Fonds de solidarité contre la Covid-19 : Plus de 77 000 ménages ivoiriens pauvres  déjà bénéficiaires

77 042 ménages pauvres ont déjà bénéficié du fonds de solidarité débloqué par le gouvernement ivoirien contre la Covid-19.  En effet, cette annonce est parvenue mercredi à Abidjan, par Sidi Tiémoko Touré, porte-parole du gouvernement ivoirien à l’issue d’un Conseil des ministres.

«Un nombre total de 77.042 bénéficiaires représentant 43,47% de la cible des 177 198 ménages vulnérables. Visés  par la phase transitoire, ils ont  bénéficier  du fonds de solidarité et de soutien d’urgence humanitaire à la date du 15 juin 2020», a confié M. Touré.

Le porte-parole de l’Etat a indiqué que « 18 entreprises localisées » à Abidjan et une à l’intérieur du pays ont bénéficié de l’appui du fonds de soutien aux grandes entreprises pour un montant de  « 6,1 milliards FCFA ».

« 33 PME issues des secteurs de l’agro-industrie, du tourisme, de l’hôtellerie, du commerce,  du transport, de la restauration, etc,  ont pu bénéficier de l’appui du fonds de soutien aux PME pour un montant de 920,5 millions FCFA», a-t-il souligné.

Pour rappel, depuis le début de la crise sanitaire de la Covid-19 en Côte d’Ivoire, l’Etat ivoirien à créé plusieurs fonds. Il s’agit d’un plan de soutien économique, social et humanitaire pour faire face aux effets de la Covid-19.  Cette aide est destinée à soutenir les différentes couches socioprofessionnelles du pays contre cette pandémie.

Suisse /Lausanne Sports : L’Ivoirien Cissé Souleymane nommé directeur sportif de la seconde division

Cissé Souleymane, ancien footballeur professionnel ivoirien a été nommé directeur sportif de Lausanne Sports (un club Suisse). Présenté à la presse locale, le président-fondateur du Racing Club d’Abidjan (RCA) Cissé Souleymane entend s’y mettre pour la bonne marche du club.

« Je suis heureux et fier de rejoindre le projet du FC Lausanne-Sport. Heureux également de revenir en Suisse. Je remercie l’ensemble de la Direction du club pour leur confiance. Je suis prêt dès aujourd’hui à relever les défis qui me sont proposés », a-t-il expliqué.

Agé de 42 ans, le formateur expérimenté, Cissé Souleymane présente un pan de ses projets. Il envisage faire de l’intégration des jeunes dans la première équipe de Lausanne une priorité.

« A nous de faire en sorte que le LS revienne au premier plan du football suisse. Un travail conséquent a été mené jusqu’aujourd’hui au sein du club», a-t-il relevé.

Créé par Cissé Souleymane et devenu nouveau directeur sportif, le Racing Club d’Abidjan semble être la plus belle réussite de M. Cissé. Celui-ci a conduit en finale du championnat de France, l’équipe des moins de 19 ans d’Evian Thonon-Gaillard. Une catégorie dont il avait la  main en 2014.

L’ancien directeur technique général du club, occupe toujours la fonction d’entraineur de la génération dorée monégasque composée de Kylian Mbappé et de plusieurs d’autres joueurs.

Sénégal: décès de Serigne Pape Malick Sy, porte-parole de Tivaouane

Le porte-parole du khalife général des tidianes, Serigne Pape Malick Sy, est décédé ce jeudi à Dakar.Il a été désigné à ce poste en 2017 après le décès de Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine. Serigne Pape Malick Sy  était le fils cadet de Serigne Babacar Sy (1884-1957).

Sénégal: décès de Serigne Pape Malick Sy, porte-parole de Tivaouane

Le porte-parole du khalife général des tidianes, Serigne Pape Malick Sy, est décédé ce jeudi à Dakar.Il a été désigné à ce poste en 2017 après le décès de Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine. Serigne Pape Malick Sy  était le fils cadet de Serigne Babacar Sy (1884-1957).

Post Covid-19: L’Af’Sud veut six mmilliards US pour créer des emplois

Le gouvernement sud-africain devra injecter six milliards de dollars dans l’économie pour créer des emplois à la suite des dommages causés au pays par la pandémie de coronavirus, a annoncé le ministre des Finances, Tito Mboweni.Présentant un budget supplémentaire à l’Assemblée nationale au Cap, hier mercredi, Mboweni a déclaré que les fonds comprendraient un programme public d’emploi réaffecté et une intervention présidentielle pour l’emploi des jeunes.

