La presse sénégalaise passe au crible la gestion du coronavirus

Les quotidiens sénégalais parvenus samedi à APA traitent d’une diversité de sujets, dominés par les critiques émises dans la gestion de la pandémie de Covid-19 dans le pays.« Capitulation et opacité » sur la gestion du coronavirus, titre EnQuête, soulignant que le Sénégal risque de sortir de cette pandémie avec un système de santé « plus malade que jamais ».

« Les systèmes de santé n’ont pas vu l’argent » et puis « il y a beaucoup de gaspillage dans la qualité de l’investissement », dénoncent certains acteurs. Un autre soutient par ailleurs que « nous continuons la sensibilisation en réadaptant la stratégie ».

En revanche, L’Observateur souligne que « l’argent infecte la gestion des malades du coronavirus », rapportant qu’une réunion de crise s’est tenue au ministère de la Santé qui « a atteint ses limites objectives en termes de finances ». Le journal fait part également des révélations du collectif des médecins de garde sur « leur mauvais traitement ».

Avançant dans ce sujet, L’AS note que « les médecins désertent les malades de Covid » : un mouvement d’humeur constaté à Dalal Jamm et Diamniadio, deux structures de traitement de la région de Dakar.

Par ailleurs, le journal souligne que des patients sont désormais pris en charge chez eux face à « l’explosion des cas de Covid-19 ».

Faisant le décompte macabre, Vox Populi note que « le Sénégal frôle les 100 morts » du coronavirus. Les quatre nouveaux décès enregistrés hier portent le bilan à 98 victimes.

Même si un nombre supérieur de guérisons a été enregistré depuis l’apparition en mars du premier patient, « la barre des 2000 cas actifs (a été) franchie » hier dont 27 cas graves suivis en réanimation. Le journal s’inquiète ainsi de la propagation « dangereuse » de la pandémie au Sénégal « avec son lot de morts ».

Face à cette situation toutefois, Le Quotidien note que le président se trouve devant « deux cas » à résoudre : la loi d’habilitation et l’état d’urgence, qui suscitent des « questions autour d’une prorogation ».

Sur l’approvisionnement en eau à Dakar, le quotidien national Le Soleil salue les « gros efforts de l’Etat en dépit des pénuries ».

Le journal souligne en même temps, que dans le programme des 100.000 logements, « l’Etat sera majoritaire dans la société d’aménagement foncier » et 20% des habitations seront réservés aux Sénégalais de la diaspora.

Après le rappel à Dieu du porte-parole du khalife des Tidianes jeudi, le khalife de Thiénaba, Cheikh Ahmed Tidiane Seck, a à son tour hier vendredi, « rendu l’âme dans le véhicule de son fils », selon L’AS. Pour Le Soleil, « le Sénégal perd un grand érudit ». Serigne Abdou Rahim Seck est intronisé nouveau khalife.

En lutte sénégalaise, ce journal s’intéresse dans un dossier aux lutteurs en fin de carrière. « Après la renommée, la galère pour certaines anciennes gloires », constate-t-il.

Le quotidien spécialisé Record annonce que Sa Thiès, cadet de Balla Gaye 2, est « courtisé par quatre promoteurs » pour affronter Reug Reug, Garga ou Yékini Jr.

En football, le journal revient sur le sacre de Sadio Mané et Liverpool que « les Sénégalais savourent ». Cerise sur le gâteau : « Sadio (est) plébiscité par ses pairs » pour le titre de meilleur joueur de la saison en Premier League.

Par ailleurs, Record pense que le défenseur international Kalidou Koulibaly va se diriger vers Manchester City pour signer un contrat de cinq ans qui va rapporter 51 milliards FCFA à son actuel club italien, Naples.

Plus catégorique, Stades note que le club anglais est « en passe de rafler la mise » devant Liverpool et le rival local Manchester United. City va débourser un montant de « 54 milliards FCFA » plutôt, sur un bail de cinq ans pour le meilleur défenseur de la Série A italienne en titre, estime le journal sportif.

La presse sénégalaise passe au crible la gestion du coronavirus

Les quotidiens sénégalais parvenus samedi à APA traitent d’une diversité de sujets, dominés par les critiques émises dans la gestion de la pandémie de Covid-19 dans le pays.« Capitulation et opacité » sur la gestion du coronavirus, titre EnQuête, soulignant que le Sénégal risque de sortir de cette pandémie avec un système de santé « plus malade que jamais ».

« Les systèmes de santé n’ont pas vu l’argent » et puis « il y a beaucoup de gaspillage dans la qualité de l’investissement », dénoncent certains acteurs. Un autre soutient par ailleurs que « nous continuons la sensibilisation en réadaptant la stratégie ».

En revanche, L’Observateur souligne que « l’argent infecte la gestion des malades du coronavirus », rapportant qu’une réunion de crise s’est tenue au ministère de la Santé qui « a atteint ses limites objectives en termes de finances ». Le journal fait part également des révélations du collectif des médecins de garde sur « leur mauvais traitement ».

Avançant dans ce sujet, L’AS note que « les médecins désertent les malades de Covid » : un mouvement d’humeur constaté à Dalal Jamm et Diamniadio, deux structures de traitement de la région de Dakar.

Par ailleurs, le journal souligne que des patients sont désormais pris en charge chez eux face à « l’explosion des cas de Covid-19 ».

Faisant le décompte macabre, Vox Populi note que « le Sénégal frôle les 100 morts » du coronavirus. Les quatre nouveaux décès enregistrés hier portent le bilan à 98 victimes.

Même si un nombre supérieur de guérisons a été enregistré depuis l’apparition en mars du premier patient, « la barre des 2000 cas actifs (a été) franchie » hier dont 27 cas graves suivis en réanimation. Le journal s’inquiète ainsi de la propagation « dangereuse » de la pandémie au Sénégal « avec son lot de morts ».

Face à cette situation toutefois, Le Quotidien note que le président se trouve devant « deux cas » à résoudre : la loi d’habilitation et l’état d’urgence, qui suscitent des « questions autour d’une prorogation ».

Sur l’approvisionnement en eau à Dakar, le quotidien national Le Soleil salue les « gros efforts de l’Etat en dépit des pénuries ».

Le journal souligne en même temps, que dans le programme des 100.000 logements, « l’Etat sera majoritaire dans la société d’aménagement foncier » et 20% des habitations seront réservés aux Sénégalais de la diaspora.

Après le rappel à Dieu du porte-parole du khalife des Tidianes jeudi, le khalife de Thiénaba, Cheikh Ahmed Tidiane Seck, a à son tour hier vendredi, « rendu l’âme dans le véhicule de son fils », selon L’AS. Pour Le Soleil, « le Sénégal perd un grand érudit ». Serigne Abdou Rahim Seck est intronisé nouveau khalife.

En lutte sénégalaise, ce journal s’intéresse dans un dossier aux lutteurs en fin de carrière. « Après la renommée, la galère pour certaines anciennes gloires », constate-t-il.

Le quotidien spécialisé Record annonce que Sa Thiès, cadet de Balla Gaye 2, est « courtisé par quatre promoteurs » pour affronter Reug Reug, Garga ou Yékini Jr.

En football, le journal revient sur le sacre de Sadio Mané et Liverpool que « les Sénégalais savourent ». Cerise sur le gâteau : « Sadio (est) plébiscité par ses pairs » pour le titre de meilleur joueur de la saison en Premier League.

Par ailleurs, Record pense que le défenseur international Kalidou Koulibaly va se diriger vers Manchester City pour signer un contrat de cinq ans qui va rapporter 51 milliards FCFA à son actuel club italien, Naples.

Plus catégorique, Stades note que le club anglais est « en passe de rafler la mise » devant Liverpool et le rival local Manchester United. City va débourser un montant de « 54 milliards FCFA » plutôt, sur un bail de cinq ans pour le meilleur défenseur de la Série A italienne en titre, estime le journal sportif.

Le décès d’un guide religieux à la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus vendredi à APA traitent principalement du rappel à Dieu du porte-parole du khalife général des Tidianes, Serigne Pape Malick Sy.« Tivaouane touché au cœur », titre EnQuête, soulignant que le porte-parole des Tidianes s’est éteint à l’âge de 80 ans. Pour le journal, le défunt était « l’élégance, l’éloquence et la pédagogie » personnifiées.

C’est « la sublime voix de Tivaouane (qui) s’est éteinte » selon Vox Populi là où Le Quotidien note que « la voix Sy s’est tue ». Une « foule énorme » étant venue assister à ses obsèques, Serigne Pape Malick Sy repose désormais auprès de son frère Cheikh Tidiane Sy Al Maktoum.

« L’influence d’Al Maktoum lui avait transmis le virus de la politique », souligne EnQuête.

L’Observateur et L’AS racontent « les derniers instants de Pape Malick Sy ». Alité depuis 72h, il a visité il y a une semaine le mausolée avant de discuter de la mort.

Après « l’émouvant témoignage » du khalife général Serigne Mbaye Sy Mansour, le président Macky Sall l’a qualifié dans Le Soleil d’un « homme d’une exquise courtoisie ». Le défunt religieux fut « le Tidiane intégral », selon le quotidien national, qui rapporte également l’hommage de la communauté musulmane.

Sur l’actualité locale de la pandémie du coronavirus, Libération informe que 1976 malades sont sous traitement dont 24 patients en réanimation et un 94e décès enregistré hier. Par ailleurs, le journal alerte sur le « risque de saturation dans les structures de santé ».

