L’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique au menu d’une formation

L’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique a été au menu d’une séance de formation offerte par Jely Group et la Fondation Expérience Pour Tous (EPT) en partenariat avec la Fondation Sephis.Cette session de formation, animée par Mamadou Kouyaté, Managing Partner de Jely Group s’est tenue lundi à Abidjan par visioconférence avec pour principal objectif de fournir aux participants des outils pratiques pour leur insertion professionnelle et pour la création de leurs entreprises en Afrique, après plusieurs années passées à l’étranger, rapporte une note d’information transmise à APA, jeudi.

L’auditoire principalement composé d’étudiants et de promoteurs d’entreprise originaires de plusieurs pays africains (Bénin, Côte d’Ivoire, République Démocratique du Congo, Cameroun, Sénégal, Niger, etc.) et basés en Europe et en Amérique du Nord, a été édifié  sur le thème de «l’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique ».

Pour Mamadou Kouyaté « les jeunes africains envisagent de plus en plus un retour en terre natale mais se retrouvent souvent désarmés, face aux réalités d’un continent dont ils n’ont plus la maîtrise. Il y’a donc un indispensable travail de préparation à effectuer afin de réussir son retour en Afrique pour une insertion professionnelle, ou dans le cadre de la création d’une entreprise ».

« Il est donc tout à fait naturel que Jely Group, en tant que spécialiste du recrutement et de l’accompagnement des PME contribue au travers de cette formation à faciliter le retour des membres de la diaspora afin de favoriser le développement socio-économique du continent africain.», a conclu M. Kouyaté.

L’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique au menu d’une formation

L’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique a été au menu d’une séance de formation offerte par Jely Group et la Fondation Expérience Pour Tous (EPT) en partenariat avec la Fondation Sephis.Cette session de formation, animée par Mamadou Kouyaté, Managing Partner de Jely Group s’est tenue lundi à Abidjan par visioconférence avec pour principal objectif de fournir aux participants des outils pratiques pour leur insertion professionnelle et pour la création de leurs entreprises en Afrique, après plusieurs années passées à l’étranger, rapporte une note d’information transmise à APA, jeudi.

L’auditoire principalement composé d’étudiants et de promoteurs d’entreprise originaires de plusieurs pays africains (Bénin, Côte d’Ivoire, République Démocratique du Congo, Cameroun, Sénégal, Niger, etc.) et basés en Europe et en Amérique du Nord, a été édifié  sur le thème de «l’insertion professionnelle et entrepreneuriale de la diaspora en Afrique ».

Pour Mamadou Kouyaté « les jeunes africains envisagent de plus en plus un retour en terre natale mais se retrouvent souvent désarmés, face aux réalités d’un continent dont ils n’ont plus la maîtrise. Il y’a donc un indispensable travail de préparation à effectuer afin de réussir son retour en Afrique pour une insertion professionnelle, ou dans le cadre de la création d’une entreprise ».

« Il est donc tout à fait naturel que Jely Group, en tant que spécialiste du recrutement et de l’accompagnement des PME contribue au travers de cette formation à faciliter le retour des membres de la diaspora afin de favoriser le développement socio-économique du continent africain.», a conclu M. Kouyaté.

Côte d’Ivoire: la célébration de la Journée de l’enfant africain adaptée à la lutte contre la Covid-19

Le gouvernement ivoirien a décidé d’adapter la célébration de la 30è Journée de l’enfant africain (JEA) à la lutte contre la pandémie à Coronavirus (Covid-19) autour du thème, « Respectons les droits des enfants afin de mieux les protéger en cette période de Covid-19 ».Dans un message du gouvernement transmis à APA à l’occasion de cette célébration, la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant, Ramata Ly-Bakayoko explique que « la Côte d’Ivoire a décidé de célébrer, cette année, la Journée de l’enfant africain en mettant un accent particulier sur la situation sanitaire actuelle ».

