Facebook : le fondateur Mark Zuckerberg, perd 7,2 milliards de dollars en une journée

Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social en ligne Facebook perd 7,2 milliards de dollars en un jour. Ce manque à gagner est dû à un boycott publicitaire sur ce réseau, par un nombre croissant de grandes marques.

Se référant aux  écrits de Bloomberg, si M. Zuckerberg a égaré  cette somme en un jour ce serait pour plusieurs raisons « les actions de Facebook ont chuté de 8,3 % vendredi, soit une perte de 56 milliards de dollars, après qu’Unilever et Coca-Cola décide de stopper la publicité sur ce réseau.

Ce qui fait perdre à Mark Zuckerberg, fondateur du réseau facebook 8 % de sa fortune, somme estimée à 82,3 milliards de dollar.

Selon nos sources le choix de ce retrait s’explique par le jugement que font ces deux entreprises de renoms. « Facebook ne contrôlent pas suffisamment les discours haineux et la désinformation sur la plateforme », confie-t-elle.

Cependant, cette chute relègue le patron du réseau derrière le trio de milliardaires formé par Bernard Arnault, Jeff Bezos et Bill Gates. Il se position ainsi à la quatrième place.

Pour rappel, en novembre 2018, l’autorité de la concurrence en Italie, a menacé le premier réseau social de la planète. Facebook avait été condamné à deux amendes de cinq millions d’euros chacune.

La première pour l’utilisation de données personnelles à des fins commerciales. Et  la seconde au motif que Facebook décourageait ses utilisateurs de limiter le partage de (leurs) données. Cette dernière sanction a été par la suite annulée par le tribunal administratif. Quelques temps après, le réseau social s’est vu infliger une amende record de cinq milliards de dollars aux Etats-Unis pour ne pas avoir protégé les données personnelles de ses usagers.

Côte d’Ivoire : 90 journalistes radio formés sur la Covid-19 pour mieux sensibiliser les populations

Quelque quatre-vingt-dix journalistes, animateurs, producteurs et réalisateurs d’émissions de santé sur les radios de proximité ivoiriennes ont pris part du 15 au 24 juin dernier à une session de formation, au cours de laquelle leurs capacités techniques ont été renforcées pour mieux sensibiliser les populations et les communautés sur la pandémie de la Covid-19, indique un communiqué transmis mardi à APA.Organisée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de concert avec le ministère ivoirien de la santé et de l’hygiène publique et la plateforme « Radio Santé Côte d’Ivoire », cette formation s’est déroulée dans cinq régions ivoiriennes à savoir le Poro ( Nord),  le Tonkpi (Ouest), le Haut-Sassandra (Centre-Ouest), le Gbêkê (Centre) et les Grands ponts (Sud).

« Cette session de formation visait à renforcer les compétences des journalistes, animateurs, producteurs et réalisateurs des émissions de santé pour une meilleure couverture de la pandémie liée au Covid-19, ainsi qu’une meilleure sensibilisation des communautés», explique le communiqué.

De façon plus spécifique, il s’agissait de fournir des informations actualisées sur la riposte contre la Covid-19 au niveau mondial, régional et national, de fournir quelques orientations sur le rôle des médias (radios) dans la communication de risques lors des urgences de santé publique.

Dans le cadre de ce projet qui bénéficie d’un financement de l’agence américaine d’aide internationale (USAID), a conclu le communiqué, l’OMS mettra à la disposition des 11 sections de la plateforme Radio Santé Côte d’Ivoire, des équipements (un ordinateur portable et un enregistreur professionnel) en vue de booster et renforcer la réalisation des émissions de santé en synergie sur la Covid-19 en Côte d’Ivoire.

La Côte d’Ivoire enregistre à ce jour, 9214 cas confirmés de maladie à Covid-19 dont 3996 guéris et 66 décès.

Le Sénégal pour un renforcement de la coopération énergétique en Afrique

Les pays africains doivent renforcer leur coopération et assistance mutuelle dans le cadre des pools énergétiques régionaux pour développer davantage les interconnexions électriques, a déclaré, mardi à Dakar, Mouhamadou Makhtar Cissé.« Dans le domaine de l’électricité, nos pays sont confrontés déjà à un problème de disponibilité, notamment en milieu rural, malgré les énormes potentialités de ressources énergétiques dont dispose l’Afrique (solaire, hydroélectricité, biomasse, éolien, gaz naturel) », a fait remarquer d’entrée le ministre sénégalais du Pétrole et des Energies.

