Covid-19 : la justice sud-africaine accorde des subventions aux réfugiés

La Haute Cour d’Afrique du Sud a ordonné ce vendredi au gouvernement de verser aux réfugiés et autres étrangers nécessiteux vivant dans le pays, des allocations de confinement, comme il l’a fait pour ses propres citoyens.Le tribunal a rendu sa décision à la suite de plaintes contre la directive «inconstitutionnelle et illégale» du ministre du Développement social, Lindiwe Zulu, visant à interdire aux «étrangers» l’accès à la subvention d’un montant de 20 dollars US.

La directive du ministre a laissé les étrangers dans une situation financière désastreuse pendant le confinement, la plupart d’entre eux mourant de faim à cause des pertes d’emplois et n’ayant aucun parent sur qui compter pour obtenir de l’aide – en particulier pour la nourriture.

Se prononçant en faveur des étrangers, le tribunal de Pretoria a déclaré que le gouvernement devrait également inclure les «titulaires de permis spéciaux» du Lesotho, de l’Angola et du Zimbabwe dans les versements.

Le tribunal a donné au ministre cinq jours pour déterminer les coûts de l’extension des subventions et cinq autres jours pour publier les règlements modifiés.

Covid-19 : la justice sud-africaine accorde des subventions aux réfugiés

La Haute Cour d’Afrique du Sud a ordonné ce vendredi au gouvernement de verser aux réfugiés et autres étrangers nécessiteux vivant dans le pays, des allocations de confinement, comme il l’a fait pour ses propres citoyens.Le tribunal a rendu sa décision à la suite de plaintes contre la directive «inconstitutionnelle et illégale» du ministre du Développement social, Lindiwe Zulu, visant à interdire aux «étrangers» l’accès à la subvention d’un montant de 20 dollars US.

La directive du ministre a laissé les étrangers dans une situation financière désastreuse pendant le confinement, la plupart d’entre eux mourant de faim à cause des pertes d’emplois et n’ayant aucun parent sur qui compter pour obtenir de l’aide – en particulier pour la nourriture.

Se prononçant en faveur des étrangers, le tribunal de Pretoria a déclaré que le gouvernement devrait également inclure les «titulaires de permis spéciaux» du Lesotho, de l’Angola et du Zimbabwe dans les versements.

Le tribunal a donné au ministre cinq jours pour déterminer les coûts de l’extension des subventions et cinq autres jours pour publier les règlements modifiés.

Drame d’Anyama : Le préfet Vincent Toh Bi invite les populations d’Abidjan au respect des consignes

Pour éviter d’autres pertes en vies humaines en cette saison des pluies Vincent Toh Bi Irié a appelé les populations d’Abidjan au respecte des consignes édictées par le gouvernement.

Au lendemain de l’éboulement de terrain d’Anyama qui a causé une dizaine de pertes en vies humaines, le préfet de région a fait une publication ce vendredi 19 juin 2020 sur sa page officielle Facebook.

En effet, ladite vidéo présente un jeune qui jouait avec ses amis. Ces derniers traversaient des torrents d’eau sous une pluie à Anyama. Les images présentent plusieurs jeunes dont deux qui ont été emportés par les eaux à la fin de la vidéo.

« Le Gouvernement a engagé d’importants travaux et cette zone n’est plus inondable, les eaux coulant à travers de gros ouvrages. Nous sommes obligés aujourd’hui d’utiliser cette vidéo choquante pour sensibiliser les populations contre les risques pendant la saison des pluies. Il est pénible de voir des personnes mourir sous la furie des eaux. Nous sensibilisons tous les jours et appelons à la prudence. Certains en font un jeu et défient la nature », a-t-il mentionné. Sensibilisant les uns et les autres a « quitter les zones à risques, comme nous vous le demandons tous les jours ».

Sawka MN, Burke LM, Eichner ER, Maughan RJ, Montain SJ, Stachenfeld NS.

Sawka MN, Burke LM, Eichner ER, Maughan RJ, Montain SJ, Stachenfeld NS.

Hew-Butler TD, Sharwood K, Collins M, Speedy D, Noakes T. Suplimentarea cu sodiu nu este necesară pentru a menține concentrațiile serice de sodiu în timpul unui triatlon Ironman. Br J Sports Med. Mar 2006;40(3):255-259.Rodriguez NR, DiMarco NM, Langley S. Poziția Asociației Americane de Dietetică, Dieteticieni din Canada și Colegiul American de Medicină Sportivă: Nutriție și performanță atletică. J Am Dieta Asoc. Mar 2009;109(3):509-527. Continue reading « Sawka MN, Burke LM, Eichner ER, Maughan RJ, Montain SJ, Stachenfeld NS. »

Accords entre deux ministères ivoiriens pour accélérer l’emploi des jeunes

Le ministère ivoirien de la Promotion de la Jeunesse et de l’emploi des jeunes et le secrétariat d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, ont signé mardi un protocole d’accord et une convention-cadre en vue d’un appui à l’insertion professionnelle par la mise en stage, la mise en emploi direct et l’entrepreneuriat, selon une note d’information transmise à APA, vendredi.Pour le paraphe des documents, le secrétaire d’État en charge de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Brice Kouassi était l’hôte du ministre Mamadou Touré, en charge de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des Jeunes à son Cabinet sis au Plateau. 