Dès les premières heures de cette crise sanitaire sans précédent, le Conseil national de sécurité, présidé par le Président Alassane Ouattara, a pris d’importantes mesures aux plans sanitaire et sécuritaire pour contenir la propagation du virus.

En vue d’appliquer ces mesures, le gouvernement ivoirien a élaboré deux plans d’actions dont l’un est consacré à la riposte sanitaire en vue de rompre la chaîne de transmission de la maladie à Coronavirus, et l’autre dédié au social, à l’économie et l’humanitaire avec quatre fonds.

Au nombre de ces fonds, figure le « fonds spécial de Solidarité Covid-19, pour soutenir les familles démunies, notamment les femmes chefs de familles et les enfants vulnérables », a dit la ministre Ly-Bakayoko, appelant « à la vigilance et à l’engagement de tous afin que les droits des enfants soient davantage respectés».

Poursuivant, elle a rappelé que les efforts déployés par son département ministériel  « visent à construire un environnement sain et propice au bien-être de nos enfants, à la prévention des violences domestiques à l’endroit des femmes et des enfants ».

A cet égard, a-t-elle expliqué, « les enfants en situation de rue, qui sont les plus exposés au risque de contamination, ont été accueillis dans des centres d’accueil et d’hébergement ».

 « Cette commémoration constitue une opportunité pour saluer tous ceux qui concourent à la mise en œuvre de la Politique nationale de protection de l’enfant », a ajouté  la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant, rendant un « vibrant hommage » à la Première dame, Dominique Ouattara, car, « sous son impulsion, un important travail est fait pour la sauvegarde des droits des enfants de Côte d’Ivoire et d’ailleurs ».

 A ce propos, Ramata Ly-Bakayoko a cité la construction de centres d’accueil et de réinsertion des enfants, des hôpitaux et centres de santé, des bibliothèques.

La Journée de l’enfant africain a été instituée depuis 1990 par l’Union africaine en mémoire des enfants noirs massacrés le 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du sud alors qu’ils organisaient une marche pacifique pour revendiquer leurs droits.

Cette édition 2020 de la JEA, coïncide avec le 30ème anniversaire de l’adoption de la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant par l’Union Africaine.

Côte d’Ivoire: la célébration de la Journée de l’enfant africain adaptée à la lutte contre la Covid-19

Le gouvernement ivoirien a décidé d’adapter la célébration de la 30è Journée de l’enfant africain (JEA) à la lutte contre la pandémie à Coronavirus (Covid-19) autour du thème, « Respectons les droits des enfants afin de mieux les protéger en cette période de Covid-19 ».Dans un message du gouvernement transmis à APA à l’occasion de cette célébration, la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant, Ramata Ly-Bakayoko explique que « la Côte d’Ivoire a décidé de célébrer, cette année, la Journée de l’enfant africain en mettant un accent particulier sur la situation sanitaire actuelle ».

Dès les premières heures de cette crise sanitaire sans précédent, le Conseil national de sécurité, présidé par le Président Alassane Ouattara, a pris d’importantes mesures aux plans sanitaire et sécuritaire pour contenir la propagation du virus.

En vue d’appliquer ces mesures, le gouvernement ivoirien a élaboré deux plans d’actions dont l’un est consacré à la riposte sanitaire en vue de rompre la chaîne de transmission de la maladie à Coronavirus, et l’autre dédié au social, à l’économie et l’humanitaire avec quatre fonds.

Au nombre de ces fonds, figure le « fonds spécial de Solidarité Covid-19, pour soutenir les familles démunies, notamment les femmes chefs de familles et les enfants vulnérables », a dit la ministre Ly-Bakayoko, appelant « à la vigilance et à l’engagement de tous afin que les droits des enfants soient davantage respectés».

