La 4ème édition de la semaine du film ivoirien au Maroc, du 18 au 24 septembre à Tanger

La 4ème édition de la Semaine du Film Ivoirien au Maroc aura lieu du 18 au 24 septembre à Tanger, annonce mardi le Centre Cinématographique marocain (CCM).Tenue dans le cadre de la consolidation des relations entre le Royaume du Maroc et la République de Côte d’Ivoire, et en application des dispositions de l’Accord de Coproduction et d’Échanges Cinématographiques entre le CCM et l’Office National du Cinéma de Côte d’Ivoire (ONACI-CI), signé à Abidjan le 28 novembre 2011, cet événement culturel est organisé en marge de la 22ème édition du Festival National du Film (FNF) qui aura lieu du 16 au 24 septembre, note le CCM dans un communiqué.

La tenue de cet évènement durant la même période que le FNF permettra aux festivaliers et aux ressortissants africains résidant à Tanger, notamment la communauté ivoirienne, de suivre la production cinématographique ivoirienne récente, et sera aussi une opportunité pour les professionnels ivoiriens et marocains de se rencontrer et de discuter de futurs projets de coopération et de coproduction.

Cette manifestation s’inscrit dans le cadre de l’action menée par le Maroc en faveur de la coopération sud-sud dans le domaine cinématographique et son engagement à soutenir le cinéma africain en général. Le Maroc est signataire de 09 Accords de Coproduction et d’Échanges Cinématographiques avec des pays africains, et a coproduit, depuis 1983, plus de 50 films africains.

Le programme de cette manifestation sera marqué par la projection de longs métrages ivoiriens et la présence d’une délégation de professionnels de cinéma composée de cinéastes, de comédiens, de journalistes et d’officiels représentant l’ONACI-CI.

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Sénégal : près de 31 milliards F CFA pour le bitumage de la route Oréfondé-Nguidjilogne

Amadou Hott, ministre sénégalais de l’Économie, du Plan et de la Coopération et Sultan Abdulrahman Al-Marshad, Directeur Général du Fonds Saoudien de Développement, ont signé mardi à Dakar l’accord de financement du projet.Le gouvernement du Sénégal exécute une stratégie de désenclavement des localités du Nord du pays à travers la construction de voies de communication. La signature de l’accord de financement du projet de réhabilitation et de bitumage du tronçon Oréfondé-Nguidjilogne s’inscrit dans ce cadre.

Cette route sera financée par le Fonds Saoudien de Développement pour un montant de 176,2 millions de riyals, soit près de 31 milliards F CFA. Selon Amadou Hott, ministre sénégalais de l’Économie, du Plan et de la Coopération, son pays « ne ménagera aucun effort afin de garantir la réussite de la mise en œuvre de cet important projet » grâce notamment à « une accélération des procédures ».

Pour sa part, Sultan Abdulrahman Al-Marshad, Directeur Général du Fonds Saoudien de Développement, a déclaré que « le projet visant à élargir la route Oréfondé-Nguidjilogne conformément aux normes de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), facilitera les échanges commerciaux (entre cette zone et le reste du Sénégal) et réduira les accidents ».

Le partenariat liant le Fonds Saoudien de Développement et l’Etat du Sénégal remonte à la fin des années 70. A ce jour, des financements de 1783 millions de riyals saoudiens, soit plus de 300 milliards F CFA, ont été conclus dans les secteurs des infrastructures routières et de l’hydraulique, de l’énergie, de l’agriculture, de la santé et de l’éducation.

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Corne de l’Afrique : l’Unicef craint une explosion de la mortalité infantile

Une explosion de la mortalité infantile est sur le point de se produire dans la Corne de l’Afrique, selon Catherine Russell, Directrice générale de l’Unicef.« L’histoire montre que lorsque des niveaux élevés de malnutrition aiguë sévère chez les enfants se combinent à des épidémies mortelles de maladies comme le choléra ou la diarrhée, la mortalité infantile augmente de façon spectaculaire – et tragique. Lorsque l’eau n’est pas disponible ou qu’elle est insalubre, les risques encourus par les enfants se multiplient de manière exponentielle », déclare Catherine Russell, Directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’Enfance (Unicef).

« Dans la Corne de l’Afrique et au Sahel, des millions d’enfants ne sont qu’à une maladie de la catastrophe », prévient-elle. Selon l’Unicef, le nombre de personnes touchées par la sécheresse en Ethiopie, au Kenya et en Somalie qui n’ont pas d’accès fiable à l’eau potable est passé de 9,5 millions en février à 16,2 millions en juillet, ce qui expose les enfants et leurs familles à un risque accru de contracter des maladies comme le choléra et la diarrhée.

