, assure le communiqué, des mesures sécuritaires d’urgence ont été prises en vue de renforcer la sécurité de la gare de Thomasset et de ses environs.

La direction générale du FER conclut en rassurant les usagers et les populations que les dispositions ont été également prises pour sécuriser l’ensemble des gares.

Côte d’ivoire : le gouvernement ivoirien met fin aux cotisations exceptionnelles levées par les COGES

Au terme du Conseil des ministres de mercredi 30 décembre 2020 à Abidjan, le porte-parole du gouvernement, Sidi Tiémoko Touré, a annoncé l’adoption d’un décret mettant un terme au pouvoir des COGES de lever des cotisations exceptionnelles.

En effet, cette décision fait suite à l’annonce faite par le Président de la République, au cours de son discours d’investiture le 14 décembre 2020. Rappelons que ce dernier avait annoncé son intention de supprimer les cotisations exceptionnelles payées par les parents d’élèves, dans le cadre des activités des Comités de Gestion des Etablissements Scolaires (COGES).

« Le gouvernement a adopté un décret portant modification du décret du 07 juin 2012 portant attribution, organisation et fonctionnement des Comités de Gestion des Etablissements Scolaires (COGES). Ce décret met un terme au pouvoir du COGES de lever des cotisations exceptionnelles », a indiqué Sidi Tiémoko Touré.

Par ailleurs, ce décret « met à la charge de l’Etat et des collectivités territoriales, sur la base d’une évaluation annuelle, le complément budgétaire nécessaire au financement des activités des COGES, résultant de la suppression des cotisations exceptionnelles ».

Cependant, ce complément budgétaire couvre, notamment la prise en charge des frais annexes liés aux activités pédagogiques et à la santé des élèves. De plus, il couvre les dépenses d’urgence du secondaire.

Dialogue politique: L’opposition ajourne l’apposition de leurs signatures au bas du rapport final

Le mardi 29 décembre 2020, a eu lieu une séance de relecture des conclusions et recommandations du rapport final entre l’opposition et le gouvernement. Mais l’opposition a décidé de différer la signature du rapport.

Au cours d’un point-presse, le Professeur Gnamkey Koffi Robert, porte-parole du CDRP et secrétaire exécutif en chef par intérim du PDCI, a expliqué les raisons du report de la signature du rapport.

En effet  » Nous avons pris connaissance du rapport ce soir et nous avons décidé de différer la signature du rapport final auquel nous avons pris connaissance. Il faut d’abord un examen préalable. Car, il y a des ambiguïtés qui doivent faire l’objet d’éclaircissement entre nos leaders, les présidents Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié. C’est à terme que la plate-forme va apposer sa signature. Tout ce que nous recherchons, c’est un dialogue permanent et continu pour aboutir à un consensus ».

Par la suite, il a rassuré l’assistance en affirmant que les partis de l’opposition apposeront leur signature au bas de ce rapport. Enfin, il ajoutera que le souhait de l’opposition « c’est un dialogue permanent et continu qui aboutisse à des compromis acceptables « . » Voilà la raison fondamentale du différé de notre signature qui n’est pas un refus de signature « ,conclu-il.

Réaction du gouvernement

Le ministre Sidi Touré, s’est prononcé sur l’ajournement de la signature du rapport demandé par l’opposition.

« Je pense qu’il ne faut pas être pessimiste pour être pessimiste. Il faut déjà se féliciter de la convergence de points de vue sur la procédure et sur les principaux résultats obtenus. Ce que nous constatons c’est qu’il y a beaucoup de points d’accord et comme dans toute discussion, il y a des points de désaccord », a signifié le ministre porte-parole du gouvernement.

Le ministre de la Communication et des Médias a rappelé que les principaux points d’accord obtenus aboutissent à « l’organisation des élections législatives qui permet d’avancer, d’appeler à l’accalmie sociologique et permet aussi à ce que les ivoiriens se parlent encore plus qu’ils l’ont fait par le passé au cours des élections précédentes  »

Pour le porte-parole du gouvernement, il faut se féliciter de la convergence de vue qui a été saluée par tous les différents acteurs lorsqu’ils sont sortis des échanges.