S’exprimant lors d’une table ronde internationale, en visioconférence, sur l’impact de la Covid-19 sur le système énergétique africain, M. Cissé a souligné que la crise économique mondiale liée à cette pandémie risque d’aggraver cette situation et compromettre l’atteinte de l’objectif de développement durable N°7 (ODD 7) fixé par la Communauté internationale à l’horizon 2030, à savoir l’accès de tous à des services énergétiques fiables, durables, modernes et à un coût abordable.

Partant de là, il estime qu’il faut donc investir davantage dans la production, les réseaux de transport et de distribution, mais également dans les énergies renouvelables, pour amener l’électricité dans les hameaux les plus reculés, les centres et les postes de santé.

Car, dit-il, « la pandémie de la COVID-19, nous a renseigné sur l’urgence à fournir de l’électricité aux centres de prise en charge des personnes infectées qui se trouvent dans des zones isolées et hors de portée du réseau électrique national, grâce à l’énergie solaire ». 

Evoquant les défis à relever dans ce secteur, le ministre du Pétrole et des Energies a indiqué que le premier est d’assurer l’accès universel à l’électricité des populations notamment en milieu rural.

Il faudra ensuite, selon lui, continuer à sécuriser l’approvisionnement en électricité de nos pays en assurant un service énergétique de qualité aux usagers, garantir l’équilibre financier du secteur à court terme, et accompagner la reprise à moyen et long terme des investissements déjà ciblés tout en maintenant le pouvoir d’achat  des ménages pour qu’ils puissent payer les services de l’électricité.

« Les investissements dans le secteur de l’énergie sont très lourds. Pour cela, nous avons besoin de l’engagement, de la détermination des investisseurs, aussi bien internationaux que nationaux, pour réussir le pari de l’accès universel à l’électricité qui est à notre portée, malgré les contrecoups subis avec la pandémie de la COVID-19 », a-t-il dit.

« Nous avons également besoin de plus d’intégration régionale à travers les cinq (5) power pools africains, pour harmoniser nos cadres légaux et réglementaires, renforcer le contenu local pour créer des emplois, des entreprises locales capables de mener ces projets, pour lutter contre le chômage de jeunes et endiguer ainsi l’exode vers l’occident », a-t-il martelé. 

Le secteur des hydrocarbures lourdement affecté

Mouhamadou Makhtar Cissé a par ailleurs rappelé que le secteur des hydrocarbures est l’un des domaines les plus affectés par la crise du coronavirus à cause notamment des mesures prises pour endiguer la propagation du virus. 

Celles-ci ont eu, entres autres conséquences, un ralentissement, voire un arrêt des travaux dans les pays où la plupart des équipements de production nécessaires aux projets pétroliers et gaziers sont construits. 

Elle a également eu un impact significatif sur les marchés pétroliers, exacerbé par la guerre des prix, qui a fait que le prix du baril a subi des évolutions jamais observées dans l’histoire du secteur pétrolier, atteignant même un cours négatif le 20 avril dernier.

Poursuivant, il a rappelé qu’une baisse importante de la consommation d’énergie à l’échelle mondiale liée aux différentes perturbations provoquées par la pandémie du Covid-19 a été constatée. Cette baisse a fortement ébranlé les marchés pétroliers et impacté l’ensemble de la chaîne de valeur pétrolière et gazière. 

A l’en croire, ces impacts ont eu des conséquences aussi bien au niveau des pays producteurs qu’au niveau des pays importateurs.

Et c’est pourquoi, il suggère, en guise de réponse, de partager les meilleures pratiques pour une bonne résilience du secteur des hydrocarbures, de résoudre les problèmes structurels de la chaîne logistique pour assurer un bon stock de sécurité.

Aussi, poursuit le ministre, il importe d’assurer l’autosuffisance énergétique via les échanges intra-africains, d’élaborer un plan de financement robuste pour le secteur O&G (raffineries, terminaux d’importation et de stockage, réseau de transport et de distribution) en vue de la transition énergétique avec le bas carbone (gas to power). 

