Covid-19 : Harare corse les mesures de restrictions

Les forces de sécurité du Zimbabwe ont renforcé les contrôles aux points de contrôle autour de la capitale Harare, mardi, dans un contexte de recrudescence des cas de coronavirus.La police et les soldats ont refoulé les véhicules et les personnes qui se rendaient dans le quartier central des affaires et ont ordonné la fermeture des magasins dans le centre-ville de Harare.

 Selon un porte-parole de la police de la République du Zimbabwe, le renforcement de la sécurité épargnait seulement les personnes autorisées à reprendre leurs activités commerciales dans le cadre du niveau 2 du confinement dans le quartier central des affaires.

 Il a appelé les citoyens à « constater que le pays est toujours sous le niveau deux du confinement national afin de gérer la pandémie de Covid-19 », qui a ainsi vu le nombre de cas passer d’environ 34 il y a deux semaines à 203 ce mardi.

  « Seuls les services essentiels, les entreprises des secteurs commerciaux et industriels officiels ont été exemptés d’opérer pendant cette période », a déclaré le porte-parole.

 Cependant, selon des observateurs politiques, cette décision était plus politique qu’une simple réponse à la hausse des cas de coronavirus.

 L’action de la police intervient dans un contexte de tension politique naissante suite à l’arrestation de l’avocat du chef de l’opposition Nelson Chamisa.

 L’avocat, Thabani Mpofu, devait se présenter au tribunal mardi pour répondre aux accusations de tentative d’obstruction de la justice après avoir menti sous serment lors d’un procès il y a plusieurs années.

Covid-19 : Harare corse les mesures de restrictions

Les forces de sécurité du Zimbabwe ont renforcé les contrôles aux points de contrôle autour de la capitale Harare, mardi, dans un contexte de recrudescence des cas de coronavirus.La police et les soldats ont refoulé les véhicules et les personnes qui se rendaient dans le quartier central des affaires et ont ordonné la fermeture des magasins dans le centre-ville de Harare.

 Selon un porte-parole de la police de la République du Zimbabwe, le renforcement de la sécurité épargnait seulement les personnes autorisées à reprendre leurs activités commerciales dans le cadre du niveau 2 du confinement dans le quartier central des affaires.

 Il a appelé les citoyens à « constater que le pays est toujours sous le niveau deux du confinement national afin de gérer la pandémie de Covid-19 », qui a ainsi vu le nombre de cas passer d’environ 34 il y a deux semaines à 203 ce mardi.

  « Seuls les services essentiels, les entreprises des secteurs commerciaux et industriels officiels ont été exemptés d’opérer pendant cette période », a déclaré le porte-parole.

 Cependant, selon des observateurs politiques, cette décision était plus politique qu’une simple réponse à la hausse des cas de coronavirus.

 L’action de la police intervient dans un contexte de tension politique naissante suite à l’arrestation de l’avocat du chef de l’opposition Nelson Chamisa.

 L’avocat, Thabani Mpofu, devait se présenter au tribunal mardi pour répondre aux accusations de tentative d’obstruction de la justice après avoir menti sous serment lors d’un procès il y a plusieurs années.

Covid-19 : Réouverture des lieux de cultes au Ghana et Nigéria

C’est une bonne nouvelle pour les croyants du Ghana et Nigéria qui pourront reprendre leurs activités à partir de ce mardi. En effet, les églises et mosquées sont autorisées à rouvrir dès ce mardi. Et ce, conformément à l’annonce faite lundi par les gouvernement des deux pays.

Concernant le Nigéria, les lieux de culte n’ont pas reçu de blanc-seing. Ainsi, les rassemblements religieux devront se faire dans le strict respect des règles barrières tels que le port du masque et la distanciation sociale. Quant au Au Ghana, les églises et mosquées ont été autorisées à accueillir leurs fidèles. Notamment, pendant une heure et pour chaque office dont le maximum est de 100 personnes.