Au Burkina Faso, au Tchad, au Mali, au Niger et au Nigeria, la sécheresse, les conflits et l’insécurité sont à l’origine de l’insalubrité de l’eau et 40 millions d’enfants sont confrontés à des niveaux de vulnérabilité élevés à extrêmement élevés.

Le nombre d’enfants qui meurent à cause de l’insalubrité de l’eau et de l’assainissement est déjà plus élevé au Sahel que dans toute autre partie du monde, indique l’Unicef, citant les dernières données de l’OMS.

La plupart des habitants de la Corne de l’Afrique dépendent de l’eau livrée par des vendeurs sur des camions ou des charrettes tirées par des ânes. Dans les régions les plus touchées par la sécheresse, l’eau n’est plus abordable pour de nombreuses familles.

L’organisation cite en exemple le Kenya, où 23 comtés ont connu des hausses de prix importantes, dont Mandera (400%) et Garissa (260%) par rapport à janvier 2021.

En Ethiopie, le coût de l’eau en juin de cette année a doublé dans l’Oromia et augmenté de 50% dans le Somali par rapport au début de la sécheresse en octobre 2021. En Somalie, le prix moyen de l’eau a augmenté de 85% dans le Sud-Mudug, et de 55 et 75% respectivement à Buurhakaba et Ceel Berde, par rapport aux prix de janvier 2022.

Plus de 2,8 millions d’enfants dans les deux régions souffrent déjà de malnutrition aiguë sévère, ce qui signifie qu’ils sont jusqu’à 11 fois plus exposés au risque de mourir de maladies hydriques que les enfants bien nourris.

En Somalie, des épidémies de diarrhée aqueuse aiguë et de choléra ont été signalées dans presque tous les districts touchés par la sécheresse. Les 8 200 cas signalés entre janvier et juin représentent plus du double du nombre de cas signalés au cours de la même période l’année dernière.

Près des deux tiers des personnes touchées sont des enfants de moins de cinq ans.

Entre juin 2021 et juin 2022, l’Unicef et ses partenaires ont traité plus de 1,2 million de cas de diarrhée chez les enfants de moins de cinq ans dans les régions éthiopiennes les plus touchées par la sécheresse – Afar, Somalie, SNNP et Oromia.

Au Kenya, plus de 90% des sources d’eau ouvertes – tels que les étangs et les puits ouverts – dans les zones touchées par la sécheresse sont soit épuisées soit asséchées, ce qui pose un risque sérieux d’épidémie.

Dans le Sahel, la disponibilité de l’eau a également diminué de plus de 40% au cours des 20 dernières années en raison du changement climatique et de facteurs complexes, tels que les conflits, ce qui expose des millions d’enfants et de familles à un risque accru de maladies d’origine hydrique.

L’année dernière, l’Afrique de l’Ouest et centrale a connu la pire épidémie de choléra de la région au cours des six dernières années, dont 5.610 cas et 170 décès au Sahel central.

L’Unicef affirme qu’il fournit une aide vitale et des services multisectoriels résilients aux enfants et à leurs familles dans le besoin dans la Corne de l’Afrique et le Sahel, notamment en améliorant l’accès à des services d’eau, d’assainissement et d’hygiène résilients au climat, en forant pour trouver des sources d’eau souterraine fiables et en développant l’utilisation de systèmes solaires, en identifiant et en traitant les enfants souffrant de malnutrition et en renforçant les services de prévention.

L’organisation indique que sa campagne visant à améliorer la résilience à long terme des familles dans la région de la Corne de l’Afrique – et à empêcher la sécheresse de dévaster des vies pour les années à venir – n’est actuellement financée qu’à hauteur de 3%.

Sur ce chiffre, presque aucun argent n’a été reçu pour la section consacrée à l’eau, à l’assainissement et à la résilience climatique.

L’appel pour la région du Sahel central visant à répondre aux besoins des enfants et des familles vulnérables grâce à des programmes d’eau, d’assainissement et d’hygiène n’est financé qu’à hauteur de 22%.

« Imaginez devoir choisir entre acheter du pain ou acheter de l’eau pour un enfant affamé, assoiffé et déjà malade, ou entre regarder votre enfant souffrir d’une soif extrême ou le laisser boire de l’eau contaminée qui peut provoquer des maladies mortelles », a déclaré Russell.

« Dans les régions touchées par la sécheresse, les familles sont contraintes à des choix impossibles. La seule façon de mettre fin à cette crise est que les gouvernements, les donateurs et la communauté internationale augmentent les financements pour répondre aux besoins les plus aigus des enfants, et fournissent un soutien flexible à long terme pour briser le cycle de la crise », indique-t-elle.

