L’affaire Cheikh Yérim Seck s’impose aux quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mardi à APA traitent de divers sujets dont l’affaire du journaliste Cheikh Yérim Seck.« Cheikh Yérim Seck s’embourbe dans le scandale BatiPlus », barre à sa Une Vox Populi qui informe que « Le journaliste (est) attendu chez le procureur, ce mardi après son face-à face d’hier avec les gendarmes ».

« Ses révélations dans l’affaire BatiPlus sur fond d’accusations fracassantes contre de hautes autorités, dont le ministre de la Justice, sans compter la gendarmerie  qu’il a égratignée, risquent de coûter cher à Cheikh Yérim Seck (…) qui devrait être déféré au parquet ce mardi », souligne le journal.

Cela fait dire à L’Observateur que « Cheikh Yérim Seck (est) dans l’étau de la gendarmerie ». Dans ses colonnes, le journal signale que l’ancien journaliste de l’hebdomadaire Jeune Afrique est « en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles (et qu’il) pourrait être déféré au parquet aujourd’hui ».

Le quotidien EnQuête, racontant « La colère bleue » des gendarmes contre Cheikh Yérim, soutient que ce dernier « sera (bel et bien) déféré aujourd’hui pour diffusions de fausses nouvelles, diffamation contre la gendarmerie, etc. »

« Toutefois, note le quotidien, le journaliste, selon des sources proches des autorités judiciaires, ne devrait faire qu’un tour à la cave. Les choses devraient s’en arrêter là, puisqu’on annonce sa libération, après ce face-à-face avec le magistrat instructeur ».

Sous le titre « L’armée en terrain miné », Le Quotidien revient sur la série d’accidents notée ces derniers jours en Casamance et informe que « 3 véhicules (ont sauté) sur des mines anti-char en 10 jours, 2 soldats (sont) décédés et plusieurs (autres sont gravement) blessés ».

L’AS quotidien consacre sa parution du jour au bradage du littoral à Guédiawaye (banlieue de Dakar) et titre : « Une autre bombe foncière ».

« Après Mermoz, les populations de Guédiawaye se sont érigées en boucliers pour protéger leur littoral. L’octroi dernièrement de 4 ha aux magistrats sur la bande des filaos ainsi que l’attribution de 20 ha dans la zone au Syndicat des Inspecteurs des Domaines les (populations) a poussées à demander un déclassement au bénéfice exclusif des collectivités pour l’érection d’équipements d’intérêt public », écrivent nos confrères.

De son côté, le journal Sud Quotidien met le focus sur la décentralisation intégrale au Sénégal et arbore ce titre : « Les maires, à l’épreuve de Macky Sall ! »

Dans ses colonnes, le journal informe que « Le décret pris par le chef de l’Etat, mercredi dernier en Conseil des ministres, conférant aux préfets et sous-préfets la prérogative d’accorder le permis de construire, si les maires refusaient de satisfaire aux demandes, respecte le Code des collectivités territoriales ».

« Le seul bémol, selon un expert en décentralisation, cette possibilité pour les préfets de se saisir des libertés accordées aux maires remet au goût du jour la question de la décentralisation supposée pourtant intégrale », poursuit le journal.

Le quotidien national Le Soleil revient pour sa part sur la stratégie de relance du tourisme lourdement affecté par la pandémie du coronavirus et informe que « Les acteurs misent sur l’offre locale ».

Libération se fait l’écho de la pénurie d’eau à Dakar depuis plusieurs jours et estime que la société « Sen’eau (est) pire que la Sde ». La première a remplacé la seconde dans la distribution du liquide précieux il y a de cela quelques mois.

L’affaire Cheikh Yérim Seck s’impose aux quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mardi à APA traitent de divers sujets dont l’affaire du journaliste Cheikh Yérim Seck.« Cheikh Yérim Seck s’embourbe dans le scandale BatiPlus », barre à sa Une Vox Populi qui informe que « Le journaliste (est) attendu chez le procureur, ce mardi après son face-à face d’hier avec les gendarmes ».

