Sidiki Konaté à Albert Mabri Toikeusse « Tu ne peux pas gagner »

Le coordonnateur régional du RHDP dans la région du Tonkpi s’est adressé à Albert Mabri Toikeusse, lors de sa visite dans la localité de Sangouiné. Le ministre de l’Artisanat a appelé le Président de l’UDPCI à renoncer à son ambition de vouloir briguer la magistrature suprême à la prochaine élection présidentielle d’octobre 2020.

Dans le cadre de sa tournée de sensibilisation et de mobilisation sur la révision de la liste électorale dans les villes de la région du Tonkpi, Sidiki Konaté a adressé un message à Albert Mabri Toikeusse. « Je demande à mon frère Mabri de revenir à la maison. Sa place c’est au sein du RHDP où il est membre fondateur et vice-président. Viens prendre ta place au RHDP. Nous étions tous deux coordonnateurs régionaux du RHDP. Nous avions été investis devant tous nos parents(…) Laisses ton affaire de distribuer de la cola dans les villages et viens soutenir ton frère Amadou Gon Coulibaly. Allons vers ce qui est grand qui est bon pour nous faire avancer », a affirmé le coordonnateur du RHDP dans la région du Tonkpi.

Selon Sidiki Konaté, Albert Mabri Toikeusse ne pourra pas gagner l’élection présidentielle de 2020. « L’assise d’un parti, c’est le nombre de ses élus. Le RHDP est la première force dans la région. Nous avions gagné les élections régionales ensemble dans le cadre du RHDP. Nous ne pouvons le suivre dans ses ambitions personnelles », a lancé Sidiki Konaté.

Ainsi, Sidiki Konaté a indiqué que tous ceux qui soutiennent le Président de l’UDPCI dans son ambition présidentielle, veulent assouvir leur propre rêvent quasi impossible.

JMLDS 2020 : Les femmes du marché de Cocovico sensibilisées à lutter contre la sécheresse et la désertification

Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka, accompagné de la secrétaire d’État chargée de l’Autonomisation des femmes, Myss Belmonde Dogo, a sensibilisé, les femmes du marché Cocovico à la JMLDS 2020. Cette intervention a eu lieu le 14 juin 2020 à Abidjan, afin de trouver un moyen sur la problématique de l’avancée du désert et de la sécheresse de l’environnement.

En effet, cette rencontre était en prélude à la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse (JMLDS). Cette journée est célébrée le 17 juin de chaque année. Par ailleurs, le thème proposé pour  cette année est : « Aliments, fourrages, fibres ».

Pour ce faire, les deux représentants du gouvernement ont invité les commerçantes à l’adoption de comportements écocitoyens. Notamment dans les modes de consommation des ressources naturelles et des biens et services qui en découlent.

Toutefois, le ministre Joseph Séka Séka a mis en garde ces femmes contre l’insécurité alimentaire d’ici à 2050. Selon lui, si l’on ne prend pas soin d’environnement, l’augmentation des terres dégradées influencera notre quotidien. Une situation qui pourrait entraîner l’insécurité alimentaire, la pauvreté et la faim.

Rappelons ainsi que la JMLDS 2020 entre dans le cadre de la Quinzaine nationale de l’environnement et du développement durable (QNEDD 2020). Celle-ci se tient du 03 au 17 juin 2020.

Les aides médicales envoyées à des pays africains au menu des quotidiens marocains

Les aides médicales marocaines aux pays africains et la situation du secteur touristique sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce mercredi.+Al Bayane+ commente la décision du Maroc d’envoyer des aides médicales à plusieurs pays africains pour les soutenir dans leurs efforts de lutte contre l’épidémie de Coronavirus.

L’initiative royale est venue joindre l’action à la parole pour fédérer les efforts de coopération Sud-Sud en vue de maîtriser la situation épidémique sur le continent, souligne la publication, faisant remarquer qu’en dépit des contraintes auxquelles il fait face, le Maroc trouve toujours le moyen de venir en aide, sans nulle tergiversation, aux peuples frères d’Afrique.

Sur le même registre, +Rissalat Al Oumma+ relève qu’en l’absence d’initiatives internationales considérables, le Maroc s’est engagé dans le soutien des pays et des peuples du continent africain dans la lutte contre la pandémie du coronavirus, tout en menant une réflexion dans un cadre pragmatique à travers lequel une panoplie de mesures seront mises en place pour accompagner les efforts des pays africains dans le combat contre cette pandémie.