Le protocole d’accord a été notamment signé entre le ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’emploi des Jeunes (MPJEJ), et le secrétaire d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (SE-MENETFP), d’une part, et la signature d’une convention-cadre entre l’Agence emploi jeune (AEJ) et la direction des apprentissages et de l’insertion professionnelle (DAIP), d’autre part. 

Cet acte entre les deux membres du gouvernement ivoirien vise à donner un coup d’accélérateur à l’insertion professionnelle des jeunes. 

M. Mamadou Touré s’est félicité de cette double signature, devant permettre d’ « exécuter le Programme social du gouvernement 2019-2020 dont l’objectif est d’approfondir les effets sociaux de la croissance économique en direction des couches vulnérables, notamment les jeunes et les femmes ». 

Pour sa part, M. Brice Kouassi a relevé la complémentarité des actions des deux institutions. Il a fait savoir que ses missions sont en amont de celui de la Promotion de l’emploi jeunes car il s’agit de développer les compétences des jeunes, de leur apprendre un métier à travers la formation.

La conjugaison des missions de ces deux entités devrait en outre permettre de donner aux jeunes des qualifications, tout en les accompagnant vers l’emploi. Pour optimiser leurs initiatives en faveur des jeunes, les deux ministres ont annoncé que les formés par apprentissage, en plus de l’apprentissage, des opportunités d’insertion dans les entreprises sont offertes aux jeunes qui devraient bénéficier désormais de kits d’installation. 

Le protocole d’accord entre ces ministères étant signé, son opérationnalisation sera la tâche conjointe de l’Agence emploi jeune (AEJ) du MPJEJ et de la Direction des apprentissages et de l’insertion professionnelle (DAIP) du Secrétariat d’Etat. 

De ce fait, le responsables respectifs du ministre de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des jeunes (MPJEJ), et le secrétaire d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (SE-MENETFP), MM. Jean-Louis Kouadio et Tuo Nangalourou, ont signé, à leur tour, la convention-cadre entre leurs deux structures.

Sur le terrain, le premier volet de ces signatures devrait se traduire par un appui à l’insertion professionnelle par la mise en stage, la mise en emploi direct et l’entrepreneuriat. Quant au second volet, il devrait porter sur l’amélioration de l’employabilité des jeunes à travers des formations.

L’Etat de Côte d’Ivoire,  à travers ces protocoles, offre des opportunités aux jeunes de s’insérer dans le tissu social et économique via des apprentissages, des formations qualifiantes et des formations de reconversion professionnelle. Plus de 10 000 jeunes devraient être touchés par ce projet.  

Accords entre deux ministères ivoiriens pour accélérer l’emploi des jeunes

Le ministère ivoirien de la Promotion de la Jeunesse et de l’emploi des jeunes et le secrétariat d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, ont signé mardi un protocole d’accord et une convention-cadre en vue d’un appui à l’insertion professionnelle par la mise en stage, la mise en emploi direct et l’entrepreneuriat, selon une note d’information transmise à APA, vendredi.Pour le paraphe des documents, le secrétaire d’État en charge de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Brice Kouassi était l’hôte du ministre Mamadou Touré, en charge de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des Jeunes à son Cabinet sis au Plateau. 

Le protocole d’accord a été notamment signé entre le ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’emploi des Jeunes (MPJEJ), et le secrétaire d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (SE-MENETFP), d’une part, et la signature d’une convention-cadre entre l’Agence emploi jeune (AEJ) et la direction des apprentissages et de l’insertion professionnelle (DAIP), d’autre part. 

Cet acte entre les deux membres du gouvernement ivoirien vise à donner un coup d’accélérateur à l’insertion professionnelle des jeunes. 

M. Mamadou Touré s’est félicité de cette double signature, devant permettre d’ « exécuter le Programme social du gouvernement 2019-2020 dont l’objectif est d’approfondir les effets sociaux de la croissance économique en direction des couches vulnérables, notamment les jeunes et les femmes ». 

Pour sa part, M. Brice Kouassi a relevé la complémentarité des actions des deux institutions. Il a fait savoir que ses missions sont en amont de celui de la Promotion de l’emploi jeunes car il s’agit de développer les compétences des jeunes, de leur apprendre un métier à travers la formation.

