Covid-19 : pas de prolongation de l’état d’urgence au Liberia

Le gouvernement libérien ne prolongera pas l’état d’urgence actuel dans le pays, a indiqué le président George Weah.Le dirigeant libérien a déclaré que le pays avait acquis suffisamment de connaissances et d’expérience sur la Covid-19 pour qu’il ne devienne plus nécessaire de renouveler les mesures de l’Etat contre la libre circulation des personnes.

 Il a déclaré que le Libéria devrait aller de l’avant par rapport aux mesures restrictives précédentes, tandis que l’on évalue les progrès enregistrés dans la lutte contre ce virus. 

 Le président Weah a déclaré qu’il était en train d’adopter deux nouveaux règlements visant à stopper la propagation de la maladie en ordonnant un couvre-feu  à partir de 21 heures contre 18h précédemment.

 Les mesures limitant la circulation des personnes dans les comtés libériens où aucun cas de coronavirus n’a encore été signalé seront levées en temps utile.

 Le Libéria compte 359 cas de Covid-19 et 30 décès, selon les mises à jour du cabinet de recherche et de conseil Senusi, basé en Sierra Leone.

Gambie : reprise des audiences de la Commission vérité, réconciliation et réparation

Après un congé de trois mois en raison de la pandémie de coronavirus, la Commission vérité, réconciliation et réparation gambienne (TRRC) a repris ses travaux lundi a appris APA .Pour cette reprise, la Commission se penche sur des témoignages des violations présumées de l’ancien président Yahya Jammeh en exil en Guinée équatoriale et qui a dirigé la Gambie pendant 22 ans.

 La TRRC reprendra là où elle s’était arrêtée, en entendant des cas d’abus présumés des cortèges motorisés du président Jammeh et des conditions de détention.

 Le 18 mars 2020, deux jours seulement après le début de sa 13e session, la TRRC a suspendu les audiences publiques suite aux mesures de restriction annoncées par le gouvernement pour freiner la propagation du coronavirus en Gambie.

 Lors de sa dernière session en mars, seuls deux témoins avaient comparu devant la Commission qui depuis le 7 janvier 2019 avait entendu les dépositions de 219 témoins.

 Parmi ces témoins, on comptait 54 femmes, 40 auteurs présumés de violations et une poignée de témoins experts.

 Vingt-cinq témoins basés dans la diaspora gambienne ont également témoigné par liaison vidéo pendant cette période.

 A partir de lundi, la TRRC entendra des témoignages sur les attaques illégales contre les usagers de la route ostensiblement par les convois de Jammeh avec une session sur les audiences institutionnelles liées au système pénitentiaire et les violations des droits des détenus et des prisonniers également prévue pour le mois de juin.

 Le 29 avril 2020, la TRRC a présenté au procureur général et au ministre de la Justice un rapport intérimaire, requis par la loi, détaillant ses activités pour la première année de son existence.  

 Les conclusions ou recommandations seront soumises au gouvernement dans un rapport final attendu en fin d’année.

Gambie : reprise des audiences de la Commission vérité, réconciliation et réparation

Après un congé de trois mois en raison de la pandémie de coronavirus, la Commission vérité, réconciliation et réparation gambienne (TRRC) a repris ses travaux lundi a appris APA .Pour cette reprise, la Commission se penche sur des témoignages des violations présumées de l’ancien président Yahya Jammeh en exil en Guinée équatoriale et qui a dirigé la Gambie pendant 22 ans.

 La TRRC reprendra là où elle s’était arrêtée, en entendant des cas d’abus présumés des cortèges motorisés du président Jammeh et des conditions de détention.

 Le 18 mars 2020, deux jours seulement après le début de sa 13e session, la TRRC a suspendu les audiences publiques suite aux mesures de restriction annoncées par le gouvernement pour freiner la propagation du coronavirus en Gambie.

 Lors de sa dernière session en mars, seuls deux témoins avaient comparu devant la Commission qui depuis le 7 janvier 2019 avait entendu les dépositions de 219 témoins.

 Parmi ces témoins, on comptait 54 femmes, 40 auteurs présumés de violations et une poignée de témoins experts.

 Vingt-cinq témoins basés dans la diaspora gambienne ont également témoigné par liaison vidéo pendant cette période.