Poursuivant, elle a rappelé que les efforts déployés par son département ministériel  « visent à construire un environnement sain et propice au bien-être de nos enfants, à la prévention des violences domestiques à l’endroit des femmes et des enfants ».

A cet égard, a-t-elle expliqué, « les enfants en situation de rue, qui sont les plus exposés au risque de contamination, ont été accueillis dans des centres d’accueil et d’hébergement ».

 « Cette commémoration constitue une opportunité pour saluer tous ceux qui concourent à la mise en œuvre de la Politique nationale de protection de l’enfant », a ajouté  la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant, rendant un « vibrant hommage » à la Première dame, Dominique Ouattara, car, « sous son impulsion, un important travail est fait pour la sauvegarde des droits des enfants de Côte d’Ivoire et d’ailleurs ».

 A ce propos, Ramata Ly-Bakayoko a cité la construction de centres d’accueil et de réinsertion des enfants, des hôpitaux et centres de santé, des bibliothèques.

La Journée de l’enfant africain a été instituée depuis 1990 par l’Union africaine en mémoire des enfants noirs massacrés le 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du sud alors qu’ils organisaient une marche pacifique pour revendiquer leurs droits.

Cette édition 2020 de la JEA, coïncide avec le 30ème anniversaire de l’adoption de la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant par l’Union Africaine.

Une campagne de vaccination de 1,2 million de bovins lancée en Côte d’Ivoire

Une campagne nationale de vaccination visant 1,2 million de bovins contre la pasteurellose, le charbon symptomatique et la péripneumonie contagieuse bovine ainsi que 795 000 petits ruminants contre la peste des petits ruminants (PPR) et 18 millions de volailles contre la maladie de Newscastle a été lancée, mercredi à Abidjan, par le ministre ivoirien des ressources animales et halieutiques, Moussa Dosso.Cette campagne de vaccination obligatoire contre les maladies animales pour l’année 2020, placée sous le slogan « je participe au développement de mon pays en vaccinant mes animaux» a été lancée en présence de Samy Gaiji, Représentant de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) en Côte d’Ivoire.

« Cette campagne vise la vaccination de 1 200 000 bovins contre la pasteurellose, le charbon symptomatique et la péripneumonie contagieuse bovine (PPCB) », a déclaré le ministre Moussa Dosso, ajoutant qu’elle concerne également «795 000 petits ruminants contre la Peste des petits ruminants (PPR), 18 millions de volailles contre la maladie de Newscastle».  

Selon M. Dosso, son ministère a « acquis et met à la disposition des directions régionales et des vétérinaires privés 500 000 doses de vaccin contre la peste des petits ruminants (PPR), 61 seringues automatiques, 91 glacières de 8 litres, 36 boîtes d’aiguille 30/15, 36 paquets de seringues de traitement et 36 paquets de gants ». 

« Je lance un appel solennel aux éleveurs et propriétaires d’animaux, aux vétérinaires privés et à chaque acteur de notre secteur d’activité pour votre implication totale et effective dans cette campagne », a-t-il exhorté.

Auparavant, Samy Gaiji, Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire a souligné l’importance de la vaccination qui, a-t-il dit «constitue un outil essentiel » dans la lutte contre les maladies animales.

Dans le cadre du soutien à la stratégie mondiale pour le contrôle progressif et l’éradication de la peste des petits ruminants (PPR) d’ici 2030 lancée à Abidjan le 2 avril 2015, 500 000 doses de vaccin contre la PPR ainsi que des kits Elisa pour tester 2000 échantillons ont été offerts par la FAO pour renforcer l’engagement de la Côte d’Ivoire en faveur de la mise en œuvre de cette stratégie nationale.

 « La PPR, c’est entre 1,45 à 2,1 milliards de dollars US de perte chaque année », a rappelé M. Gaiji qui a remis à la direction des services vétérinaires du matériel et des équipements acquis dans le cadre de la lutte contre  la peste porcine africaine (PPA).