Enfin, conclut Makhtar Cissé, il sera nécessaire de repenser la réglementation et la politique tarifaire dans le secteur des hydrocarbures pour favoriser l’accès, maintenir un climat ouvert à la discussion avec les compagnies pétrolières dans le but de favoriser une reprise rapide des activités à la fin de la crise, etc.

Sur ce dernier aspect, il estime « souhaitable » que les Etats et Gouvernements accompagnent les compagnies dans la recherche de solutions durables en vue de répondre à la crise économique liée au pétrole et ainsi éviter un impact irréversible sur les projets pétroliers et gaziers sur le continent. 

« Nous devons donc interagir et se soutenir mutuellement pour réaliser ensemble les investissements nécessaires pour développer l’énergie en Afrique. C’est comme cela que nous allons réussir la transition énergétique vers laquelle le monde est contraint, et cela ne pourra se réaliser sans l’Afrique », a-t-il encore dit. 

Bataille RHDP-Mabri: Tentative de blocage du meeting de Sidiki Konaté à Zouan-Hounien

A quelques mois de l’élection présidentielle, des tensions sont observées sur le terrain politique. La bataille entre Sidiki Konaté (RHDP) et l’ancien ministre Albert Mabri Toikeusse (UDPCI) sème la division dans la ville de Zouan-Hounien.

Le ministre de l’Artisanat, Sidiki Konaté conduit depuis quelques jours des missions à l’ouest afin d’inviter les populations à se faire inscrire sur la liste électorale. Depuis ce week-end, l’ex allié d’Albert Mabri Toikeusse a lancé un ultimatum afin que l’ex-ministre de l’Enseignement Supérieur cesse sa « rébellion » contre le RHDP à l’ouest.

Pour l’heure, les positions restent toujours tranchées entre le camp de Mabri Toikeusse et et celui d’Amadou Gon Coulibaly, candidat du RHDP à la prochaine élection présidentielle.

Ainsi, le lundi 29 juin 2020, la délégation RHDP conduite par Sidiki Konaté et Albert Flindé a été bloquée à une dizaine de kilomètres de Zouhan-Hounien, par les partisans de Mabri Toikeusse.

Selon des sources locales, le cortège conduit par les deux ministres accompagnés de plusieurs cadres du RHDP, aurait été bloqué à Zéalé dans le village du sénateur Tonpieu Zoueu. Après les vives tensions, les ministres Sidiki Konaté et Albert Flindé ont pu rallier Zouhan-Hounien pour leur meeting.

Listing électoral ivoirien: l’enrôlement prorogé à nouveau jusqu’au 5 juillet 2020

Le gouvernement ivoirien a prorogé mardi, à nouveau, la période d’inscription sur la liste électorale, du 30 juin au 5 juillet 2020 à 12 heures, a annoncé son porte-parole Sidi Touré, à l’issue d’un Conseil des ministres extraordinaire.Le Conseil des ministres, sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI), a décidé de proroger à nouveau la période de révision de la liste électorale jusqu’au dimanche 5 juillet 2020 à 12h, pour permettre aux Ivoiriens de s’inscrire massivement sur le listing électoral, a dit M. Sidi Touré.  

Vu que de nombreux Ivoiriens ne s’inscriront pas sur la liste électorale si cette opération s’arrêtait définitivement le 30 juin 2020, le Conseil a adopté un décret de prorogation, au moment où arrive à échéance le deuxième délai accordé aux populations, a ajouté M. Sidi Touré. 

Cette prorogation de l’inscription sur le listing électoral intervient en outre, à la demande des parties prenantes au processus électoral, en vue d’une participation accrue à l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre 2020, a fait remarquer le porte-parole du gouvernement. 

La première période fixée par l’Etat de Côte d’Ivoire sur proposition de la CEI, pour la révision de la liste électorale, était du 10 au 24 juin 2020, avant que le délai ne soit repoussé au 30 juin 2020. Ce report se justifie aussi par les récentes pluies diluviennes qui ont créé des inondations notamment à Abidjan.  

Conseil National du Dialogue Social : Ouverture de la 1ère session ordinaire et de la mandature 2020-2023

L’ouverture de la 1ère session ordinaire et de la mandature 2020-2023 du Conseil National de Dialogue Social se sont fait conjointement à Abidjan.