 A partir de lundi, la TRRC entendra des témoignages sur les attaques illégales contre les usagers de la route ostensiblement par les convois de Jammeh avec une session sur les audiences institutionnelles liées au système pénitentiaire et les violations des droits des détenus et des prisonniers également prévue pour le mois de juin.

 Le 29 avril 2020, la TRRC a présenté au procureur général et au ministre de la Justice un rapport intérimaire, requis par la loi, détaillant ses activités pour la première année de son existence.  

 Les conclusions ou recommandations seront soumises au gouvernement dans un rapport final attendu en fin d’année.

Election à la FIF: L’Association des footballeurs ivoirien accorde son parrainage à Didier Drogba

Didier Drogba, candidat à l’élection présidentielle de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a obtenu le parrainage d’un groupement d’intérêts. Il s’agit de l’Association des footballeurs ivoiriens (AFI) qui a décidé d’accorder son parrainage à l’ex-capitaine des éléphants.

Didier Drogba a enfin obtenu le parrainage d’un groupement d’intérêt, parmi les 05 groupements d’intérêts intervenant dans la validation des candidatures. Ainsi, les 03 candidats en lice devront décrocher le parrainage d’un ou plusieurs groupements d’intérêt, afin de pouvoir valider leurs candidatures la prochaine élection à la FIF.

Sory Diabaté était le seul parmi les 03 candidats en lice à décrocher le parrainage d’un groupement d’intérêt, l’Union des Anciens Footballeurs de Côte d’Ivoire. Le samedi 10 juin 2020, l’on a appris sur le site Abidjan Sports, piloté par Choilio Diomandé que l’AFI aurait donné son parrainage à Didier Drogba.

Rappelons que l’ex buteur de Chelsea FC est un membre influent de l’Association des footballeurs ivoiriens. A part Cyril Domoraud, Président de l’AFI, les autres membres tels que Aruna Dindané, Kolo Touré et Dimmy Stéphane auraient opté pour Didier Drogba.

Cela représente un grand pas dans la validation des dossiers de Didier Drogba, par la Commission électorale de la FIF qui sera mise en place le 20 juin 2020.

La gendarmerie de Bondoukou bloque un trafic de 15 tonnes de noix de cajou

Les éléments de la compagnie de gendarmerie et d’autres forces de sécurité de Bondoukou ont mis la main sur 15 tonnes de noix de cajou en partance pour le Ghana. Cette opération a eu lieu dans la nuit du 3 juin, dans la localité de Têmogopé.

Selon le commandant de la compagnie de gendarmerie de Bondoukou, Gbatié Hervé, les occupants du camion, ont pris la fuite. En effet, ces derniers ont décidé de prendre cette solution sachant le danger qui s’y trouvait derrière.

Par ailleurs, cette opération entre dans le cadre de la lutte contre l’exportation illicite des noix de cajou. Elle a été saluée par tous notamment le délégué régional du Conseil coton anacarde de Bondoukou, Koné Atchoumou. Il a également saisi cette opportunité pour demander aux acteurs , de s’inscrire dans la dynamique du gouvernement ivoirien. Soit plus de 200 000 tonnes de noix de cajou à travers le ministère de l’Agriculture et du Développement rural.

Toutefois, rappelons qu’une opération a été menée sur le terrain par des sociétés coopératives agréées par le Groupement des exportateurs professionnels des produits agricoles.

Bolloré : Le port sec de Kagbelen pour améliorer la compétitivité de la chaîne logistique

La mise à service officielle par Conakry Terminal, filiale de Bolloré Ports, du port sec de Kagbelen, permettra « l’amélioration des performances et la compétitivité du Port Autonome de Conakry ».« Le développement du port sec de Kagbelen répond au double défi de la gestion optimale des espaces de stockage du terminal à conteneurs et de la célérité des services de livraison des véhicules. En complément des nouveaux portiques de parc que Conakry Terminal vient de mettre en service, ce nouveau port sec permettra l’amélioration des performances et la compétitivité du Port Autonome de Conakry, », a déclaré Madame Traoré Tahirou Barry, Directrice générale de Conakry Terminal.

Situé dans la commune urbaine de Dubréka, à 35 km de la capitale guinéenne, le port sec Kagbelen, qui s’étend sur une superficie de 30 hectares, dispose d’un espace aménagé de 5 hectares pour une capacité de stockage de 2 000 véhicules. Il accueille en priorité les véhicules en transit pour le Mali, la Sierra Leone et le Libéria, ainsi que les véhicules non livrés après 10 jours de stationnement sur le Parc du Terminal portuaire.