Il a révélé que « l’initiative de création et de protection des emplois du président Cyril Ramaphosa sera déployée à moyen terme (au cours des trois prochaines années) ». « Au cours de cet exercice, un montant de 360 millions de dollars a déjà été alloué et 115 millions de dollars supplémentaires ont été réservés principalement à cette fin », a déclaré le ministre.

Le chômage en Afrique du Sud est passé à 30,1% au premier trimestre de l’année et il est à craindre qu’il n’atteigne 50% avant la fin de la pandémie.

« Ces chiffres montrent que le chômage est notre plus grand défi. Ce programme de soutien économique réserve 6 milliards de dollars pour une réponse globale pluriannuelle à notre crise de l’emploi », a poursuivi le ministre.

Post Covid-19: L’Af’Sud veut six mmilliards US pour créer des emplois

Le gouvernement sud-africain devra injecter six milliards de dollars dans l’économie pour créer des emplois à la suite des dommages causés au pays par la pandémie de coronavirus, a annoncé le ministre des Finances, Tito Mboweni.Présentant un budget supplémentaire à l’Assemblée nationale au Cap, hier mercredi, Mboweni a déclaré que les fonds comprendraient un programme public d’emploi réaffecté et une intervention présidentielle pour l’emploi des jeunes.

Il a révélé que « l’initiative de création et de protection des emplois du président Cyril Ramaphosa sera déployée à moyen terme (au cours des trois prochaines années) ». « Au cours de cet exercice, un montant de 360 millions de dollars a déjà été alloué et 115 millions de dollars supplémentaires ont été réservés principalement à cette fin », a déclaré le ministre.

Le chômage en Afrique du Sud est passé à 30,1% au premier trimestre de l’année et il est à craindre qu’il n’atteigne 50% avant la fin de la pandémie.

« Ces chiffres montrent que le chômage est notre plus grand défi. Ce programme de soutien économique réserve 6 milliards de dollars pour une réponse globale pluriannuelle à notre crise de l’emploi », a poursuivi le ministre.

Kigali classée 2e ville la moins chère d’Afrique de l’est

La capitale du Rwanda, Kigali, est classée deuxième ville la moins chère d’Afrique de l’est après Kampala (Ouganda), selon l’enquête de Mercer 2020 portant sur le coût de la vie.Les résultats de l’enquête transmis à APA révèlent que des facteurs spécifiques comme les fluctuations des devises, l’inflation des coûts des biens et services et l’instabilité des prix de l’hébergement sont essentiels pour déterminer le coût des forfaits expatriés pour les employés en mission internationale.

L’enquête de Mercer montre que les coûts des biens et services évoluent avec l’inflation et la volatilité des devises, ce qui fait que les coûts sont tantôt plus faibles, tantôt plus élevés.

Ndjamena, Tchad (15e) est la ville la mieux classée en Afrique tandis que Tunis (209) est la ville la plus chère de la région et du monde.

Hong Kong (1) a conservé sa place de ville la plus chère pour les expatriés en Asie et dans le monde, en raison des fluctuations des devises par rapport au dollar américain et de la hausse du coût de la vie sur place, selon l’enquête.

Sur la base des données recueillies en mars dernier, l’étude révèle que la majorité des villes africaines ont grimpé la liste, entraînant des vies plus chères pour les expatriés. La capitale ougandaise, par exemple, a augmenté de six positions par rapport au classement de 2019.

Dans la région de l’Afrique de l’est, Nairobi arrive en tête et se classe 95ème dans le monde. Elle est suivie par la plaque tournante commerciale de la Tanzanie, Dar es Salaam.

Victoria, la capitale des Seychelles, occupe la première place en Afrique et la 14ème place mondiale, devançant Ndjamena, la capitale du Tchad, qui était en tête l’année dernière, pointant à la 11ème place.

Kigali classée 2e ville la moins chère d’Afrique de l’est

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L’enquête de Mercer montre que les coûts des biens et services évoluent avec l’inflation et la volatilité des devises, ce qui fait que les coûts sont tantôt plus faibles, tantôt plus élevés.

Ndjamena, Tchad (15e) est la ville la mieux classée en Afrique tandis que Tunis (209) est la ville la plus chère de la région et du monde.

