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La vision 2030 de la Côte d’Ivoire au menu de la 5e Journée nationale du partenariat

La 5e édition de la Journée nationale du partenariat (JNP) est prévue pour les 08 et 09 novembre prochains à Abidjan autour du thème, « partenariat Etat/secteur privé pour la réalisation de la vision 2030 de développement de la Côte d’Ivoire ».

Le président du Comité scientifique de cette édition, Charles Zoko Sébé, par ailleurs inspecteur général de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle et consultant en dialogue public privé,  parle de cette édition dans cet entretien.

Qu’est-ce qui a présidé au choix de ce thème pour cette 5e édition de la JNP ?

La période 2011 à 2019 a été marquée par une performance économique vigoureuse de notre pays, le hissant dans le groupe de tête des pays à forte croissance dans le monde.

 Cette performance résultait de la mise en œuvre de réformes structurelles et sectorielles d’envergure, à travers la réalisation des plans nationaux de développement 2012-2015 et 2016-2020, qui ont donné à notre économie des fondements solides.

La dynamique a cependant été considérablement ralentie avec la survenue de la crise sanitaire de la Covid-19. Dans un contexte économique sensiblement plus favorable à celui de l’année dernière, les principaux enjeux résident à présent dans la relance économique pour permettre à notre pays de reprendre la trajectoire de croissance accélérée tout en capitalisant les leçons tirées de cette situation de crise.

Ces enjeux sont en cohérence avec la vision prospective Côte d’Ivoire 2030 du gouvernement qui devrait consacrer le doublement des performances socio-économiques de notre pays comparativement à la précédente décennie.

Pour la réalisation de cette vision, le Gouvernement entend s’appuyer sur un lien étroit entre l’Etat et le secteur privé. Il était donc nécessaire de s’interroger et d’apporter des réponses sur la démarche conjointe à suivre par les deux parties à partir de la situation actuelle de relance post-covid jusqu’à l’échéance 2030, d’où le choix de ce thème.

En prélude à cette 5e édition, les travaux préparatoires du comité scientifique ont été lancés, le 06 octobre dernier. Comment est constitué ce comité et en quoi consistent ces travaux préparatoires ?

La JNP est un challenge qui ne peut se réaliser sans la conjugaison des intelligences issues des parties prenantes provenant à la fois du secteur public, du privé ainsi que des partenaires techniques et financiers. C’est cet ensemble qui constitue l’ossature du comité scientifique.

Les acteurs du dialogue public privé ont donc été sollicités, depuis les démembrements de l’Etat, par les ministères techniques et les institutions, jusqu’au secteur privé, le patronat (la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire, la Fédération ivoirienne des petites et moyennes entreprises, l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire) et les chambres consulaires (la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire, la Chambre nationale de métiers de Côte d’Ivoire, et la Chambre nationale d’agriculture de Côte d’Ivoire ).

C’est le lieu de les remercier et de leur rendre hommage pour la quantité et la qualité du travail abattu, et pour leur attachement à la qualité et à la durabilité du dialogue public privé.

Il s’est agi d’éplucher les termes de référence (TDR) de la version 2021 de la JNP et de proposer des documents livrables qui seront soumis aux autorités pour permettre à notre pays de continuer sa marche vers le développement.

Le représentant du ministre de l’Economie et des finances, a affirmé lors de cette cérémonie de lancement tout l’intérêt du gouvernement pour les travaux ouverts au sein du comité scientifique. Quel commentaire cela vous inspire ?

C’est tout l’essence de la JNP qui se présente comme un grand moment de réflexion des parties prenantes du Dialogue public privé au sein du comité scientifique en vue de formuler de façon concrète des orientations au gouvernement sur les différentes thématiques. Nous nous réjouissons donc de cet intérêt de notre tutelle et du gouvernement de façon plus large.

Quelles sont les grandes articulations de cette JNP 2021 ?

La JNP 2021 sera articulée autour des activités qui ont contribué au succès des précédentes éditions : la conférence inaugurale animée par le Premier ministre, les panels de haut niveau, les rencontres Business to Government, les ateliers thématiques et l’atelier sous-régional qui réunira les points focaux en charge du dialogue public privé dans les pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

L’innovation de cette édition est l’étalement sur deux journées de l’événement en vue de renforcer les échanges sur les programmes majeures de la politique de développement du secteur privé.

Guinée: lancement d’un projet de 28,3 millions dollars pour réduire les importations de riz

Un programme visant à réduire la dépendance aux importations de riz en Guinée a été officiellement lancé avec l’appui du Fonds «Lives and Livelihoods», une initiative multilatérale de développement créée par la Banque islamique de développement (BID) et les partenaires à la coopération au développement.