L’aménagement et la mise en service de cette plateforme logistique permettront de décongestionner le Port de Conakry et d’absorber la croissance des volumes de véhicules importés.

« La mise en service de ce port sec de Kagbelen est une grande avancée dans la stratégie gouvernementale de déconcentration des formalités administratives et douanières de sortie des marchandises importées au Port de Conakry. Il va permettre une meilleure fluidité des marchandises en vue d’une amélioration de la compétitivité du Port de Conakry » a précisé Monsieur Aboubacar Sylla, Ministre d’État aux Transports de la Guinée.

D’un coût global de 1,7 millions d’euros, l’aménagement et l’équipement du port sec de Kagbelen, permet à la Guinée de disposer d’une zone sous-douane connectée au système informatique des Douanes. Doté d’une zone administrative, d’un espace clients, d’un espace de stockage, d’équipements et ouvrages dédiés, il offre des mêmes facilités de livraison identiques à celles de Conakry Terminal qui est également opérateur du Terminal à Conteneurs du Port de Conakry.

Cet investissement qui génère 40 emplois directs et plusieurs dizaines d’emplois indirects pour la jeunesse guinéenne, a nécessité l’implication et la collaboration de la Direction générale du Port de Conakry et de la Direction Nationale des Douanes.

Bolloré : Le port sec de Kagbelen pour améliorer la compétitivité de la chaîne logistique

La mise à service officielle par Conakry Terminal, filiale de Bolloré Ports, du port sec de Kagbelen, permettra « l’amélioration des performances et la compétitivité du Port Autonome de Conakry ».« Le développement du port sec de Kagbelen répond au double défi de la gestion optimale des espaces de stockage du terminal à conteneurs et de la célérité des services de livraison des véhicules. En complément des nouveaux portiques de parc que Conakry Terminal vient de mettre en service, ce nouveau port sec permettra l’amélioration des performances et la compétitivité du Port Autonome de Conakry, », a déclaré Madame Traoré Tahirou Barry, Directrice générale de Conakry Terminal.

Situé dans la commune urbaine de Dubréka, à 35 km de la capitale guinéenne, le port sec Kagbelen, qui s’étend sur une superficie de 30 hectares, dispose d’un espace aménagé de 5 hectares pour une capacité de stockage de 2 000 véhicules. Il accueille en priorité les véhicules en transit pour le Mali, la Sierra Leone et le Libéria, ainsi que les véhicules non livrés après 10 jours de stationnement sur le Parc du Terminal portuaire.

L’aménagement et la mise en service de cette plateforme logistique permettront de décongestionner le Port de Conakry et d’absorber la croissance des volumes de véhicules importés.

« La mise en service de ce port sec de Kagbelen est une grande avancée dans la stratégie gouvernementale de déconcentration des formalités administratives et douanières de sortie des marchandises importées au Port de Conakry. Il va permettre une meilleure fluidité des marchandises en vue d’une amélioration de la compétitivité du Port de Conakry » a précisé Monsieur Aboubacar Sylla, Ministre d’État aux Transports de la Guinée.

D’un coût global de 1,7 millions d’euros, l’aménagement et l’équipement du port sec de Kagbelen, permet à la Guinée de disposer d’une zone sous-douane connectée au système informatique des Douanes. Doté d’une zone administrative, d’un espace clients, d’un espace de stockage, d’équipements et ouvrages dédiés, il offre des mêmes facilités de livraison identiques à celles de Conakry Terminal qui est également opérateur du Terminal à Conteneurs du Port de Conakry.

Cet investissement qui génère 40 emplois directs et plusieurs dizaines d’emplois indirects pour la jeunesse guinéenne, a nécessité l’implication et la collaboration de la Direction générale du Port de Conakry et de la Direction Nationale des Douanes.

Côte d’Ivoire: prestation de serment des conseillers de l’Autorité nationale de la presse

Les nouveaux conseillers de l’Autorité nationale de presse (ANP) de Côte d’Ivoire ont prêté lundi serment à la Cour d’appel d’Abidjan, deux mois après leur nomination au sein de cet organe de régulation de la presse écrite et numérique, lors d’une audience solennelle.Après la lecture de la formule sacramentaire +Je jure d’exercer mes fonctions dans l’intégrité, l’honnêteté, l’impartialité et la probité, dans le respect de la Constitution, des lois et règlements de l’Etat+, et à l’appel des noms des membres de l’ANP, ils ont  chacun levé la main droite déclarant « je le jure ».