Il s’agit de 7 motos de terrain, 200 accumulateurs de froid et 60 glacières pour la conservation des vaccins, du matériel informatique, des appareils photo, des  GPS, des torches et 1000 tee-shirts de campagne de sensibilisation.

« Pour la PPA, ce sont plus de 350 millions de FCFA qui ont été alloués à l’indemnisation dans le cadre de la gestion du récent foyer au nord du pays, d’où l’importance des mesures de biosécurité et de la surveillance épidémiologique, vu que nous n’avons pas encore de vaccins disponible contre la PPA », a expliqué le patron de la FAO en Côte d’Ivoire.

« Toutes ces actions traduisent s’il en est besoin, l’engagement de la FAO aux côtés du gouvernement ivoirien pour le contrôle et l’éradication des maladies animales pour l’amélioration de la productivité, de la durabilité et de la résilience des exploitations agro-sylvo-pastorales et halieutiques », a conclu le haut fonctionnaire onusien.  

Selon l’Organisation mondiale de la santé animale, l’élevage en Afrique Subsaharienne constitue un secteur grand pourvoyeur d’emplois pratiqué par plus de 200 millions d’individus.

En Côte d’Ivoire, l’élevage  est pratiqué dans des centaines de milliers d’exploitations, avec de fortes concentrations dans les régions du nord du pays qui abritent 75% des bovins et 50% des petits ruminants. Il contribue fortement à la couverture des besoins des populations  en viande.

Le développement de l’élevage en Côte d’Ivoire a été freiné du fait des effets conjugués de la dissolution de la Société de développement des productions animales (SODEPRA) en 1993, des nombreuses crises socio-politiques qui se sont succédées entre 1999 et 2011 et de l’interruption des programmes de développement soutenus par  les partenaires techniques et financiers.

Les maladies animales dont la prévalence s’est accrue au cours de ces dernières années, sont responsables de plus de 20% des pertes de la production nationale.

Une campagne de vaccination de 1,2 million de bovins lancée en Côte d’Ivoire

Une campagne nationale de vaccination visant 1,2 million de bovins contre la pasteurellose, le charbon symptomatique et la péripneumonie contagieuse bovine ainsi que 795 000 petits ruminants contre la peste des petits ruminants (PPR) et 18 millions de volailles contre la maladie de Newscastle a été lancée, mercredi à Abidjan, par le ministre ivoirien des ressources animales et halieutiques, Moussa Dosso.Cette campagne de vaccination obligatoire contre les maladies animales pour l’année 2020, placée sous le slogan « je participe au développement de mon pays en vaccinant mes animaux» a été lancée en présence de Samy Gaiji, Représentant de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) en Côte d’Ivoire.

« Cette campagne vise la vaccination de 1 200 000 bovins contre la pasteurellose, le charbon symptomatique et la péripneumonie contagieuse bovine (PPCB) », a déclaré le ministre Moussa Dosso, ajoutant qu’elle concerne également «795 000 petits ruminants contre la Peste des petits ruminants (PPR), 18 millions de volailles contre la maladie de Newscastle».  

Selon M. Dosso, son ministère a « acquis et met à la disposition des directions régionales et des vétérinaires privés 500 000 doses de vaccin contre la peste des petits ruminants (PPR), 61 seringues automatiques, 91 glacières de 8 litres, 36 boîtes d’aiguille 30/15, 36 paquets de seringues de traitement et 36 paquets de gants ». 

« Je lance un appel solennel aux éleveurs et propriétaires d’animaux, aux vétérinaires privés et à chaque acteur de notre secteur d’activité pour votre implication totale et effective dans cette campagne », a-t-il exhorté.

Auparavant, Samy Gaiji, Représentant de la FAO en Côte d’Ivoire a souligné l’importance de la vaccination qui, a-t-il dit «constitue un outil essentiel » dans la lutte contre les maladies animales.