Par ailleurs, les mesures de distanciations d’un mètre entre les fidèles doivent être respectées selon les autorités.

Cependant, rappelons que le lundi, le Nigeria recensait un peu plus de 10 000 cas confirmés, dont 287 décès. De son côté, le Ghana compte pour le moment 8 070 cas du nouveau coronavirus pour 36 décès enregistrés.

Côte d’Ivoire: L’ex sélectionneur des éléphants, François Zahoui victime d’un grave incendie

L’ancien sélectionneur des éléphants de Côte d’Ivoire, François Zahoui a été victime d’un grave incendie à son domicile. L’actuel sélectionneur de l’équipe nationale de Centrafrique avait rejoint sa maison, il y a seulement cinq jours.

Coup dur pour le technicien François Zahoui qui a vu sa nouvelle maison partir en fumée, dans la soirée du dimanche 31 mai 2020. Fraîchement nommé à la tête de la sélection de football de Centrafrique, l’ancien sélectionneur des éléphants se porte bien mais a perdu ses biens matériels dans l’incendie.

Selon des sources d’information, un court circuit serait à l’origine de l’incendie au domicile de François Zahoui. François Zahoui a été sélectionneur des éléphants d’août 2010 à mai 2012. Il s’est illustré en conduisant la sélection ivoirienne à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2012 au Gabon. Les éléphants ont été vice-champions, après avoir perdu la finale contre l’équipe zambienne et enchaînés une série de matchs sans encaisser de but.

Il a été remplacé par le franco-tunisien Sabri Lamouchi, dont le choix a suscité une vive polémique dans la sphère du football ivoirien. En mai 2015, François Zahoui est recruté par la sélection nationale du Niger après avoir chômé pendant un bon moment. Depuis septembre 2019, le technicien ivoirien est désormais l’actuel sélectionneur de l’équipe nationale de Centrafrique.

 

Ebola : L’OMS accorde son soutien à la RDC dans sa lutte contre l’épidémie

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a affirmé qu’elle continuera à soutenir la RDC dans sa lutte contre la nouvelle vague de la maladie Ebola.

À cet effet, six cas et quatre décès ont été annoncé dans le nord, près de Mbandaka dans la province de l’Equateur. Cette information a été donnée le lundi 01 juin par les autorités sanitaires congolaises.

Par ailleurs, selon Tédros Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation, L’OMS continuera d’aider la RDC à lutter contre le virus Ebola. Mais aussi, à répondre à la COVID-19 et à la plus grande épidémie de rougeole au monde.

Toutefois, rappelons que ce n’est pas la première épidémie dans la province. En effet, entre mai et juillet 2018, trente-trois habitants sont décédés avant que la maladie ne soit éradiquée de la zone. Quant à l’autre bout du pays, à l’est, essentiellement dans le Nord-Kivu, la dixième épidémie d’Ebola est toujours en cours. Ce sont 2280 personnes qui sont décédées depuis août 2018.

Cependant, notons que le 12 avril dernier, les autorités congolaises et l’OMS s’apprêtaient à déclarer la fin de l’épidémie en RDC. Et ce avant que la maladie ne refasse surface dans la ville de Beni.

Sénégal: hausse des exportations vers les pays de l’UEMOA

Les exportations de biens du Sénégal vers les pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) ont connu une hausse de 2,6 milliards de FCFA (environ 4,160 millions de dollars) au terme du mois de mars 2020 comparées à la même période de l’année 2019, selon les données de la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE).Ces exportations se sont ainsi établies à 37,6 milliards de FCFA contre 35 milliards de FCFA en février 2020, soit une hausse de 7,4% en valeur relative.

Selon la DPEE, la part de l’UEMOA dans les exportations totales du Sénégal s’est située à 24,5% en mars 2020 contre 23,4% en février 2020, soit un accroissement de 1,1 point de pourcentage.

