BEPC 2020 : 53,17 % candidats admis admis en Côte d’ivoire

Les résultats du BEPC session 2020 ont été proclamés ce mardi 28 juillet sur toute l’étendue du territoire ivoirien avec 53,17 % de candidats admis.

À cet effet, sur 457.797 candidats, 243.416 ont été déclarés admis au brevet. Selon la Direction des examens et concours, les filles ont obtenu un meilleur pourcentage que les garçons. Il s’agit notamment, d’un taux de 53,44% pour les filles contre 52,94% pour les garçons.

Par ailleurs, la directrice de la DECO Mme Dosso, a indiqué que le résultat cumulé du BEPC et du Test d’orientation est de 503.472 candidats. Et ce, répartis dans 799 centres de composition.

Cependant, soulignons que les résultats sont mis en ligne sur le site de la DECO. En outre, il suffira d’aller sur le site internet de la Direction des Examens et Concours : www.men-deco.org.

Concernant les réclamations, les candidats disposent d’un délai de 48 heures à compter pour les réclamations. Toutefois, notons que les réclamations débuteront ce mercredi 29 juillet à 7 h 30 dans leurs centres de composition respectifs. De plus, les résultats des jurys spéciaux de réclamation seront publiés le samedi 1er août 2020 à 14h.

Concours de Gendarmerie 2020 : les résultats du test de pré-sélection dans les écoles sont disponibles

Les résultats du test de présélection du concours d’entrée dans les écoles de gendarmerie au titre de l’année 2020 sont disponibles. L’information a été donnée par le commandant supérieur de la gendarmerie nationale dans un communiqué.

En effet, selon le communiqué les résultats peuvent être consultés sur le site Internet : www.ci-gendarmerie.org . Pour ce faire, les candidats admissibles sont invités à procéder au paiement des frais de la visite médicale.

Aussi, rappelons que les candidats devront prendre un rendez-vous pour les examens médicaux. Quant à l’édition des bulletins d’examens, ils devront s’en acquérir sur le site de la gendarmerie. Notamment du 28 juillet au 2 août 2020.

Cependant, notons que la visite médicale se déroulera, à la gendarmerie d’Abidjan. Et ce, sur une période du 3 au 18 août 2020. En outre, soulignons que la visite médicale se fera dans le strict respect des mesures barrières édictées pour lutter contre la covid-19.

Covid-19: pkus de 4 milliards US du FMI à l’Afrique du Sud

Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé un prêt de 4,3 milliards de dollars américains à l’Afrique du Sud afin d’atténuer les impacts socio-économiques de la pandémie de coronavirus dans le pays, a appris APA mardi.Selon le FMI, Pretoria a accès au financement dans le cadre de l’instrument de financement rapide du Fonds pour amortir les impacts économiques négatifs de la pandémie de Covid-19. 

Ce « soutien financier d’urgence » est assorti de taux d’intérêt très bas par rapport aux coûts d’emprunt plus élevés auxquels le pays était généralement confronté. 

En vertu des droits de tirage spéciaux du FMI, le prêt serait payable sur trois à cinq ans à un taux d’intérêt d’un peu plus d’un pour cent, a déclaré l’organisme financier basé aux États-Unis. 

C’est la première fois que Pretoria obtient un prêt du FMI depuis l’aube de la démocratie en 1994.

Plus de 70 pays ont reçu une aide financière du FMI pour les aider dans leurs efforts visant à amortir l’impact de la pandémie de Covid-19, a déclaré le FMI. 

Le prêt à faible taux d’intérêt du FMI intervient après que la Banque africaine de développement a approuvé la semaine dernière un prêt de 280 millions de dollars à l’Afrique du Sud dans le cadre de la facilité d’intervention de la BAD pour lutter contre la pandémie de Covid-19.

En outre, Pretoria a récemment obtenu un prêt de 965 millions de dollars de la Nouvelle Banque de Développement (NDB) pour aider le pays dans son programme d’urgence Covid-19. 

