Covid-19 : le Conseil National de Sécurité décide d’élargir la vaccination aux personnes âgées de 18 ans

Dans le cadre de la lutte contre la covid-19,  le Conseil National de Sécurité (CNS) a décidé d’élargir la vaccination aux personnes de 18 ans et plus. 

Le CNS a par ailleurs prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 30 juin 2021. Notamment en procédant à la décentralisation de la campagne de vaccination et l’intensification de la sensibilisation en vue du strict respect des mesures barrières.

Réuni le vendredi 26 mars 2021 à Abidjan, le conseil a pris ces décisions en raison de la flambée du nombre des cas positifs constatée, depuis le mois de janvier 2021.

Concernant la vaccination contre la Covid-19, le ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, M. Aouélé, a informé le CNS que la Côte d’Ivoire a reçu 554 000 doses du vaccin Astrazeneca. Il s’agit entre autres de 504 000 doses de l’initiative COVAX, coordonnée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), et 50 000 doses dans le cadre de l’amitié ivoiro-indienne.

Rappelons que depuis le 1er mars 2021, a démarré les séances de vaccination. Selon le Dr Aka Aouélé,  près de 30 000 personnes ont déjà été vaccinées. Aussi, il a exhorté la population ivoirienne à bien vouloir se faire vacciner afin de se protéger.

Toutefois, notons que  la Côte d’Ivoire dénombre depuis l’apparition de la pandémie, 43 180 cas confirmés dont 38 719 personnes guéries, 237 décès. Ainsi que 34 388 personnes vaccinées contre la covid-19.

Alpha Condé indexe Macky Sall : « Ceux qui menacent de déstabiliser la Guinée, ils le font depuis Dakar »

En séjour, hier, dimanche à Fria, le président de la république, Alpha Condé accuse son homologue Macky Sall d’accepter que son pays serve de base arrière pour déstabiliser la Guinée.

Alpha Condé a laissé entendre que « certains avaient prédit des complots contre la Guinée. Si je déballe tout, beaucoup vont fuir le pays ».

« Ils ont dit que la Guinée allait bruler, la Guinée n’a pas brûlé. Nous voilà ensemble, le pays est calme. Mais Dieu ne dort pas. Ceux qui voulaient que la Guinée brûle, nous voyons ce qui est en train de se passer chez eux. Moi je ne combats personne. Depuis que je suis devenu président, aucun opposant n’est venu à Conakry pour critiquer son gouvernement. Je n’accepte pas. Mais tout le monde sait que ceux qui nous insultent, qui veulent que la Guinée brûle le font à partir de Dakar. J’ai dit dans le JA que dans quelques années, seul le Nigéria dépassera la Guinée. Cela déplait à beaucoup de nos voisins », a déclaré Alpha Condé en langue nationale soussou.

Prise en septembre, la décision de fermer les frontières terrestres avec le Sénégal reste maintenue jusqu’à nouvel ordre.

 

Sécurité : Nouvelle attaque du poste mixte de Kafolo.

Le détachement des Forces de défense et de sécurité ivoiriennes, posté à Kafolo, dans le nord de la Côte d’Ivoire, a repoussé, une nouvelle fois une attaque.

En effet, dans la nuit du dimanche de minuit à 2h du matin ,des individus ont attaqué la position de Kafolo en tentant de pénétrer dans le cantonnement des FACI. Il s’en suit une riposte des Forces de l’ordre en garde. Selon nos sources, il s’agit de terroristes. Un ratissage de la zone est effectué pour sécuriser les lieux.

Un bilan provisoire de cette attaque est dressé. En effet, deux terroristes ont été abattus , deux armes et deux radios E/R saisies. Mais on a un soldat légèrement blessé au niveau de l’armée ivoirienne.

Notons tout de même que, c’est la deuxième attaque armée, en l’espace de 9 mois, de cette position avancée des Forces armées de Côte d’Ivoire.

Deux attaques contre des positions de l’armée ivoirienne à Kafolo et à Téhini

Deux attaques ont été perpétrées dans la nuit de dimanche à lundi contre des positions de l’armée ivoirienne à Kafolo (Kong) et à Téhini (Bouna), près de la frontière avec le Burkina Faso, faisant au moins quatre morts.

