Joël Hounsinou nommé DG de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire

Joël Hounsinou est nommé depuis le 29 mai 2020, Directeur général de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire.M. Hounsinou était précédemment Directeur général adjoint au sein de cette même filiale aux côtés de Pierre Bellerose, le Directeur Régional pour la Région Côte d’Ivoire – Burkina Faso. 

« Je suis très honoré de la mission qui m’a été confiée et de la confiance qui m’est accordée. Grâce aux équipes expérimentées de la Côte d’Ivoire, je mettrai tout en œuvre pour maintenir le leadership et accroître les performances de Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire », s’est-il félicité.

Diplômé de l’École Supérieure de Commerce d’Abidjan (ESCA) et de l’Institut National Polytechnique Houphouët Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, M. Hounsinou a débuté sa carrière au sein des cabinets d’audit Arthur Andersen et Coopers & Lybrand avant de rejoindre le Groupe Bolloré en 1995. 

« Dans le respect des engagements de notre entreprise et pour soutenir la croissance économique de la Côte d’Ivoire, nous allons contribuer à la poursuite de nos investissements structurants, à la conduite des projets sociaux et environnementaux importants et à la promotion d’une conduite transparente des affaires. » a déclaré le nouveau Directeur général.

M. Hounsinou cumule 25 années de carrière au sein du Groupe Bolloré, dans lequel il a occupé des positions stratégiques, notamment au sein de Sitarail dont il a été Directeur général pendant six ans. 

L’Union africaine rend hommage à Pierre Nkurunziza

Le président de l’Union africaine Cyril Ramaphosa a rendu hommage mercredi au président burundais Pierre Nkurunziza, décédé mardi 8 juin d’une crise cardiaque à Bujumbura, la capitale de ce pays d’Afrique centrale.Agé de 55 ans, Nkurunziza est décédé mardi dans un hôpital de la capitale burundaise.

 Dans un message adressé au gouvernement et au peuple burundais, M. Ramaphosa, qui est également le président de l’Afrique du Sud, a exprimé ses sincères condoléances au peuple burundais.

 « Le Burundi et toute l’Afrique ont perdu un dirigeant qui était dévoué au développement durable centré sur la population, à l’autosuffisance, à la souveraineté de son peuple et de son pays ainsi qu’à la paix sur le continent », a déclaré le dirigeant sud-africain.

 « C’est sous la direction du président Nkurunziza que le Burundi est devenu l’un des principaux pays contributeurs de troupes à la mission de l’Union africaine en Somalie. Le Burundi a également déployé des troupes en République centrafricaine », a déclaré le président Ramaphosa, qui a salué les bonnes relations bilatérales entre Pretoria et Bujumbura, dans le cadre desquelles l’Afrique du Sud a joué un rôle clé dans le processus de paix au Burundi mené par l’Union africaine, qui a conduit à la signature des accords de paix d’Arusha en 2000.

 M. Nkurunziza a effectué une visite d’État en Afrique du Sud en novembre 2014, au cours de laquelle les deux dirigeants ont signé des accords portant sur la création d’une Commission mixte de coopération (CMC), la coopération culturelle et la décision de créer un conseil d’affaires commun.

 M. Ramaphosa a appelé les Burundais à maintenir la paix et le calme après le décès de Nkurunziza et au lendemain des élections présidentielles, législatives et municipales qui se sont récemment achevées.

L’Union africaine rend hommage à Pierre Nkurunziza

Le président de l’Union africaine Cyril Ramaphosa a rendu hommage mercredi au président burundais Pierre Nkurunziza, décédé mardi 8 juin d’une crise cardiaque à Bujumbura, la capitale de ce pays d’Afrique centrale.Agé de 55 ans, Nkurunziza est décédé mardi dans un hôpital de la capitale burundaise.

 Dans un message adressé au gouvernement et au peuple burundais, M. Ramaphosa, qui est également le président de l’Afrique du Sud, a exprimé ses sincères condoléances au peuple burundais.

 « Le Burundi et toute l’Afrique ont perdu un dirigeant qui était dévoué au développement durable centré sur la population, à l’autosuffisance, à la souveraineté de son peuple et de son pays ainsi qu’à la paix sur le continent », a déclaré le dirigeant sud-africain.