Lancée ce lundi 29 juin au siège du Patronat ivoirien, à Abidjan-Plateau. Cette première journée a permis de faire la lecture et l’adoption des procès-verbaux de l’année écoulée et la constitution des Commissions Techniques pour le premier webinaire du CNDS qui démarre ce mardi 30 juin.

Se félicitant des résultats obtenus après adoption de l’ordre du jour ; le président du conseil, N’doumi Bernard a confié que ces résultats sont le fruit du travail en équipe.
« Nous voulons nous positionner au plan international. Le CNDS doit être une institution sociale pour lui donner la capacité de jouer un rôle plus important », a-t-il relevé.

Le ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Kouakou Abinan en a saisi l’occasion pour féliciter le CNDS « Je voudrais féliciter le Conseil pour le travail abattu en dépit des difficultés rencontrées dans sa mission de paix sociale. J’encourage le Cnds à redoubler d’efforts dans le contexte mondial de la crise sanitaire ».

Cependant, il s’est voulu rassurent sur à la question des moyens.

Le Conseil National du Dialogue Social (CNDS), créé par décret N°2007-608 du 8 novembre 2007, est une institution d’utilité publique.

Son rôle, c’est un outil de régulation et de veille sociale

Mozambique: 211.000 déplacés internes à Cabo Delgado

Plus de 200.000 personnes ont été déplacées dans la province de Cabo Delgado au Mozambique, où des groupes armés ont attaqué des installations gouvernementales et des civils, a annoncé mardi l’ONU.Le Mozambique subit une vague d’attaques armées dans la province de Cabo Delgado depuis octobre 2017 et celles-ci se sont considérablement intensifiées depuis janvier 2020, laissant des centaines de milliers de personnes sans accès adéquat à la nourriture, à l’eau, aux installations sanitaires ou à tout autre service de base. 

Le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a déclaré que la situation humanitaire dans la province de Cabo Delgado s’est considérablement détériorée au cours des six derniers mois en raison de l’insécurité et de la violence. 

« Les déplacements ont augmenté rapidement en raison de l’escalade de la violence, avec 211 485 personnes déplacées à l’intérieur de la province », a déclaré l’agence onusienne dans sa mise à jour sur la situation sécuritaire au Mozambique. 

Elle a révélé que plus de 300 incidents violents ont été enregistrés depuis 2017, dont plus de 100 depuis janvier. Il s’agit notamment d’attaques « sur des villages par des individus armés et d’affrontements entre les forces de sécurité et les groupes armés ». 

« Les attaques des groupes armés ont détruit plus de 107 écoles (dont un centre de formation des enseignants) jusqu’à présent, touchant plus de 56 000 enfants et près de 1 100 enseignants. Au cours des dernières semaines, les attaques ont augmenté en ampleur et en portée, les districts de Palma, Mocimboa da Praia, Nangade, Muidumbe, Macomia et Quissanga étant les plus touchés », indique la note. 

L’escalade de la violence a empêché l’accès à Cabo Delgado des responsables de l’aide, les organisations humanitaires travaillant dans la province ayant de sérieuses difficultés à atteindre les personnes dans le besoin. 

Les récentes attaques contre les capitales des districts de Mocimboa da Praia, Quissanga, Muidumbe et Macomia ont forcé de nombreux acteurs humanitaires à se retirer temporairement des centres vitaux de Pemba et Maputo, réduisant ainsi leur capacité à évaluer et à répondre aux besoins croissants.

Le gouvernement annonce la «destruction immédiate» des maisons construites sur les voies d’eau à Abidjan

Le gouvernement ivoirien a annoncé mercredi au terme d’un Conseil des ministres extraordinaire, la destruction «immédiate par la force publique» des maisons et infrastructures installées sur les voies d’eau, notamment à Abidjan où plusieurs personnes ont trouvé la mort récemment dans des inondations.« Le chef de l’État a instruit les ministres concernés à l’effet de procéder à la destruction par la force publique de toutes les infrastructures qui persistent sur les voies d’eau. Il y a un minimum de procédures qui seront respectées pour les destructions, mais pour les cas les plus flagrants, nous procéderons par une destruction immédiate», a indiqué Sidi Tiémoko Touré, le porte-parole du gouvernement ivoirien à l’issue de cette réunion extraordinaire de l’exécutif ivoirien.