Pendant ce temps, souligne L’Observateur, « les médecins de garde abandonnent les malades du Covid-19 ». Ce sont des étudiants de 7e et 8e année de médecine intervenant dans les centres de traitement, qui ont décidé de se retirer des salles de soins aujourd’hui pour protester contre le non-paiement de leurs primes, explique le journal.

Le Quotidien note que « le virus entre en prison », un premier cas positif enregistré dans la région de Thiès (70 km de Dakar).

En football, Stades et Record s’accordent tous à reconnaître le statut de « roi d’Angleterre » à Sadio Mané, sacré hier avec son club champion de la Premier League après 30 ans d’attente. C’est après la défaite (2-1) hier soir du dauphin et champion en titre, Manchester City, face à Chelsea, que les choses sont devenues claires pour les Reds.

Ainsi, le Lion devient le « premier Sénégalais champion d’Angleterre » et entre « un peu plus dans la légende ». Revenant sur le parcours, la star sénégalaise souligne que « le chemin était long et parsemé d’embuches ».

Par ailleurs, estime le président de la Fédération de football, Augustin Senghor, le sacre de Sadio Mané représente « une nouvelle page de l’histoire du football sénégalais ».

Le décès d’un guide religieux à la Une de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus vendredi à APA traitent principalement du rappel à Dieu du porte-parole du khalife général des Tidianes, Serigne Pape Malick Sy.« Tivaouane touché au cœur », titre EnQuête, soulignant que le porte-parole des Tidianes s’est éteint à l’âge de 80 ans. Pour le journal, le défunt était « l’élégance, l’éloquence et la pédagogie » personnifiées.

C’est « la sublime voix de Tivaouane (qui) s’est éteinte » selon Vox Populi là où Le Quotidien note que « la voix Sy s’est tue ». Une « foule énorme » étant venue assister à ses obsèques, Serigne Pape Malick Sy repose désormais auprès de son frère Cheikh Tidiane Sy Al Maktoum.

« L’influence d’Al Maktoum lui avait transmis le virus de la politique », souligne EnQuête.

L’Observateur et L’AS racontent « les derniers instants de Pape Malick Sy ». Alité depuis 72h, il a visité il y a une semaine le mausolée avant de discuter de la mort.

Après « l’émouvant témoignage » du khalife général Serigne Mbaye Sy Mansour, le président Macky Sall l’a qualifié dans Le Soleil d’un « homme d’une exquise courtoisie ». Le défunt religieux fut « le Tidiane intégral », selon le quotidien national, qui rapporte également l’hommage de la communauté musulmane.

Sur l’actualité locale de la pandémie du coronavirus, Libération informe que 1976 malades sont sous traitement dont 24 patients en réanimation et un 94e décès enregistré hier. Par ailleurs, le journal alerte sur le « risque de saturation dans les structures de santé ».

Pendant ce temps, souligne L’Observateur, « les médecins de garde abandonnent les malades du Covid-19 ». Ce sont des étudiants de 7e et 8e année de médecine intervenant dans les centres de traitement, qui ont décidé de se retirer des salles de soins aujourd’hui pour protester contre le non-paiement de leurs primes, explique le journal.

Le Quotidien note que « le virus entre en prison », un premier cas positif enregistré dans la région de Thiès (70 km de Dakar).

En football, Stades et Record s’accordent tous à reconnaître le statut de « roi d’Angleterre » à Sadio Mané, sacré hier avec son club champion de la Premier League après 30 ans d’attente. C’est après la défaite (2-1) hier soir du dauphin et champion en titre, Manchester City, face à Chelsea, que les choses sont devenues claires pour les Reds.

Ainsi, le Lion devient le « premier Sénégalais champion d’Angleterre » et entre « un peu plus dans la légende ». Revenant sur le parcours, la star sénégalaise souligne que « le chemin était long et parsemé d’embuches ».

Par ailleurs, estime le président de la Fédération de football, Augustin Senghor, le sacre de Sadio Mané représente « une nouvelle page de l’histoire du football sénégalais ».

La quarantaine du chef de l’Etat alimente la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA traitent principalement de l’isolement du président Macky Sall après avoir été en contact avec un malade de la Covid-19.« Covid-19 au cœur de l’Etat », titre Libération, soulignant que le Français Emmanuel Macron « annule sa visite au Sénégal prévue mardi » après avoir été au courant de la mise en quarantaine de son homologue sénégalais.

Le journal note par ailleurs que la députée Yéya Diallo est testée positive après avoir participé aux travaux de la commission des lois « qui accueillait la ministre (de la Justice) Malick Sall ».

Plusieurs députés sont sur la liste des « contacts » du ministère de la Santé là où l’ancien ministre Bamba Ndiaye est également « touché ».

Titrant sur la contamination de la députée Yéya Diallo et la quarantaine du président Sall, L’AS qui parle d’une « propagation inquiétante », souligne que trois ministres et près de 40 députés contacts de la députée sont « en observation ». Toutefois, précise le président du groupe parlementaire de la majorité, Aymérou Gningue : « Il n’y a pas de risque de propagation à l’Assemblée. On a respecté le protocole depuis le début ».

Ainsi « Corona fait des ravages au sommet de l’Etat », estime Vox Populi qui indique que le secrétaire particulier du ministre Aly Ngouille Ndiaye est « emporté par le virus ».

L’Observateur fait des « révélations sur la quarantaine de Macky Sall » en relatant l’histoire du test, le Conseil des ministres et la « peur » au Palais.

Le coronavirus n’épargne pas aussi l’école avec « une rentrée déjà infectée », d’après le journal. Les cours reprennent ce jeudi pour les élèves en classes d’examen, mais un enseignant est testé positif hier à Bignona, dans le sud du pays.

« Une rentrée sous haute surveillance », titre EnQuête, constatant que la réouverture des classes se fait au moment où la Covid « sévit de plus belle ».

Dans Le Quotidien, les syndicalistes du Sames injectent une « piqûre » pour critiquer la gestion du coronavirus au Sénégal. « La cacophonie du gouvernement a conduit à la banalisation de la maladie », a déploré le syndicat de santé. Dans sa « colère froide », écrit EnQuête, le Sames « va demander l’arrêt des missions de prélèvement sur le terrain », ajoute Vox Populi.

Le quotidien national Le Soleil revient sur le Conseil des ministres d’hier et note que « Macky Sall demande la cartographie intégrale des assiettes foncières » de Diamniadio, Lac Rose et Daga Kholpa. Il a par ailleurs décidé de confier les 30 hectares de l’aéroport de Yoff à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

Selon L’AS, ces terres vont servir à « financer » le programme des 100.000 logements.

En fait divers, Libération donne « tous les éléments du dossier » du journaliste Cheikh Yérim Seck, cité dans une affaire d’avortement mais finalement libéré après son interpellation.

Cependant, il est placé « de nouveau sous contrôle judiciaire » après avoir récemment accusé la gendarmerie de détournement de fonds, selon EnQuête. Mais pour Le Quotidien, c’est « prison avortée pour Yérim ».

En football, Stades et Record attendent le sacre de Liverpool de Sadio Mané, ce jeudi. En effet un nul dans le match Chelsea-City de ce soir « suffira » aux Reds pour remporter le titre qu’ils cherchent depuis 30 ans.

La quarantaine du chef de l’Etat alimente la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA traitent principalement de l’isolement du président Macky Sall après avoir été en contact avec un malade de la Covid-19.« Covid-19 au cœur de l’Etat », titre Libération, soulignant que le Français Emmanuel Macron « annule sa visite au Sénégal prévue mardi » après avoir été au courant de la mise en quarantaine de son homologue sénégalais.

Le journal note par ailleurs que la députée Yéya Diallo est testée positive après avoir participé aux travaux de la commission des lois « qui accueillait la ministre (de la Justice) Malick Sall ».

Plusieurs députés sont sur la liste des « contacts » du ministère de la Santé là où l’ancien ministre Bamba Ndiaye est également « touché ».

Titrant sur la contamination de la députée Yéya Diallo et la quarantaine du président Sall, L’AS qui parle d’une « propagation inquiétante », souligne que trois ministres et près de 40 députés contacts de la députée sont « en observation ». Toutefois, précise le président du groupe parlementaire de la majorité, Aymérou Gningue : « Il n’y a pas de risque de propagation à l’Assemblée. On a respecté le protocole depuis le début ».

Ainsi « Corona fait des ravages au sommet de l’Etat », estime Vox Populi qui indique que le secrétaire particulier du ministre Aly Ngouille Ndiaye est « emporté par le virus ».

L’Observateur fait des « révélations sur la quarantaine de Macky Sall » en relatant l’histoire du test, le Conseil des ministres et la « peur » au Palais.

Le coronavirus n’épargne pas aussi l’école avec « une rentrée déjà infectée », d’après le journal. Les cours reprennent ce jeudi pour les élèves en classes d’examen, mais un enseignant est testé positif hier à Bignona, dans le sud du pays.

« Une rentrée sous haute surveillance », titre EnQuête, constatant que la réouverture des classes se fait au moment où la Covid « sévit de plus belle ».

Dans Le Quotidien, les syndicalistes du Sames injectent une « piqûre » pour critiquer la gestion du coronavirus au Sénégal. « La cacophonie du gouvernement a conduit à la banalisation de la maladie », a déploré le syndicat de santé. Dans sa « colère froide », écrit EnQuête, le Sames « va demander l’arrêt des missions de prélèvement sur le terrain », ajoute Vox Populi.