 « C’est sous la direction du président Nkurunziza que le Burundi est devenu l’un des principaux pays contributeurs de troupes à la mission de l’Union africaine en Somalie. Le Burundi a également déployé des troupes en République centrafricaine », a déclaré le président Ramaphosa, qui a salué les bonnes relations bilatérales entre Pretoria et Bujumbura, dans le cadre desquelles l’Afrique du Sud a joué un rôle clé dans le processus de paix au Burundi mené par l’Union africaine, qui a conduit à la signature des accords de paix d’Arusha en 2000.

 M. Nkurunziza a effectué une visite d’État en Afrique du Sud en novembre 2014, au cours de laquelle les deux dirigeants ont signé des accords portant sur la création d’une Commission mixte de coopération (CMC), la coopération culturelle et la décision de créer un conseil d’affaires commun.

 M. Ramaphosa a appelé les Burundais à maintenir la paix et le calme après le décès de Nkurunziza et au lendemain des élections présidentielles, législatives et municipales qui se sont récemment achevées.

Sénégal : Wari contredit des prévisions sombres

La plateforme digitale de services financiers et commerciaux, dans un communiqué reçu mercredi à APA, réfute des informations tendant à faire croire qu’elle serait « en faillite ou près de la mort ».D’emblée, Wari note que c’est « une véritable campagne de dénigrement ». Pour couper court aux rumeurs dont elle fait l’objet au Sénégal, cette société créée en 2008 par Kabirou Mbodje affirme être un « groupe international avec une forte croissance mondiale ».

« Présent dans près de 100 pays », Wari reconnaît tout de même des difficultés au Sénégal, son pays d’origine. « Des problèmes persistent quant au bon fonctionnement des services offerts au public et aux distributeurs partenaires du réseau. (Ceux-ci) ne sont pas dus à des questions financières mais uniquement à des contradictions commerciales entre certaines banques partenaires de Wari », explique cet opérateur.

Poursuivant, Wari renseigne que ces banques partenaires ont « des exigences inacceptables et des modes de fonctionnement inadéquats pour une bonne distribution de (ses) services. Sans compter d’autres contraintes administratives injustifiées qui en rajoutent au sujet ».

Dans son argumentaire, le fournisseur de services financiers et commerciaux précise qu’il résulte de cette situation « des blocages dans le paiement des IBAN (numéro de compte bancaire) des distributeurs qui par ricochet ne peuvent plus payer les retraits des clients ». 

Partant de là, Wari a décidé de « prendre au Sénégal des dispositions radicales pour rétablir une bonne qualité de service et restaurer la confiance (des) usagers ». A en croire cette entreprise, « ces dispositions sont en cours d’imprégnation pour un retour à la normale dans les plus brefs délais ».

Enfin, Wari « remercie tous les Sénégalais et la diaspora pour les messages de soutien et d’encouragement » qui prouvent qu’elle est « une fierté nationale ». Au Sénégal, l’arrivée d’Orange Money sur le marché des transactions électroniques a fragilisé certaines entreprises de ce secteur à forte valeur ajoutée. 

Sénégal : Wari contredit des prévisions sombres

La plateforme digitale de services financiers et commerciaux, dans un communiqué reçu mercredi à APA, réfute des informations tendant à faire croire qu’elle serait « en faillite ou près de la mort ».D’emblée, Wari note que c’est « une véritable campagne de dénigrement ». Pour couper court aux rumeurs dont elle fait l’objet au Sénégal, cette société créée en 2008 par Kabirou Mbodje affirme être un « groupe international avec une forte croissance mondiale ».

« Présent dans près de 100 pays », Wari reconnaît tout de même des difficultés au Sénégal, son pays d’origine. « Des problèmes persistent quant au bon fonctionnement des services offerts au public et aux distributeurs partenaires du réseau. (Ceux-ci) ne sont pas dus à des questions financières mais uniquement à des contradictions commerciales entre certaines banques partenaires de Wari », explique cet opérateur.

Poursuivant, Wari renseigne que ces banques partenaires ont « des exigences inacceptables et des modes de fonctionnement inadéquats pour une bonne distribution de (ses) services. Sans compter d’autres contraintes administratives injustifiées qui en rajoutent au sujet ».