Dans le cadre du soutien à la stratégie mondiale pour le contrôle progressif et l’éradication de la peste des petits ruminants (PPR) d’ici 2030 lancée à Abidjan le 2 avril 2015, 500 000 doses de vaccin contre la PPR ainsi que des kits Elisa pour tester 2000 échantillons ont été offerts par la FAO pour renforcer l’engagement de la Côte d’Ivoire en faveur de la mise en œuvre de cette stratégie nationale.

 « La PPR, c’est entre 1,45 à 2,1 milliards de dollars US de perte chaque année », a rappelé M. Gaiji qui a remis à la direction des services vétérinaires du matériel et des équipements acquis dans le cadre de la lutte contre  la peste porcine africaine (PPA).

Il s’agit de 7 motos de terrain, 200 accumulateurs de froid et 60 glacières pour la conservation des vaccins, du matériel informatique, des appareils photo, des  GPS, des torches et 1000 tee-shirts de campagne de sensibilisation.

« Pour la PPA, ce sont plus de 350 millions de FCFA qui ont été alloués à l’indemnisation dans le cadre de la gestion du récent foyer au nord du pays, d’où l’importance des mesures de biosécurité et de la surveillance épidémiologique, vu que nous n’avons pas encore de vaccins disponible contre la PPA », a expliqué le patron de la FAO en Côte d’Ivoire.

« Toutes ces actions traduisent s’il en est besoin, l’engagement de la FAO aux côtés du gouvernement ivoirien pour le contrôle et l’éradication des maladies animales pour l’amélioration de la productivité, de la durabilité et de la résilience des exploitations agro-sylvo-pastorales et halieutiques », a conclu le haut fonctionnaire onusien.  

Selon l’Organisation mondiale de la santé animale, l’élevage en Afrique Subsaharienne constitue un secteur grand pourvoyeur d’emplois pratiqué par plus de 200 millions d’individus.

En Côte d’Ivoire, l’élevage  est pratiqué dans des centaines de milliers d’exploitations, avec de fortes concentrations dans les régions du nord du pays qui abritent 75% des bovins et 50% des petits ruminants. Il contribue fortement à la couverture des besoins des populations  en viande.

Le développement de l’élevage en Côte d’Ivoire a été freiné du fait des effets conjugués de la dissolution de la Société de développement des productions animales (SODEPRA) en 1993, des nombreuses crises socio-politiques qui se sont succédées entre 1999 et 2011 et de l’interruption des programmes de développement soutenus par  les partenaires techniques et financiers.

Les maladies animales dont la prévalence s’est accrue au cours de ces dernières années, sont responsables de plus de 20% des pertes de la production nationale.

Listing électoral ivoirien: le Rhdp revendique 48% des nouveaux électeurs à Dabou

Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), le parti au pouvoir en Côte d’Ivoire, revendique 48% des nouveaux électeurs dans le Département de Dabou, localité située à l’Ouest d’Abidjan où plus de 4 100 militants sont déjà inscrits sur le listing électoral ivoirien et plus de 500 dossiers en instance sur 11 585 nouveaux votants attendus.« Les nouveaux électeurs à inscrire sont estimés à 11 585 et nous avons aujourd’hui  4103 électeurs que nous avons déjà inscrits au Rhdp », a dit Emmanuel Esmel Essis, coordinateur régional du Rhdp, en marge d’une rencontre avec des chefs coutumiers du Département et des guides religieux. 

Au niveau du parti, « on s’est donné un objectif de 3 000 personnes à enrôler » pour la révision de la liste électorale qui devrait s’achever le 24 juin 2020, a indiqué M. Essis, soulignant que le Rhdp qui enregistre 4 103 militants inscrits et 500 à 600 dossiers dans le pipe, affiche 48% d’inscrits.  

Le département de Dabou compte une population électorale de 67 425 inscrits, selon le listing des dernières  joutes électorales. Pour accroître la marge du Rhdp, le coordonnateur régional du parti a sollicité l’appui des chefs coutumiers et des guides religieux.