Le quotidien national Le Soleil revient sur le Conseil des ministres d’hier et note que « Macky Sall demande la cartographie intégrale des assiettes foncières » de Diamniadio, Lac Rose et Daga Kholpa. Il a par ailleurs décidé de confier les 30 hectares de l’aéroport de Yoff à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

Selon L’AS, ces terres vont servir à « financer » le programme des 100.000 logements.

En fait divers, Libération donne « tous les éléments du dossier » du journaliste Cheikh Yérim Seck, cité dans une affaire d’avortement mais finalement libéré après son interpellation.

Cependant, il est placé « de nouveau sous contrôle judiciaire » après avoir récemment accusé la gendarmerie de détournement de fonds, selon EnQuête. Mais pour Le Quotidien, c’est « prison avortée pour Yérim ».

En football, Stades et Record attendent le sacre de Liverpool de Sadio Mané, ce jeudi. En effet un nul dans le match Chelsea-City de ce soir « suffira » aux Reds pour remporter le titre qu’ils cherchent depuis 30 ans.

La situation de la Covid-19 à la Une dans la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mercredi à APA traitent principalement de la situation épidémiologique de la pandémie à coronavirus.«Le Sénégal franchit le cap des 6000 cas » de coronavirus, titre Vox Populi, soulignant que la capitale Dakar « culmine à plus de 4500 contaminés ».

Libération précise que « le Sénégal a recensé 6034 cas » dont 4585 pour la région de Dakar.

En revanche, le quotidien national Le Soleil note qu’il y a « plus de 4000 infectés guéris ».

Par ailleurs, le syndicat « And Gueusseum » déplore dans Vox Populi « un retard de prise en charge des malades et de suivi des cas asymptomatiques ».

L’AS titre sur la polémique autour du foncier et note que les habitants de « Guéréo déchire(nt) le décret » attribuant des terres en faveur de Decameron à Somone. Un peu plus loin, Le Quotidien souligne que la région de Thiès est « sur de mauvais rails ».

L’Observateur publie son enquête sur Djibril Diallo, « l’homme qui fait des vagues sur le littoral ». Il est le « propriétaire des 2000 m2 sur la corniche dakaroise », renseigne le journal qui raconte « la vraie histoire » de ce diplomate.

Sur un autre sujet, l’expert financier Mouhaled Dia déclare dans le quotidien que « le Sénégal est sous ajustement structurel depuis longtemps ».

EnQuête souligne par ailleurs que « la Covid impose son budget » à la loi des finances rectificative. Le journal note que « l’économie vire au rouge » vu qu’il est attendu un taux de croissance de 1,1% et un déficit budgétaire fixé à 872,8 milliards. Les projections de recettes « s’établissent » à 3144,4 milliards pour 4017,1 milliards de dépenses budgétaires.

En sommaire, le journal reprend la dénonciation de l’opposant Ousmane Sonko sur la violence policière et note que « des écoles (ne sont) pas encore prêtes » pour la reprise des cours prévue demain jeudi.

A propos de la relance de l’économie, le quotidien spécialisé L’info rapporte que « la BCEAO baisse ses taux directeurs ».

Le Quotidien titre sur l’exploitation du pétrole de Sangomar et souligne que « Woodside maintient ses délais ». Ce faisant, « le premier baril (est) prévu en 2023 ».

En football, Record titre sur le match Liverpool – Crystal Palace de ce soir et se demande si Cheikhou Kouyaté ne va pas « retarder le sacre de Sadio » Mané.

En manchette, le journal revient sur la saison de l’internationale Mamy Ndiaye. « Je pouvais marquer plus que ces 27 buts cette saison », a déclaré l’attaquante du Mans FC, en Ligue 2 française.

Les faits divers en vedette dans la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à APA traitent principalement de l’audition du journaliste Cheikh Yérim Seck, poursuivi dans une affaire d’avortement.« L’étau se resserre », titre EnQuête qui a donné hier l’information à propos de l’audition du célèbre journaliste pour un avortement présumé.

Le journal souligne qu’il a été entendu pendant 10 heures, puis libéré sur convocation aujourd’hui, même s’il a « nié en bloc ».

C’est « une sordide affaire », selon Libération qui donne l’identité de la fille en cause qui, « contrairement à la rumeur » (mineure), est une « commerçante âgée de 29 ans ».

Devant les enquêteurs, rapporte le journal, elle jure que le journaliste lui a envoyé de l’argent pour avorter. Mais Cheikh Yérim Seck conteste être l’auteur de la grossesse et assure que c’était pour l’aider à payer son loyer.

Par ailleurs, Libération dépeint la face « sombre » de l’infirmier Yaya Sow qui aurait joué un rôle dans l’avortement.

L’Observateur s’intéresse aussi à l’affaire et livre « les détails de l’audition » là où Le Quotidien juge plus intéressant de mettre à sa Une la condamnation du chanteur Thione Seck à huit mois ferme.

Poursuivi dans une vielle affaire de faux billets, le père de Waly Seck bénéfice en réalité d’un « vrai billet pour la liberté » vu qu’il a déjà purgé cette peine, selon le journal, ajoutant que son complice écope de 5 ans et un milliard d’amende. Par ailleurs, « le leader de Raam Daan se pourvoit en cassation ».

L’As se rappelle la journée mémorable du 23 juin 2011 lors de laquelle une bonne partie du peuple s’était soulevée contre le régime d’Abdoulaye Wade. Mais « aujourd’hui, le M23 n’est qu’un ombre », fait remarquer le droit de l’hommiste Alioune Tine, un des acteurs de ce moment de démocratie du Sénégal.

Vox Populi fait focus sur « la bombe foncière (qui) menace d’exploser », illustrant par la « répression » et la « colère » de populations à Ngor, Bambilor et Kahone.

Par ailleurs, les universitaires s’engagent « dans la bataille du littoral », rapporte le journal qui constate dans sa manchette, à propos de la reprise des cours dans le sud du pays le 25 juin, que la réalité du terrain « réduit à néant » les propos satisfaits de Mamadou Talla, le ministre de l’Education.

Le Soleil informe que la Banque mondiale a octroyé 225 milliards FCFA au Sénégal, une enveloppe destinée « à l’agriculture et à la gestion des déchets ». Par ailleurs, « l’appui budgétaire de 60 milliards de FCFA sera décaissé en une seule tranche dans les prochains jours », précise le quotidien national.

Dans une interview accordée au Financial Times, le président Macky Sall « prédit un sale temps » vu que « nous serons en récession », reprend L’Observateur, qui souligne que les projets pétroliers sont « retardés de 2 ans ».

En football, le latéral international Saliou Ciss explique dans Stades pourquoi il n’a pas réussi en Ligue 1 française.

Record informe que Manchester United a haussé son offre à 52 milliards pour le défenseur Kalidou Koulibaly là où Rennes précise n’avoir reçu « aucune offre, ni contact » pour son attaquant Mbaye Niang.

Le journal rapporte en même temps « l’hommage du monde sportif » à Badara Mamaya Sène, arbitre international et ancien maire de Rufisque décédé hier lundi.

Les faits divers en vedette dans la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à APA traitent principalement de l’audition du journaliste Cheikh Yérim Seck, poursuivi dans une affaire d’avortement.« L’étau se resserre », titre EnQuête qui a donné hier l’information à propos de l’audition du célèbre journaliste pour un avortement présumé.

Le journal souligne qu’il a été entendu pendant 10 heures, puis libéré sur convocation aujourd’hui, même s’il a « nié en bloc ».

C’est « une sordide affaire », selon Libération qui donne l’identité de la fille en cause qui, « contrairement à la rumeur » (mineure), est une « commerçante âgée de 29 ans ».

Devant les enquêteurs, rapporte le journal, elle jure que le journaliste lui a envoyé de l’argent pour avorter. Mais Cheikh Yérim Seck conteste être l’auteur de la grossesse et assure que c’était pour l’aider à payer son loyer.

Par ailleurs, Libération dépeint la face « sombre » de l’infirmier Yaya Sow qui aurait joué un rôle dans l’avortement.

L’Observateur s’intéresse aussi à l’affaire et livre « les détails de l’audition » là où Le Quotidien juge plus intéressant de mettre à sa Une la condamnation du chanteur Thione Seck à huit mois ferme.

Poursuivi dans une vielle affaire de faux billets, le père de Waly Seck bénéfice en réalité d’un « vrai billet pour la liberté » vu qu’il a déjà purgé cette peine, selon le journal, ajoutant que son complice écope de 5 ans et un milliard d’amende. Par ailleurs, « le leader de Raam Daan se pourvoit en cassation ».

L’As se rappelle la journée mémorable du 23 juin 2011 lors de laquelle une bonne partie du peuple s’était soulevée contre le régime d’Abdoulaye Wade. Mais « aujourd’hui, le M23 n’est qu’un ombre », fait remarquer le droit de l’hommiste Alioune Tine, un des acteurs de ce moment de démocratie du Sénégal.

Vox Populi fait focus sur « la bombe foncière (qui) menace d’exploser », illustrant par la « répression » et la « colère » de populations à Ngor, Bambilor et Kahone.

Par ailleurs, les universitaires s’engagent « dans la bataille du littoral », rapporte le journal qui constate dans sa manchette, à propos de la reprise des cours dans le sud du pays le 25 juin, que la réalité du terrain « réduit à néant » les propos satisfaits de Mamadou Talla, le ministre de l’Education.