La RDC déclare une résurgence d’Ebola au Nord-Kivu

La présence du virus Ebola a été détectée dans les échantillons prélevés sur une patiente.Les autorités sanitaires de la République démocratique du Congo (RDC) ont déclaré, lundi soir, la réapparition d’Ebola, après la confirmation d’un cas dans la province du Nord-Kivu, dans l’Est du pays.

Il s’agit d’une femme de 46 ans, décédée le 15 août 2022 à Beni, une ville située dans le Nord-Kivu. Elle a été soignée à l’hôpital général de référence de Beni, initialement pour d’autres affections, mais a ensuite présenté des symptômes de la maladie à virus Ebola.

La section de l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) située à Beni et à Goma ont confirmé la présence du virus Ebola dans les échantillons prélevés sur la patiente. Les analyses ont montré que le cas était génétiquement lié à l’épidémie d’Ebola de 2018-2020 survenue dans les provinces de l’Ituri, du Nord-Kivu et du Sud-Kivu – la plus longue et la plus grande enregistrée dans le pays.

« Les résurgences d’Ebola se produisent plus fréquemment en RDC, ce qui est préoccupant. Cependant, les autorités sanitaires du Nord-Kivu ont réussi à stopper plusieurs flambées d’Ebola et, en s’appuyant sur cette expertise, il ne fait aucun doute que celle-ci sera rapidement maîtrisée », a déclaré Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique.

Le personnel de l’OMS et les autorités sanitaires de la RDC s’efforcent d’endiguer la propagation de la maladie, ayant identifié 160 contacts dont la santé est étroitement surveillée. Des enquêtes sont en cours pour déterminer le statut vaccinal du cas confirmé.

Le pays dispose de 1000 doses de vaccins ERVEBO contre le virus Ebola, dont 200 seront envoyées à Beni cette semaine. La vaccination en anneau, qui consiste à vacciner les contacts et les contacts des contacts afin de freiner la propagation du virus et de protéger des vies, devrait commencer prochainement.

La dernière épidémie dans la zone de santé de Beni, au Nord-Kivu, a été maîtrisée en deux mois environ, s’achevant le 16 décembre 2021. Il y avait eu 11 cas (huit confirmés, trois probables), dont six décès.

Afrique de l’Ouest: Londres annonce une aide de 37,65 millions £

Dans la région, vingt millions de personnes ont besoin d’une aide humanitaire d’urgence.Les 37,65 millions de livres sterling de financement humanitaire d’urgence du Royaume-Uni permettront de fournir une aide vitale au Mali, au Burkina Faso, au Tchad, au Nigeria et au Niger.

Dans un communiqué publié mardi 23 août 2022, le Royaume-Uni a indiqué que l’argent servirait à financer deux projets pour l’année prochaine, axés sur au moins un million de personnes parmi les plus vulnérables, dont des femmes et des enfants souffrant de malnutrition, dans le Sahel et le bassin du lac Tchad. Ils recevront de la nourriture, de l’eau et des installations sanitaires.

« L’instabilité croissante, l’extrémisme violent dans la région et la guerre en Ukraine ont exacerbé les problèmes d’insécurité alimentaire et de malnutrition. En l’état actuel des choses, près de 20 millions de personnes dans la région auront besoin d’une aide humanitaire d’ici la fin de l’année », indique le communiqué.

Le Sahel est confronté à de nouvelles vulnérabilités dues au changement climatique et à des chocs météorologiques extrêmes, qui exercent un stress sur les communautés, d’où la nécessité d’une intervention urgente de la communauté internationale.

La ministre britannique de l’Afrique, Vicky Ford, a averti que des millions de personnes au Sahel et en Afrique de l’Ouest souffrent de la faim et de la malnutrition.

« C’est pourquoi, a-t-elle justifié, le Royaume-Uni s’apprête à débloquer une aide humanitaire urgente de près de 38 millions de livres sterling pour atteindre les personnes les plus vulnérables et sauver des vies dans toute la région ».

Pour Mme Ford, si ce financement britannique est une nécessité, il doit s’inscrire dans le cadre d’un effort international plus important.

« Nous demandons aux partenaires internationaux de renforcer notre soutien collectif et d’intensifier les interventions pour mettre fin à cette catastrophe humanitaire », a-t-elle poursuivi.

Au total, 19,9 millions de livres sterling vont soutenir le programme d’assistance humanitaire et de protection du Sahel (SHAPP), un programme qui répond aux besoins les plus aigus, notamment ceux des femmes et des enfants déplacés et souffrant de malnutrition, et qui permet un accès plus sûr aux travailleurs humanitaires.