Le poids des exportations du Sénégal vers Mali dans les exportations totales vers l’UEMOA est passé de 51,0% à 42,6% sur la période. Le ciment reste le principal produit exporté  vers ce pays partenaire avec une part de 27,1% contre 42,0% en février 2020.

Sénégal: hausse des exportations vers les pays de l’UEMOA

Les exportations de biens du Sénégal vers les pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) ont connu une hausse de 2,6 milliards de FCFA (environ 4,160 millions de dollars) au terme du mois de mars 2020 comparées à la même période de l’année 2019, selon les données de la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE).Ces exportations se sont ainsi établies à 37,6 milliards de FCFA contre 35 milliards de FCFA en février 2020, soit une hausse de 7,4% en valeur relative.

Selon la DPEE, la part de l’UEMOA dans les exportations totales du Sénégal s’est située à 24,5% en mars 2020 contre 23,4% en février 2020, soit un accroissement de 1,1 point de pourcentage.

Le poids des exportations du Sénégal vers Mali dans les exportations totales vers l’UEMOA est passé de 51,0% à 42,6% sur la période. Le ciment reste le principal produit exporté  vers ce pays partenaire avec une part de 27,1% contre 42,0% en février 2020.

Convention politique du PDCI: Jean Louis Billon « Il faut une nouvelle génération »

Jean Louis Billon a effectué une visite dans la ville de Grand-Bassam, le lundi 1er juin 2020. A l’occasion d’une cérémonie lors de sa visite, Jean Louis Billon a déclaré qu’il fait partie de la nouvelle génération en Côte d’Ivoire.

A quelques jours de la convention politique du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Jean Louis Billon déclare qu’il faut une nouvelle génération en Côte d’Ivoire. Cette déclaration intervient dans un contexte tendu dans la Parti septuagénaire, ou l’on pressent la candidature d’Henri Konan Bédié, Président du PDCI-RDA, âgé de 86ans.

« Aujourd’hui, sans avoir besoin de faire des sondages, nous savons que les Ivoiriens, dans leur très grande majorité, aspirent à un changement profond » a déclaré Jean Louis Billon à Grand-Bassam. « Ce changement peut intervenir au soir du 31 octobre 2020 » a-t-il ajouté.

Ainsi, Jean Louis Billon invite les militants à payer les timbres pour pouvoir obtenir la carte d’identité nationale, afin de figurer sur la liste électorale. « Aujourd’hui, vous êtes 200 à payer votre timbre pour pouvoir avoir votre carte d’identité. Mais, il y a presque 4 millions d’Ivoiriens qui doivent, aujourd’hui, avoir une nouvelle carte d’identité. Il faut qu’ils se fassent identifier, il faut faire ce sacrifice qui va coûter 5000 f mais qui va engendrer un changement profond. Considérons que ces 5000 f sont un investissement » a expliqué Jean Loui Billon.

Rappelons que le PDCI-RDA va tenir un Bureau politique du jeudi 4 juin au vendredi 05 juin 2020, au siège du Parti à Abidjan-Cocody.

Maroc : Baisse de plus de 64% des accidents de la circulation en avril dernier

Les accidents de circulation ont causé en avril dernier la mort de 85 personnes, soit une baisse considérable de 64,7% par rapport à la même période de l’année dernière, selon un bilan provisoire établi par le ministère de l’équipement, du transport et de la logistique.Le bilan statistique provisoire des accidents et victimes des accidents de la route survenus au cours du mois d’avril 2020 fait ressortir une diminution généralisée des principaux indicateurs de l’accidentologie.

En effet, les données du mois d’avril dernier montrent que les accidents corporels ont atteint 2.165, soit un recul de 72,33%, tandis que le nombre des blessés graves a enregistré 171 (-71,64%). Le nombre des blessés légers a, quant à lui, accusé une baisse de 75,84%, soit 2.624 blessés.

Les premières victimes des accidents de la route sont les usagers vulnérables à savoir les piétons et les usagers des deux et trois roues qui restent la catégorie la plus touchée, enregistrant plus de 81% des tués, suivie par les usagers des voitures de tourisme qui représentent 12% de l’ensemble des tués.