Le Soleil informe que la Banque mondiale a octroyé 225 milliards FCFA au Sénégal, une enveloppe destinée « à l’agriculture et à la gestion des déchets ». Par ailleurs, « l’appui budgétaire de 60 milliards de FCFA sera décaissé en une seule tranche dans les prochains jours », précise le quotidien national.

Dans une interview accordée au Financial Times, le président Macky Sall « prédit un sale temps » vu que « nous serons en récession », reprend L’Observateur, qui souligne que les projets pétroliers sont « retardés de 2 ans ».

En football, le latéral international Saliou Ciss explique dans Stades pourquoi il n’a pas réussi en Ligue 1 française.

Record informe que Manchester United a haussé son offre à 52 milliards pour le défenseur Kalidou Koulibaly là où Rennes précise n’avoir reçu « aucune offre, ni contact » pour son attaquant Mbaye Niang.

Le journal rapporte en même temps « l’hommage du monde sportif » à Badara Mamaya Sène, arbitre international et ancien maire de Rufisque décédé hier lundi.

Société, justice et politique au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA traitent d’une diversité de sujets, dominés entre autres par les coupures d’eau, l’affaire Pétrotim et l’interpellation du commissaire à la retraite Boubacar Sadio.Vox Populi titre sur les coupures d’eau intempestives et note que « la pénurie d’eau fait bouillir la colère », avec des Dakarois et Rufisquois qui sont « au bord de la crise de nerfs et de la révolte ».

Dans le journal, le ministre de tutelle, Serigne Mbaye Thiam, souligne que « nécessairement des quartiers vont souffrir » même si « c’est faire un mauvais procès à la Sen’Eau que de dire qu’elle a échoué ».

L’Observateur revient sur l’affaire Pétrotim, un scandale révélé par la BBC il y a un an et impliquant le frère du chef de l’Etat, Aliou Sall. Une « enquête d’oubli », selon le journal qui fait la « chronique d’une +Sall affaire+ de pétrole et d’argent ».

Si le réquisitoire définitif du procureur Serigne Bassirou Guèye est « toujours attendu », le député Mamadou Lamine Diallo (opposition) note que « tôt ou tard la lumière sera faite sur cette affaire ».

A propos du commissaire à la retraite Boubacar Sadio, cueilli par la DIC avant d’être libéré, il repasse aujourd’hui devant les policiers enquêteurs, d’après Libération et L’As

Vox Populi explique que le commissaire Sadio a publié une tribune incendiaire contre le président de la République. Le Quotidien ajoute qu’il a été gardé à vue « pour un texte d’opinion ».

Sur le coronavirus, Libération revient sur une « semaine macabre pour le Sénégal » : « 24 morts en 7 jours ». Le journal souligne que les cinq décès enregistrés le week-end portent le bilan à 84 morts.

L’Observateur rapporte de « croustillantes anecdotes sur les malades » : un patient qui demande « une bière bien glacée » et un autre qui veut rentrer chez lui parce que sa femme lui « manque ».

Si le virus « poursuit sa progression », constate le quotidien national Le Soleil, le professeur Khadiyatoulah « trace la voie » pour la gestion de l’ère post-Covid-19.

Le Quotidien publie un dossier sur la dénomination des rues et places et note une « statue quo ». Selon le journal, les villes de Saint-Louis et Rufisque sont victimes d’une « décolonisation inachevée ».

Le maire de Gorée Augustin Senghor veut « qu’on garde intacte (l’île mémoire) avec ses rues » là où son homologue de Dakar Plateau, Alioune Ndoye, « souhaite un débat sur la question ».

Sur le processus de paix en Casamance, le journal souligne qu’une « partie du MFDC dépose les armes ».

En politique, Pape Samba Mboup, ancien proche du président Abdoulaye Wade, « balise le chemin à Macky » Sall, son successeur, pour un troisième mandat.

En fait divers, EnQuête flaire « le roussi pour (Cheikh) Yérim » Seck, impliqué dans « une sombre affaire d’avortement ». Mais le quotidien se pose la question de savoir si ce n’est pas un « règlement de comptes », puisque le célèbre journaliste est déjà sous contrôle judiciaire après avoir accusé des institutions et personnalités de détournements de fonds.

En football, les Lions de la Premier League ont repris service selon Stades : « Sadio et Sarr affûtés, Kouyaté très solide ». Même si le leader Liverpool retarde l’échéance, accroché hier dimanche à Everton, Sadio Mané a été « le meilleur » de cette partie.

Avec cette forme, son entraineur Jurgen « Klopp craint un départ de Sadio » qui n’a toujours pas prolongé, selon Record.

Le président de la Fédération sénégalaise de handball, Seydou Diouf, déclare dans plusieurs autres journaux qu’il sera « candidat à (sa) propre succession ».

Société, justice et politique au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus lundi à APA traitent d’une diversité de sujets, dominés entre autres par les coupures d’eau, l’affaire Pétrotim et l’interpellation du commissaire à la retraite Boubacar Sadio.Vox Populi titre sur les coupures d’eau intempestives et note que « la pénurie d’eau fait bouillir la colère », avec des Dakarois et Rufisquois qui sont « au bord de la crise de nerfs et de la révolte ».

Dans le journal, le ministre de tutelle, Serigne Mbaye Thiam, souligne que « nécessairement des quartiers vont souffrir » même si « c’est faire un mauvais procès à la Sen’Eau que de dire qu’elle a échoué ».

L’Observateur revient sur l’affaire Pétrotim, un scandale révélé par la BBC il y a un an et impliquant le frère du chef de l’Etat, Aliou Sall. Une « enquête d’oubli », selon le journal qui fait la « chronique d’une +Sall affaire+ de pétrole et d’argent ».

Si le réquisitoire définitif du procureur Serigne Bassirou Guèye est « toujours attendu », le député Mamadou Lamine Diallo (opposition) note que « tôt ou tard la lumière sera faite sur cette affaire ».

A propos du commissaire à la retraite Boubacar Sadio, cueilli par la DIC avant d’être libéré, il repasse aujourd’hui devant les policiers enquêteurs, d’après Libération et L’As

Vox Populi explique que le commissaire Sadio a publié une tribune incendiaire contre le président de la République. Le Quotidien ajoute qu’il a été gardé à vue « pour un texte d’opinion ».

Sur le coronavirus, Libération revient sur une « semaine macabre pour le Sénégal » : « 24 morts en 7 jours ». Le journal souligne que les cinq décès enregistrés le week-end portent le bilan à 84 morts.

L’Observateur rapporte de « croustillantes anecdotes sur les malades » : un patient qui demande « une bière bien glacée » et un autre qui veut rentrer chez lui parce que sa femme lui « manque ».

Si le virus « poursuit sa progression », constate le quotidien national Le Soleil, le professeur Khadiyatoulah « trace la voie » pour la gestion de l’ère post-Covid-19.

Le Quotidien publie un dossier sur la dénomination des rues et places et note une « statue quo ». Selon le journal, les villes de Saint-Louis et Rufisque sont victimes d’une « décolonisation inachevée ».

Le maire de Gorée Augustin Senghor veut « qu’on garde intacte (l’île mémoire) avec ses rues » là où son homologue de Dakar Plateau, Alioune Ndoye, « souhaite un débat sur la question ».

Sur le processus de paix en Casamance, le journal souligne qu’une « partie du MFDC dépose les armes ».

En politique, Pape Samba Mboup, ancien proche du président Abdoulaye Wade, « balise le chemin à Macky » Sall, son successeur, pour un troisième mandat.

En fait divers, EnQuête flaire « le roussi pour (Cheikh) Yérim » Seck, impliqué dans « une sombre affaire d’avortement ». Mais le quotidien se pose la question de savoir si ce n’est pas un « règlement de comptes », puisque le célèbre journaliste est déjà sous contrôle judiciaire après avoir accusé des institutions et personnalités de détournements de fonds.

En football, les Lions de la Premier League ont repris service selon Stades : « Sadio et Sarr affûtés, Kouyaté très solide ». Même si le leader Liverpool retarde l’échéance, accroché hier dimanche à Everton, Sadio Mané a été « le meilleur » de cette partie.

Avec cette forme, son entraineur Jurgen « Klopp craint un départ de Sadio » qui n’a toujours pas prolongé, selon Record.

Le président de la Fédération sénégalaise de handball, Seydou Diouf, déclare dans plusieurs autres journaux qu’il sera « candidat à (sa) propre succession ».

La démission d’Aloyse Diouf et le Coronavirus au menu des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce samedi à APA traitent essentiellement de la démission surprise du directeur de Cabinet du ministre de la Santé et de l’Action sociale, Docteur Aloyse Diouf, aux côtés d’autres sujets liés au Coronavirus.« Aloyse, un cas commentaires », affiche Le Quotidien qui soutient que « la démission-surprise du directeur de Cabinet du ministre de la Santé a suscité moult interrogations et commentaires au sein de l’opinion. (Car) ce départ intervient en pleine lutte contre le coronavirus au Sénégal ».

Arguant que cette démission « était une nouvelle inattendue », le journal donne la parole au principal concerné qui déclare : « Il n y a aucun problème entre le ministre de la Santé et moi. Et d’ailleurs, je le remercie profondément pour m’avoir conseillé, pour m’avoir soutenu et avoir béni mon départ ».

L’habitué des points du jour sur la situation de la Covid-19 au Sénégal coupe ainsi court à toutes ces rumeurs qui faisaient état d’une divergence entre son ex-mentor et lui et relayées notamment par Walf Quotidien qui barre sa Une par ce titre : « Un départ, des interrogations ».