Onze impétrants étaient présents sur 13 que compte le Conseil de l’Autorité nationale de la presse (ANP), organe de régulation de la presse écrite et numérique en Côte d’Ivoire, avec à leur tête leur président, Samba Koné, un éminent journaliste.

La liberté de la presse, selon Mamadou Diakité, l’avocat général dans son réquisitoire, « n’est pas sans limite », car encadrée par un régime juridique. Il a invité l’ANP à « exercer ses attributions sans faiblesse, sans parti pris et sans compromission ». Et, en tant que juridiction, elle devrait être «neutre».

L’ANP, créée en décembre 2017, remplace le Conseil national de la presse (CNP). Ses décisions sont «exécutoires », toutefois l’organe de régulation peut faire diligence à un recours gracieux, une requête administrative qui s’effectue auprès de l’autorité qui a pris l’acte contesté.

«En vos qualités de membres de l’ANP, vous (êtes) des garants de la liberté d’expression», a dit le président du jury, Arsène Gnamien, faisant observer qu’aujourd’hui les moyens de l’information, profitant des apports technologiques, jouent un rôle déterminant dans la manipulation des opinions.

M. Samba Koné, lui, veut travailler selon les textes qui régissent le secteur des médias, tout en amenant les journalistes à respecter les textes de lois et de déontologie. « Il suffit qu’on s’y applique et on aura pas de problème ».

« Dès l’instant où on respecte les règles qui régissent le secteur, en principe, il ne devrait pas avoir de problème », a-t-il renchéri, faisant allusion à l’automobiliste qui respecte les feux tricolores, et qui minimise ainsi les risques d’accident.  

La nouvelle mouture du régime juridique de la presse ivoirienne, promulguée en décembre 2017, prend en compte l’écosystème numérique. M. Lassina Sermé, représentant des producteurs d’informations numériques,  a dit mesurer l’ampleur de la tâche et la charge qui les attend.

« Nous pensons pouvoir être à la hauteur de ce travail de régulation et de contrôle du secteur des médias, surtout le volet numérique que nous représentons au sein de l’ANP », a ajouté M. Sermé, président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), la faîtière des médias numériques du pays.

Jean-Claude Coulibaly, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), la principale faîtière des organisations professionnelles de presse du pays, affirme avoir porté serment « avec fierté pour mener à bout la mission » assignée par ses paires.

Il se dit « en mission pour la corporation des journalistes » et « l’appréhende avec beaucoup de responsabilité » tout en faisant en sorte de « ne pas décevoir la confiance qui a été mise (en lui) et surtout permettre à ce que la Côte d’Ivoire ait un visage médiatique plus serein et plus professionnel».

Les nouveaux conseillers de l’Autorité nationale de presse (ANP) de Côte d’Ivoire ont été nommés le 8 avril 2020, par décret pris par le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara. Certains membres sont issus d’autres secteurs d’activités socio-économiques.  

Le Conseil supérieur de la magistrature, les défenseurs des droits humains, les éditeurs, les imprimeurs et les distributeurs sont notamment représentés au sein de ce Conseil.

Côte d’Ivoire: prestation de serment des conseillers de l’Autorité nationale de la presse

Les nouveaux conseillers de l’Autorité nationale de presse (ANP) de Côte d’Ivoire ont prêté lundi serment à la Cour d’appel d’Abidjan, deux mois après leur nomination au sein de cet organe de régulation de la presse écrite et numérique, lors d’une audience solennelle.Après la lecture de la formule sacramentaire +Je jure d’exercer mes fonctions dans l’intégrité, l’honnêteté, l’impartialité et la probité, dans le respect de la Constitution, des lois et règlements de l’Etat+, et à l’appel des noms des membres de l’ANP, ils ont  chacun levé la main droite déclarant « je le jure ».

Onze impétrants étaient présents sur 13 que compte le Conseil de l’Autorité nationale de la presse (ANP), organe de régulation de la presse écrite et numérique en Côte d’Ivoire, avec à leur tête leur président, Samba Koné, un éminent journaliste.