Poursuivant, M. Touré qui est également le ministre de la Communication et des médias a regretté que certaines personnes usant de leur qualité font de la résistance ou profitent de la faiblesses des procédures judiciaires pour faire perdurer leur incivisme. 

« Il faut définitivement arrêter ces actes d’incivilité et enjoindre ces personnes qui ont des maisons sur les voies d’eau à les faire détruire où elles seront détruites par la force publique », a-t-il prévenu, ajoutant que les propriétaires de ces maisons installées sur ces voies d’eau  ont été « certainement» déjà informés de leurs destructions. 

Les fortes précipitations qui ont arrosé ces derniers jours, le district d’Abidjan ont fait une vingtaine de morts, plusieurs disparus et de nombreux dégâts matériels.

Présidentielle 2020: Le général Michel Gueu « Henri Konan Bédié incarne les valeurs de Félix Houphouet-Boigny »

Le Général Michel Gueu a parrainé une cérémonie de lancement des activités d’un mouvement dénommé « PDCI-RDA OBJECTIF 2020 ». Au cours de cette cérémonie, le vice-président du PDCI-RDA a appelé les jeunes militants du Parti, à soutenir la candidature d’Henri Konan Bédié.

Michel Gueu, vice président du PDCI a invité des jeunes militants du mouvement « PDCI-RDA OBJECTIF 2020 » a s’engagé aux côtés d’Henri Konan Bédié pour la reconquête du pouvoir d’Etat en octobre prochain.

« Félicitations pour avoir jeté votre dévolu sur Henri Konan Bédié..Vous avez fait un bon choix. Henri Konan Bédié incarne les valeurs de Félix Houphouet-boigny, le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne. Les valeurs de paix, les valeurs d’amour, les valeurs d’union et de rassemblement des Ivoiriens », a déclaré le Général.

Ainsi, le PCA de Côte d’Ivoire Télécom s’est exprimé sur l’âge de Bédié, critiqué par certains acteurs politiques.

 » Bédié a un certain âge mais pas un vieux dans le sens employé par certaines personnes. Ces personnes oublient qu’en Afrique, c’est un signe de respect pour un homme ou une femme quand on l’appelle « vieux » ou « vieille ».C’est parce que cette personne incarne le respect et la sagesse au sens étymologique du mot « , a expliqué l’ex commandant en second de la région de Bouaké.

Herta Berlin/Allemagne : Le malheur de l’Ivoirien Salomon Kalou dans ce club

Salomon Kalou quittera le club berlinois, comme annoncé par  le Herta Berlin, dimanche 28 juin dernier. Après avoir passé 6 bonnes saisons, Salomon Kalou  tout comme six autres collaborateurs arrêtent l’aventure avec le club allemand Herta Berlin.

«Salomon Kalou, Per Skjelbred, Thomas Kraft, Alexander Esswein, Marius Wolf et Marko Grujic quittent le club de la capitale à la fin de la saison», indique un communiqué  du Herta Berlin.

Et pour cause, Salomon a été négativement illustré, le lundi 4 mai 2020  dans une vidéo tournée dans les vestiaires du club. Dans cette dernière, il est  pris pour  « du non-respect de la mesure de distanciation sociale contre le Coronavirus ».

Selon nos sources, le footballeur «  ignore sciemment les nouvelles règles sanitaires. L’on peut le voir pénétrer dans le centre d’entraînement du Hertha, serrer les mains de ses coéquipiers. Ne pas respecter correctement la distanciation, ou encore se moquer du médecin qui lui fait passer le test ».

Ce sont en autres les raisons qui ont expirées le contrat de Salomon à la fin du mois de juin 2020.

Au moment de la séparation M. Kalou a tenu à délivrer un message à ses hôtes « J’ai passé un moment fantastique au Hertha BSC avec d’excellents coéquipiers, managers et fans. Cependant, je suis toujours très désolé pour ce qui s’est passé à la fin. Cette fin ne reflète pas du tout mon passage au Hertha BSC », a-t-il confié sur le site dudit club.

Arrivé à la 11ème place au classement des buteurs du Herta Berlin, notons que Salomon Kalou a disputé 173 matchs avec le Herta. Il en a inscrit 53 buts puis délivré 16 passes décisives.