Dans les colonnes de Walf Quotidien, Aloyse Diouf détaille en ces termes les raisons de son départ : « Je quitte le ministère de la Santé et de l’Action sociale, mais je reste quand-même dans le secteur de la santé, parce que je devais partir depuis longtemps rejoindre mon poste au niveau de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms). Mais compte tenu de la pandémie de Covid-19, j’étais obligé de rester pour participer au combat contre cette maladie. Mais, aujourd’hui, le délai qui m’étais fixé est arrivé à termes, je dois partir ».

Sous le titre « les vérités du Dr Aloyse Waly Diouf », L’Observateur donne la parole au désormais ex-numéro 2 du ministère de la Santé qui « revient sur les péripéties de son départ, les critiques de part et d’autre ».

Le même journal informe par ailleurs qu’Aloyse Waly Diouf a été immédiatement remplacé par Alphonse Ousmane Thiaw qui « était jusque-là le conseiller juridique de la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna) ».

Libération consacre sa parution du jour à l’enchainement macabre dû à la Covid-19 et arbore cette titraille : « Le bilan passe à 79 morts. Plusieurs localités encore touchées, hier. 150 000 nouveaux cas recensés dans le monde en une seule journée. Le chef de l’Oms alerte : +Le monde est entré dans une nouvelle phase dangereuse ».

Malgré cette situation qui devient de plus en plus critique, « des médecins menacent de quitter les centres de traitement de la Covid-19 » à cause du non-paiement de salaires et des primes de motivations, et des mauvaises conditions de travail, signale L’AS quotidien.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se penche sur le déclassement programmé de la forêt de Mbao et parle d’« OPA sur le poumon de Dakar ». A en croire nos confrères, « ce projet va porter l’estocade sur la 2ème ville la plus polluée d’Afrique ».

De son côté, le quotidien national Le Soleil s’intéresse aux violences policières sur les Afro-américains en effectuant une « plongée » dans ce qu’il qualifie de « spirale meurtrière ».

« L’histoire des peuples est traversée par une série de violences. Celles en cours aux Etats-Unis et exercée sur les Afro-Américains (Africains-Américains pour certains) porte les stigmates d’un douloureux cheminement entre les communautés. Des Noirs, victimes d’atrocités policières, en ont payé de leurs vies », font remarquer nos confrères.

La démission d’Aloyse Diouf et le Coronavirus au menu des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce samedi à APA traitent essentiellement de la démission surprise du directeur de Cabinet du ministre de la Santé et de l’Action sociale, Docteur Aloyse Diouf, aux côtés d’autres sujets liés au Coronavirus.« Aloyse, un cas commentaires », affiche Le Quotidien qui soutient que « la démission-surprise du directeur de Cabinet du ministre de la Santé a suscité moult interrogations et commentaires au sein de l’opinion. (Car) ce départ intervient en pleine lutte contre le coronavirus au Sénégal ».

Arguant que cette démission « était une nouvelle inattendue », le journal donne la parole au principal concerné qui déclare : « Il n y a aucun problème entre le ministre de la Santé et moi. Et d’ailleurs, je le remercie profondément pour m’avoir conseillé, pour m’avoir soutenu et avoir béni mon départ ».

L’habitué des points du jour sur la situation de la Covid-19 au Sénégal coupe ainsi court à toutes ces rumeurs qui faisaient état d’une divergence entre son ex-mentor et lui et relayées notamment par Walf Quotidien qui barre sa Une par ce titre : « Un départ, des interrogations ».

Dans les colonnes de Walf Quotidien, Aloyse Diouf détaille en ces termes les raisons de son départ : « Je quitte le ministère de la Santé et de l’Action sociale, mais je reste quand-même dans le secteur de la santé, parce que je devais partir depuis longtemps rejoindre mon poste au niveau de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms). Mais compte tenu de la pandémie de Covid-19, j’étais obligé de rester pour participer au combat contre cette maladie. Mais, aujourd’hui, le délai qui m’étais fixé est arrivé à termes, je dois partir ».

Sous le titre « les vérités du Dr Aloyse Waly Diouf », L’Observateur donne la parole au désormais ex-numéro 2 du ministère de la Santé qui « revient sur les péripéties de son départ, les critiques de part et d’autre ».

Le même journal informe par ailleurs qu’Aloyse Waly Diouf a été immédiatement remplacé par Alphonse Ousmane Thiaw qui « était jusque-là le conseiller juridique de la Pharmacie nationale d’approvisionnement (Pna) ».

Libération consacre sa parution du jour à l’enchainement macabre dû à la Covid-19 et arbore cette titraille : « Le bilan passe à 79 morts. Plusieurs localités encore touchées, hier. 150 000 nouveaux cas recensés dans le monde en une seule journée. Le chef de l’Oms alerte : +Le monde est entré dans une nouvelle phase dangereuse ».

Malgré cette situation qui devient de plus en plus critique, « des médecins menacent de quitter les centres de traitement de la Covid-19 » à cause du non-paiement de salaires et des primes de motivations, et des mauvaises conditions de travail, signale L’AS quotidien.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se penche sur le déclassement programmé de la forêt de Mbao et parle d’« OPA sur le poumon de Dakar ». A en croire nos confrères, « ce projet va porter l’estocade sur la 2ème ville la plus polluée d’Afrique ».

De son côté, le quotidien national Le Soleil s’intéresse aux violences policières sur les Afro-américains en effectuant une « plongée » dans ce qu’il qualifie de « spirale meurtrière ».

« L’histoire des peuples est traversée par une série de violences. Celles en cours aux Etats-Unis et exercée sur les Afro-Américains (Africains-Américains pour certains) porte les stigmates d’un douloureux cheminement entre les communautés. Des Noirs, victimes d’atrocités policières, en ont payé de leurs vies », font remarquer nos confrères.

La reprise des cours fait la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce vendredi à APA traitent essentiellement de la reprise des cours le 25 juin pour les classes d’examen.« Le calendrier scolaire réaménagé », titre Le Soleil avant de préciser que « le Cfee (est prévu) le 20 août, le Bfem et le Bac en septembre ».

« Pour toutes les classes d’examen, la reprise des cours est prévue le jeudi 25 juin. Classes de terminales, de troisième, de CM2 et d’examens professionnels d’Etat, en plus des élèves maîtres, arrêt des cours le 28 août et examens à partir du 21 août 2020 », détaille, dans les colonnes de Vox Populi, le ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla.

Dans le même journal, M. Talla indique que « pour les classes intermédiaires, les modalités de passage des élèves (…) en classe supérieure seront définies par le sous-comité pédagogique ; les propositions de passage seront faites avant le 31 juillet 2020 ».

Commentant ce réaménagement du calendrier scolaire, Le Témoin parle de « marche à reculons vers le 25 juin » puisque la détermination du ministre se heurte à des « syndicats d’enseignants (qui) trainent les pieds et multiplient les préalables » alors que les élèves, eux, « ne veulent tout simplement pas retourner à l’école ».

Pointant du doigt cette absence de consensus entre les acteurs et la problématique du respect du protocole sanitaire auquel s’ajoute l’hivernage, Le Quotidien alerte sur « les risques d’une reprise », là où Sud Quotidien parle d’« une rentrée à hauts risques ».

« Après la rentrée ratée du 2 juin dernier, l’Etat du Sénégal a décidé, ce mercredi, la réouverture des établissements scolaires pour les élèves en classes d’examen le 25 juin prochain. (…) Mais les mêmes causes risquent à nouveau d’entraîner les mêmes effets si toutes les dispositions ne sont pas prises pour parer à toute éventualité », avertit Sud Quotidien.

Ce dernier signale que « déjà, certains syndicats et le gouvernement sonnent l’alerte et dénoncent le non-respect du +protocole sanitaire+, sans occulter l’hivernage qui a commencé à s’installer dans certaines localités du pays, engendrant même la destruction d’abris provisoires à Kolda (sud) ».

« (…) la volonté de sauver l’année scolaire sera adossée au respect strict, en toute circonstance, du protocole sanitaire validé par le Comité national de gestion des épidémies (Cnge) », assure dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Education nationale Mamadou Talla.

Sur un tout autre sujet, EnQuête revient sur la tension politique, sociale et la gestion du coronavirus et se demande « où va le Macky ? » A en croire le quotidien, « le vent souffle à nouveau sur les braises des tensions sociales ».

« La pandémie de la Covid-19 avait éteint le début d’ébullition du front social, en février dernier, pour laisser place à une solidarité nationale contre la maladie. Alors que la létalité du virus ne faiblit pas, son effet positif sur la sphère politique s’estompe peu à peu et voit les vieilles contestations reprendre le dessus », fait remarquer le journal.

La reprise des cours fait la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce vendredi à APA traitent essentiellement de la reprise des cours le 25 juin pour les classes d’examen.« Le calendrier scolaire réaménagé », titre Le Soleil avant de préciser que « le Cfee (est prévu) le 20 août, le Bfem et le Bac en septembre ».

« Pour toutes les classes d’examen, la reprise des cours est prévue le jeudi 25 juin. Classes de terminales, de troisième, de CM2 et d’examens professionnels d’Etat, en plus des élèves maîtres, arrêt des cours le 28 août et examens à partir du 21 août 2020 », détaille, dans les colonnes de Vox Populi, le ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla.