Le financement permet aux partenaires d’exécution, notamment le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et le Fonds régional pour le Sahel géré par des ONG internationales, de poursuivre leur travail dans la région.

L’argent va soutenir le travail du Service aérien humanitaire des Nations unies (UNHAS) et de l’Organisation internationale de sécurité des ONG (INSO).

Leur travail entre 2019-2022 dans le cadre du Programme d’intervention humanitaire d’urgence au Sahel (SHERP) a soutenu 2,7 millions de personnes avec une assistance alimentaire, fourni un traitement à près de 900.000 enfants souffrant de malnutrition sévère et fait en sorte que plus de 1,5 million de mères puissent détecter la malnutrition chez leurs enfants, permettant ainsi une intervention précoce.

En outre, 15 millions de livres sterling de financement humanitaire d’urgence ont été mises à disposition pour le nord-est du Nigeria au cours des prochains mois, où la nourriture est plus rare et les besoins humanitaires plus élevés.

La violence, les déplacements, la pauvreté et les chocs climatiques ne sont que quelques-unes des nombreuses raisons pour lesquelles 8,4 millions de personnes ont besoin d’une aide humanitaire vitale dans cette région.

Ce financement d’urgence soutient le travail du Royaume-Uni aux côtés du gouvernement nigérian pour renforcer la sécurité face à l’instabilité croissante dans le nord du pays.

Dans le nord-est du Nigeria, le Royaume-Uni soutient le travail de ses partenaires de distribution (le Programme alimentaire mondial et l’Unicef) dont les travailleurs humanitaires s’exposent à de grands risques pour atteindre ceux qui souffrent le plus.

Enseignement et économie au menu des quotidiens marocains

La rentrée scolaire 2022-2023, la gestion des finances des collectivités locales et les enjeux de la réglementation de la cryptomonnaie au Maroc sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mardi.+L’Opinion+, qui s’attarde sur la rentrée scolaire 2022-2023, écrit que contrairement aux rentrées scolaires des trois dernières années, qui avaient subi de plein fouet les turbulences causées par la pandémie du Coronavirus, celle de l’année 2022/2023 semble jusqu’ici s’acheminer vers un scénario normal et sans accrocs, du moins sur le plan sanitaire.

Ce retour à la normalité doit être estimé à sa juste valeur et mis à profit afin de redonner à l’enseignement la centralité qui a toujours été la sienne dans la vie sociale et communautaire, soutient le journal.

Au-delà de l’aspect purement éducatif, les enjeux d’un tel repositionnement sont multidimensionnels et concernent l’équilibre psychologique, affectif, social et culturel de nos enfants, qui reste intimement lié au statut de l’école en tant que socle inébranlable de valeurs, estime-t-il.

Mais, pour qu’elle puisse jouer pleinement un rôle stabilisateur, l’école se doit d’être forte et exempte de tous les torts et travers qui contribuent à la détérioration de l’environnement intra et extrascolaire, notamment l’encombrement des classes et le manque d’outils pédagogiques, sans oublier l’environnement social volatil de l’enseignement, jalonné de tensions et de grèves à répétition.

+Aujourd’hui Le Maroc+ évoque un paradoxe concernant les finances des communes, où le besoin est « énorme », mais qui dégagent “continuellement” des excédents importants.

Face à cette situation, dont les raisons sont “imbriquées”, la publication estime important d’ouvrir le chantier de la réforme des finances et surtout des taxes locales, soulignant que les collectivités territoriales peuvent être réellement riches si les recettes locales sont optimisées, à commencer par les taxes et la fiscalité locale.

Il plaide, en conséquence, en faveur d’une fiscalité plus simple, mais performante, se demandant “à quoi bon avoir des dizaines de taxes si, au final, le recouvrement n’est pas fait à temps”.

+L’Economiste+, qui aborde les enjeux de la réglementation de la cryptomonnaie au Maroc, écrit que le Maroc a annoncé, il y a quelques mois, la préparation d’un arsenal juridique dédié, tirant les leçons des expériences internationales, l’objectif étant de mettre en place des “garde-fous” pour éviter les dérapages d’une activité difficilement contrôlable.

Réglementer cette activité, encore balbutiante au Maroc, permettra d’éviter un dangereux laisser-aller.

Car, si les cryptomonnaies apportent de nouvelles souplesses, en permettant de contourner les complexités du circuit financier conventionnel, elles peuvent tout aussi bien être un terrain privilégié des activités criminelles, comme le financement du terrorisme et le blanchiment de capitaux, explique le quotidien.

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