Selon une source sécuritaire, dans la nuit de dimanche à lundi, des individus faisant usage d’armes à feu ont attaqué des positions de l’armée ivoirienne à Kafolo (Kong), tentant de pénétrer le cantonnement des Forces armées de Côte d’Ivoire (FACI). Cette attaque a été suivie d’une riposte des forces ivoiriennes qui «mènent en ce moment un ratissage».

Le bilan provisoire à Kafolo fait état de deux terroristes abattus et de plusieurs matériels saisis dont deux fusils AK 47 saisis, ajoute la même source qui précise qu’un militaire a été légèrement blessé. D’autres sources sécuritaires indiquent deux décès du côté de l’armée ivoirienne à Kafolo.

Une autre attaque a été perpétrée dans la localité de Téhini (Bouna) dans le Nord-est de la Côte d’Ivoire, faisant au moins un mort et un blessé.

Une première attaque de la position de l’armée ivoirienne à Kafolo dans l’extrême nord du pays avait fait en juin 2020 une dizaine de morts chez les Forces armées de Côte d’Ivoire.

Administration, économie et religion au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce lundi consacrent de larges commentaires aux enjeux de la réforme de l’administration et aux répercussions des aléas naturels sur l’économie et à l’Assemblée générale de la Rabita des Oulémas au Maroc.+L’Economiste+, qui aborde la réforme de l’administration engagée par le Maroc pour notamment simplifier les formalités administratives, écrit que 425 actes administratifs vont disparaître du jargon marocain à la veille du lancement imminent du portail national des procédures et des formalités administratives.

Avec ce changement, s’il se concrétise dans la réalité, le Maroc « fera sauter une digue pivot de la bureaucratie », ce qui rétablira à coup sûr une partie de la confiance des citoyens dans l’administration, estime le quotidien.

La simplification des procédures est considérée comme un levier pour la réforme de l’administration marocaine, censée améliorer la qualité des services fournis aux usagers et aux entreprises. L’idée centrale est de marquer une rupture nette et sans équivoque, avec les pratiques du passé. Dans ce chantier stratégique, le ministère de l’Intérieur, qui est partie prenante, « veut lui aussi bâtir de nouvelles relations administration-usagers, sur des bases de la confiance, la transparence et la qualité des services », relève-t-il.

+Aujourd’hui le Maroc+ écrit que l’économie mondiale, avec toute la puissance qu’elle peut laisser paraître, peut également être à la merci des aléas naturels comme le climat, les catastrophes ou des événements tels que les pandémies, soulignant que « le monde vient d’en vivre l’illustration parfaite avec la crise Covid-19 qui a littéralement paralysé l’économie depuis des mois ».

Étant basée naturellement sur le commerce et les échanges de biens et de services, il suffit que les flux mondiaux soient perturbés pour que « toute la machine se grippe », constate le journal.

Au Maroc, il y a quelques semaines, tout le monde se rappelle comment le système de gestion des cartes grises et des permis de conduire avait été fortement perturbé à cause d’un incendie dans les locaux en France abritant les serveurs où étaient stockées les données du système digital marocain Rokhass (autorisations), note-t-il.

« Les aléas, imprévus, incidents et événements sont évidemment inévitables. Mais, malgré leurs conséquences fâcheuses, ils sont aussi surtout des occasions d’apprentissage qui poussent au développement de nouvelles façons de faire, de solutions novatrices ou tout simplement de back-up », estime-t-il.

+Le Matin+ Le Conseil académique de la Rabita Mohammadia des oulémas tiendra, lundi, sa 26è Assemblée générale.

A l’ordre du jour de cette Assemblée générale, qui sera tenue virtuellement, figurent, la présentation des rapports moral et financier au titre de l’année 2020, ainsi que des exposés sur les actions de la Rabita et son plan d’action au service des constantes du Royaume, indique la Rabita dans un communiqué, cité par le quotidien.