« Ses révélations dans l’affaire BatiPlus sur fond d’accusations fracassantes contre de hautes autorités, dont le ministre de la Justice, sans compter la gendarmerie  qu’il a égratignée, risquent de coûter cher à Cheikh Yérim Seck (…) qui devrait être déféré au parquet ce mardi », souligne le journal.

Cela fait dire à L’Observateur que « Cheikh Yérim Seck (est) dans l’étau de la gendarmerie ». Dans ses colonnes, le journal signale que l’ancien journaliste de l’hebdomadaire Jeune Afrique est « en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles (et qu’il) pourrait être déféré au parquet aujourd’hui ».

Le quotidien EnQuête, racontant « La colère bleue » des gendarmes contre Cheikh Yérim, soutient que ce dernier « sera (bel et bien) déféré aujourd’hui pour diffusions de fausses nouvelles, diffamation contre la gendarmerie, etc. »

« Toutefois, note le quotidien, le journaliste, selon des sources proches des autorités judiciaires, ne devrait faire qu’un tour à la cave. Les choses devraient s’en arrêter là, puisqu’on annonce sa libération, après ce face-à-face avec le magistrat instructeur ».

Sous le titre « L’armée en terrain miné », Le Quotidien revient sur la série d’accidents notée ces derniers jours en Casamance et informe que « 3 véhicules (ont sauté) sur des mines anti-char en 10 jours, 2 soldats (sont) décédés et plusieurs (autres sont gravement) blessés ».

L’AS quotidien consacre sa parution du jour au bradage du littoral à Guédiawaye (banlieue de Dakar) et titre : « Une autre bombe foncière ».

« Après Mermoz, les populations de Guédiawaye se sont érigées en boucliers pour protéger leur littoral. L’octroi dernièrement de 4 ha aux magistrats sur la bande des filaos ainsi que l’attribution de 20 ha dans la zone au Syndicat des Inspecteurs des Domaines les (populations) a poussées à demander un déclassement au bénéfice exclusif des collectivités pour l’érection d’équipements d’intérêt public », écrivent nos confrères.

De son côté, le journal Sud Quotidien met le focus sur la décentralisation intégrale au Sénégal et arbore ce titre : « Les maires, à l’épreuve de Macky Sall ! »

Dans ses colonnes, le journal informe que « Le décret pris par le chef de l’Etat, mercredi dernier en Conseil des ministres, conférant aux préfets et sous-préfets la prérogative d’accorder le permis de construire, si les maires refusaient de satisfaire aux demandes, respecte le Code des collectivités territoriales ».

« Le seul bémol, selon un expert en décentralisation, cette possibilité pour les préfets de se saisir des libertés accordées aux maires remet au goût du jour la question de la décentralisation supposée pourtant intégrale », poursuit le journal.

Le quotidien national Le Soleil revient pour sa part sur la stratégie de relance du tourisme lourdement affecté par la pandémie du coronavirus et informe que « Les acteurs misent sur l’offre locale ».

Libération se fait l’écho de la pénurie d’eau à Dakar depuis plusieurs jours et estime que la société « Sen’eau (est) pire que la Sde ». La première a remplacé la seconde dans la distribution du liquide précieux il y a de cela quelques mois.

Santé, économie et médias au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce mardi consacrent de larges commentaires aux aides acheminées par le Maroc à des pays africains, au déficit budgétaire dû à la pandémie, au soutien au secteur culturel et à l’adaptation de la presse à la conjoncture de la pandémie du coronavirus.« Peu importe le volume, la valeur, l’essentiel est d’agir », lance +Aujourd’hui le Maroc+ qui évoque ce qu’a fait le Maroc le week-end dernier en expédiant à une quinzaine de pays aux quatre coins de l’Afrique des aides en médicaments, en matériels et en consommables destinés au personnel médical qui se bat contre la pandémie.

De la même manière que construire et se développer ensemble pour le bien des citoyens du continent, les pays d’Afrique sont presque condamnés à faire face ensemble aux périodes difficiles comme la pandémie actuelle, souligne le journal, notant que le Maroc, et SM le Roi, n’en sont pas à leur première manifestation réelle et effective de ce que devrait être l’entraide panafricaine.