C’est dans ce cadre qu’interviennent ces aides médicales qui concrétisent les liens de solidarité et de coopération inter-africaines, souligne le quotidien, notant qu’à travers cette initiative, le Royaume « partage son expérience avec ses frères, bien qu’il souffre lui aussi des effets de cette crise sanitaire ».

De son côté, +Assahraa Al Maghribiya+, écrit que « si les aides médicales concernent 15 pays frères, l’initiative Royale a pris une dimension internationale, évoquant les éloges des États-Unis et de la presse internationale. Cet intérêt mondial est synonyme d’admiration, compte tenu de la conjoncture dans laquelle l’initiative a été lancée.

Évoquant « un flou touristique total », +Aujourd’hui le Maroc+ rappelle, pour sa part, que le secteur touristique a été parmi les premiers à être frappé de plein fouet par l’arrêt net de toutes ses activités.

Toutefois, les opérateurs du secteur, et plus particulièrement les hôteliers, ont tenu à apporter leur précieuse contribution à l’effort de solidarité nationale dans la lutte contre la pandémie, souligne le journal.

Aujourd’hui, le déconfinement est enclenché dans la majorité du territoire et, à la veille des mois de juillet et août, des millions de familles marocaines aimeraient pouvoir programmer des vacances pour changer d’air, ajoute-t-il, précisant que de ce fait ses familles sont curieuses de voir les offres que vont leur proposer les professionnels.

L’université Nangui Abrogoua et le CNRA recoivent 320 millions de Fcfa d’équipements

L’université Nangui Abrogoua et le CNRA ont reçu  320 millions de Fcfa d’équipements de recherche de la part du Centre de recherche et développement (CRD) de Nestlé. Ce don a été fait dans le cadre du partenariat qui les lie depuis plusieurs années.

À cet effet, la cérémonie de remise officielle de ce don aux deux institutions s’est tenue dans les locaux du CRD. Et ce, en présence de son Directeur, M. Tesfalidet Hailé  accompagné de M. Thomas Caso, le directeur Général de Nestlé Côte d’Ivoire. Ainsi que, des représentants du CNRA et de l’UNA.

Par ailleurs, ce don, d’un coût global de 320 millions de FCFA, est composé de matériels de laboratoire et d’équipements de recherche. Ces appareils permettront de mettre en œuvre les projets liés à leurs missions respectives. Notamment, celles qui cadrent avec l’innovation résidant au cœur des activités du CRD.

Selon, M.Tesfalidet Hailé, c’est une façon pour eux d’apporter leur soutien et assistance technique à ces deux institutions. Pour lui, c’est un moyen sûr de  contribuer à la réalisation de leurs programmes de formation et de recherche.

Pour ce faire, rappelons que le CRD collabore depuis 11 ans avec le CNRA et depuis 3 ans avec l’Université Nangui Abrogoua (UNA). En outre, elle a permis d’anticiper et répondre aux besoins du marché et réaliser des projets communs.

La hausse des cas de décès liés à la Covid-19 inquiète la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mercredi à APA traitent de divers sujets en lien avec la pandémie du coronavirus dont la hausse des cas de décès.« Il est difficile de croire que la pandémie du coronavirus a été maitrisée au Sénégal avec le nombre de décès qui ne cesse d’augmenter. En 15 jours, 28 décès ont été enregistrés, plus que le nombre de décès notés entre les mois de mars et avril où on était à 9. A ce rythme, le mois de juin risque d’être plus macabre que mai avec 39 décès », soulignent nos confrères du Le Quotidien, d’où ce titre qui barre la Une du journal : « Juin mortel ».

Sous le titre « Le corona fait 10 morts en 48h », Vox Populi estime que « Le nombre de décès (lié à la pandémie) prend l’ascenseur ». « Après les 4 décès de la veille, le ministère de la Santé a annoncé, hier, 6 nouveaux cas décès » portant le bilan total à 70 morts en trois mois, détaille le quotidien.

« En huit (8) jours, le virus a tué 18 personnes et infectés 819 autres », renchérit L’Observateur avant de donner la parole à l’infectiologue Manga Noël Magloire qui déclare : « Il faut un effet d’électrochoc avec 50 décès par jour pour un éveil de conscience ».

Le même journal déplore par ailleurs le contournement de l’interdiction de rassemblement et arbore ce titre : « Le virus en fête… à Dakar ».

« Malgré l’arrêté du ministère de l’Intérieur et la flambée des cas positifs, certains Dakarois continuent d’organiser des cérémonies familiales et fêtes privées qui ne sont soumises à aucune des mesures de prévention contre le covid-19 édictées par les autorités médicales. Ils se rassemblent pour fêter mariages, baptêmes ou funérailles, offrant ainsi l’occasion au virus de se propager », fustigent nos confrères.