Hong Kong (1) a conservé sa place de ville la plus chère pour les expatriés en Asie et dans le monde, en raison des fluctuations des devises par rapport au dollar américain et de la hausse du coût de la vie sur place, selon l’enquête.

Sur la base des données recueillies en mars dernier, l’étude révèle que la majorité des villes africaines ont grimpé la liste, entraînant des vies plus chères pour les expatriés. La capitale ougandaise, par exemple, a augmenté de six positions par rapport au classement de 2019.

Dans la région de l’Afrique de l’est, Nairobi arrive en tête et se classe 95ème dans le monde. Elle est suivie par la plaque tournante commerciale de la Tanzanie, Dar es Salaam.

Victoria, la capitale des Seychelles, occupe la première place en Afrique et la 14ème place mondiale, devançant Ndjamena, la capitale du Tchad, qui était en tête l’année dernière, pointant à la 11ème place.

L’explosion du nombre de contaminations à la Covid-19 et le climat des affaires au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce jeudi se focalisent sur l’augmentation des chiffres de contamination à la Covid-19, les opportunités d’affaires avec le Royaume-Uni et l’amélioration du climat d’affaires au Maroc.Commentant la flambée des chiffres des cas testés positifs au coronavirus, +Aujourd’hui le Maroc+ écrit que si le confinement ne pourra pas perdurer beaucoup plus longtemps, le virus, lui, continue de circuler partout dans le monde et notre pays ne déroge pas à la règle.

La solution est toute simple, souligne le journal: « Il ne faut pas baisser la garde. Même si la vie doit reprendre normalement au cours des prochains jours, semaines et mois, il est nécessaire de continuer à observer et respecter scrupuleusement les gestes de prévention ».

Ces gestes doivent devenir un réflexe du moment qu’il faudra cohabiter encore plus longtemps avec le virus, soutient-il, notant que le moindre relâchement ou comportement hasardeux sera malheureusement payé cher.

Sous le titre « Lalla Mimouna: La face émergée » +LEconomiste+ écrit que les exportateurs de la fraise voient rouge. Le détonateur tient, bien évidemment, à la crise sans précédent du coronavirus déclarée dans la province de Kénitra.

Près d’un millier d’ouvrières et ouvriers des stations de conditionnement y ont été testés positifs. Le chiffre est à la fois ahurissant et alarmant, vu les mesures édictées dans le cadre de l’état d’urgence. Néanmoins, la profession s’en défend.

Cité par le quotidien, le président de la Fédération marocaine des fruits rouges, Mohamed El Omari, ne mâche pas ses mots. Il condamne « l’intimidation des médias, la désinformation de l’opinion publique et le ciblage du secteur des fruits rouges ».

Dans le même sillage, +L’Opinion+ C’est sans doute le cluster le plus important et le plus regrettable jamais enregistré depuis le début de la pandémie au Maroc. Le nombre de contaminations qu’il a générées dans la région ne cesse d’augmenter jour après jour, totalisant à la date du mercredi 24 juin plus de 800 cas.

C’est aussi un cluster qui était facilement évitable puisque survenu dans un timing de presque fin de pandémie, à un moment où l’ensemble des équipements et dispositifs de protection sanitaire étaient disponibles et facile d’accès, souligne le quotidien.

Bienvenus à Lalla Mimouna, site symbole d’une faillite organisationnelle en matière de gestion de la protection sanitaire sur les lieux de production et objet actuellement d’une enquête judiciaire, ajoutre-t-il.

Abordant les perspectives de coopération entre le Maroc et le Royaume-Uni, +Al Bayane+ relève que suite au Brexit, Londres se rabat sur de nouvelles alliances commerciales, hors du camp européen pour revigorer les échanges et fortifier les rétributions.

« Notre pays semble un allié de marque à conclure des opportunités d’affaires », estime le journal, d’autant plus que le Maroc, de par sa position stratégique privilégiée, est de nature à tendre des passerelles de transition pour le marché africain, en termes d’investissements.

De même, il inspire toujours confiance en ce sens qu’il requiert la stabilité susceptible de rassurer les alliances, ajoute le quotidien, faisant remarquer que « notre pays renferme des atouts de haute facture, confortés ces 20 dernières années, à travers diverses réformes, en matière de projets socio-économiques et infrastructurels ».