Pour le Maroc, la solidarité, l’entraide et la coopération Sud-Sud ne sont pas seulement des slogans et de vains propos mais bien une réalité qui se matérialise dans les faits et par les actes, insiste-t-il.

+L’Economiste+  rapporte que selon un premier bilan du ministère des Finances, le déficit budgétaire s’est creusé de 20.6 milliards de DH sur le seul mois de mai à 25.5 milliards de DH (1 euro = 10,7 DH). Il se situerait à 43.6 milliards de DH hors Fonds de gestion de la pandémie.

Mais dans le contexte actuel, surveiller le solde du budget de l’état n’est pas une priorité. L’urgence sociale et la préservation de l’emploi sont bien plus importantes. Jamais autant d’argent public n’aura été mobilisé pour sauvegarder les entreprises, estime la publication.

Et ce n’est pas fini. La relance de l’économie nécessitera encore plus de ressources. Quitte à faire tourner la planche à billets, comme l’ont fait les grandes banques centrales, recomande le quotidien.

+Rissalat Al Oumma+ fait savoir que le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports a annoncé le lancement d’un programme exceptionnel de soutien aux acteurs culturels des mondes de l’art et du livre, en vue d’atténuer l’impact socio-économique de l’état d’urgence sanitaire.

Ce programme exceptionnel englobe la distribution anticipée par le Bureau Marocain des Droits d’Auteurs (BMDA) à partir du 15 juin, au profit des auteurs et créateurs adhérents, de toutes les répartitions restantes programmées pour l’exercice 2020, soit 35,4 millions DH, notamment les perceptions de l’année 2019 des droits d’auteur et de la rémunération pour copie privée pour les trois catégories : lyrique, dramatique et littéraire, conformément aux recommandations de la Confédération internationale des auteurs et compositeurs (CISAC) et du programme ResiliArt de l’UNESCO, a expliqué le ministre sur sa page Facebook.

Sur un tout autre registre, +l’Opinion+ écrit que parmi les secteurs qui ont été touchés de plein fouet par la pandémie, la presse en général et celle sur papier, en particulier, notant que ni les cassandres, ni le virus ne savaient que les hommes de la presse sont prêts à faire face à toute éventualité dans ce métier à risques.

La preuve : Les journaux avec leurs diverses rubriques continuent à être édités avec la même cadence qu’avant la pandémie, explique le journal, concédant que « certes, la presse imprimée a changé de technique avec les nouvelles technologies en passant du papier au numérique, mais elle n’a pas perdu son charme ni sa rigueur professionnelle ».

A titre d’exemple, le quotidien évoque le journaliste sportif que cette conjoncture a poussé à changer son fusil d’épaule en s’attaquant à d’autres sujets d’actualité loin de sa spécialité, estimant qu’il s’agit là d’un pari gagné pour ce journaliste et toute la presse qui ont beaucoup appris de «l’école Covid-19».

Santé, économie et médias au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce mardi consacrent de larges commentaires aux aides acheminées par le Maroc à des pays africains, au déficit budgétaire dû à la pandémie, au soutien au secteur culturel et à l’adaptation de la presse à la conjoncture de la pandémie du coronavirus.« Peu importe le volume, la valeur, l’essentiel est d’agir », lance +Aujourd’hui le Maroc+ qui évoque ce qu’a fait le Maroc le week-end dernier en expédiant à une quinzaine de pays aux quatre coins de l’Afrique des aides en médicaments, en matériels et en consommables destinés au personnel médical qui se bat contre la pandémie.

De la même manière que construire et se développer ensemble pour le bien des citoyens du continent, les pays d’Afrique sont presque condamnés à faire face ensemble aux périodes difficiles comme la pandémie actuelle, souligne le journal, notant que le Maroc, et SM le Roi, n’en sont pas à leur première manifestation réelle et effective de ce que devrait être l’entraide panafricaine.

Pour le Maroc, la solidarité, l’entraide et la coopération Sud-Sud ne sont pas seulement des slogans et de vains propos mais bien une réalité qui se matérialise dans les faits et par les actes, insiste-t-il.