Il comprend également la présentation des projets des centres de recherche, des unités scientifiques et des programmes de formation, dont le programme de lutte contre la radicalisation en ligne des jeunes (lutte contre la violence, la haine et l’extrémisme), lancé par la Rabita en partenariat avec l’ambassade du Japon au Maroc et le Programme des Nations Unies pour le développement au Maroc, ainsi que la mise en œuvre de la convention de partenariat et de coopération stratégique entre la Rabita et l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO), ajoute le communiqué.

Justice : Bombardement de Bouaké : le procès de trois pilotes s’ouvre à Paris.

Neuf soldats français de l’opération Licorne et un civil américain avaient été tués dans le bombardement du camp de Bouaké en Côte d’Ivoire le 6 novembre 2004. En effet, le procès des suspects s’ouvre ce lundi à Paris. Il s’agit notamment d’un ancien mercenaire biélorusse et deux officiers ivoiriens.

Retour sur la crise ivoirienne.

Début novembre 2004, le président ivoirien Laurent Gbagbo passe à l’offensive pour tenter de réunifier son pays, coupé en deux depuis deux ans et une tentative de coup d’État rebelle. Ses avions pilonnent les positions rebelles vers le Nord, sous l’œil inquiet des forces de paix françaises déployées depuis 2002 entre les deux camps pour éviter une guerre civile.

Le 6 novembre vers 13h20, deux chasseurs ivoiriens survolent à basse altitude un camp français à Bouaké. Tout à coup, l’un d’eux plonge et tire des roquettes. Au sol, c’est la panique, puis l’horreur et la sidération: on déplore neuf soldats français et un civil américain tué, ainsi qu’une quarantaine de blessés.

En représailles, Paris détruit le jour même l’ensemble de l’aviation militaire ivoirienne, ruinant son offensive en cours. Les relations entre Paris et son ancienne colonie, historiquement très proches, s’enflamment.

Dans les jours qui suivent, de violentes manifestations anti-françaises secouent le sud du pays. Du jour au lendemain, des milliers d’expatriés regagnent la France en catastrophe, encadrée par les troupes tricolores.

Le 10 novembre, dans la cour des Invalides à Paris, le président Jacques Chirac rend un hommage solennel aux soldats tués à Bouaké. « Nous ne vous oublierons pas », promet-il. Mais quinze ans après, leurs meurtriers courent toujours.

Des accusés en cavale.

Trois hommes sont accusés par la justice française , sur la foi de nombreux témoignages, d’avoir perpétré ou encadré le bombardement : le Biélorusse Yury Sushkin et les Ivoiriens Ange Magloire Gnanduillet Attualy et Patrice Ouei.

Jugés pour assassinats, ils sont les seuls accusés et encourent la réclusion à perpétuité.

Par ailleurs, les enquêteurs ont également examiné le rôle de trois ministres de l’époque, Michèle Alliot-Marie, Dominique de Villepin et Michel Barnier. Mais la justice a refusé de saisir la Cour de justice de la République, seule habilitée à juger les ministres.

L’enquête s’est donc cantonnée aux exécutants présumés, biélorusse et ivoiriens. Sans parvenir à répondre aux questions qui hantent les familles de victimes depuis quinze ans : qui a donné l’ordre de bombarder les Français et pourquoi ?

La Covid-19 fait cinq nouveaux morts en Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire qui connaît ces derniers jours une résurgence de cas de Covid-19 et où il a été détecté le variant anglais de cette maladie, a enregistré dimanche cinq nouveaux décès liés à cette pandémie, a annoncé le ministère ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique dans son rapport quotidien sur le Coronavirus.

Jeudi et samedi derniers, la Côte d’Ivoire avait enregistré successivement 05 et 03 morts causées par la Covid-19. Selon ce rapport sur le Coronavirus, le pays a enregistré ce dimanche 319 nouveaux cas de Covid-19 sur 4 048 échantillons prélevés soit 7,9 % de cas positifs, 129 guéris et 5 décès. 

Relativement à la vaccination contre cette maladie, le Dr Eugène Aka Aouélé, le ministre ivoirien de la santé, a souligné dans ce rapport que du 1er au 27 mars 2021, 34 388 personnes ont été vaccinées contre la Covid-19 en Côte d’Ivoire. 