La même publication informe que le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani a affirmé que le Comité national de l’environnement des affaires (CNEA) entamera dans les prochains jours l’élaboration d’une politique nationale intégrée visant à améliorer le climat des affaires, basée essentiellement sur les résultats de l’enquête nationale sur les obstacles au développement du secteur privé, menée par le Comité en 2019 en partenariat avec des experts internationaux.

Selon lui, le CNEA « s’emploiera cette année à préparer et développer une politique nationale intégrée pour améliorer le climat des affaires », selon un communiqué du Département du chef du gouvernement, cité par la publication.

L’explosion du nombre de contaminations à la Covid-19 et le climat des affaires au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce jeudi se focalisent sur l’augmentation des chiffres de contamination à la Covid-19, les opportunités d’affaires avec le Royaume-Uni et l’amélioration du climat d’affaires au Maroc.Commentant la flambée des chiffres des cas testés positifs au coronavirus, +Aujourd’hui le Maroc+ écrit que si le confinement ne pourra pas perdurer beaucoup plus longtemps, le virus, lui, continue de circuler partout dans le monde et notre pays ne déroge pas à la règle.

La solution est toute simple, souligne le journal: « Il ne faut pas baisser la garde. Même si la vie doit reprendre normalement au cours des prochains jours, semaines et mois, il est nécessaire de continuer à observer et respecter scrupuleusement les gestes de prévention ».

Ces gestes doivent devenir un réflexe du moment qu’il faudra cohabiter encore plus longtemps avec le virus, soutient-il, notant que le moindre relâchement ou comportement hasardeux sera malheureusement payé cher.

Sous le titre « Lalla Mimouna: La face émergée » +LEconomiste+ écrit que les exportateurs de la fraise voient rouge. Le détonateur tient, bien évidemment, à la crise sans précédent du coronavirus déclarée dans la province de Kénitra.

Près d’un millier d’ouvrières et ouvriers des stations de conditionnement y ont été testés positifs. Le chiffre est à la fois ahurissant et alarmant, vu les mesures édictées dans le cadre de l’état d’urgence. Néanmoins, la profession s’en défend.

Cité par le quotidien, le président de la Fédération marocaine des fruits rouges, Mohamed El Omari, ne mâche pas ses mots. Il condamne « l’intimidation des médias, la désinformation de l’opinion publique et le ciblage du secteur des fruits rouges ».

Dans le même sillage, +L’Opinion+ C’est sans doute le cluster le plus important et le plus regrettable jamais enregistré depuis le début de la pandémie au Maroc. Le nombre de contaminations qu’il a générées dans la région ne cesse d’augmenter jour après jour, totalisant à la date du mercredi 24 juin plus de 800 cas.

C’est aussi un cluster qui était facilement évitable puisque survenu dans un timing de presque fin de pandémie, à un moment où l’ensemble des équipements et dispositifs de protection sanitaire étaient disponibles et facile d’accès, souligne le quotidien.

Bienvenus à Lalla Mimouna, site symbole d’une faillite organisationnelle en matière de gestion de la protection sanitaire sur les lieux de production et objet actuellement d’une enquête judiciaire, ajoutre-t-il.

Abordant les perspectives de coopération entre le Maroc et le Royaume-Uni, +Al Bayane+ relève que suite au Brexit, Londres se rabat sur de nouvelles alliances commerciales, hors du camp européen pour revigorer les échanges et fortifier les rétributions.

« Notre pays semble un allié de marque à conclure des opportunités d’affaires », estime le journal, d’autant plus que le Maroc, de par sa position stratégique privilégiée, est de nature à tendre des passerelles de transition pour le marché africain, en termes d’investissements.

De même, il inspire toujours confiance en ce sens qu’il requiert la stabilité susceptible de rassurer les alliances, ajoute le quotidien, faisant remarquer que « notre pays renferme des atouts de haute facture, confortés ces 20 dernières années, à travers diverses réformes, en matière de projets socio-économiques et infrastructurels ».

La même publication informe que le chef du gouvernement Saad Dine El Otmani a affirmé que le Comité national de l’environnement des affaires (CNEA) entamera dans les prochains jours l’élaboration d’une politique nationale intégrée visant à améliorer le climat des affaires, basée essentiellement sur les résultats de l’enquête nationale sur les obstacles au développement du secteur privé, menée par le Comité en 2019 en partenariat avec des experts internationaux.

Selon lui, le CNEA « s’emploiera cette année à préparer et développer une politique nationale intégrée pour améliorer le climat des affaires », selon un communiqué du Département du chef du gouvernement, cité par la publication.