Reprise des cours : des élèves contraints à s’acquitter de 200 FCFA pour l’achat des masques

Le port du masque et le lavage régulier des mains, aussi bien chez les élèves que chez les enseignants fait désormais parti des exigences, des établissements scolaires publics.

En effet, les élèves de la localité de Sikensi, ont été contraint de donner la somme de 200 fcfa par le Comité de Gestion des Etablissements Scolaires Publics (COGES).

Selon une source proche de la rédaction, ces élèves sont contraints de donner la somme de 200 FCFA, en vue de répondre à la main-d’œuvre des couturiers réquisitionnés pour la confection des masques. Cette somme sera distribué aux apprenants.

Cependant, la maladie à coronavirus n’ayant pas encore quitté le sol ivoirien, les autorités du pays ont pris de nouvelle dispositions en vue de sauver l’année scolaire. Mais aussi, de poursuivre la lutte contre la pandémie. Il s’agit entre autre, du port du masque ainsi que le lavage régulier des mains.

Rappelons qu’après deux mois d’interruption à cause de la pandémie du coronavirus, les élèves et enseignants de l’intérieur du pays ont repris le chemin de l’école, ce lundi 18 mai 2020. Quant au grand Abidjan, la reprise est fixée au 25 mai 2020.

EDUCATION NATIONALE : Deux élèves déférés pour anticipation sur les congés de fin d’année.

A moins de 3 semaines des congés de noël, certains élèves sont visiblement impatients de quitter les salles de classe avant l’heure.

De ce fait, tous les moyens sont bon pour interrompre les cours le plus vite possible. Ils n’hésitent pas à mettre en place des plans pour semer le trouble dans d’autres établissements.

D’après police Secours, deux jeunes élèves ont décidés de voir noël un peu plus tôt. Ils sont allés semer le trouble dans d’autres établissement en se servant de cailloux et d’armes blanches.

Pas de bol pour eux, les patrouilles du 34ème arrondissement ont coupés leur élan. Patrouilles qui sont chargés de la sécurisation des établissements secondaires . Les deux élèves perturbateurs ont été déférés pour répondre de leur acte.