La conjugaison des missions de ces deux entités devrait en outre permettre de donner aux jeunes des qualifications, tout en les accompagnant vers l’emploi. Pour optimiser leurs initiatives en faveur des jeunes, les deux ministres ont annoncé que les formés par apprentissage, en plus de l’apprentissage, des opportunités d’insertion dans les entreprises sont offertes aux jeunes qui devraient bénéficier désormais de kits d’installation. 

Le protocole d’accord entre ces ministères étant signé, son opérationnalisation sera la tâche conjointe de l’Agence emploi jeune (AEJ) du MPJEJ et de la Direction des apprentissages et de l’insertion professionnelle (DAIP) du Secrétariat d’Etat. 

De ce fait, le responsables respectifs du ministre de la Promotion de la jeunesse et de l’emploi des jeunes (MPJEJ), et le secrétaire d’État chargé de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle (SE-MENETFP), MM. Jean-Louis Kouadio et Tuo Nangalourou, ont signé, à leur tour, la convention-cadre entre leurs deux structures.

Sur le terrain, le premier volet de ces signatures devrait se traduire par un appui à l’insertion professionnelle par la mise en stage, la mise en emploi direct et l’entrepreneuriat. Quant au second volet, il devrait porter sur l’amélioration de l’employabilité des jeunes à travers des formations.

L’Etat de Côte d’Ivoire,  à travers ces protocoles, offre des opportunités aux jeunes de s’insérer dans le tissu social et économique via des apprentissages, des formations qualifiantes et des formations de reconversion professionnelle. Plus de 10 000 jeunes devraient être touchés par ce projet.  

Les ministres de la culture de l’ICESCO s’engagent à soutenir la culture numérique

Les ministres des Etats membres de l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO), se sont engagés à soutenir et développer la culture numérique, en renforçant la sensibilisation à l’importance du patrimoine culturel et en encourageant la culture de la solidarité culturelle.Dans une déclaration finale ayant sanctionné leur conférence extraordinaire virtuelle, organisée jeudi avec la participation de 50 États et 22 organisations internationales sous le thème « durabilité de l’action culturelle face aux crises (COVID-19) », les ministres de la culture, ainsi que les chefs et représentants des organisations internationales ont plaidé en faveur de la promotion de la place de la culture dans les sociétés de demain pour faire face aux défis futurs.

Le Maroc était représenté à cette conférence par le ministre de la culture, de la jeunesse et des sports, Othman El Firdaouss, qui a présenté, à l’occasion, un certain nombre d’initiatives culturelles prises par le Royaume pour atténuer les répercussions de la pandémie de la Covid-19 sur le secteur culturel, notamment le lancement d’un programme de soutien aux producteurs de contenus culturels d’une valeur de 100 millions de dirhams (1 dollar = 9,7 DH), et la mise en place de partenariats avec les institutions culturelles nationales.

Lors de cette conférence, les différents intervenants se sont engagés à mettre en place des projets et programmes culturels destinés à rapprocher la culture des citoyens dans les zones urbaines et rurales, et à améliorer la situation actuelle de l’action culturelle et des intellectuels via une nouvelle vision plus créative, développée et adaptée aux grandes orientations qui s’imposent fortement sur la scène internationale, notamment la promotion de la diversité culturelle, la protection du patrimoine matériel et immatériel et le recours aux applications de l’intelligence artificielle, lit on dans la déclaration finale publiée sur le site de l’organisation, basée à Rabat.

Ils ont également réitéré leur soutien à la vision de l’Organisation, basée sur la sauvegarde, la protection, l’appui et la remise en état du patrimoine culturel et civilisationnel du monde islamique pour préserver son identité culturelle, ainsi que sur la consécration des droits de l’Homme, en particulier les droits culturel, notamment en temps de crises et de catastrophes.

Dans le même sillage, la déclaration finale a souligné l’importance de développer le tourisme culturel et de renforcer la complémentarité entre le secteur culturel et le secteur sportif dans l’édification de l’Homme, à travers la mise en place d’un système intégré de programmes au profit des différentes catégories sociétales.

Les participants ont également souligné l’importance du projet stratégique culturel numérique porté par l’ICESCO en tant qu’initiative proactive pour la gestion de la chose culturelle, se félicitant de l’initiative « foyer numérique de l’ICESCO », qui constitue une plateforme de connaissances dans les domaines de l’éducation, des sciences, de l’innovation et des sciences humaines, et englobe le programme « la culture à distance ».

Les ministres de la culture de l’ICESCO s’engagent à soutenir la culture numérique

Les ministres des Etats membres de l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ICESCO), se sont engagés à soutenir et développer la culture numérique, en renforçant la sensibilisation à l’importance du patrimoine culturel et en encourageant la culture de la solidarité culturelle.Dans une déclaration finale ayant sanctionné leur conférence extraordinaire virtuelle, organisée jeudi avec la participation de 50 États et 22 organisations internationales sous le thème « durabilité de l’action culturelle face aux crises (COVID-19) », les ministres de la culture, ainsi que les chefs et représentants des organisations internationales ont plaidé en faveur de la promotion de la place de la culture dans les sociétés de demain pour faire face aux défis futurs.