La Banque et le ministère de l’Agriculture et de l’élevage de la Guinée ont marqué cette occasion le 18 octobre dernier, faisant de la nation encore un autre pays membre de la Banque islamique de développement en Afrique de l’Ouest à donner le coup d’envoi du Projet régional de la chaîne de valeur du riz (PRCVR), par une réunion de travail regroupant les parties principales prenantes pour établir une feuille de route pour le projet en Guinée.

La Guinée est parmi le premier groupe de pays d’Afrique de l’ouest accompagnés par le Fonds LLF dans le cadre du Programme régional de développement de la chaîne de valeur du riz. Les autres pays sont la Gambie, le Niger, le Sénégal et la Sierra Leone.

Le projet de chaîne de valeur du riz en Guinée a été lancé grâce à un financement concessionnel de 28,3 millions de dollars des États-Unis du Fonds « Lives and Livelihoods » (LLF), des ressources du Fonds de solidarité islamique pour le développement et de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA).

Ce projet vise à réduire de 10 % le niveau élevé des importations de riz en Guinée et à renforcer la croissance économique non seulement par l’amélioration de la production et de la productivité, la transformation et la commercialisation, mais aussi le renforcement de la participation du secteur privé.

 « Nous sommes reconnaissants au Fonds Lives and Livelihoods  et à ses donateurs pour leur appui dans le cadre du Programme régional de la chaîne de valeur du riz. L’amélioration de la production nationale de riz est une priorité pour la Guinée », a déclaré Dr Samoii Béavogui, Secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’élevage de Guinée.

« Grâce à des initiatives telles que le Projet de chaîne de valeur du riz, nous assistons à une augmentation des investissements dans ce domaine, qui permet d’améliorer la productivité et de multiplier les possibilités d’emploi, en particulier chez les jeunes », a-t-il poursuivi.

Le Fonds Lives and Livelihoods  s’appuie sur un modèle de financement innovant qui associe le capital de prêt de la BID et les subventions des donateurs régionaux et internationaux pour offrir des prêts concessionnels.

Le Programme régional de la chaîne de valeur du riz (RRVCP) vise les pays membres de la BID situés en Afrique de l’ouest qui ont une autosuffisance en riz faible à intermédiaire, allant de 12% au Niger à 69% en Guinée. Le déficit est comblé par des importations qui, dans leur ensemble, leur coûtent plus de 1,2 milliard de dollars des États-Unis par an.

Musa Sillah, directeur du bureau régional de la Banque islamique de développement à Dakar, Sénégal, a déclaré  qu’«en dotant les pays d’Afrique des moyens d’investir dans leur propre secteur rizicole, le Fonds  Lives and Livelihoods  veut les aider à améliorer leur productivité et leur compétitivité et à moins dépendre des importations ».

«Les petits producteurs pourront augmenter leurs revenus, améliorant ainsi les conditions de vie de centaines de milliers de personnes, surtout dans les zones rurales. Au Fonds Lives and Livelihoods, nous estimons que c’est le moyen le plus efficace de sortir les gens de la pauvreté, puisque cela permet de sauver des vies aujourd’hui et de garantir des moyens de subsistance durables pour l’avenir », a-t-il conclu.

Denrée de base en Guinée, le riz, est principalement produit par des petits exploitants dans les zones rurales où vivent près de 80 % de la population. Pourtant, cela ne suffit pas, notamment du fait de la faible productivité, les rendements des petites exploitations étant généralement inférieurs à 2 tonnes à l’hectare.

Par conséquent, le pays importe environ 600 000 tonnes de riz par an. Cette situation peut être rapidement inversée, étant donné l’énorme potentiel dont dispose le pays. Il s’agit par exemple, du potentiel d’irrigation de la Guinée qui est estimé à 364 000 hectares, dont 30 200 seulement sont actuellement aménagés.

Abidjan accueille Africa open innovation summit 2021 en novembre

La première édition de l’Africa Open Innovation Summit (AOIS), un évènement professionnel, pour l’Afrique, dédié à l’innovation bâtie sur les standards ouverts et sur le cloud se tiendra les 25 et 26 novembre 2021 à Abidjan.

Ce rendez-vous de la capitale économique ivoirienne se déroulera autour du thème «cloud et open source, opportunités pour la souveraineté numérique en Afrique» avec comme objectif général, «développer l’industrie numérique locale par l’appropriation et la vulgarisation des systèmes ouverts ».

Africa open innovation summit se donne pour mission de mettre en lumière toute la valeur d’innovation africaine, et d’apporter une contribution au développement des économies et industries numériques africaines.

Selon Christelle Assirou, CEO de ICTINA, la structure organisatrice de AIOS, « l’open source a redistribué les cartes tant pour les Etats que pour les entreprises en redistribuant les cartes tant au niveau infrastructure, logiciel que juridique ».