La Tribune consacre sa parution du jour aux conséquences de l’assouplissement de l’état d’urgence qui a été « suivi de relâchement » et arbore cette titraille : « Les dégâts reprennent à Dakar. Plusieurs cas d’agression signalés ; des accidents mortels ; Regroupements sans mesures barrières ; Embouteillages monstres ; Attention à certains scootéristes ».

Parlant des répercussions de la pandémie de la Covid-19 dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, soutient que « Le Sénégal va éviter la récession grâce aux mesures prises par le Président de la République dans le cadre du Programme de résilience économique et social (Pres) ».

L’AS quotidien s’intéresse pour sa part à ce qu’il qualifie de « Silence détonnant de l’Assemblée » nationale dans la gestion du coronavirus et la polémique sur le foncier.

« Même s’ils étaient indexés de ne pas représenter le peuple, les députés occupaient souvent le devant de la scène pour se prononcer sur l’actualité politique nationale. En temps normal, leurs préoccupations et autres sollicitations en Commission comme en plénière faisaient écho dans l’espace public. Mais la déclaration de l’état d’urgence suivi du vote de la loi d’habilitation semble avoir douché leurs ardeurs », commentent nos confrères.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se focalise sur la reprise des hostilités en Casamance (sud) et titre : « L’armée pilonne les rebelles ». A en croire le journal, « les populations de Ziguinchor comme celles de la commune de Bignona ont été réveillées, très tôt, hier matin, par des détonations d’armes lourdes (car) l’armée a pilonné les positions rebelles à Adéane ».

Cette riposte des Forces armées fait suite à la mort de deux des leurs au cours des opérations en cours pour accompagner le retour des populations dans cette zone de la commune d’Adéane, mais aussi pour lutter contre les trafics illicites de bois et les bandes armées qui écument la zone.

Sous le titre « Sen’Eau assoiffe Dakar », Sud Quotidien revient sur la pénurie d’eau qui frappe certains quartiers de la capitale sénégalaise et affirme que la société de  gestion de l’exploitation et de la distribution de l’eau potable en zone urbaine et péri-urbaine « se cache derrière un concours de circonstances » pour justifier le problème.

Les quotidiens sénégalais se sont en outre intéressés à l’arrestation du journaliste Cheikh Yérim Seck suite à sa sortie sur l’affaire du détournement de fonds à la société immobilière BatiPlus.

A ce propos, L’Observateur informe que « Les organisations de presse s’érigent en bouclier du journaliste », là où L’AS quotidien signale que « La Presse (est) débout pour le libérer ».

La hausse des cas de décès liés à la Covid-19 inquiète la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mercredi à APA traitent de divers sujets en lien avec la pandémie du coronavirus dont la hausse des cas de décès.« Il est difficile de croire que la pandémie du coronavirus a été maitrisée au Sénégal avec le nombre de décès qui ne cesse d’augmenter. En 15 jours, 28 décès ont été enregistrés, plus que le nombre de décès notés entre les mois de mars et avril où on était à 9. A ce rythme, le mois de juin risque d’être plus macabre que mai avec 39 décès », soulignent nos confrères du Le Quotidien, d’où ce titre qui barre la Une du journal : « Juin mortel ».

Sous le titre « Le corona fait 10 morts en 48h », Vox Populi estime que « Le nombre de décès (lié à la pandémie) prend l’ascenseur ». « Après les 4 décès de la veille, le ministère de la Santé a annoncé, hier, 6 nouveaux cas décès » portant le bilan total à 70 morts en trois mois, détaille le quotidien.

« En huit (8) jours, le virus a tué 18 personnes et infectés 819 autres », renchérit L’Observateur avant de donner la parole à l’infectiologue Manga Noël Magloire qui déclare : « Il faut un effet d’électrochoc avec 50 décès par jour pour un éveil de conscience ».

Le même journal déplore par ailleurs le contournement de l’interdiction de rassemblement et arbore ce titre : « Le virus en fête… à Dakar ».

« Malgré l’arrêté du ministère de l’Intérieur et la flambée des cas positifs, certains Dakarois continuent d’organiser des cérémonies familiales et fêtes privées qui ne sont soumises à aucune des mesures de prévention contre le covid-19 édictées par les autorités médicales. Ils se rassemblent pour fêter mariages, baptêmes ou funérailles, offrant ainsi l’occasion au virus de se propager », fustigent nos confrères.