Dans le même journal, M. Talla indique que « pour les classes intermédiaires, les modalités de passage des élèves (…) en classe supérieure seront définies par le sous-comité pédagogique ; les propositions de passage seront faites avant le 31 juillet 2020 ».

Commentant ce réaménagement du calendrier scolaire, Le Témoin parle de « marche à reculons vers le 25 juin » puisque la détermination du ministre se heurte à des « syndicats d’enseignants (qui) trainent les pieds et multiplient les préalables » alors que les élèves, eux, « ne veulent tout simplement pas retourner à l’école ».

Pointant du doigt cette absence de consensus entre les acteurs et la problématique du respect du protocole sanitaire auquel s’ajoute l’hivernage, Le Quotidien alerte sur « les risques d’une reprise », là où Sud Quotidien parle d’« une rentrée à hauts risques ».

« Après la rentrée ratée du 2 juin dernier, l’Etat du Sénégal a décidé, ce mercredi, la réouverture des établissements scolaires pour les élèves en classes d’examen le 25 juin prochain. (…) Mais les mêmes causes risquent à nouveau d’entraîner les mêmes effets si toutes les dispositions ne sont pas prises pour parer à toute éventualité », avertit Sud Quotidien.

Ce dernier signale que « déjà, certains syndicats et le gouvernement sonnent l’alerte et dénoncent le non-respect du +protocole sanitaire+, sans occulter l’hivernage qui a commencé à s’installer dans certaines localités du pays, engendrant même la destruction d’abris provisoires à Kolda (sud) ».

« (…) la volonté de sauver l’année scolaire sera adossée au respect strict, en toute circonstance, du protocole sanitaire validé par le Comité national de gestion des épidémies (Cnge) », assure dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Education nationale Mamadou Talla.

Sur un tout autre sujet, EnQuête revient sur la tension politique, sociale et la gestion du coronavirus et se demande « où va le Macky ? » A en croire le quotidien, « le vent souffle à nouveau sur les braises des tensions sociales ».

« La pandémie de la Covid-19 avait éteint le début d’ébullition du front social, en février dernier, pour laisser place à une solidarité nationale contre la maladie. Alors que la létalité du virus ne faiblit pas, son effet positif sur la sphère politique s’estompe peu à peu et voit les vieilles contestations reprendre le dessus », fait remarquer le journal.

Divers sujets se partagent la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce jeudi à APA traitent de divers sujets en lien avec le coronavirus aux côtés d’autres sujets.« Le bilan grimpe à 73 morts », barre à sa Une Libération avant de préciser en sous-titre que « 13 décès (dus au coronavirus) ont été enregistrés au Sénégal en l’espace de trois jours ». « En l’espace de 5 jours, le Sénégal a enregistré 17 décès liés à la Covid-19, soit en moyenne plus de 3 décès par jour », renchérit L’AS quotidien.

Ce dernier donne ensuite la parole à l’infectiologue, Dr Daouda Thioub qui explique que « L’augmentation du nombre de morts était prévue dès le début, parce que plus le nombre de cas augmente, plus le nombre de décès augmente. C’est une courbe qui suit le nombre de cas ».

Plus en détails, L’Observateur fait des « révélations » sur cette hausse des morts du coronavirus et écrit : « Avec presque 30 morts à domicile depuis le début de la pandémie au Sénégal, la stigmatisation est en train de pourrir la vie aux autorités médicales et d’emporter la vie des malades qui, par peur d’être indexés, eux et leurs familles, préfèrent rester à la maison jusqu’au dernier moment. Une situation qui a favorisé le nombre de morts ces dernières 96 heures ».  

Sous le titre « Le virus infecte les couples », Le Quotidien revient sur cette autre conséquence néfaste de la Covid-19 qu’est l’augmentation des cas de divorce à Dakar et soutient que « Le nombre de cas de séparation (a été) multiplié par 6 » depuis le début de la pandémie et que « Les jeunes couples (sont les) plus impactés ».

Sur un tout autre sujet, La Tribune revient sur l’ouverture des classes d’examen prévue le 25 juin et titre : « Macky +macronise+ ses décisions ». Dans ses colonnes, le journal se demande s’il s’agit de « coïncidence ou (de) mimétisme (car) les décisions (prises par les deux présidents) se suivent et se ressemblent ».

Qu’il s’agisse du déconfinement ou de l’assouplissement de l’Etat d’urgence, c’est « la même rhétorique », affirme le journal qui fait remarquer que l’ouverture des classes est prévue pour le 22 juin en France.

Le quotidien national Le Soleil consacre sa parution du jour au Sommet extraordinaire virtuel sur la solidarité contre la Covid-19 et arbore ce titre : « L’Afrique et la Chine solidaires ». Dans ses colonnes, le journal informe que « Le Président Macky Sall a plaidé encore pour un allègement conséquent de la dette publique africaine ».

Le chef de l’Etat sénégalais avait été le premier à demander une annulation de la dette publique des pays africains afin que ces derniers puissent consacrer leurs ressources à la lutte contre la pandémie du coronavirus et aux conséquences qui en découleraient.

Sud Quotidien revient de son côté sur la pénurie d’eau qui frappe la capitale sénégalaise et affirme que « L’Etat est en rade ». « Comme en 2013 et 2018, l’Etat du Sénégal a encore affiché toute son impuissance face aux coupures notées depuis plusieurs semaines encore à Dakar et sa banlieue », déplore le journal.

Le morcellement de la forêt classée de Mbao (Dakar) inquiète L’AS quotidien qui soutient que « (…) le ministre de l’Environnement, Abdou Karim Sall et le maire de Pikine Abdoulaye Timbo sont pointés du doigt » dans cette sombre histoire de foncier qui défraye la chronique à Mbao.

Dans sa rubrique « Tel Quel » qui occupe sa Une du jour, le quotidien EnQuête consacre un portrait au Garde des Sceaux, Me Malick Sall et affiche : « L’homme du sérail ».

« Avec plus de 35 ans de barre, Maitre Malick Sall aurait pu être l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, à la tête du département de la Justice. Pour beaucoup, il s’est plutôt révélé comme un homme clivant et partisan », notent nos confrères.

Divers sujets se partagent la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce jeudi à APA traitent de divers sujets en lien avec le coronavirus aux côtés d’autres sujets.« Le bilan grimpe à 73 morts », barre à sa Une Libération avant de préciser en sous-titre que « 13 décès (dus au coronavirus) ont été enregistrés au Sénégal en l’espace de trois jours ». « En l’espace de 5 jours, le Sénégal a enregistré 17 décès liés à la Covid-19, soit en moyenne plus de 3 décès par jour », renchérit L’AS quotidien.

Ce dernier donne ensuite la parole à l’infectiologue, Dr Daouda Thioub qui explique que « L’augmentation du nombre de morts était prévue dès le début, parce que plus le nombre de cas augmente, plus le nombre de décès augmente. C’est une courbe qui suit le nombre de cas ».

Plus en détails, L’Observateur fait des « révélations » sur cette hausse des morts du coronavirus et écrit : « Avec presque 30 morts à domicile depuis le début de la pandémie au Sénégal, la stigmatisation est en train de pourrir la vie aux autorités médicales et d’emporter la vie des malades qui, par peur d’être indexés, eux et leurs familles, préfèrent rester à la maison jusqu’au dernier moment. Une situation qui a favorisé le nombre de morts ces dernières 96 heures ».  

Sous le titre « Le virus infecte les couples », Le Quotidien revient sur cette autre conséquence néfaste de la Covid-19 qu’est l’augmentation des cas de divorce à Dakar et soutient que « Le nombre de cas de séparation (a été) multiplié par 6 » depuis le début de la pandémie et que « Les jeunes couples (sont les) plus impactés ».

Sur un tout autre sujet, La Tribune revient sur l’ouverture des classes d’examen prévue le 25 juin et titre : « Macky +macronise+ ses décisions ». Dans ses colonnes, le journal se demande s’il s’agit de « coïncidence ou (de) mimétisme (car) les décisions (prises par les deux présidents) se suivent et se ressemblent ».

Qu’il s’agisse du déconfinement ou de l’assouplissement de l’Etat d’urgence, c’est « la même rhétorique », affirme le journal qui fait remarquer que l’ouverture des classes est prévue pour le 22 juin en France.

Le quotidien national Le Soleil consacre sa parution du jour au Sommet extraordinaire virtuel sur la solidarité contre la Covid-19 et arbore ce titre : « L’Afrique et la Chine solidaires ». Dans ses colonnes, le journal informe que « Le Président Macky Sall a plaidé encore pour un allègement conséquent de la dette publique africaine ».

Le chef de l’Etat sénégalais avait été le premier à demander une annulation de la dette publique des pays africains afin que ces derniers puissent consacrer leurs ressources à la lutte contre la pandémie du coronavirus et aux conséquences qui en découleraient.

Sud Quotidien revient de son côté sur la pénurie d’eau qui frappe la capitale sénégalaise et affirme que « L’Etat est en rade ». « Comme en 2013 et 2018, l’Etat du Sénégal a encore affiché toute son impuissance face aux coupures notées depuis plusieurs semaines encore à Dakar et sa banlieue », déplore le journal.

Le morcellement de la forêt classée de Mbao (Dakar) inquiète L’AS quotidien qui soutient que « (…) le ministre de l’Environnement, Abdou Karim Sall et le maire de Pikine Abdoulaye Timbo sont pointés du doigt » dans cette sombre histoire de foncier qui défraye la chronique à Mbao.