« Un enjeu de souveraineté à la croisée de la donnée, des infrastructures, de la sécurité se profile avec l’accélération de la transformation numérique », a-t-elle ajouté dans une note d’information transmise à APA, samedi.

L’Afrique attire aujourd’hui à la fois les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) et les NATU (Netflix, AirBnb, Tesla, Uber), mais aussi de nombreux autres acteurs importants du secteur numérique.

Avec l’open innovation, un ensemble de concepts tels que l’open source, l’open hardware, l’open data, l’open content, l’open access, l’interopérabilité, etc… sont embarqués dans le projet et représentent les sources de toute la dynamique d’innovation technologique dans le monde et aussi en Afrique.

Promouvoir et rendre accessible aux décideurs, aux entreprises, et aux usagers les innovations technologiques à forte valeur ajoutée ainsi que développer des synergies d’affaires et des collaborations de travail entre les parties prenantes du développement de l’économie numérique sont des objectifs spécifiques poursuivis par ces assises d’Abidjan.  

Elles visent également à accélérer l’éclosion de la production de contenus locaux en s’appuyant sur les systèmes ouverts et à construire une industrie numérique et des services cloud adaptés aux réalités locales.

Près de 3000 visiteurs, 15 organisations et entreprises exposantes sont attendus à cette  première édition qui sera meublée par  50 rendez-vous B2B, un évènement thématique inclus, un hackathon de 24 h portant sur les solutions open source et sur l’innovation.

Les gouvernements, les institutions de la République, les administrations publiques, les sociétés et agences d’Etat, les institutions financières, les autorités de régulations, les grandes entreprises, les PMI/PME, les opérateurs et sociétés de télécommunication, les Fintechs, les éditeurs de logiciels propriétaires et open source, les sociétés d’assurance, associations, les équipementiers, et hébergeurs web et cloud constituent les premières cibles de cet événement.

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Politique, santé et économie au menu des quotidiens et hebdomadaires marocains

La résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara, la campagne de vaccination, les développements sur la scène politique nationale et les enjeux des investissements chinois au Maroc sont les principaux sujets traités par les quotidiens et hebdomadaires marocains parus ce samedi.+Le Matin+ rapporte que le Conseil de sécurité des Nations-Unies a décidé, vendredi, de proroger pour une année le mandat de la MINURSO, tout en consacrant, une fois de plus, la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain.

Le Conseil de sécurité « décide de proroger le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2022 », lit-on dans le texte de la résolution présentée par les Etats-Unis. Dans ce texte, l’instance exécutive des Nations-Unies a consacré, encore une fois, la prééminence de l’initiative d’autonomie, présentée par le Maroc le 11 avril 2007, en se félicitant des efforts « sérieux et crédibles » du Royaume, reflétés dans la proposition marocaine.

+Tel Quel+, qui s’interroge : « Obliger ou inciter à la vaccination ? », écrit que 20 mois après le début de la pandémie, le Maroc sous Covid-19 se voit aujourd’hui confronté à cette dualité.

En instaurant l’obligation du pass vaccinal à partir du 21 octobre, le gouvernement a décidé de conditionner les déplacements entre villes et régions, ainsi que l’accès aux différents services publics et lieux non essentiels, à la présentation de ce document, qui atteste que l’usager s’est bien fait vacciner.

« Le principe de précaution impose un allègement des mesures restrictives pour les personnes vaccinées, qui sont aujourd’hui en majorité », justifiait le ministre de la Santé, Khalid Ait Taleb, devant la Chambre des représentants. Une première mesure aussi forte que soudaine. Reste que si la stratégie s’avère payante de prime abord, la mesure se heurte déjà à de nombreuses situations complexes, estime la publication.

+Finances News Hebdo+ souligne que la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a « réussi son premier test », lors de son grand oral devant les parlementaires et en commission pour défendre la Loi de Finances 2022.

Mais ceux qui s’attendaient à des annonces croustillantes « ont vite déchanté », car elle « n’a rien lâché », sauf une seule information, à savoir que le grand emprunt national prévu par le Maroc n’aura pas lieu en 2021, constate l’hebdomadaire.

« En 2022 alors ? Là, par contre, on ne peut être formel. Il faut, nous dit-elle, que ce soit opportun pour l’Etat et les épargnants », rapporte-t-il.

+La Nouvelle Tribune+ écrit, de son côté, que « les premières manifestations de la politique politicienne se sont déjà produites », quelques jours après l’investiture du gouvernement, et notamment dans « leur expression la plus classique », les attaques ad hominem.