La Tribune consacre sa parution du jour aux conséquences de l’assouplissement de l’état d’urgence qui a été « suivi de relâchement » et arbore cette titraille : « Les dégâts reprennent à Dakar. Plusieurs cas d’agression signalés ; des accidents mortels ; Regroupements sans mesures barrières ; Embouteillages monstres ; Attention à certains scootéristes ».

Parlant des répercussions de la pandémie de la Covid-19 dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, soutient que « Le Sénégal va éviter la récession grâce aux mesures prises par le Président de la République dans le cadre du Programme de résilience économique et social (Pres) ».

L’AS quotidien s’intéresse pour sa part à ce qu’il qualifie de « Silence détonnant de l’Assemblée » nationale dans la gestion du coronavirus et la polémique sur le foncier.

« Même s’ils étaient indexés de ne pas représenter le peuple, les députés occupaient souvent le devant de la scène pour se prononcer sur l’actualité politique nationale. En temps normal, leurs préoccupations et autres sollicitations en Commission comme en plénière faisaient écho dans l’espace public. Mais la déclaration de l’état d’urgence suivi du vote de la loi d’habilitation semble avoir douché leurs ardeurs », commentent nos confrères.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se focalise sur la reprise des hostilités en Casamance (sud) et titre : « L’armée pilonne les rebelles ». A en croire le journal, « les populations de Ziguinchor comme celles de la commune de Bignona ont été réveillées, très tôt, hier matin, par des détonations d’armes lourdes (car) l’armée a pilonné les positions rebelles à Adéane ».

Cette riposte des Forces armées fait suite à la mort de deux des leurs au cours des opérations en cours pour accompagner le retour des populations dans cette zone de la commune d’Adéane, mais aussi pour lutter contre les trafics illicites de bois et les bandes armées qui écument la zone.

Sous le titre « Sen’Eau assoiffe Dakar », Sud Quotidien revient sur la pénurie d’eau qui frappe certains quartiers de la capitale sénégalaise et affirme que la société de  gestion de l’exploitation et de la distribution de l’eau potable en zone urbaine et péri-urbaine « se cache derrière un concours de circonstances » pour justifier le problème.

Les quotidiens sénégalais se sont en outre intéressés à l’arrestation du journaliste Cheikh Yérim Seck suite à sa sortie sur l’affaire du détournement de fonds à la société immobilière BatiPlus.

A ce propos, L’Observateur informe que « Les organisations de presse s’érigent en bouclier du journaliste », là où L’AS quotidien signale que « La Presse (est) débout pour le libérer ».

Hévéa : L’Etat ivoirien signe 12 conventions avec des usiniers pour la transformation du caoutchouc naturel

L’Etat ivoirien a signé le 16 juin 2020, 12 conventions spécifiques d’investissement avec des usiniers pour la transformation du caoutchouc naturel. Ces conventions interviennent dans le cadre de son appui à l’accroissement de la capacité nationale d’usinage. Celle-ci, permettra d’absorber toute la production de fonds de tasse exportée.

À cet effet, le ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, a indiqué que la signature de ces 12 conventions épouse la vision du Président Alassane Ouattara. Selon lui, elle permettra de renforcer le partenariat entre l’Etat et les industriels au bénéfice des populations. Quant au ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, cette signature de conventions déclenchera une nouvelle phase du développement de la filière hévéa.

Par ailleurs, notons que l’objectif pour l’Etat est de renforcer la compétitivité des entreprises industrielles. Et ce,  dans le secteur du caoutchouc naturel à travers l’accroissement des investissements.

Toutefois, l’appui du gouvernement se matérialise par l’adoption de l’ordonnance n° 2019-826 du 9 octobre 2019. Cette ordonnance institue des mesures fiscales incitatives spécifiques aux investissements réalisés, dans le secteur de la transformation de l’hévéa.

De plus, les 12 entreprises parties à cette convention s’engageront à augmenter leur volume global de caoutchouc naturel transformé. Notamment d’au moins 400 mille tonnes, sur une période de quatre ans (2020-2023), conformément à l’objectif fixé par le gouvernement.

Cependant, leurs engagements en matière de projets d’investissement et d’augmentation de l’utilisation des capacités installées prévoient l’accroissement global des capacités installées de transformation par rapport à l’année 2019. Soit 461 120 tonnes de caoutchouc sec supplémentaires.