Dans sa rubrique « Tel Quel » qui occupe sa Une du jour, le quotidien EnQuête consacre un portrait au Garde des Sceaux, Me Malick Sall et affiche : « L’homme du sérail ».

« Avec plus de 35 ans de barre, Maitre Malick Sall aurait pu être l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, à la tête du département de la Justice. Pour beaucoup, il s’est plutôt révélé comme un homme clivant et partisan », notent nos confrères.

La hausse des cas de décès liés à la Covid-19 inquiète la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mercredi à APA traitent de divers sujets en lien avec la pandémie du coronavirus dont la hausse des cas de décès.« Il est difficile de croire que la pandémie du coronavirus a été maitrisée au Sénégal avec le nombre de décès qui ne cesse d’augmenter. En 15 jours, 28 décès ont été enregistrés, plus que le nombre de décès notés entre les mois de mars et avril où on était à 9. A ce rythme, le mois de juin risque d’être plus macabre que mai avec 39 décès », soulignent nos confrères du Le Quotidien, d’où ce titre qui barre la Une du journal : « Juin mortel ».

Sous le titre « Le corona fait 10 morts en 48h », Vox Populi estime que « Le nombre de décès (lié à la pandémie) prend l’ascenseur ». « Après les 4 décès de la veille, le ministère de la Santé a annoncé, hier, 6 nouveaux cas décès » portant le bilan total à 70 morts en trois mois, détaille le quotidien.

« En huit (8) jours, le virus a tué 18 personnes et infectés 819 autres », renchérit L’Observateur avant de donner la parole à l’infectiologue Manga Noël Magloire qui déclare : « Il faut un effet d’électrochoc avec 50 décès par jour pour un éveil de conscience ».

Le même journal déplore par ailleurs le contournement de l’interdiction de rassemblement et arbore ce titre : « Le virus en fête… à Dakar ».

« Malgré l’arrêté du ministère de l’Intérieur et la flambée des cas positifs, certains Dakarois continuent d’organiser des cérémonies familiales et fêtes privées qui ne sont soumises à aucune des mesures de prévention contre le covid-19 édictées par les autorités médicales. Ils se rassemblent pour fêter mariages, baptêmes ou funérailles, offrant ainsi l’occasion au virus de se propager », fustigent nos confrères.

La Tribune consacre sa parution du jour aux conséquences de l’assouplissement de l’état d’urgence qui a été « suivi de relâchement » et arbore cette titraille : « Les dégâts reprennent à Dakar. Plusieurs cas d’agression signalés ; des accidents mortels ; Regroupements sans mesures barrières ; Embouteillages monstres ; Attention à certains scootéristes ».

Parlant des répercussions de la pandémie de la Covid-19 dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, soutient que « Le Sénégal va éviter la récession grâce aux mesures prises par le Président de la République dans le cadre du Programme de résilience économique et social (Pres) ».

L’AS quotidien s’intéresse pour sa part à ce qu’il qualifie de « Silence détonnant de l’Assemblée » nationale dans la gestion du coronavirus et la polémique sur le foncier.

« Même s’ils étaient indexés de ne pas représenter le peuple, les députés occupaient souvent le devant de la scène pour se prononcer sur l’actualité politique nationale. En temps normal, leurs préoccupations et autres sollicitations en Commission comme en plénière faisaient écho dans l’espace public. Mais la déclaration de l’état d’urgence suivi du vote de la loi d’habilitation semble avoir douché leurs ardeurs », commentent nos confrères.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se focalise sur la reprise des hostilités en Casamance (sud) et titre : « L’armée pilonne les rebelles ». A en croire le journal, « les populations de Ziguinchor comme celles de la commune de Bignona ont été réveillées, très tôt, hier matin, par des détonations d’armes lourdes (car) l’armée a pilonné les positions rebelles à Adéane ».

Cette riposte des Forces armées fait suite à la mort de deux des leurs au cours des opérations en cours pour accompagner le retour des populations dans cette zone de la commune d’Adéane, mais aussi pour lutter contre les trafics illicites de bois et les bandes armées qui écument la zone.

Sous le titre « Sen’Eau assoiffe Dakar », Sud Quotidien revient sur la pénurie d’eau qui frappe certains quartiers de la capitale sénégalaise et affirme que la société de  gestion de l’exploitation et de la distribution de l’eau potable en zone urbaine et péri-urbaine « se cache derrière un concours de circonstances » pour justifier le problème.

Les quotidiens sénégalais se sont en outre intéressés à l’arrestation du journaliste Cheikh Yérim Seck suite à sa sortie sur l’affaire du détournement de fonds à la société immobilière BatiPlus.

A ce propos, L’Observateur informe que « Les organisations de presse s’érigent en bouclier du journaliste », là où L’AS quotidien signale que « La Presse (est) débout pour le libérer ».

La hausse des cas de décès liés à la Covid-19 inquiète la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mercredi à APA traitent de divers sujets en lien avec la pandémie du coronavirus dont la hausse des cas de décès.« Il est difficile de croire que la pandémie du coronavirus a été maitrisée au Sénégal avec le nombre de décès qui ne cesse d’augmenter. En 15 jours, 28 décès ont été enregistrés, plus que le nombre de décès notés entre les mois de mars et avril où on était à 9. A ce rythme, le mois de juin risque d’être plus macabre que mai avec 39 décès », soulignent nos confrères du Le Quotidien, d’où ce titre qui barre la Une du journal : « Juin mortel ».

Sous le titre « Le corona fait 10 morts en 48h », Vox Populi estime que « Le nombre de décès (lié à la pandémie) prend l’ascenseur ». « Après les 4 décès de la veille, le ministère de la Santé a annoncé, hier, 6 nouveaux cas décès » portant le bilan total à 70 morts en trois mois, détaille le quotidien.

« En huit (8) jours, le virus a tué 18 personnes et infectés 819 autres », renchérit L’Observateur avant de donner la parole à l’infectiologue Manga Noël Magloire qui déclare : « Il faut un effet d’électrochoc avec 50 décès par jour pour un éveil de conscience ».

Le même journal déplore par ailleurs le contournement de l’interdiction de rassemblement et arbore ce titre : « Le virus en fête… à Dakar ».

« Malgré l’arrêté du ministère de l’Intérieur et la flambée des cas positifs, certains Dakarois continuent d’organiser des cérémonies familiales et fêtes privées qui ne sont soumises à aucune des mesures de prévention contre le covid-19 édictées par les autorités médicales. Ils se rassemblent pour fêter mariages, baptêmes ou funérailles, offrant ainsi l’occasion au virus de se propager », fustigent nos confrères.

La Tribune consacre sa parution du jour aux conséquences de l’assouplissement de l’état d’urgence qui a été « suivi de relâchement » et arbore cette titraille : « Les dégâts reprennent à Dakar. Plusieurs cas d’agression signalés ; des accidents mortels ; Regroupements sans mesures barrières ; Embouteillages monstres ; Attention à certains scootéristes ».

Parlant des répercussions de la pandémie de la Covid-19 dans les colonnes du quotidien national Le Soleil, le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott, soutient que « Le Sénégal va éviter la récession grâce aux mesures prises par le Président de la République dans le cadre du Programme de résilience économique et social (Pres) ».

L’AS quotidien s’intéresse pour sa part à ce qu’il qualifie de « Silence détonnant de l’Assemblée » nationale dans la gestion du coronavirus et la polémique sur le foncier.

« Même s’ils étaient indexés de ne pas représenter le peuple, les députés occupaient souvent le devant de la scène pour se prononcer sur l’actualité politique nationale. En temps normal, leurs préoccupations et autres sollicitations en Commission comme en plénière faisaient écho dans l’espace public. Mais la déclaration de l’état d’urgence suivi du vote de la loi d’habilitation semble avoir douché leurs ardeurs », commentent nos confrères.

Sur un tout autre sujet, EnQuête se focalise sur la reprise des hostilités en Casamance (sud) et titre : « L’armée pilonne les rebelles ». A en croire le journal, « les populations de Ziguinchor comme celles de la commune de Bignona ont été réveillées, très tôt, hier matin, par des détonations d’armes lourdes (car) l’armée a pilonné les positions rebelles à Adéane ».

Cette riposte des Forces armées fait suite à la mort de deux des leurs au cours des opérations en cours pour accompagner le retour des populations dans cette zone de la commune d’Adéane, mais aussi pour lutter contre les trafics illicites de bois et les bandes armées qui écument la zone.

Sous le titre « Sen’Eau assoiffe Dakar », Sud Quotidien revient sur la pénurie d’eau qui frappe certains quartiers de la capitale sénégalaise et affirme que la société de  gestion de l’exploitation et de la distribution de l’eau potable en zone urbaine et péri-urbaine « se cache derrière un concours de circonstances » pour justifier le problème.

Les quotidiens sénégalais se sont en outre intéressés à l’arrestation du journaliste Cheikh Yérim Seck suite à sa sortie sur l’affaire du détournement de fonds à la société immobilière BatiPlus.

A ce propos, L’Observateur informe que « Les organisations de presse s’érigent en bouclier du journaliste », là où L’AS quotidien signale que « La Presse (est) débout pour le libérer ».

L’affaire Cheikh Yérim Seck s’impose aux quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mardi à APA traitent de divers sujets dont l’affaire du journaliste Cheikh Yérim Seck.« Cheikh Yérim Seck s’embourbe dans le scandale BatiPlus », barre à sa Une Vox Populi qui informe que « Le journaliste (est) attendu chez le procureur, ce mardi après son face-à face d’hier avec les gendarmes ».

