Deux militaires ivoiriens blessés dans une nouvelle attaque contre l’armée ivoirienne

Deux militaires ivoiriens ont été blessés, jeudi nuit, dans une nouvelle attaque contre l’armée ivoirienne à Gbéya, localité située dans la sous-préfecture de Maradiana-Sokourani dans le département de Kaniasso, dans le nord-ouest ivoirien.Des sources sécuritaires concordantes annoncent à APA que, jeudi, peu avant 21h, heure locale et Gmt, « des individus non identifiés ont ouvert le feu à l’aide d’armes de calibre 12 depuis les broussailles obscures, sur les forces de défense et de sécurité au poste avancé de Gbéya». Le bilan de cette attaque fait état de deux blessés dans les rangs de l’armée ivoirienne.

L’un des soldats ivoiriens est blessé au dos et à la tête, tandis que l’autre est blessé au dos, à l’épaule droite, au bas-ventre et au front.

« Les deux militaires sont conscients et leur pronostic vital n’est pas engagé », rassurent ces mêmes sources, ajoutant que les blessés sont « pris en charge au centre de santé de Gbéya en attendant leur évacuation à Odienné », la capitale régionale du Kabadougou, dans le nord-ouest du pays.

Tôt jeudi, une première attaque du poste mixte armée-gendarmerie de Kafolo dans le nord-est ivoirien attribuée à des terroristes a fait une dizaine de morts, six blessés et un assaillant neutralisé.

Impact du Covid-19 sur les entreprises ivoiriennes: le chiffre d’affaires baisse entre 25 et 50%

Depuis la propagation de la pandémie du coronavirus, l’impact du Covid-19 sur l’économique ivoirienne a créé une baisse du chiffre d’affaires, entre 25 et 50%, des grandes entreprises et 31% des Petites et moyennes entreprises (PME).

En effet ces chiffres proviennent d’une enquête du Patronat ivoirien, rendue publique le jeudi. L’enquête réalisée du 12 au 29 mai 2020, a permis de toucher 125 entreprises, en ligne et par téléphone. Notamment 67% des acteurs du secteur des services, 17% du secteur industriel. Aussi, 17% du secteur du commerce et 6% du secteur agricole, sont issus de 23 groupements ou associations professionnelles.

Par ailleurs, lors de cette enquête, 15% des PME ont confié que la crise sanitaire de la Covid-19 a déjà entraîné la fermeture de leurs entreprises. Au niveau organisationnel, certaines entreprises ont pris des dispositions pour assurer la continuité de leurs activités. Quant à la moitié des entreprises, elles révèlent qu’elles ne survivraient pas au-delà de trois mois si la crise sanitaire demeure.

Pour faire face à cette crise, les méthodes de travail ont révélé une réduction ou une suspension des activités pour un taux de 87%. C’est ainsi que 43% des entreprises interrogées, ont opté pour le travail à temps partiel, alors que 35% ont mis en congés payés leurs employés et 25% des entreprises ont mis en chômage technique leurs employés. Tandis que la minorité des entreprises c’est-à-dire 11% des entreprises n’ont pris aucune mesure particulière, elles ont maintenu le même rythme de travail.

Toutefois, pour sauver l’économie de ces entreprises à l’instar de la Côte d’ivoire, le patronat ivoirien envisage d’étudier les préoccupations de chaque secteur d’activité en vue d’y apporter une riposte adéquate.

Edipresse : les éditeurs de presse lancent un ultimatum pour le non-respect des obligations

Le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI) accompagné par le Président du Bureau exécutif, M. Patrice Yao avec Edipresse, on tenu une importante séance de travail.

Tenue au sein de la direction de la société de distribution Edipresse, l’objectif de cette rencontre, était de trouver des solutions aux difficultés actuelles liées au retard de reversement des recettes de vente des journaux. Mais aussi, aux entreprises de presse.

À cet effet plusieurs axes ont été développés au cours de cette rencontre. Notamment, les obligations contractuelles qui lient Edipresse aux entreprises de presse et qui ne sont pas respectées. celles-ci étaient touchées de plus près l’état des préjudices financiers et moraux que les manquements d’Edipresse.

Par ailleurs, après plusieurs échanges Edipresse s’est voulu rassuré face aux éditeurs qui traversent des moments difficiles, « nous sommes à la tâche et tout sera mis œuvre pour trouver, une bonne fois pour toutes, des solutions appropriées aux problèmes posés »

C’est dans cette même vaine que le Président du Bureau exécutif, le GEPCI, a posé des exigences à Edipresse. En effet, il s’agira entre autres du paiement intégral des arriérés dans un court délai d’un mois à compter du 15 juin 2020. Quant au règlement des chèques aux éditeurs, le paiement effectuera le 26 de chaque mois.