Le Maroc était représenté à cette conférence par le ministre de la culture, de la jeunesse et des sports, Othman El Firdaouss, qui a présenté, à l’occasion, un certain nombre d’initiatives culturelles prises par le Royaume pour atténuer les répercussions de la pandémie de la Covid-19 sur le secteur culturel, notamment le lancement d’un programme de soutien aux producteurs de contenus culturels d’une valeur de 100 millions de dirhams (1 dollar = 9,7 DH), et la mise en place de partenariats avec les institutions culturelles nationales.

Lors de cette conférence, les différents intervenants se sont engagés à mettre en place des projets et programmes culturels destinés à rapprocher la culture des citoyens dans les zones urbaines et rurales, et à améliorer la situation actuelle de l’action culturelle et des intellectuels via une nouvelle vision plus créative, développée et adaptée aux grandes orientations qui s’imposent fortement sur la scène internationale, notamment la promotion de la diversité culturelle, la protection du patrimoine matériel et immatériel et le recours aux applications de l’intelligence artificielle, lit on dans la déclaration finale publiée sur le site de l’organisation, basée à Rabat.

Ils ont également réitéré leur soutien à la vision de l’Organisation, basée sur la sauvegarde, la protection, l’appui et la remise en état du patrimoine culturel et civilisationnel du monde islamique pour préserver son identité culturelle, ainsi que sur la consécration des droits de l’Homme, en particulier les droits culturel, notamment en temps de crises et de catastrophes.

Dans le même sillage, la déclaration finale a souligné l’importance de développer le tourisme culturel et de renforcer la complémentarité entre le secteur culturel et le secteur sportif dans l’édification de l’Homme, à travers la mise en place d’un système intégré de programmes au profit des différentes catégories sociétales.

Les participants ont également souligné l’importance du projet stratégique culturel numérique porté par l’ICESCO en tant qu’initiative proactive pour la gestion de la chose culturelle, se félicitant de l’initiative « foyer numérique de l’ICESCO », qui constitue une plateforme de connaissances dans les domaines de l’éducation, des sciences, de l’innovation et des sciences humaines, et englobe le programme « la culture à distance ».

Maroc : Nomination d’un nouveau président du conseil d’administration de la bourse de Casablanca

Le conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, réuni jeudi, a décidé de nommer à l’unanimité Kamal Mokdad en tant que nouveau président pour succéder à Hamid Tawfiki, dont le mandat arrivait à son terme.Le Conseil d’Administration a tenu à saluer l’action de M. Tawfiki, qui a occupé cette fonction depuis le 17 juin 2016, et à le remercier pour son implication dans le développement et la transformation du marché boursier marocain, ainsi que dans la mise en place du plan stratégique Ambition 2021 de la Bourse de Casablanca », indique un communiqué de la Bourse de Casablanca.

Le nouveau président était jusqu’à présent administrateur de la Bourse de Casablanca, représentant la banque centrale populaire, dont il est directeur général, fait savoir le communiqué.

La Bourse des valeurs de Casablanca est le marché officiel des actions au Maroc. Créée le 7 novembre 1929, la Bourse de Casablanca est la première bourse du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest et la quatrième bourse en Afrique en termes de capitalisation (5.002,77 milliards d’euros). La bourse de Casablanca compte 75 sociétés cotées et 17 sociétés de bourses.

Maroc : Nomination d’un nouveau président du conseil d’administration de la bourse de Casablanca

Le conseil d’administration de la Bourse de Casablanca, réuni jeudi, a décidé de nommer à l’unanimité Kamal Mokdad en tant que nouveau président pour succéder à Hamid Tawfiki, dont le mandat arrivait à son terme.Le Conseil d’Administration a tenu à saluer l’action de M. Tawfiki, qui a occupé cette fonction depuis le 17 juin 2016, et à le remercier pour son implication dans le développement et la transformation du marché boursier marocain, ainsi que dans la mise en place du plan stratégique Ambition 2021 de la Bourse de Casablanca », indique un communiqué de la Bourse de Casablanca.

Le nouveau président était jusqu’à présent administrateur de la Bourse de Casablanca, représentant la banque centrale populaire, dont il est directeur général, fait savoir le communiqué.

La Bourse des valeurs de Casablanca est le marché officiel des actions au Maroc. Créée le 7 novembre 1929, la Bourse de Casablanca est la première bourse du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest et la quatrième bourse en Afrique en termes de capitalisation (5.002,77 milliards d’euros). La bourse de Casablanca compte 75 sociétés cotées et 17 sociétés de bourses.