Football : le Japon sort victorieuse face à la Côte d’ivoire

Dans le cadre d’une rencontre internationale amicale disputée hier mardi 13 octobre 2020, l’équipe nationale ivoirienne a été battue par les Samouraïs du Japon et ce, sur le score d’un but à zéro. Ce match s’est déroulé au stade d’Utrecht, aux Pays-Bas.

En effet, durant toute la rencontre, l’équipe japonaise a su maîtriser les éléphants de la Côte d’ivoire. À l’issue de la première période, les deux équipes se sont retrouvées avec un score nul (0-0). Mais, à la 90e minute, l’équipe japonaise a ouvert le score en surprenant la défense des Eléphants.

Cette défaite est la toute première, du nouveau sélection ivoirien, Patrice Beaumelle. Cependant, notons que la Côte d’ivoire et la Belgique s’étaient quittées sur un score de parité (1-1), le jeudi 8 octobre, en match amical.

Toutefois, signifions que ces matchs comptent pour la préparation des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2021).

Covid-19 : Le Japon accorde un montant de 2,2 milliards de Fcfa à la Côte d’ivoire

Dans le cadre de la lutte contre la covid-19, le Japon a octroyé un montant de 2,2 milliards en faveur de la Côte d’ivoire. Cela permettra, de mener une lutte efficace contre la Covid-19.

En effet, ce don a été remis au cours d’une cérémonie au sein du cabinet du ministre des Affaires étrangères Ally Coulibaly et de l’ambassadeur du Japon.

Par ailleurs, il a indiqué que l’aide japonaise sera consacrée au renforcement des capacités médicales. Notamment, ceux de cinq hôpitaux dans le grand Abidjan. Il s’agit des centres hospitaliers universitaires de Cocody, de Yopougon, d’Angré et de Treichville. Ainsi que l’hôpital général d’Anyama. Pour lui, cette aide renforcera les plateaux techniques de ces infrastructures hospitalières.

Toutefois, Aly Coulibaly a saisi cette opportunité pour saluer la coopération existant entre la Côte d’Ivoire et le Japon.  Selon lui, le Japon est d’une aide importante pour la Côte d’ivoire. Et ce, pendant les 60 années de relations diplomatiques entre les deux pays.

Quant à l’ambassadeur du Japon, Kuramitsu, il a salué les efforts du gouvernement ivoirien dans la lutte contre la Covid-19. À l’en croire, la maîtrise de la première vague de la propagation de la pandémie a été le fruit des efforts du gouvernement ivoirien.

Aussi, le diplomate japonais a exhorté l’Etat ivoirien à ne pas baisser sa garde face à la covid-19. Mais, de poursuivre la bataille contre cette pandémie. Il a également souligné qu’il était impératif d’être prêt à affronter la deuxième, voire troisième vague de propagation de l’infection.

Cependant, l’ambassadeur japonais a affirmé que son pays compte poursuivre l’appui sous diverses formes qu’elle a toujours apportées à la Côte d’Ivoire. Plus particulièrement cette année, dans le cadre d’une coopération marquée par 60 ans de relations diplomatiques.

L’ex patron Renault-Nissan a fui la justice japonaise pour rejoindre le Liban, le 30 décembre

 » Je n’ai pas fui la justice, je me suis libéré de l’injustice et de la persécution politique « , Carlos Ghosn.

L’ancien patron de Renault-Nissan, Carlos Ghosn, était assigné en résidence surveillée au Japon, où il attendait son procès. En effet, il est accusé par la justice de « malversations financières présumées ». Son procès devrait s’ouvrir à partir de mars 2020.

Coup de théâtre ce 31 décembre, nous apprenons que Carlos Ghosn, a quitté le japon pour rejoindre Beyrouth, dans un avion en provenance de Turquie, le lundi 30 décembre 2019.

En effet, Carlos Ghosn a confirmé lui-même sa fuite dans un communiqué ce mardi matin.  » Je suis à présent au Liban. Je ne suis plus l’otage d’un système judiciaire japonais partial où prévaut la présomption de culpabilité « , a-t-il écrit, selon un document transmis par ses porte-parole.

Notons que depuis le début de cette affaire de « Renault-Nissan », Carlos Ghosn s’est toujours plaint des conditions de détention, du traitement qui lui a été infligé et la façon dont la justice japonaise mène la procédure à charge dans ce dossier.

Par conséquent, dans son communiqué il avoue ceci: « Je n’ai pas fui la justice, je me suis libéré de l’injustice et de la persécution politique. Je peux enfin communiquer librement avec les médias ».

Par ailleurs, son principal avocat japonais s’est dit « abasourdi  » par l’annonce de la fuite de son client. Il a affirmé qu’il n’a eu aucun contact avec lui depuis son départ dont les conditions demeurent mystérieuses.