Les autres catégories d’usagers, dont les effectifs sont moins importants, ont enregistré également des baisses variant entre -28,57% pour les usagers des poids lourds et -100% pour les usagers des taxis, des autocars et des charrettes.

Par ailleurs, le bilan provisoire au titre des quatre premiers mois de l’année 2020, en comparaison avec les quatre premiers mois de l’année 2019, affiche une diminution de 22,48% des accidents corporels (25.113 accidents), 674 accidents mortels, soit une baisse de 26,74%, 738 tués (-30,18%), 1.787 blessés graves (-31,95%) et 32.825 blessés légers (-24,17%).

Cette baisse des indicateurs de la sécurité routière en avril 2020 est due à la mise en place des mesures de confinement sanitaire au Maroc lié au Covid-19, toujours en cours, à partir du 20 mars 2020, avec une réduction de la mobilité des personnes au strict minimum, ce qui a entraîné une forte diminution des risques routiers.

En effet, la comparaison du bilan provisoire de la période allant du 20 mars à 30 avril 2020, avec les données provisoires de la même période de 2019, dénote des baisses spectaculaires, soit une diminution de 73,98% du nombre des accidents corporels (2.858 accidents au lieu de 10.982), un recul de 67,87% des nombres des tués , une diminution de 75,06% des nombres des blessés graves et une baisse de 77,01% des nombres des blessés légers.

Maroc : Baisse de plus de 64% des accidents de la circulation en avril dernier

Les accidents de circulation ont causé en avril dernier la mort de 85 personnes, soit une baisse considérable de 64,7% par rapport à la même période de l’année dernière, selon un bilan provisoire établi par le ministère de l’équipement, du transport et de la logistique.Le bilan statistique provisoire des accidents et victimes des accidents de la route survenus au cours du mois d’avril 2020 fait ressortir une diminution généralisée des principaux indicateurs de l’accidentologie.

En effet, les données du mois d’avril dernier montrent que les accidents corporels ont atteint 2.165, soit un recul de 72,33%, tandis que le nombre des blessés graves a enregistré 171 (-71,64%). Le nombre des blessés légers a, quant à lui, accusé une baisse de 75,84%, soit 2.624 blessés.

Les premières victimes des accidents de la route sont les usagers vulnérables à savoir les piétons et les usagers des deux et trois roues qui restent la catégorie la plus touchée, enregistrant plus de 81% des tués, suivie par les usagers des voitures de tourisme qui représentent 12% de l’ensemble des tués.

Les autres catégories d’usagers, dont les effectifs sont moins importants, ont enregistré également des baisses variant entre -28,57% pour les usagers des poids lourds et -100% pour les usagers des taxis, des autocars et des charrettes.

Par ailleurs, le bilan provisoire au titre des quatre premiers mois de l’année 2020, en comparaison avec les quatre premiers mois de l’année 2019, affiche une diminution de 22,48% des accidents corporels (25.113 accidents), 674 accidents mortels, soit une baisse de 26,74%, 738 tués (-30,18%), 1.787 blessés graves (-31,95%) et 32.825 blessés légers (-24,17%).

Cette baisse des indicateurs de la sécurité routière en avril 2020 est due à la mise en place des mesures de confinement sanitaire au Maroc lié au Covid-19, toujours en cours, à partir du 20 mars 2020, avec une réduction de la mobilité des personnes au strict minimum, ce qui a entraîné une forte diminution des risques routiers.

En effet, la comparaison du bilan provisoire de la période allant du 20 mars à 30 avril 2020, avec les données provisoires de la même période de 2019, dénote des baisses spectaculaires, soit une diminution de 73,98% du nombre des accidents corporels (2.858 accidents au lieu de 10.982), un recul de 67,87% des nombres des tués , une diminution de 75,06% des nombres des blessés graves et une baisse de 77,01% des nombres des blessés légers.