La NDB est une institution financière gérée par un groupe d’économies émergentes comprenant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud, communément appelés les pays BRICS. 

Au total, l’Afrique du Sud a obtenu une aide financière de plus de 5,3 milliards de dollars américains de la part des institutions financières internationales, selon le ministre des Finances Tito Mboweni. 

Pour sa part, le pays a dépensé 30 milliards de dollars US de ses propres ressources financières pour aider à atténuer les problèmes exposés par la pandémie, qui a tué plus de 6.000 personnes depuis son apparition en mars de cette année, a révélé le ministre lundi.

Côte d’Ivoire/ Fonds de soutien Covid-19: 29 grandes entreprises ont reçu 9,7 milliards FCFA

Quelques vingt-neuf grandes entreprises ivoiriennes ont reçu 9,7 milliards FCFA dans le cadre du fonds Covid-19 de soutien au secteur privé, a-t-on appris lundi sur place dans la capitale économique ivoirienne.Selon une note d’information transmise à APA, mardi, cette information a été donnée par Soumahoro Mory, le président du Comité de gestion du fonds de soutien aux grandes entreprises (FSGE-Covid-19) lors de la huitième rencontre du Comité paritaire technique (CPT/Covid-19). 

« Au total 29 entreprises ont pu bénéficier de l’appui du FSGE pour un montant de 9,7 milliards FCFA. Les ressources financières allouées pour la phase transitoire étaient de 10 milliards FCFA. Ce qui donne un taux d’exécution de 97% », a fait savoir M. Soumahoro lors de cette rencontre où il a fait le bilan de la phase transitoire de ce projet de soutien qui a couvert la période du 04 juin au 15 juillet dernier. 

Auparavant M. Soumahoro a expliqué que ce fonds a été mis en place pour adresser les problématiques liées au maintien de l’outil de production et des emplois des grandes entreprises, dans le cadre de la lutte contre la pandémie de la Covid 19. Dans la foulée, il a rappelé les préalables ( critères) que devaient remplir les grandes entreprises pour bénéficier de ce fonds Covid-19 qui  a été plafonné à 500 millions par entreprise. 

Au nombre de ces préalables, M. Soumahoro a cité entre autres, le fait d’être  une entreprise de droit ivoirien réalisant un chiffre d’affaires supérieur à un milliard de FCFA sur au moins deux des trois exercices successifs (2017, 2018 et 2019),  être en activité depuis au moins deux années fiscales et  être une entreprise dont les activités ont été impactées négativement par la Covid-19 avec une perte réelle de 30 % de chiffres d’affaires. 

Par ailleurs, M. Soumahoro a annoncé les dispositions à prendre par les entreprises pour bénéficier de la deuxième phase de ce fonds de soutien. « Contrairement à la phase transitoire qui avait accordé la priorité à l’hôtellerie, le tourisme, le transport et le commerce en tant que secteurs les plus impactés, cette phase définitive est ouverte à toutes les entreprises qui remplissent les critères», a précisé le président du comité de gestion du fonds de soutien aux grandes entreprises ( FSGE-Covid-19).

 Un nouvel instrument financier, a souligné M. Soumahoro,  a même été ajouté aux prêts directs dans le cadre de cette seconde phase du fonds de soutien pour mieux accompagner les grandes entreprises dont le chiffre d’affaire est supérieur à 3 milliards FCFA. Il s’agit des garanties. 

« C’est une garantie de portefeuille. Elle est donc différente d’une garantie directe. Elle consiste pour le FSGE à mettre en place, une ligne de garantie auprès d’une banque. Ainsi tous les clients de ladite institution financière qui respectent les critères d’éligibilité du fonds ainsi que des banques peuvent solliciter des prêts qui n’excèdent pas un milliard FCFA », a révélé M. Soumahoro. 

« La banque pourra leur accorder jusqu’à 1 milliard FCFA de prêt sous condition suspensive de la garantie du fonds qui donnera une garantie de 75% tout en demandant à l’institution financière de ne pas prendre d’autres garanties. La banque assume le risque de 25% sur son propre bilan », a-t-il ajouté.