+L’Economiste+  rapporte que selon un premier bilan du ministère des Finances, le déficit budgétaire s’est creusé de 20.6 milliards de DH sur le seul mois de mai à 25.5 milliards de DH (1 euro = 10,7 DH). Il se situerait à 43.6 milliards de DH hors Fonds de gestion de la pandémie.

Mais dans le contexte actuel, surveiller le solde du budget de l’état n’est pas une priorité. L’urgence sociale et la préservation de l’emploi sont bien plus importantes. Jamais autant d’argent public n’aura été mobilisé pour sauvegarder les entreprises, estime la publication.

Et ce n’est pas fini. La relance de l’économie nécessitera encore plus de ressources. Quitte à faire tourner la planche à billets, comme l’ont fait les grandes banques centrales, recomande le quotidien.

+Rissalat Al Oumma+ fait savoir que le ministre de la Culture, de la Jeunesse et des Sports a annoncé le lancement d’un programme exceptionnel de soutien aux acteurs culturels des mondes de l’art et du livre, en vue d’atténuer l’impact socio-économique de l’état d’urgence sanitaire.

Ce programme exceptionnel englobe la distribution anticipée par le Bureau Marocain des Droits d’Auteurs (BMDA) à partir du 15 juin, au profit des auteurs et créateurs adhérents, de toutes les répartitions restantes programmées pour l’exercice 2020, soit 35,4 millions DH, notamment les perceptions de l’année 2019 des droits d’auteur et de la rémunération pour copie privée pour les trois catégories : lyrique, dramatique et littéraire, conformément aux recommandations de la Confédération internationale des auteurs et compositeurs (CISAC) et du programme ResiliArt de l’UNESCO, a expliqué le ministre sur sa page Facebook.

Sur un tout autre registre, +l’Opinion+ écrit que parmi les secteurs qui ont été touchés de plein fouet par la pandémie, la presse en général et celle sur papier, en particulier, notant que ni les cassandres, ni le virus ne savaient que les hommes de la presse sont prêts à faire face à toute éventualité dans ce métier à risques.

La preuve : Les journaux avec leurs diverses rubriques continuent à être édités avec la même cadence qu’avant la pandémie, explique le journal, concédant que « certes, la presse imprimée a changé de technique avec les nouvelles technologies en passant du papier au numérique, mais elle n’a pas perdu son charme ni sa rigueur professionnelle ».

A titre d’exemple, le quotidien évoque le journaliste sportif que cette conjoncture a poussé à changer son fusil d’épaule en s’attaquant à d’autres sujets d’actualité loin de sa spécialité, estimant qu’il s’agit là d’un pari gagné pour ce journaliste et toute la presse qui ont beaucoup appris de «l’école Covid-19».

Covid-19 / Côte d’ivoire : Trois cliniques privées autorisées pour la prise en charge des patients

Le conseiller technique du ministère en charge de la Santé, Dr Edith Kouassy a informé que seulement trois cliniques privées ont été autorisées pour la prise en charge des patients atteints de la COVID-19. Cette dernière a donné cette information au cours du point de presse quotidien le 14 juin 2020.

Selon elle, seules trois (03) cliniques privées ont été autorisées à prendre en charge les cas de COVID-19 dans leurs structures. Et ce, sous la supervision médicale du Service des maladies infectieuses et tropicales (SMIT). Il s’agirait notamment, des cliniques FarahPISAM et Hôtel Dieu.

Par ailleurs, elle a rappelé que cinq (05) laboratoires ont été habilités à faire des diagnostics. Tel que l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI), RETROCI, CEDRES, CIRBA et du laboratoire du CHU de Bouaké. Le Dr Kouassy a également indiqué qu’une dizaine de laboratoires supplémentaires à l’intérieur du pays, ouvriront. Spécialement dans les centres intégrés de prise en charge COVID-19. Plus particulièrement, les centres d’Abengourou, Aboisso, Bouaké, Bouna, Daloa. Ainsi que ceux de Gagnoa, Korhogo, Man, Odienné et San Pedro.

Cependant, quant aux tests de diagnostic, elle a affirmé que la fabrication d’aucun test sérologique n’a été autorisée jusque-là. Elle a aussi ajouté qu’aucun agrément n’a été accordé à un quelconque laboratoire privé du pays pour les réaliser.