Le coordonnateur du Rhdp envisage après cette entrevue de rencontrer les jeunes et les femmes.  Son agenda établit également un échange avec des couches socio-professionnelles. Déjà, vendredi, M. Essis entame une tournée qui l’enverra dans cinq villages du Département de Dabou. 

Il s’agit de sensibiliser les communautés à l’effet d’aller massivement s’inscrire sur la liste électorale, parce que voter, c’est un devoir citoyen et civique et il est du rôle de chaque Ivoirien d’aller s’inscrire pour exprimer son choix lors de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.   

Le Rhdp travaille actuellement sur la population électorale. Pour les partisans qui ont les CNI (Carte nationale d’identité), ils sont allés s’inscrire, note-t-il, mentionnant qu’il reste encore un lot pour lequel le parti s’attèle à sortir les papiers requis et à les faire inscrire sur la liste électorale.

Fils de la région des Grands ponts, Emmanuel Esmel Essis, ministre de la Promotion de l’investissement privé, peut compter sur les siens pour atteindre ses objectifs. Il s’est pour ce faire engagé à accompagner de potentiels électeurs à s’enrôler sur le listing électoral.

« Nous allons vous accompagner M. le ministre (Emmanuel Essis Esmel), nous sommes avec vous », a déclaré René Diby, ex-ministre des Sports (vainqueur de la CAN 92 de football), et actuel chef du village de Lopou, dans la sous-préfecture de Dabou.

Selon M. Essis, il ressort à mi-parcours de l’inscription sur le listing électoral, un taux relativement faible. De ce fait, a-t-il invité les têtes couronnées et les guides religieux à mener la sensibilisation aux fins de l’enrôlement d’un plus grand nombre de personnes.

Au cours d’un échange avec ceux-ci, le coordonnateur du Rhdp de la région, a fait savoir que l’inscription sur la liste électorale qui a débuté le 10 juin 2020 pour s’achever le 24 juin prochain, est un acte citoyen permettant à tout individu de participer au choix du président.  

Des chefs de village et de communauté ont exprimé des difficultés pour acquérir les différents documents en vue de l’enrôlement de certaines personnes sur le listing électoral. Présent, le préfet du Département, Rémi Kanga N’Zi, a expliqué les démarches administratives à observer.

Le préfet a fait savoir que le certificat de résidence en vue de l’inscription sur le listing électoral est «gratuit ».  En outre, les éléments requis ne sont pas cumulatifs pour les nouveaux électeurs (18 ans et plus).

Pour ceux déjà inscrits sur la liste électorale,  le préfet conseille aux électeurs  de vérifier leur existence sur le fichier, consultable en ligne, avec la possibilité de faire intégrer des données sur leur statut et demander un nouveau lieu de vote.

« Le 31 octobre 2020, si vous n’allez pas voter, ceux qui iront voter, vont s’imposer à vous », a ironisé le ministre de la Promotion de l’investissement privé Emmanuel Esmel Essis, ajoutant « nous voulons une démocratie apaisée » en vue d’un pays stable et prospère.

Listing électoral ivoirien: le Rhdp revendique 48% des nouveaux électeurs à Dabou

Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), le parti au pouvoir en Côte d’Ivoire, revendique 48% des nouveaux électeurs dans le Département de Dabou, localité située à l’Ouest d’Abidjan où plus de 4 100 militants sont déjà inscrits sur le listing électoral ivoirien et plus de 500 dossiers en instance sur 11 585 nouveaux votants attendus.« Les nouveaux électeurs à inscrire sont estimés à 11 585 et nous avons aujourd’hui  4103 électeurs que nous avons déjà inscrits au Rhdp », a dit Emmanuel Esmel Essis, coordinateur régional du Rhdp, en marge d’une rencontre avec des chefs coutumiers du Département et des guides religieux. 