Fabrice Sawegnon écope d’une peine de prison d’un an avec sursis

Poursuivi dans une affaire de séquestration de jeunes au Plateau, lors des élections municipales en octobre 2018, Fabrice Sawegnon a été condamné avec sursis à un an de prison.

En effet, le PDG du groupe Voodoo et fondateur de la chaîne Life Tv a été condamné à 12 mois de prison avec sursis. Et ce, avec une amende de 500.000 FCFA à payer.

Par ailleurs, le tribunal de première instance d’Abidjan-Plateau a indiqué que les accusés sont coupables des faits de complicité de séquestration. Pour ce faire, Sawegnon et ses coaccusés devront payer également à chacune des victimes la somme d’un million FCFA.

Cependant, Fabrice Sawegnon a fait appel de cette décision. Ainsi, la procédure en appel sera plaidée le Mercredi 29 Juillet 2020, à la Cour d’Appel d’Abidjan.

Rappelons que les faits se sont déroulés en octobre 2018 pendant les élections municipales dans la commune du Plateau. Kouadio Raymond Aristide, Hiannot Kapet Guy et Goku Kadjo Edgar accusaient Taki Wilfried André Claver, de coups et blessures. Quant à Fabrice Sawegnon et ses collaborateurs, ils avaient été cités comme les commanditaires.

Korhogo : La deuxième école de police de la Côte d’ivoire baptisé Amadou Gon Coulibaly

Inauguré le vendredi 24 juillet 2020, l’école de police de Korhogo a été nommée Ecole de police Amadou Gon Coulibaly.

En effet, cette école porte désormais le nom de l’ex-premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly en mémoire à ce dernier. Soulignons que cette inauguration a été faite par ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Vagondo Diomandé à Korhogo.

Selon le ministre, l’attribution du nom d’Amadou Gon Coulibaly à cette école s’explique par son dévouement à ce projet. À l’en croire, ce dernier l’a porté, soutenu, et défendu. Et ce, en souhaitant voir l’ouverture de cette école.

Cependant, M.Vagondo Diomandé a indiqué que cet établissement permettra d’inculquer aux élèves policiers différentes valeurs. Notamment, la loyauté, l’intégrité, la fidélité et l’abnégation au travail.

De plus, notons que l’école de police Amadou Gon Coulibaly de Korhogo a été placée sous le commandement du commissaire divisionnaire de police, Touré Albert Kouakou.

En outre, l’école de police a été dotée de biens matériels. Telle que, de deux véhicules de type 4×4 double cabine et d’un véhicule de transport des troupes. Rappelons que ces équipements renforceront les capacités opérationnelles de l’école.

La presse sénégalaise accompagne Babacar Touré dans sa dernière demeure

Les journaux sénégalais, parvenus mardi à APA, traitent essentiellement des obsèques du fondateur du groupe de presse Sud Communication.Sud Quotidien, sous le titre « BT, à jamais », rend un vibrant hommage au Président Directeur Général du premier groupe médiatique privé au Sénégal. Pour Alassane Samba Diop, le Directeur d’iRadio et d’ITV, « si beaucoup de gens osent aujourd’hui entreprendre dans le journalisme, c’est grâce à Babacar Touré ».

Dans un tweet repris par ce journal, le président Macky Sall a déclaré que le défunt est un « journaliste chevronné et un pionnier dans l’entreprise de presse. Babacar Touré aura été de tous les combats pour la liberté et la démocratie ».

A en croire Le Quotidien, les « témoignages (sont) unanimes sur le fondateur du Groupe Sud (Communication) ». Ce journal indique que l’ancien président du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) était un « homme respecté partout, (un) conseiller avisé de chefs d’Etat ».  

