Les Etats-Unis lancent officiellement la procédure pour se retirer de l’OMS

Le président américain Donald Trump, a retiré officiellement les Etats-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ce retrait s’effectue en plein milieu de la crise sanitaire au coronavirus. Ainsi, il met en pratique ses dires sur le fait de quitter l’agence onusienne.

En effet, Trump avait annoncé mettre fin à la relation entre son pays et l’OMS, qu’il  accuse d’avoir tardé à réagir face à la pandémie de la covid-19. Aussi, il a déploré l’attitude de  l’OMS qui s’est montrée trop indulgente avec la Chine.

Rappelons que cette pandémie du coronavirus est apparue en décembre, dans la ville de Wuhan avant de se répandre sur la planète. En outre, il aurait reproché aussi à Tedros Adhanom Ghebreyesus, d’avoir échoué à la réforme de l’organisation.

Pour ce faire, le porte-parole d’António Guterres a précisé que les États-Unis, membres fondateurs de l’OMS en 1948, devaient remplir deux conditions pour se retirer de l’organisation. Notamment, respecter un délai d’un an et être à jour dans leurs contributions. Par ailleurs, ce retrait sera effectif au terme d’un délai d’un an, soit le 6 juillet 2021.

Cependant, cette décision du président américain n’a pas fait l’unanimité. Celle-ci a été vivement critiquée par certaines personnalités, dont son concurrent démocrate à la Maison-Blanche, Joe Biden.

À l’en croire, il a assuré annuler cette décision s’il était élu le 3 novembre. Pour lui, les Américains sont plus en sécurité quand l’Amérique s’engage à renforcer la santé mondiale.

Toutefois, notons que les États-Unis sont les plus gros contributeurs de l’organisation basée à Genève. Particulièrement avec 15 % du budget de l’OMS, soit 400 millions de dollars par an.

Les Etats-Unis se félicitent du travail abattu dans le combat contre le trafic de drogue

L’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire est fière du travail accompli, dans la lutte contre le trafic de drogue a indiqué la représentation diplomatique américaine, ce mercredi  10 juin 2020 sur son compte Twitter. Cette déclaration des Etats-Unis intervient quelques jours seulement après la diffusion d’une enquête internationale accusant le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, d’être le parrain du trafic de drogue en Côte d’Ivoire.

Les Etats-Unis sont déterminés à traquer les trafiquants de la drogue. La représentation diplomatique américaine en Côte d’Ivoire déclare « être fière de leur travail » avec la Côte d’Ivoire et d’autres pays d’Afrique occidentale pour lutter contre le trafic de drogue.

Notons qu’il y a seulement quelques jours, deux journalistes d’investigation ont publié une enquête internationale, accusant Hamed Bakoyoko d’être impliqué dans un vaste réseau de trafic de drogue en Afrique de l’Ouest.  Le premier ministre par intérim de la Côte d’Ivoire a réagi dans un communiqué en menaçant de porter contre ces deux journalistes et « les relais ».

Le ministre de la Défense a dénoncé  « une orchestration grossière ourdie par des commanditaires dont le dessein n’échappe à personne ». « Dans mes charges de ministre de la sécurité en Côte d’Ivoire pendant plus de sept ans et celles actuelles de la défense, les résultats obtenus dans la lutte contre la drogue sont mondialement reconnus. Ces actions qui se sont soldées par de nombreuses arrestations, saisies et démantèlement de réseaux mafieux ont valu des félicitations internationales à la Côte d’Ivoire», s’est défendu Hamed Bakayoko dans son communiqué.

BAD : Les Etats-Unis demandent une nouvelle enquête sur son président, Akinwumi Adesina

Les Etats-Unis d’amérique ont demandé qu’une nouvelle enquête puisse s’ouvrir sur le président de la BAD, Akinwumi Adesina. En effet, ce dernier a été blanchit des accusations qui pesaient sur lui, au début du mouis de Mai.

Selon le secrétaire américain, Steven Mnuchin, il n’aurait pas été convaincu par la première enquête de la BAD. Pour ce faire, il aurait demandé qu’une nouvelle enquête soit faite.  Celle-ci devra être menée par un enquêteur indépendant.

Aussi, Steven Mnuchin, avait jugé il y a trois semaines de cela, que les accusations portées contre Akinwumi Adesina étaient non fondées et non étayées.

Cependant, rappelons que depuis janvier, des employés de la BAD, ont accusé leur président de favoritisme. Notamment, dans la nomination de compatriotes nigérians à des postes importants, ou dans l’attribution de certains marchés.

Toutefois, le président de la Banque africaine de développement s’est défendu en fournissant aux enquêteurs des centaines de pages de réponses.

 

Coronavirus: Donald Trump compte finir avec le COVID-19 cet été

Lors d’une conférence tenue à la maison blanche, le président américain Donald Trump, a interdit tout rassemblement de dix personnes. Ces mesures sont prises pour protéger les citoyens vivants sur le territoire américain. Donald Trump espère éradiquer le coronavirus d’ici juillet 2020. 

Nous remarquons une évolution dans la lutte contre la propagation du COVID-19 aux Etats-Unis. En effet, Donald Trump appelle les habitants à éviter les regroupements de masse de plus de dix personnes. Cette décision qui selon lui pourrait aider à contenir le coronavirus. Donald Trump se donne jusqu’à la période de juillet 2020, pour en finir avec cette pandémie. «Mon administration recommande que tous les Américains, y compris les plus jeunes et en bonne santé (…) évitent les regroupements de plus de 10 personnes» a t-il déclaré.

Les restaurants, les bars, les gymnases et d’autres lieux de rassemblement resteront fermés indique ABC News. Selon le quotidien américain, le virus a déjà tué 73 personnes. «Il me semble que si nous faisons un très bon travail (…) les gens parlent de juillet, août, quelque chose comme ça» a t-il ajouté devant la presse. Donald Trump a aussi évoqué, une possible récession a cause du coronavirus. «C’est peut-être possible. Nous ne pensons pas en termes de récession. Nous pensons en termes de virus» a répondu le président américain lors de la conférence de presse à la Maison Blanche.