La société civile ivoirienne salue le consensus trouvé entre les acteurs politiques

Plus de dix organisations de la société civile ivoirienne ont salué, mercredi à Abidjan, lors d’une conférence de presse, le consensus qui a prévalu entre le gouvernement ivoirien et l’opposition à l’issue de la troisième phase du dialogue politique en Côte d’Ivoire qui s’est achevée mardi dernier.

« Les signataires de la présente déclaration prennent acte du contenu du rapport final qui reflète fidèlement l’essentiel des questions discutées et validées d’accord partie. Ils (les signataires) saluent l’esprit qui a prévalu lors de ces échanges et adressent leurs vives félicitations à tous les participants du dialogue politique », a indiqué Mahamadou Kouma, le coordonnateur national de la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) au nom de ces organisations qui ont elles aussi participé à ce dialogue politique entre le pouvoir et l’opposition.

Poursuivant, ces acteurs de la société civile ivoirienne ont fait plusieurs recommandations relativement à la phase trois de ce dialogue politique.  Les signataires de cette déclaration, a dit M. Kouma, invitent les partis politiques ayant différé leurs signatures, à les apposer sur le rapport final exhortant les acteurs politiques à poursuivre et prioriser cette dynamique de dialogue pour vider tout contentieux ou problème d’ordre national.

Dans la foulée, il a annoncé qu’une vaste campagne de promotion de la paix et de la cohésion sociale sera menée dans toutes les villes du pays, notamment, les villes qui ont été le théâtre d’affrontements communautaires.

En outre, ces organisations de la société civile ivoirienne ont promis de mettre en place un  « comité de suivi du dialogue politique ».

De son côté, Dr Arsène Néné Bi de Actions pour la promotion des droits humains (APDH) dont l’organisation est signataire de cette déclaration, a appelé l’opposition ivoirienne à faire une  «communication solennelle » pour annoncer la levée du mot d’ordre de désobéissance civile dans le pays.

Une dizaine d’organisation de la société civile ivoirienne ont paraphé cette déclaration. Il s’agit entre autres, de la CSCI, de Actions pour la promotion des droits humains ( APDH), de l’observatoire ivoirien des droits de l’homme ( OIDH) et de la Plateforme des organisations de la société civile pour l’observation du processus électoral en Côte d’Ivoire ( POECI).

 Du 21 au 29 décembre 2020, une session du dialogue politique, a été présidée par le Premier ministre ivoirien Hamed Bakayoko. Ce dialogue pouvoir-Opposition qui a réuni l’ensemble des acteurs politiques ivoiriens a été sanctionné par plusieurs points d’accords entre les parties prenantes dont la tenue des prochaines élections législatives en mars prochain.

 Le rapport final de ce dialogue politique a été signé par 25 entités dont 12 de la société civile et 13 des groupements ou partis politiques à l’exception des plateformes politiques proches des ex-présidents ivoiriens Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo qui ont décidé de différer leur signature.

Annulation de la présentation de vœux à Ouattara en raison de la résurgence des cas de Covid-19

La cérémonie de présentation de vœux de nouvel an au président ivoirien Alassane Ouattara, initialement prévue le 05 janvier 2021, est annulée en raison de la résurgence des cas de Covid-19 dans le pays, a appris APA mercredi de source officielle.

 « La direction générale du protocole d’Etat porte à la connaissance des corps constitués, des missions diplomatiques, postes consulaires et des organisations internationales accréditées en Côte d’Ivoire que la cérémonie de présentation de vœux au président de la République initialement prévue le 05 janvier 2021 est annulée en raison de la résurgence des cas de Covid-19 », indique un communiqué de cette institution signé par son directeur général, l’ambassadeur Hypolite K. Yeboué.

Dans la foulée M. Yeboué a exhorté les uns et les autres à veiller au strict respect des mesures d’hygiène et des mesures barrières contre cette maladie. Depuis quelques jours, l’on note une recrudescence des cas de maladie à Coronavirus dans le pays.

Ce mercredi 30 décembre 2020, le ministère ivoirien de la santé et de l’hygiène publique a  enregistré 116 nouveaux cas de Covid-19  sur 1646 échantillons prélevés, soit 7% de cas positifs, 37 guéris et 0 décès.

Ainsi, à ce jour, la Côte d’Ivoire compte donc 22 366 cas confirmés dont 21 909 personnes guéries, 137 décès et 320 cas actifs.