Toutefois, la mise à disposition de chaque entreprise, des statistiques des ventes des journaux seront établies tous les vendredis.  Concernant la mise à disposition des CRD, elle se fera au plus le 10 de chaque mois. Aussi, la non-prise en compte dans la comptabilité des invendus de plus de deux (2) semaines pour les quotidiens et trois (3) semaines pour les périodiques.

Pour sa part, le Directeur général d’Edi presse envisage de faire un retour au GEPCI au plus tard le lundi 15 juin 2020.

Santé et économie au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi traitent nombre de sujets notamment les « Corona-Leaks » et l’interconnexion électrique Maroc-Espagne.« Des réglages s’imposent au plus vite », lance +l’Opinion+, qui déplore « l’afflux constant de documents aux apparences officielles, mais dont la véracité des contenus s’est souvent avérée douteuse », auquel sont soumis, depuis le début de la crise pandémique, les Marocains.

« Ils nous ont donné bien du fil à retordre à, nous, autres journalistes », concède le quotidien, expliquant que « lorsqu’il fallait en vérifier l’authenticité, les autorités qui en étaient supposément émettrices se tapissaient derrière un mur de silence ».

« Ces Corona-leaks dont le fuitage semblait parfois organisé par ceux-là même qui en contestaient après coup le caractère officiel, ont largement contribué à l’ambiance de flou informationnel qui a marqué cette pandémie. A tel point qu’il est légitime de s’interroger s’il ne s’agit pas de vulgaires ballons d’essai », conclut-il.

Pour sa part, +Aujourd’hui le Maroc+ fait savoir que l’une des facettes importantes de la coopération maroco-ibérique concerne le domaine énergétique, en particulier l’électricité, relevant qu’il existe ainsi des liaisons d’interconnexion électrique Maroc-Espagne permettant la promotion de l’échange, la sécurisation de l’alimentation et le renforcement du secours mutuel instantané entre les deux rives de la Méditerranée en matière d’électricité.

Sous le titre « Coopération », la publication indique que cette interconnexion est souvent présentée par les responsables comme un patrimoine commun de l’ONEE et Red Electrica de España (REE), notant que le rétablissement de la deuxième interconnexion entre les deux rives, après une indisponibilité qui a duré quelques mois, est une prouesse technique.

Pour lui, cette opération est un événement majeur qui permettra à coup sûr de donner une forte impulsion à la coopération maroco-espagnole pour les prochaines années.

Sur un autre registre, +Assahraa Al Maghribia+ indique que le Maroc a plaidé, à Addis-Abeba, pour la création d’une plateforme d’experts africains en matière de lutte contre les épidémies en vue de permettre au Continent de se prendre en charge et de faire face aux défis sanitaires futurs.

L’ambassadeur Représentant permanent du Royaume auprès de l’Union africaine et la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi, qui intervenait lors d’une réunion en visioconférence du Comité des Représentants Permanents de l’UA consacrée à l’examen de l’impact socio-économique et humanitaire de la COVID-19 en Afrique, a souligné l’importance de cette plateforme à même de favoriser l’échange des expériences et accompagner les gouvernements dans leurs plans d’actions respectifs dans la lutte contre les maladies et la propagation des épidémies, y compris la COVID-19.

Pour sa part, +Rissalat Al Oumma+ rapporte que le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a réitéré le rejet catégorique du Royaume de toutes les mesures et procédures unilatérales que pourraient prendre les autorités israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, que ce soit en Cisjordanie ou à Al Qods-Est.

Dans une allocution adressée aux participants à la réunion ministérielle d’urgence du Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), le ministre a indiqué que ces mesures constitueront une violation flagrante des résolutions de la légalité et du droit international, de nature à porter atteinte au principe de la solution à deux États convenue au niveau international, et à saper tous les efforts visant à réaliser la paix juste et globale à laquelle aspire la communauté internationale.

Santé et économie au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi traitent nombre de sujets notamment les « Corona-Leaks » et l’interconnexion électrique Maroc-Espagne.« Des réglages s’imposent au plus vite », lance +l’Opinion+, qui déplore « l’afflux constant de documents aux apparences officielles, mais dont la véracité des contenus s’est souvent avérée douteuse », auquel sont soumis, depuis le début de la crise pandémique, les Marocains.