A cela s’ajoute en outre, un taux d’utilisation de 80% en moyenne des capacités de transformation installées sur cette période. Cela avec des investissements prévisionnels (hors taxes) d’environ 56,5 milliards de FCFA et la création potentielle de 1 819 emplois. Ainsi que 1 610 permanents (88,5%) et 209 occasionnels (11,5%).

Entretiens téléphoniques entre le Roi Mohammed VI et des chefs d’Etats arabes

Le Roi Mohammed VI a eu des échanges téléphoniques avec des chefs d’Etats arabes, annonce mardi dans la soirée un communiqué du cabinet royal.Il s’agit du Roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, le Prince Mohamed Ben Salmane Al Saoud pour l’Arabie saoudite, du Roi Abdellah II de la Jordanie, du Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir du Qatar, et du Roi Hamad Ben Khalifa du Bahreïn.

Au cours de ces échanges, leurs Majestés et Altesses Royales ont présenté au Souverain leurs vœux de prompt rétablissement et de bonne santé, à la suite de l’intervention réalisée avec succès le dimanche 14 juin à la clinique du palais Royal à Rabat, conclut le communiqué.

Pour rappel, le Roi Mohammed VI a subi avec succès une intervention chirurgicale, dimanche à la clinique du Palais Royal de Rabat.

Le Souverain a présenté une récidive du trouble du rythme cardiaque type flutter auriculaire sur cœur sain. Les médecins de SM le Roi ont préconisé une ablation complémentaire par radiofréquence. L’intervention s’est soldée par un succès complet avec restauration du rythme cardiaque normal, souligne-t-on.

Entretiens téléphoniques entre le Roi Mohammed VI et des chefs d’Etats arabes

Le Roi Mohammed VI a eu des échanges téléphoniques avec des chefs d’Etats arabes, annonce mardi dans la soirée un communiqué du cabinet royal.Il s’agit du Roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, le Prince Mohamed Ben Salmane Al Saoud pour l’Arabie saoudite, du Roi Abdellah II de la Jordanie, du Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir du Qatar, et du Roi Hamad Ben Khalifa du Bahreïn.

Au cours de ces échanges, leurs Majestés et Altesses Royales ont présenté au Souverain leurs vœux de prompt rétablissement et de bonne santé, à la suite de l’intervention réalisée avec succès le dimanche 14 juin à la clinique du palais Royal à Rabat, conclut le communiqué.

Pour rappel, le Roi Mohammed VI a subi avec succès une intervention chirurgicale, dimanche à la clinique du Palais Royal de Rabat.

Le Souverain a présenté une récidive du trouble du rythme cardiaque type flutter auriculaire sur cœur sain. Les médecins de SM le Roi ont préconisé une ablation complémentaire par radiofréquence. L’intervention s’est soldée par un succès complet avec restauration du rythme cardiaque normal, souligne-t-on.

Maroc : Le taux directeur de la banque centrale ramené à 1,5%

Le conseil de la banque centrale du Maroc, réuni ce mardi, a décidé, de réduire le taux directeur de 50 points de base,  le ramenant à 1,5%, et de libérer intégralement le compte de réserve au profit des banques, indique un communiqué de l’institution financière.

 Lors de cette session, le conseil a examiné et approuvé le rapport annuel sur la situation économique, monétaire et financière du pays, ainsi que sur les activités de la Banque au titre de l’exercice 2019.

Il  a aussi procédé à une analyse et à une évaluation de l’évolution de la conjoncture économique et sociale aussi bien au niveau national qu’international, ainsi que les réponses apportées par les autorités du pays pour atténuer les effets de la pandémie du Covid-19.

Il a noté, à cet égard, que les projections macroéconomiques de la Banque établies dans ce contexte restent entourées d’un degré exceptionnellement élevé d’incertitude et font clairement ressortir une forte contraction de l’économie nationale cette année suivie d’un certain rebond en 2021.

Dans le même sens, la banque centrale a mis en place des dispositions spécifiques pour fournir un appui au refinancement des banques participatives et aux associations de microcrédité, précise le communiqué.

Ces nouvelles décisions, conjuguées aux différentes mesures d’assouplissement déjà mises en œuvre, notamment l’élargissement du collatéral éligible à ses opérations de refinancement, le renforcement de ses programmes non conventionnels, ainsi que l’allègement temporaire des règles prudentielles, devraient contribuer, avec celles prises par le comité de veille économique, à atténuer l’impact de la pandémie et à soutenir la relance de l’économie et de l’emploi. 

En mars dernier, la banque centrale avait baissé de 25 points de base son taux directeur, rappelle-t-on.