Poursuivant, Le Quotidien informe qu’ « après une vie bien remplie, il a été inhumé hier (lundi) à Touba (centre) ». Dans les colonnes de ce journal, l’ex-ministre de la Culture et de la Communication, Abdou Latif Coulibaly soutient que « la couverture par Sud FM des élections de 1996 a abouti à l’annulation d’une partie du scrutin à Dakar ».

C’est la raison pour laquelle, il a reçu « les hommages des différents pans de la République lors de la levée du corps à l’Hôpital Principal de Dakar (HPD) », rapporte Le Soleil. Dans le quotidien national, Abdoulaye Diop, l’actuel ministre de la Culture et de la Communication souligne que Babacar Touré « est resté jusqu’à la fin de ses jours un infatigable défenseur de la liberté de la presse et de la promotion des idéaux démocratiques ».

Ce fut un « hommage à un géant », fait savoir EnQuête, non sans mentionner que le célèbre prêcheur Ouztaz Alioune Sall a pleuré « à chaudes larmes » après l’inhumation. Selon ce quotidien, Babacar Touré a été « discret dans la vie comme dans la mort. (Son) œuvre a parlé pour lui, hier, de l’Hôpital Principal de Dakar à la (cité religieuse) de Touba où il repose à jamais ».

Pour sa part, L’Observateur s’intéresse à « la face cachée » de ce monument de la presse sénégalaise voire africaine. Après que ce journal a affirmé qu’il était « un médiateur de l’ombre », Maître Ousmane Sèye, avocat a rappelé que « pendant la crise ivoirienne, il a eu à jouer les bons offices entre Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo. De même qu’en Guinée, il a eu à faire la médiation entre Alpha Condé et Cellou Dallein Diallo ».

Tout compte fait, note L’AS, « la classe politique regrette la perte d’un précurseur et fervent défenseur de la presse » là où, dans Libération, Mamadou Ibra Kane, le président du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse (Cdeps) assure que « l’action de Babacar Touré et celle de ses confrères ont permis (le pluralisme) dans les médias au Sénégal. Ce sont ces germes de la pluralité qui ont ensuite (contribué) aux alternances politiques en 2000 et 2012 ».

Enfin, Vox Populi se fait l’écho d’un discours prononcé par Babacar Touré lors du décès de son ami et photographe à Sud Quotidien, Thiémokho Coulibaly : « Le cercueil qui est là, n’est rien d’autre qu’une caisse en bois. Ce n’est pas ça qui est important. Ce qui est essentiel, c’est que vous montriez, dans vos journaux et télévisions, le visage du défunt de son vivant pour que les gens se souviennent de lui et retiennent cette image ».

La situation épidémiologique au menu des quotidiens marocains

L’interdiction des déplacements de et vers huit villes du Royaume est le principal sujet commenté par les quotidiens marocains parus ce mardi.+Aujourd’hui le Maroc+ souligne que dans cette crise sanitaire, les feux ont été le plus souvent braqués sur les conséquences économiques et les retombées sur les entreprises en termes de business model, souligne, notant que ce n’est là qu’une partie d’un mouvement bien plus large.

Ce sont les modes de vie en société qui seront marqués à jamais, relève la publication, ajoutant que certaines entreprises, pas toutes, avaient déjà la notion de gestion de crise et des plans éprouvés pour la continuité de service dans des situations extrêmes comme celle actuelle.

Mais très peu de ménages étaient préparés à une telle conjoncture, note l’auteur, expliquant que c’est la raison pour laquelle, “quand une décision telle que celle de dimanche soir de boucler de grandes villes est prise, c’est le chaos général”.

Abordant dans le même sens, +Al Bayane+, écrit que bien que l’interdiction de se rendre ou quitter les localités lourdement minées, s’impose pour atténuer leurs sévices, ni le timing inapproprié ni la manière forte maladroite ne s’y prêtaient, à la veille de la fête.

Une fête qui, selon la publication, « ne devait pas avoir lieu, puisque la conjoncture s’y opposait et la gravité des dégâts qu’elle pouvait générer était prévisible, bien avant les récidives actuelles de la pandémie ». Pour lui, les citoyens sont un peu responsables de la tournure sévissante de la covid-19, pas uniquement dans notre pays.