« Ils nous ont donné bien du fil à retordre à, nous, autres journalistes », concède le quotidien, expliquant que « lorsqu’il fallait en vérifier l’authenticité, les autorités qui en étaient supposément émettrices se tapissaient derrière un mur de silence ».

« Ces Corona-leaks dont le fuitage semblait parfois organisé par ceux-là même qui en contestaient après coup le caractère officiel, ont largement contribué à l’ambiance de flou informationnel qui a marqué cette pandémie. A tel point qu’il est légitime de s’interroger s’il ne s’agit pas de vulgaires ballons d’essai », conclut-il.

Pour sa part, +Aujourd’hui le Maroc+ fait savoir que l’une des facettes importantes de la coopération maroco-ibérique concerne le domaine énergétique, en particulier l’électricité, relevant qu’il existe ainsi des liaisons d’interconnexion électrique Maroc-Espagne permettant la promotion de l’échange, la sécurisation de l’alimentation et le renforcement du secours mutuel instantané entre les deux rives de la Méditerranée en matière d’électricité.

Sous le titre « Coopération », la publication indique que cette interconnexion est souvent présentée par les responsables comme un patrimoine commun de l’ONEE et Red Electrica de España (REE), notant que le rétablissement de la deuxième interconnexion entre les deux rives, après une indisponibilité qui a duré quelques mois, est une prouesse technique.

Pour lui, cette opération est un événement majeur qui permettra à coup sûr de donner une forte impulsion à la coopération maroco-espagnole pour les prochaines années.

Sur un autre registre, +Assahraa Al Maghribia+ indique que le Maroc a plaidé, à Addis-Abeba, pour la création d’une plateforme d’experts africains en matière de lutte contre les épidémies en vue de permettre au Continent de se prendre en charge et de faire face aux défis sanitaires futurs.

L’ambassadeur Représentant permanent du Royaume auprès de l’Union africaine et la CEA-ONU, Mohamed Arrouchi, qui intervenait lors d’une réunion en visioconférence du Comité des Représentants Permanents de l’UA consacrée à l’examen de l’impact socio-économique et humanitaire de la COVID-19 en Afrique, a souligné l’importance de cette plateforme à même de favoriser l’échange des expériences et accompagner les gouvernements dans leurs plans d’actions respectifs dans la lutte contre les maladies et la propagation des épidémies, y compris la COVID-19.

Pour sa part, +Rissalat Al Oumma+ rapporte que le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a réitéré le rejet catégorique du Royaume de toutes les mesures et procédures unilatérales que pourraient prendre les autorités israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, que ce soit en Cisjordanie ou à Al Qods-Est.

Dans une allocution adressée aux participants à la réunion ministérielle d’urgence du Comité exécutif de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), le ministre a indiqué que ces mesures constitueront une violation flagrante des résolutions de la légalité et du droit international, de nature à porter atteinte au principe de la solution à deux États convenue au niveau international, et à saper tous les efforts visant à réaliser la paix juste et globale à laquelle aspire la communauté internationale.

Côte d’Ivoire: Une nouvelle attaque terroriste dans le nord-ouest ivoirien

Selon des sources sécuritaires, le poste-frontière de la localité de Gbéya (Odiénné), a subi une attaque dans la nuit 11 juin 2020. Cette attaque intervient après une première attaque terroriste à Kafolo, une localité située entre les villes de Ferkéssédougou et Kong dans la matinée du 11 juin 2020.

Une attaque terroriste a été signalée à Gbéya, une localité proche de la ville d’Odiénné. Notamment, dans la nuit du 11 juin 2020. Il y aurait eu selon un bilan non officiel, deux blessés militaires.

Les assaillants non identifiés ont opéré à partir de la broussaille, avec des fusils de type calibre 12. Ces fusils calibre 12 sont ordinairement utilisés par les chasseurs traditionnels (Dozo).

L’attaque de la localité de Gbéya, située dans le nord-ouest ivoirien est la deuxième attaque terroriste. Et ce, en moins de 48 heures visant les positions des Forces armées de Côte d’ivoire (FACI).

Coronavirus : 42 postes de contrôle sanitaire créés aux entrées du territoire ivoirien

Le porte-parole du gouvernement, Sidi Tiémoko Touré, a indiqué que 42 postes de contrôle sanitaire ont été créés aux portes d’entrée sur le territoire national ivoirien.