Poursuivant, il a invité  le personnel de santé, les forces de défense et de sécurité, les enseignants, les personnes âgées de plus de 50 ans et les personnes porteuses de maladies chroniques à se présenter au centre de vaccination au Parc des Sports de Treichville  ( Sud d’Abidjan) et les autres centres ouverts pour se faire vacciner gratuitement. 

A la date du 28 mars 2021, rappelle-t-on, la Côte d’Ivoire compte 43 180 cas confirmés dont 38 719 personnes guéries, 237 décès et 4 224 cas actifs. 

Maroc : 301 nouveaux cas d’infection et aucun décès en 24 heures

Le Maroc a dénombré dimanche 301 nouveaux cas d’infection au coronavirus en 24 heures, portant ainsi le bilan à 494.659 cas confirmés, a annoncé dimanche le ministère de la Santé.Le nombre des personnes rétablies est quant à lui, passé à 482.352, avec 268 nouvelles guérisons, soit un taux de 97,5%.

Pour ce qui est de la campagne de vaccination, le nombre des personnes qui ont été vaccinées à ce jour (dose 1) a atteint 4.302.183, alors que 3.332.292 personnes ont reçu la deuxième dose du vaccin, a précisé le ministère dans son bulletin quotidien sur la situation de la Covid-19.

Le nombre total des décès est passé à 8.798, aucun nouveau décès n’étant enregistré durant les dernières 24 heures (taux de létalité de 1,8%).

Quant au nombre de cas actifs, il s’élève à 3.509, alors que les cas sévères ou critiques sont atteignent 427, dont 25 placés sous intubation.

Selon le directeur du laboratoire de biotechnologie de la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat, Pr. Azzedine Ibrahimi, entre 25 et 30% des Marocains ont développé une immunité naturelle en étant infectés par le virus du COVID-19.

Dans une analyse publiée ce dimanche sur son compte Facebook, le Pr Ibrahimi qui est également membre du Comité national technique et scientifique consultatif de vaccination, a précisé que 12% des Marocains ont développé ou développeront une immunité acquise par vaccin, soulignant que la majorité des personnes en situation de vulnérabilité ont été vaccinées au Maroc.

Et d’ajouter que les Marocains de moins de 60 ans et en bonne santé ne développent pas de symptômes critiques et 50% de la population respecte les mesures de précaution.

Cinéma: le réalisateur ivoirien Idriss Diabaté lauréat de la NISA d’Or 2021

Le réalisateur ivoirien Idriss Diabaté a remporté samedi la 2e édition de la Nisa d’Or 2021, décernée à l’occasion de la Nuit ivoirienne du septième art et de l’audiovisuel (Nisa), pour son documentaire intitulé Éloge des mils.

M. Idriss Diabaté s’est dit « très ému et très touché par ce prix ». Dans ce film documentaire, il invite les Africains à valoriser les cultures de leur sol tout en perpétuant les valeurs des siens, ce qui éviterait des importations massives de produits agroalimentaires et des sorties de devises.  

Il succède à Alex Ogou, lauréat de la NISA d’Or 2019, une compétition visant à stimuler les acteurs du cinéma, des arts et de l’audiovisuel, initiée par Patricia Claude Kalou,  présidente de la Conférence des Producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (CPACI).

La NISA, dira-t-elle, se veut une plateforme majeure de promotion des productions ivoiriennes de qualité, nécessaire pour permettre à cet art de hisser le savoir-faire des acteurs locaux et de mettre en focus leurs talents.

La ministre ivoirienne de la Culture et de la Francophonie, Raymonde Goudou, s’est félicitée pour cet événement visant à rechercher l’excellence, « une bonne motivation » selon elle pour aller toujours plus loin. 

Assandé Fargas, dramaturge et acteur ivoirien, invité spécial, a reçu un prix d’honneur de la NISA 2021 pour cet art qui exporte. Son travail acharné lui a valu d’obtenir un rôle principal dans « Lupin », une série diffusée sur Netflix.