Au niveau du parti, « on s’est donné un objectif de 3 000 personnes à enrôler » pour la révision de la liste électorale qui devrait s’achever le 24 juin 2020, a indiqué M. Essis, soulignant que le Rhdp qui enregistre 4 103 militants inscrits et 500 à 600 dossiers dans le pipe, affiche 48% d’inscrits.  

Le département de Dabou compte une population électorale de 67 425 inscrits, selon le listing des dernières  joutes électorales. Pour accroître la marge du Rhdp, le coordonnateur régional du parti a sollicité l’appui des chefs coutumiers et des guides religieux.

Le coordonnateur du Rhdp envisage après cette entrevue de rencontrer les jeunes et les femmes.  Son agenda établit également un échange avec des couches socio-professionnelles. Déjà, vendredi, M. Essis entame une tournée qui l’enverra dans cinq villages du Département de Dabou. 

Il s’agit de sensibiliser les communautés à l’effet d’aller massivement s’inscrire sur la liste électorale, parce que voter, c’est un devoir citoyen et civique et il est du rôle de chaque Ivoirien d’aller s’inscrire pour exprimer son choix lors de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.   

Le Rhdp travaille actuellement sur la population électorale. Pour les partisans qui ont les CNI (Carte nationale d’identité), ils sont allés s’inscrire, note-t-il, mentionnant qu’il reste encore un lot pour lequel le parti s’attèle à sortir les papiers requis et à les faire inscrire sur la liste électorale.

Fils de la région des Grands ponts, Emmanuel Esmel Essis, ministre de la Promotion de l’investissement privé, peut compter sur les siens pour atteindre ses objectifs. Il s’est pour ce faire engagé à accompagner de potentiels électeurs à s’enrôler sur le listing électoral.

« Nous allons vous accompagner M. le ministre (Emmanuel Essis Esmel), nous sommes avec vous », a déclaré René Diby, ex-ministre des Sports (vainqueur de la CAN 92 de football), et actuel chef du village de Lopou, dans la sous-préfecture de Dabou.

Selon M. Essis, il ressort à mi-parcours de l’inscription sur le listing électoral, un taux relativement faible. De ce fait, a-t-il invité les têtes couronnées et les guides religieux à mener la sensibilisation aux fins de l’enrôlement d’un plus grand nombre de personnes.

Au cours d’un échange avec ceux-ci, le coordonnateur du Rhdp de la région, a fait savoir que l’inscription sur la liste électorale qui a débuté le 10 juin 2020 pour s’achever le 24 juin prochain, est un acte citoyen permettant à tout individu de participer au choix du président.  

Des chefs de village et de communauté ont exprimé des difficultés pour acquérir les différents documents en vue de l’enrôlement de certaines personnes sur le listing électoral. Présent, le préfet du Département, Rémi Kanga N’Zi, a expliqué les démarches administratives à observer.

Le préfet a fait savoir que le certificat de résidence en vue de l’inscription sur le listing électoral est «gratuit ».  En outre, les éléments requis ne sont pas cumulatifs pour les nouveaux électeurs (18 ans et plus).

Pour ceux déjà inscrits sur la liste électorale,  le préfet conseille aux électeurs  de vérifier leur existence sur le fichier, consultable en ligne, avec la possibilité de faire intégrer des données sur leur statut et demander un nouveau lieu de vote.

« Le 31 octobre 2020, si vous n’allez pas voter, ceux qui iront voter, vont s’imposer à vous », a ironisé le ministre de la Promotion de l’investissement privé Emmanuel Esmel Essis, ajoutant « nous voulons une démocratie apaisée » en vue d’un pays stable et prospère.