Cette décision a été annoncée à l’issue du conseil des ministres, le mercredi 10 juin 2020 à Abidjan. Selon lui, le conseil a adopté un décret relatif au contrôle sanitaire des personnes aux points d’entrée. Telles que les entrées terrestres, maritimes, fluvio lagunaires, ferroviaires et aéroportuaires.

De plus, ce décret crée, 42 postes de contrôle sanitaire aux portes d’entrée sur le territoire national. Et ce, conformément au règlement sanitaire international en vue de renforcer la sécurité sanitaire en tout point du territoire.

Cependant, il a précisé que ces points de contrôle seront tenus par les agents de l’Institut national d’hygiène publique (INHP), en liaison avec les forces et de sécurité. En outre, ils constitueront les premiers contacts à l’entrée et les derniers à la sortie du territoire national.

Par ailleurs, ce dispositif pourra protéger durablement les populations contre les menaces sanitaires. Sans toutefois, entraver la libre circulation des biens et des personnes.

Covid-19 : Les autorités sanitaires ivoiriennes dénoncent l’inobservance des mesures barrières contre la pandémie

La conseillère technique du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Edith Kouassy et le porte-parole de la Police nationale, le commissaire principal Charlemagne Bleu ont dénoncé l’inobservance des mesures barrières contre la covid-19.

Ces derniers ont dénoncé ces actes au cours du point de presse quotidien du 10 juin 2020. En effet, ils craignent que cette situation ne provoque une progression rapide de la contamination des populations à la Covid-19.

Selon, Dr Kouassy, qui a indiqué que l’évolution croissante de la pandémie dans le grand Abidjan, est principalement dû à une appropriation insuffisante de personnes des mesures sécuritaires et sanitaires préconisées. Notamment, les mesures barrières.

Elle a également ajouté que ce constat est général depuis l’allègement, le 7 mai dernier des mesures restrictives. Ces mesures qui ont été relatives au retour à la normalité, après les résultats encourageants enregistrés. Pour ce faire , elle a exhorté tout un chacun à reconsidérer cette pandémie. Pour elle, la situation étant grave, il faudrait réagir le plus vite pour faire la différence.

Par ailleurs, suivant le constat du commissaire principal Charlemagne Bleu, la lutte contre la pandémie pourrait nous ramener en arrière. Et ce, face à une montée vertigineuse des cas confirmés du fait de l’inobservance des mesures barrières.

Cependant, il a interpellé les responsables des établissements ou d’édifices recevant du public d’exiger de leurs usagers, le port du masque et le respect de la distanciation physique d’au moins un mètre. Aussi, notons que la Côte d’ivoire a enregistré à la date du 11 juin, 4404 cas confirmés.

RDC: 20 ans de prison requis contre Vital Kamerhe

Le président du Tribunal de grande instance de La Gombe, à Kinshasa, a requis 20 ans de prison contre Vital Kamerhe, dans le cadre du procès de l’affaire dite du « Programme des cent jours ».La même peine encourue par M. Kamerhe, Directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi, a été requise, hier jeudi, contre l’entrepreneur libanais, Jammal Samih.

Le tribunal qui a mis l’affaire en délibéré au 20 juin, a également demandé la confiscation des comptes bancaires de l’épouse de Vital Kamerhe, de sa fille et d’un cousin de l’accusé et la confiscation des propriétés immobilières acquises avec les fonds détournés pendant la période allant de janvier 2019 à ce jour.

En détention provisoire depuis le 8 avril dernier à la prison de Makala, Vital Kamerhe est accusé de détournement de 50 millions de dollars US destinés au Programme des cent jours du président Tshisekedi.

RDC: 20 ans de prison requis contre Vital Kamerhe

Le président du Tribunal de grande instance de La Gombe, à Kinshasa, a requis 20 ans de prison contre Vital Kamerhe, dans le cadre du procès de l’affaire dite du « Programme des cent jours ».La même peine encourue par M. Kamerhe, Directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi, a été requise, hier jeudi, contre l’entrepreneur libanais, Jammal Samih.

Le tribunal qui a mis l’affaire en délibéré au 20 juin, a également demandé la confiscation des comptes bancaires de l’épouse de Vital Kamerhe, de sa fille et d’un cousin de l’accusé et la confiscation des propriétés immobilières acquises avec les fonds détournés pendant la période allant de janvier 2019 à ce jour.

En détention provisoire depuis le 8 avril dernier à la prison de Makala, Vital Kamerhe est accusé de détournement de 50 millions de dollars US destinés au Programme des cent jours du président Tshisekedi.