Dans son argumentaire, le fournisseur de services financiers et commerciaux précise qu’il résulte de cette situation « des blocages dans le paiement des IBAN (numéro de compte bancaire) des distributeurs qui par ricochet ne peuvent plus payer les retraits des clients ». 

Partant de là, Wari a décidé de « prendre au Sénégal des dispositions radicales pour rétablir une bonne qualité de service et restaurer la confiance (des) usagers ». A en croire cette entreprise, « ces dispositions sont en cours d’imprégnation pour un retour à la normale dans les plus brefs délais ».

Enfin, Wari « remercie tous les Sénégalais et la diaspora pour les messages de soutien et d’encouragement » qui prouvent qu’elle est « une fierté nationale ». Au Sénégal, l’arrivée d’Orange Money sur le marché des transactions électroniques a fragilisé certaines entreprises de ce secteur à forte valeur ajoutée. 

Les Etats-Unis se félicitent du travail abattu dans le combat contre le trafic de drogue

L’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire est fière du travail accompli, dans la lutte contre le trafic de drogue a indiqué la représentation diplomatique américaine, ce mercredi  10 juin 2020 sur son compte Twitter. Cette déclaration des Etats-Unis intervient quelques jours seulement après la diffusion d’une enquête internationale accusant le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire.

Les Etats-Unis sont déterminés à traquer les trafiquants de la drogue. La représentation diplomatique américaine en Côte d’Ivoire déclare « être fière de leur travail » avec la Côte d’Ivoire et d’autres pays d’Afrique occidentale pour lutter contre le trafic de drogue.

Notons qu’il y a seulement quelques jours, deux journalistes d’investigation ont publié une enquête internationale, accusant Hamed Bakoyoko d’être impliqué dans un vaste réseau de trafic de drogue en Afrique de l’Ouest.  Le premier ministre par intérim de la Côte d’Ivoire a réagi dans un communiqué en menaçant de porter contre ces deux journalistes et « les relais ».

Le ministre de la Défense a dénoncé  « une orchestration grossière ourdie par des commanditaires dont le dessein n’échappe à personne ». « Dans mes charges de ministre de la sécurité en Côte d’Ivoire pendant plus de sept ans et celles actuelles de la défense, les résultats obtenus dans la lutte contre la drogue sont mondialement reconnus. Ces actions qui se sont soldées par de nombreuses arrestations, saisies et démantèlement de réseaux mafieux ont valu des félicitations internationales à la Côte d’Ivoire», s’est défendu Hamed Bakayoko dans son communiqué.

Covid- 19 : La Côte d’ivoire détient un taux de guérison situé en 50 et 52%

Le conseiller technique du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Édith Clarisse Kouassy, a indiqué que le taux de guérison de la covid-19 en Côte d’Ivoire se situe entre 50 et 52%.

En effet, elle a donné cette information lors du point de presse quotidien sur la gestion de la COVID-19, le mardi 09 juin 2020 à Abidjan. Selon elle, taux de guérison de cette pandémie en Côte d’ivoire, se situe au-dessus du taux moyen au niveau mondial. Pour elle, le nombre de décès demeure stable autour de 1%. Ainsi, cela traduit la qualité de la prise en charge rapide des malades.

Par ailleurs, elle a souligné que la Côte d’ivoire a enregistré de nombreux cas de guérison parmi les personnes infectées. Mais, le nombre de malades actifs reste important et se situe autour de 50%.

Cependant, Dr Edith Kouassy a rappelé que la pandémie n’était pas terminée et y était encore présente dans notre communauté. En outre, elle a appelé toutes les couches sociales au civisme, à la responsabilité et au respect des gestes barrières. Cela permettra de freiner la propagation du coronavirus en Côte d’Ivoire.

Concours administratifs session 2020 : Démarrage du dépôt des dossiers de candidature

Le démarrage du dépôt des dossiers pour les concours administratifs de session 2020 débutera le mardi 16 juin 2020. Cette information a été annoncée par le ministre de la Fonction publique. Et ce par le biais d’un communiqué.