Dans la catégorie série télévisuelle, le prix du meilleur scénario original a été attribué à Casimir Guelaté pour « Babadongo, les coups de la vie ». Le prix du meilleur chef opérateur est revenu à Moustapha Sam pour « Alphasie ».

L’acteur Bamba Bakary, l’un des doyens des humoristes, a arraché le Prix Orange de la meilleure interprétation masculine dans la série télé « Assinie ». La meilleure interprétation féminine a été décernée à Marie Josée Nene dans Babadongo, les coups de la vie.

Le prix du meilleur réalisateur, lui, a été attribué à Erico Sery pour son film Assinie. La meilleure série télé a été également décernée à cette série. Dans la catégorie cinéma, « Vice » de Gilbert Kan Konan s’est adjugé le prix de la meilleure fiction court métrage. 

Au niveau du prix du meilleur scénario original fiction long métrage, Fatim Diaby, a surclassé les autres nominés pour le film Résolution. Dans ce film, toujours, Samuel Ouédraogo est distingué en tant que meilleur chef opérateur fiction long métrage et remporte le prix du ministère de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des jeunes.

Le jeune acteur Ange Éric N’Guessan, dans le film Jusqu’au bout, affiche une compétence qui amène le jury à lui octroyer le prix de la meilleure interprétation masculine. Quant au prix de la meilleure interprétation féminine, elle revient à Evelyne Ily Juhen dans le film Résolution.

Dans les fictions long métrage, le prix du meilleur réalisateur part au profit du binôme Boris Oué et Marcel Sangne pour Résolution. Le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, a promis les promoteurs du soutien de l’Etat en vue d’un rayonnement plus glorieux du septième art ivoirien. 

Cet événement a eu lieu grâce à l’appui de Orange Côte d’Ivoire. Son directeur de la transformation du digital et des médias, Habib Bamba, a fait savoir que l’opérateur finance actuellement d’autres séries télés, en cours de réalisation. 

Des trophées d’honneur ont été aussi décernés à des pionniers notamment à Désiré Écaré (1939-2008). Sa première mise en scène « concerto pour un exil » remporte le prix du jeune cinéma à Hyères. En 1985, il réalise le long métrage « Visages de femme ».

L’acteur ivoirien Léonard Groguhet, né en 1939, icône vivante de la culture et de l’audiovisuel ivoirien, a aussi reçu un trophée d’honneur. Diplômé de l’Institut d’études théâtrales de la Sorbone à Paris, il a produit la célèbre série satirique « Comment ça va ? ». 

Créé en juin 2009, la Conférence des producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (CPACI) est constituée d’une fédération de quatre syndicats dans le secteur du cinéma et de l’audiovisuel en Côte d’Ivoire. Elle est dirigée depuis octobre 2016 par Patricia Claude Kalou, la présidente. 

Covid-19 : 3 nouveaux décès et 393 nouveaux cas en Côte d’Ivoire

Trois nouveaux décès de la Covid-19 ont été enregistrés, samedi, en Côte d’Ivoire, rapporte le point quotidien du ministre ivoirien de la Santé et de l’hygiène publique.

Selon ce point, le ministère de la Santé et de l’hygiène publique a enregistré « ce samedi  27 mars 2021, 393 nouveaux cas de Covid-19 sur 3835 échantillons prélevés soit 10,2 % de cas positifs, 344 guéris et 3 décès ».

A la date du 27 mars 2021, poursuit le communiqué, « la Côte d’Ivoire compte donc 42 861 cas confirmés dont 38 590 personnes guéries, 232 décès et 4039 cas actifs ».  Le nombre total d’échantillons est de 505 960.

Le 26 mars, 2291 personnes ont été vaccinées avec un total de 33 395 personnes vaccinées contre la COVID-19 du 1er au 26 mars.

Dans la foulée, le ministre de la Santé et de l’hygiène publique Dr Eugène Aka Aouélé, invite le personnel de santé, les forces de défense et de sécurité, les enseignants, les personnes âgées de plus de 50 ans et les personnes porteuses de maladies chroniques à se présenter au centre de vaccination au Parc des Sports de Treichville et les autres centres ouverts pour se faire vacciner gratuitement contre la Covid-19.