La liberté de la presse, selon Mamadou Diakité, l’avocat général dans son réquisitoire, « n’est pas sans limite », car encadrée par un régime juridique. Il a invité l’ANP à « exercer ses attributions sans faiblesse, sans parti pris et sans compromission ». Et, en tant que juridiction, elle devrait être «neutre».

L’ANP, créée en décembre 2017, remplace le Conseil national de la presse (CNP). Ses décisions sont «exécutoires », toutefois l’organe de régulation peut faire diligence à un recours gracieux, une requête administrative qui s’effectue auprès de l’autorité qui a pris l’acte contesté.

«En vos qualités de membres de l’ANP, vous (êtes) des garants de la liberté d’expression», a dit le président du jury, Arsène Gnamien, faisant observer qu’aujourd’hui les moyens de l’information, profitant des apports technologiques, jouent un rôle déterminant dans la manipulation des opinions.

M. Samba Koné, lui, veut travailler selon les textes qui régissent le secteur des médias, tout en amenant les journalistes à respecter les textes de lois et de déontologie. « Il suffit qu’on s’y applique et on aura pas de problème ».

« Dès l’instant où on respecte les règles qui régissent le secteur, en principe, il ne devrait pas avoir de problème », a-t-il renchéri, faisant allusion à l’automobiliste qui respecte les feux tricolores, et qui minimise ainsi les risques d’accident.  

La nouvelle mouture du régime juridique de la presse ivoirienne, promulguée en décembre 2017, prend en compte l’écosystème numérique. M. Lassina Sermé, représentant des producteurs d’informations numériques,  a dit mesurer l’ampleur de la tâche et la charge qui les attend.

« Nous pensons pouvoir être à la hauteur de ce travail de régulation et de contrôle du secteur des médias, surtout le volet numérique que nous représentons au sein de l’ANP », a ajouté M. Sermé, président du Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), la faîtière des médias numériques du pays.

Jean-Claude Coulibaly, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), la principale faîtière des organisations professionnelles de presse du pays, affirme avoir porté serment « avec fierté pour mener à bout la mission » assignée par ses paires.

Il se dit « en mission pour la corporation des journalistes » et « l’appréhende avec beaucoup de responsabilité » tout en faisant en sorte de « ne pas décevoir la confiance qui a été mise (en lui) et surtout permettre à ce que la Côte d’Ivoire ait un visage médiatique plus serein et plus professionnel».

Les nouveaux conseillers de l’Autorité nationale de presse (ANP) de Côte d’Ivoire ont été nommés le 8 avril 2020, par décret pris par le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara. Certains membres sont issus d’autres secteurs d’activités socio-économiques.  

Le Conseil supérieur de la magistrature, les défenseurs des droits humains, les éditeurs, les imprimeurs et les distributeurs sont notamment représentés au sein de ce Conseil.

Coronavirus : La ministre Ramata Ly-Bakayoko invite les femmes de Bingerville à devenir des ambassadrices

Dans le cadre du plan de riposte du ministère de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, la ministre Ramata Ly-Bakayoko a exhorté, les femmes de Bingerville, au respect des mesures barrières pour prévenir la transmission de la Covid-19.

En effet, c’est au cours du lancement de la campagne de formation et de sensibilisation à la prévention de la Covid-19, qu’elle s’est adressé particulièrement aux commerçantes.

« J’exhorte les femmes des marchés à être nos relais, nos ambassadrices dans le marché. Mais aussi, dans leurs familles et les communautés, en tant que conseillères et éducatrices. Et ce, pour que les règles barrières soient respectées. Le Président de la République et le Premier Ministre m’envoient vous dire qu’ils tiennent à ce que vous soyez en bonne santé », a dit Ramata Ly-Bakayoko.

Par ailleurs, cette formation a été couplée avec l’opération « Une femme, un masque » qui s’est appuyé sur un film éducatif.

Pour sa part, le maire de Bingerville, Issouf Doumbia, a salué les actions du Chef de l’État et du Premier Ministre dans sa commune depuis la survenue de cette pandémie. Il a également exhorté les femmes à une vigilance accrue.

Cependant, notons que Ramata Ly-Bakayoko a fait, au nom du gouvernement des dons d’équipements. Tel que ceux des lavages de mains et de 1.500 cache-nez aux femmes des marchés de Bingerville.