Par ailleurs, selon le chronogramme établi par le ministère, le dépôt des dossiers se fera en deux étapes. Concernant la première étape, elle concernera les villes d’Abidjan et de Yamoussoukro. À cet effet, le dépôt des dossiers se fera du mardi 16 juin au vendredi 17 juillet 2020. Quant à la seconde étape, elle se déroulera, du mercredi 1er au vendredi 17 juillet 2020. Celle-ci, concernera les villes de l’intérieur du pays. Notamment, Daloa, Gagnoa, Korhogo, Abengourou, Bouaké, Aboisso, Agboville, Man et San Pedro. Néanmoins, rappelons que pour ces villes,  le dépôt se fera dans les directions régionales.

Cependant, le ministre de la Fonction publique invite les candidats dès ce mercredi 10 juin 2020, à se connecter sur leur espace candidat via le site Internet du ministère : www.fonctionpublique.gouv.ci,  pour prendre rendez-vous pour le dépôt du dossier de candidature.

Le général Issa Coulibaly, ministre de la Fonction publique a rappelé aux candidats le respect des mesures barrières, en vue de freiner la propagation de la covid-19. Il a aussi invité chaque candidat au port du cache-nez obligatoire pour avoir accès au site, le lavage des mains obligatoire à l’entrée de chaque site et le respect de la distanciation physique sur les sites.

Le ministère ivoirien de la santé appelle la jeunesse à contribuer à la lutte contre la covid-19

Le ministère ivoirien de la Santé et de l’Hygiène Publique a lancé un appel à la jeunesse ivoirienne dans le cadre de la lutte contre la covid-19. Cet appel a été lancé par le conseiller technique du ministre de la Santé, Dr Edith Kouassy. Et ce, au point de presse quotidien le lundi 08 juin 2020 à Abidjan.

A cet effet, le ministère de la santé, souhaite pouvoir compter sur toutes les forces vives du pays. Notamment, la jeunesse qui constitue une population importante et susceptible de propager le virus.

Selon le Dr Edith Kouassy, leur engagement dans cette lutte sera fort apprécié, qu’ils soient scolarisés ou non. Pour elle, l’avenir de la Côte d’Ivoire repose sur eux. Ainsi, ils ne pourront assumer cette responsabilité qu’en étant en bonne santé.

Par ailleurs, elle a également invité ces jeunes à respecter les mesures barrières pour se protéger, ainsi que leurs proches qui sont vulnérables. Soit par l’âge, soit par l’existence d’une maladie chronique.

Cependant, rappelons qu’à ce jour, la Côte d’ivoire compte 3 995 cas confirmés, dont 2 045 guéris et 38 décès.

Les États-Unis « fiers de leur travail avec la Côte d’Ivoire» pour combattre la drogue

Les États-Unis sont « fiers de leur travail » avec la Côte d’Ivoire et d’autres pays d’Afrique occidentale pour lutter contre le trafic de drogue, a indiqué mercredi la représentation diplomatique américaine en Côte d’Ivoire. « Les États-Unis prennent très au sérieux le trafic de drogue et agissent contre tous les trafiquants connus. Nous sommes fiers de notre travail avec la Côte d’Ivoire et d’autres pays d’Afrique de l’ouest pour combattre ce fléau», a écrit l’ambassade des États-Unis en Côte d’Ivoire sur son compte officiel Twitter consulté par APA. 

Cette sortie des États-Unis intervient quelques jours seulement après la diffusion dans un média international d’une enquête dite internationale réalisée par les journalistes Ibekwe Nicholas et Daan Bauwens accusant le ministre d’État ivoirien chargé de la défense, Hamed Bakayoko d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire.

 Lundi dernier dans un communiqué,  M. Bakayoko qui est également le premier ministre par intérim en Côte d’Ivoire, a décidé de porter plainte contre ses deux journalistes et « les relais » dénonçant « une orchestration grossière ourdie par des commanditaires dont le dessein n’échappe à personne ». 

« Dans mes charges de ministre de la sécurité en Côte d’Ivoire pendant plus de sept ans et celles actuelles de la défense, les résultats obtenus dans la lutte contre la drogue sont mondialement reconnus. Ces actions qui se sont soldées par de nombreuses arrestations, saisies et démantèlement de réseaux mafieux ont valu des félicitations internationales à la Côte d’Ivoire», avait soutenu M. Bakayoko dans son communiqué.