Couverture maladie universelle : 404 213 personnes enrôlées au 1er trimestre 2020

Le nombre de personnes enrôlées dans le cadre de la Couverture maladie universelle (CMU), au 1er trimestre 2020 est de 404 213. Au vu des nouvelles données le nombre total de personnes enrôlées est passé à 2 280 974, a confié le ministre de la Communication et des Médias, porte-parole du gouvernement, Sidi Tiémoko Touré, lors du bilan de la mise en œuvre du Programme social du gouvernement, au 1er trimestre 2020.

Quant aux détails, le porte-parole du gouvernement a expliqué que 2 280 974 personnes ont été enrôlées de janvier 2019 à fin mars 2020, dont 404 213 au 1er trimestre 2020, tout en rappelant que la Couverture maladie universelle (CMU) est entrée dans sa phase active avec le début des prestations opéré le 1er octobre 2019.

A l’en croire « 1 664 710 cartes ont été produites, dont 1 124 729 distribuées. Le taux de disponibilité des médicaments est de l’ordre de 85%. En ce qui concerne les cotisations, le montant collecté s’établit à 11,8 milliards de FCFA pour une prévision de 17 milliards de FCFA ».

Parlant du Programme élargi de vaccination (PEV) initié par le gouvernement, c’est 234 899 femmes enceintes ont été vaccinées contre le tétanos et 73 918 filles de 9 ans ont été vaccinées pour la première fois contre le cancer du col de l’utérus.

Faisant le point de la distribution des kits d’accouchement, il ressort qu’au terme de l’année 2019, 545 727 kits d’accouchement ont été distribués. Et 56 265 kits mis à la disposition des établissements sanitaires au 1er trimestre 2020.

 

Blé Goudé «en attente» de la décision de Ouattara pour son retour en Côte d’Ivoire

L’ancien ministre de la jeunesse de Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé dont les conditions de mise en liberté ont été assouplies par la Cour pénale internationale ( CPI), a dit mercredi être « en attente » de la décision des autorités ivoiriennes pour son retour en Côte d’Ivoire. Depuis fin mai dernier où ses conditions de mise en liberté ont été allégées par la CPI, M. Blé a exprimé son désir de regagner la Côte d’Ivoire avec l’accord des autorités ivoiriennes. 

« J’ai exprimé ouvertement et publiquement mon intention, ma volonté de rentrer chez moi en Côte d’Ivoire. J’ai formulé cette demande auprès des autorités de mon pays. J’attends une suite. Je ne quémande pas de rentrer chez moi. Je veux rentrer chez moi. J’attends que les autorités de mon pays me le permette. Et je leur dis que je m’en remets à leur décision», a indiqué M. Blé qui est également le président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (COJEP, Opposition).

 L’ancien co-détenu de Laurent Gbagbo s’exprimait dans une conférence de presse en ligne organisée par la l’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire ( APE-CI) sur sa plateforme Whatsapp. 

« Ce que je demande aux autorités, ce n’est pas une première en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire a une longue tradition d’aller chercher ses fils et filles qui se trouvent à l’extérieur du fait d’une crise ou d’une opposition des idées », a-t-il estimé.  

Selon , lui, il appartient aux autorités de prendre la décision qu’elle pense bonne pour la Côte d’Ivoire suite à sa requête. « Je viens et mon leitmotiv, ce sera  le dialogue, pas pour une soumission parce je reste avant tout un opposant au régime», a précisé M. Blé soulignant cependant « que je ne peux pas narguer les autorités de mon pays ». 

Dans la foulée, il s’est inquiété de la résurgence de la violence verbale dans le débat politique sur les réseaux affirmant que « 10 ans après, nous n’avons pas tiré les leçons de ce qui est arrivé à notre pays ». 

Depuis le 28 mai dernier, la CPI a assoupli les conditions de mise en liberté de Laurent Gbagbo, l’ex-président ivoirien et de Charles Blé Goudé, son ex-ministre de la jeunesse. Depuis lors, leur retour éventuel en Côte d’Ivoire est de plus en plus évoqué à quatre mois de la présidentielle d’octobre prochain.