FIF : Report de l’assemblée générale ordinaire et de l’assemblée élective

Le Comité exécutif de la FIF (Fédération ivoirienne de football) a décidé de reporter de l’Assemblée générale ordinaire (AGO) et l’Assemblée générale élective. Cette décision a été prise hier lundi 15 juin 2020,  en raison des restrictions sanitaires liées à la Covid-19.

En effet, le comité exécutif a constaté que le rassemblement de 50 personnes, à Abidjan au lieu de 200, rendait impossible la tenue de l’AGO. Et ce,  prévue le 20 juin 2020, au Palais de la culture d’Abidjan-Treichville.

En outre, l’AGO étant prévue le 16 mai 2020, a été reportée à une date ultérieure. Elle avait été fixée au 20 juin 2020 par le Comité exécutif de la FIF.

Quant à l’Assemblée générale élective, elle a été repoussée au 5 septembre 2020. Deux mois après l’AGO qui devra procéder à l’élection de la Commission électorale. Celle-ci, devrait conduire le scrutin en vue du renouvellement des instances dirigeantes de la FIF.

Selon une note de la FIF, « Le Comité exécutif, en application des dispositions de l’article 100 des Statuts de la FIF, a, au regard de cette situation, décidé du report de la date de l’Assemblée générale ordinaire au 4 juillet 2020. Ainsi que du report de celle de l’Assemblée générale élective au 5 septembre 2020 »

Cependant, soulignons que trois candidats à la candidature sont en lice pour la présidence de la FIF. Notamment,  Didier Drogba, Sory Diabaté et  Didier Drogba, Sory Diabaté.

Football ivoirien/Covid-19: report de l’AGO de la FIF au 4 juillet et l’AG élective au 5 septembre

Le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a décidé lundi du report de l’Assemblée générale ordinaire (AGO) de l’organisation au 4 juillet et l’Assemblée générale élective au 5 septembre 2020, en raison des restrictions sanitaires liées à la Covid-19.Le Comité exécutif a constaté, lundi, à l’issue d’une réunion que les mesures du Conseil national de sécurité, imposant la limitation de tout rassemblement à 50 personnes, à Abidjan au lieu de 200, rend impossible la tenue de l’Assemblée générale ordinaire prévue le 20 juin 2020 au Palais de la culture d’Abidjan-Treichville.

L’Assemblée générale ordinaire de la FIF, prévue le 16 mai 2020 puis reportée à une date ultérieure en raison de la pandémie de la Covid-19, avait été fixée au 20 juin 2020 par le Comité exécutif de la FIF, qui a par ailleurs décidé de la tenue de l’Assemblée générale élective,  le 22 août 2020.

L’Assemblée générale élective, elle, est repoussée au 5 septembre 2020, deux mois après l’Assemblée générale ordinaire qui devra procéder à l’élection de la Commission électorale, entité chargée de conduire le scrutin en vue du renouvellement des instances dirigeantes de la FIF. 

Le Comité exécutif, en application des dispositions de l’article 100 des Statuts de la FIF, a, au regard de cette situation, décidé du report de la date de l’Assemblée générale ordinaire au 4 juillet 2020 et du report de celle de l’Assemblée générale élective au 5 septembre 2020, souligne une note de la FIF.

Pour la présidence de la FIF, trois candidats à la candidature sont en lice, notamment l’ex-international du football ivoirien Didier Drogba, Sory Diabaté, vice-président dans le staff sortant et Idriss Diallo, ancien vice-président de la FIF, chargé de la Commission marketing sous l’ère Jacques Anouma.  

Football ivoirien/Covid-19: report de l’AGO de la FIF au 4 juillet et l’AG élective au 5 septembre

Le Comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a décidé lundi du report de l’Assemblée générale ordinaire (AGO) de l’organisation au 4 juillet et l’Assemblée générale élective au 5 septembre 2020, en raison des restrictions sanitaires liées à la Covid-19.Le Comité exécutif a constaté, lundi, à l’issue d’une réunion que les mesures du Conseil national de sécurité, imposant la limitation de tout rassemblement à 50 personnes, à Abidjan au lieu de 200, rend impossible la tenue de l’Assemblée générale ordinaire prévue le 20 juin 2020 au Palais de la culture d’Abidjan-Treichville.