« Certains groupes, qui n’ont guère brillé durant le précédent mandat parlementaire, cherchent déjà à effacer ce bilan (…). Et manifestement, c’est sur le terrain parlementaire que cette stratégie a commencé de s’appliquer », constate le journal.

Bien évidemment, c’est la première formation de la majorité qui fait les frais de ces « offensives opportunistes », de la part de courants politiques qui « semblent avoir tout oublié » et « rien retenu » de leurs récentes expériences, estime-t-il.

+Challenge+, qui s’attarde sur les enjeux des investissements chinois au Maroc, écrit qu’alors que certains pays devraient connaître des taux de croissance record les années à venir grâce aux investissements chinois, qui visent la proximité avec l’Europe et l’Orient, le projet de Tanger Tech n’est pas encore finalisé, soulignant la nécessité de concevoir « une politique beaucoup plus prospective, beaucoup plus active ».

« Nous sommes à 14 kilomètres de l’Europe, un hub pour l’Afrique, où la Chine est déjà présente. Nous sommes concurrentiels pour recevoir les investissements chinois, mais il faut aller les chercher et c’est le rôle des décideurs », estime-t-il.

Côte d’Ivoire: un chef d’entreprise ébauche un plan de résolution des crises

Éric Thiam Sabates, vice-président et trésorier de l’Union des grandes entreprises de Côte d’Ivoire, a ébauché vendredi à Abidjan un plan de résolution des crises, en marge d’un panel, tenu à la clôture du forum économique ivoirien Cgeci Academy 2021.

Le forum économique Cgeci Academy, initié par la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci, Patronat ivoirien), s’est déroulé cette année autour du thème,   »Crises et résilience des entreprises en Afrique ».

M. Éric Thiam a évoqué, lors d’un panel qui avait pour sujet  » Comment se prémunir des crises commerciales ? », un plan de résolution des crises en entreprise, basé sur une démarche intelligente et résiliente. 

Les différents échanges ont ressorti que les entreprises peuvent être confrontées à une crise commerciale née d’une crise quelconque notamment politique, environnementale et sanitaire, comme la Covid-19 qui a affecté les entreprises. 

Le directeur général régional de impérial Tobacco pour la Côte d’Ivoire, Togo, Bénin, Guinée,  Éric Thiam Sabates, a fait observer d’entrée de jeu qu’une crise est une série d’événements qui vont ‘’perturber votre activité ».

Pour lui, « une crise commerciale, c’est généralement une conséquence d’une crise catégorielle à savoir l’organisation qui a fait de mauvais choix stratégiques et commerciaux » qui dégradent ses performances.

Il a souligné qu’on a des crises classiques comme la guerre, ensuite les batailles commerciales.  Toutefois, la gestion devrait permet d’anticiper, de planifier, de prévoir et de mettre en œuvre des stratégies et des actions pour limiter l’impact de risque identifiée qui se transformeraient éventuellement en crise.

« Lorsque survient une crise, il faut travailler avec ses équipes aux plans d’actions et aux plans de réponses », a-t-il dit, insinuant que les chocs devraient permettre de tester et affûter ses moyens de résilience , tout en renouvelant ses connaissances.

« Anticipez et soyez agile lorsque vous avez une crise qui survient », a-t-il lancé, indiquant qu’il y a un premier plan qui devrait servir le dirigeant de réaction immédiate et un deuxième plan qui va l’aider à gérer la crise dans son prolongement à court terme.

En outre, il devrait avoir un plan qui permet à l’entreprise de réaliser la continuité de l’activité et enfin les modifications avant de pouvoir récupérer et mettre à jour ses connaissances pour le futur.

« La première préoccupation à avoir dans une période de crise, ce sont les hommes », a-t-il conseillé, notant que « l’humain est le principal actif », avant les machines et ensuite la continuité de l’activité.

Selon M. Eric Thiam, le chef d’entreprise doit partager les décisions avec ses équipes. Car, « l’humain est au cœur de la résolution de toute crise », d’ailleurs les crises viennent des actions des hommes. 

Au terme du panel, les entreprises ont été invitées à prioriser deux éléments essentiels quand survient une crise commerciales ou non pour la pérennisation de leurs activités à savoir se poser la question de « comment tirer profit de cette crise ? ».

Par-dessus tout, fera-t-il remarquer, une crise peut s’avérer être une opportunité. L’intérêt pour les entreprises ivoiriennes est donc d’aller à la conquête de l’Afrique à travers l’accord de libre-échange continental « Zlecaf » pour étendre leurs activités.

« La culture du risque permet de réagir avec calme, sang froid avec une communication adaptée et d’aller droit au but dans le processus de gestion », a-t-il poursuivi. La Cgeci Academy 2021 en est à sa 9ème édition. Il est le plus important forum économique organisé par le secteur privé ivoirien.