Le non respect de tous les gestes barrières qu’ils devaient tenir à bras-le-corps pour contenir ce fléau en effervescence, ces temps-ci, s’aggrave de plus en plus, explique l’éditorialiste, faisant remarquer que le relâchement qui se fait ressentir et prend de l’ampleur de plus belle, dans les coins de la rue ou encore dans les souks et les plages, en cette période estivale et festive, facilite la transmission du virus qui se trouve toujours dans les parages.

+Le Matin+ rapporte que le ministre de la santé Khalid Ait Taleb a tiré la sonnette d’alarme suite à la montée en flèche des cas de contaminations au covid-19.

Lors d’une conférence de presse tenue, lundi à Rabat, le responsable gouvernemental a toutefois souligné que « la situation est inquiétante mais pas hors de contrôle », précisant que son évolution dépendra du sens de responsabilité individuelle et collective des citoyens.

Le ministre, poursuit le quotidien, a imputé la dégradation de la situation épidémique au relâchement dans le respect des mesures préventives. «  On ne doit pas se voiler la face. C’est le relâchement qui a causé cette montée d’infections ».

S’agissant de la décision de fermer certaines zones à la dernière minute, le ministre de la santé a fait savoir que l’épidémie évoluait de manière brusque et il ne fallait pas laisser au virus la possibilité de se propager dans des zones moins touchées.  « On est face à un virus qui ne prévient pas. Demander à la population de se préparer n’est pas une mesure sanitaire efficace. On doit comprendre cette décision ».

Crise au Mali : Le président malien IBK forme un nouveau gouvernement restreint

Le chef de l’État malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), a formé le lundi soir un nouveau gouvernement restreint. Cette nouvelle formation du gouvernement s’est faite par le biais d’un décret de nomination de six ministres.

En effet, le président malien a mis en pratique les recommandations faites par la  CEDEAO hier lundi au sommet extraordinaire. Rappelons toutefois, que ce sommet s’est qui tenu par visioconférence.

Pour ce faire, ces six ministres nommés par le président malien devront s’occuper des affaires courantes du pays en attendant la mise en place d’un gouvernement d’union nationale.

Cependant, il faudrait préciser que cette nouvelle équipe, dirigée par le Premier ministre Boubou Cissé, a une principale mission. Ces derniers devront négocier la formation d’un gouvernement d’union nationale.

Election présidentielle 2020 : Affi N’Guessan dépose son dossier de candidature au FPI

Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a déposé le lundi 27 juillet son dossier de candidature au FPI en vue de la présidentielle du 31 octobre 2020.

À cet effet son dossier de candidature a été réceptionné par le président du Comité de contrôle du FPI, Wognin Honoré.

Par ailleurs, il a fait savoir que le Comité de contrôle analysera lundi et mardi le dossier de candidature. Ainsi, il transmettra le résultat aux instances compétentes à le divulguer.

Toutefois, au terme du dépôt de son dossier de candidature, Affi contesté par une autre frange du FPI, a déclaré que sa « motivation principale, c’est la situation chaotique dans laquelle se trouve le pays ». Selon lui, cette situation le pousse à se présenter à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.

« Quand on aspire à gouverner un pays, c’est qu’on a une ambition et notre ambition, c’est la renaissance de ce pays.  Traumatisé, appauvri et affaibli, divisé (…) et c’est une situation qui nous afflige ». Ajouta-t-il.

Selon Affi, il pense avoir les capacités de mettre fin à cette descente aux enfers. Et ce en donnant foi aux jeunes et aux femmes pour bâtir une nation unie. À l’en croire, cela permettrait à la Côte d’ivoire de sortir le pays du marasme.

Cependant, notons que le FPI, désignera son candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, le samedi 1er août prochain, à travers son congrès. Ce dernier, devra portera le flambeau de ce parti pour la présidentielle d’octobre 2020.