L’Assemblée générale ordinaire de la FIF, prévue le 16 mai 2020 puis reportée à une date ultérieure en raison de la pandémie de la Covid-19, avait été fixée au 20 juin 2020 par le Comité exécutif de la FIF, qui a par ailleurs décidé de la tenue de l’Assemblée générale élective,  le 22 août 2020.

L’Assemblée générale élective, elle, est repoussée au 5 septembre 2020, deux mois après l’Assemblée générale ordinaire qui devra procéder à l’élection de la Commission électorale, entité chargée de conduire le scrutin en vue du renouvellement des instances dirigeantes de la FIF. 

Le Comité exécutif, en application des dispositions de l’article 100 des Statuts de la FIF, a, au regard de cette situation, décidé du report de la date de l’Assemblée générale ordinaire au 4 juillet 2020 et du report de celle de l’Assemblée générale élective au 5 septembre 2020, souligne une note de la FIF.

Pour la présidence de la FIF, trois candidats à la candidature sont en lice, notamment l’ex-international du football ivoirien Didier Drogba, Sory Diabaté, vice-président dans le staff sortant et Idriss Diallo, ancien vice-président de la FIF, chargé de la Commission marketing sous l’ère Jacques Anouma.  

Maroc : Bientôt de nouvelles étapes de levée du confinement

Le Maroc entamera bientôt de nouvelles étapes de levée du confinement et d’assouplissement des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19, a indiqué lundi à Rabat, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit.D’ici la fin de la semaine, « nous entrerons de nouvelles étapes pour lever le confinement et alléger les mesures » prises pour endiguer la pandémie, a souligné le ministre qui s’exprimait devant le parlement.

A cette occasion, le ministre a affirmé que la levée du confinement ou de l’état d’urgence sanitaire ne signifie nullement l’élimination du virus. « Nous aurons à vivre avec ce virus », a-t-il dit, notant que les mesures sanitaires doivent être respectées de tous, “ce qui nous permettra de retrouver au plus vite à une vie normale ou presque”.

Le ministre a, par ailleurs, affirmé que le Fonds spécial pour la lutte contre la pandémie du Coronavirus a pour vocation de « soutenir les personnes ayant perdu leur revenu, à la suite de la propagation de la pandémie et non pas les personnes pauvres », faisant savoir que près de 6 millions de personnes ont bénéficié de ces aides.

Sur un autre registre, le ministre de l’Intérieur a indiqué qu’il est possible de transférer les corps pour inhumation, à partir de ce lundi, d’une province vers une autre, à l’exception des victimes de la Covid-19.

Maroc : Bientôt de nouvelles étapes de levée du confinement

Le Maroc entamera bientôt de nouvelles étapes de levée du confinement et d’assouplissement des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid-19, a indiqué lundi à Rabat, le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit.D’ici la fin de la semaine, « nous entrerons de nouvelles étapes pour lever le confinement et alléger les mesures » prises pour endiguer la pandémie, a souligné le ministre qui s’exprimait devant le parlement.

A cette occasion, le ministre a affirmé que la levée du confinement ou de l’état d’urgence sanitaire ne signifie nullement l’élimination du virus. « Nous aurons à vivre avec ce virus », a-t-il dit, notant que les mesures sanitaires doivent être respectées de tous, “ce qui nous permettra de retrouver au plus vite à une vie normale ou presque”.

Le ministre a, par ailleurs, affirmé que le Fonds spécial pour la lutte contre la pandémie du Coronavirus a pour vocation de « soutenir les personnes ayant perdu leur revenu, à la suite de la propagation de la pandémie et non pas les personnes pauvres », faisant savoir que près de 6 millions de personnes ont bénéficié de ces aides.

Sur un autre registre, le ministre de l’Intérieur a indiqué qu’il est possible de transférer les corps pour inhumation, à partir de ce lundi, d’une province vers une autre, à l’exception des victimes de la Covid-19.