« Ses révélations dans l’affaire BatiPlus sur fond d’accusations fracassantes contre de hautes autorités, dont le ministre de la Justice, sans compter la gendarmerie  qu’il a égratignée, risquent de coûter cher à Cheikh Yérim Seck (…) qui devrait être déféré au parquet ce mardi », souligne le journal.

Cela fait dire à L’Observateur que « Cheikh Yérim Seck (est) dans l’étau de la gendarmerie ». Dans ses colonnes, le journal signale que l’ancien journaliste de l’hebdomadaire Jeune Afrique est « en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles (et qu’il) pourrait être déféré au parquet aujourd’hui ».

Le quotidien EnQuête, racontant « La colère bleue » des gendarmes contre Cheikh Yérim, soutient que ce dernier « sera (bel et bien) déféré aujourd’hui pour diffusions de fausses nouvelles, diffamation contre la gendarmerie, etc. »

« Toutefois, note le quotidien, le journaliste, selon des sources proches des autorités judiciaires, ne devrait faire qu’un tour à la cave. Les choses devraient s’en arrêter là, puisqu’on annonce sa libération, après ce face-à-face avec le magistrat instructeur ».

Sous le titre « L’armée en terrain miné », Le Quotidien revient sur la série d’accidents notée ces derniers jours en Casamance et informe que « 3 véhicules (ont sauté) sur des mines anti-char en 10 jours, 2 soldats (sont) décédés et plusieurs (autres sont gravement) blessés ».

L’AS quotidien consacre sa parution du jour au bradage du littoral à Guédiawaye (banlieue de Dakar) et titre : « Une autre bombe foncière ».

« Après Mermoz, les populations de Guédiawaye se sont érigées en boucliers pour protéger leur littoral. L’octroi dernièrement de 4 ha aux magistrats sur la bande des filaos ainsi que l’attribution de 20 ha dans la zone au Syndicat des Inspecteurs des Domaines les (populations) a poussées à demander un déclassement au bénéfice exclusif des collectivités pour l’érection d’équipements d’intérêt public », écrivent nos confrères.

De son côté, le journal Sud Quotidien met le focus sur la décentralisation intégrale au Sénégal et arbore ce titre : « Les maires, à l’épreuve de Macky Sall ! »

Dans ses colonnes, le journal informe que « Le décret pris par le chef de l’Etat, mercredi dernier en Conseil des ministres, conférant aux préfets et sous-préfets la prérogative d’accorder le permis de construire, si les maires refusaient de satisfaire aux demandes, respecte le Code des collectivités territoriales ».

« Le seul bémol, selon un expert en décentralisation, cette possibilité pour les préfets de se saisir des libertés accordées aux maires remet au goût du jour la question de la décentralisation supposée pourtant intégrale », poursuit le journal.

Le quotidien national Le Soleil revient pour sa part sur la stratégie de relance du tourisme lourdement affecté par la pandémie du coronavirus et informe que « Les acteurs misent sur l’offre locale ».

Libération se fait l’écho de la pénurie d’eau à Dakar depuis plusieurs jours et estime que la société « Sen’eau (est) pire que la Sde ». La première a remplacé la seconde dans la distribution du liquide précieux il y a de cela quelques mois.

L’affaire Cheikh Yérim Seck s’impose aux quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce mardi à APA traitent de divers sujets dont l’affaire du journaliste Cheikh Yérim Seck.« Cheikh Yérim Seck s’embourbe dans le scandale BatiPlus », barre à sa Une Vox Populi qui informe que « Le journaliste (est) attendu chez le procureur, ce mardi après son face-à face d’hier avec les gendarmes ».

« Ses révélations dans l’affaire BatiPlus sur fond d’accusations fracassantes contre de hautes autorités, dont le ministre de la Justice, sans compter la gendarmerie  qu’il a égratignée, risquent de coûter cher à Cheikh Yérim Seck (…) qui devrait être déféré au parquet ce mardi », souligne le journal.

Cela fait dire à L’Observateur que « Cheikh Yérim Seck (est) dans l’étau de la gendarmerie ». Dans ses colonnes, le journal signale que l’ancien journaliste de l’hebdomadaire Jeune Afrique est « en garde à vue pour diffusion de fausses nouvelles (et qu’il) pourrait être déféré au parquet aujourd’hui ».

Le quotidien EnQuête, racontant « La colère bleue » des gendarmes contre Cheikh Yérim, soutient que ce dernier « sera (bel et bien) déféré aujourd’hui pour diffusions de fausses nouvelles, diffamation contre la gendarmerie, etc. »

« Toutefois, note le quotidien, le journaliste, selon des sources proches des autorités judiciaires, ne devrait faire qu’un tour à la cave. Les choses devraient s’en arrêter là, puisqu’on annonce sa libération, après ce face-à-face avec le magistrat instructeur ».

Sous le titre « L’armée en terrain miné », Le Quotidien revient sur la série d’accidents notée ces derniers jours en Casamance et informe que « 3 véhicules (ont sauté) sur des mines anti-char en 10 jours, 2 soldats (sont) décédés et plusieurs (autres sont gravement) blessés ».

L’AS quotidien consacre sa parution du jour au bradage du littoral à Guédiawaye (banlieue de Dakar) et titre : « Une autre bombe foncière ».

« Après Mermoz, les populations de Guédiawaye se sont érigées en boucliers pour protéger leur littoral. L’octroi dernièrement de 4 ha aux magistrats sur la bande des filaos ainsi que l’attribution de 20 ha dans la zone au Syndicat des Inspecteurs des Domaines les (populations) a poussées à demander un déclassement au bénéfice exclusif des collectivités pour l’érection d’équipements d’intérêt public », écrivent nos confrères.

De son côté, le journal Sud Quotidien met le focus sur la décentralisation intégrale au Sénégal et arbore ce titre : « Les maires, à l’épreuve de Macky Sall ! »

Dans ses colonnes, le journal informe que « Le décret pris par le chef de l’Etat, mercredi dernier en Conseil des ministres, conférant aux préfets et sous-préfets la prérogative d’accorder le permis de construire, si les maires refusaient de satisfaire aux demandes, respecte le Code des collectivités territoriales ».

« Le seul bémol, selon un expert en décentralisation, cette possibilité pour les préfets de se saisir des libertés accordées aux maires remet au goût du jour la question de la décentralisation supposée pourtant intégrale », poursuit le journal.

Le quotidien national Le Soleil revient pour sa part sur la stratégie de relance du tourisme lourdement affecté par la pandémie du coronavirus et informe que « Les acteurs misent sur l’offre locale ».

Libération se fait l’écho de la pénurie d’eau à Dakar depuis plusieurs jours et estime que la société « Sen’eau (est) pire que la Sde ». La première a remplacé la seconde dans la distribution du liquide précieux il y a de cela quelques mois.

Le foncier se maintient à la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce lundi à APA traitent pour l’essentiel de sujets liés aux problèmes fonciers, aux côtés d’autres sujets économiques.« Une catastrophe écologique en continu », barre à sa Une Sud Quotidien qui a consacré tout un dossier au saccage de la bande côtière et des Filaos.

« De Cambérène au Lac Rose, en passant par Guédiawaye, Tivaouane Peulh, Bambilor, jusqu’à Sangalkam, l’environnement du domaine public maritime et de toute la bande côtière est compromis, soutient le journal, précisant que. Si ce n’est pas la bande des Filaos, menacée par l’abattage des arbres, c’est le bradage du foncier qui indigne les habitants ».

Cela pousse la mairesse de la ville de Dakar, Soham El Wardini, à déclarer dans L’Observateur que « De Cap vert, Dakar est devenu Cap Béton ».

Sous le titre « Main basse sur 55 ha », le quotidien EnQuête revient sur ce qu’il qualifie de « Scandale foncier à Diass (périphérie de Dakar) » et informe que « Le projet futuriste présenté par le promoteur Mamadou C. Fall s’est transformé en parcelles vendues ».

Notant des « suspicions d’un deal entre le maire, un promoteur et des autorités administratives », le journal se désole du fait qu’il est désormais « difficile de trouver une partie du pays qui échappe aux litiges fonciers ».

Si rien n’est fait par le pouvoir actuel fait pour régler ces problèmes, l’opposant Ousmane Sonko,  « promet, dans le journal L’AS quotidien, la destruction, dès son accession au pouvoir, de tous les édifices » illégalement construits sur le littoral.

Sur un tout autre sujet, Le Quotidien revient sur la dette du Sénégal et fait état de « La fausse note de Moody’s ».

« En signalant aux bailleurs des fonds que la note du Sénégal est susceptible d’être dégradée par cette agence, Moody’s va corser les conditions d’accès du Sénégal à des finances à des taux favorables. Or, comme le fait remarquer une note du ministère des Finances, la signature du Sénégal n’a jamais été prise à ce jour, en défaut par rapport à ses obligations extérieures. Donc la question est à quel jeu joue Moody’s ? », s’interroge le journal.

Revenant sur cette même actualité, L’Observateur donne la parole à l’enseignant-chercheur, Dr Cheikh Ahmed Bamba Diagne, qui explique que cette baisse de la note du Sénégal par Moody’s « est normale (et qu’elle) est la conséquence logique du réaménagement de la dette ».

Le quotidien national Le Soleil consacre sa parution du jour à la remise partielle de la dette fiscale et arbore ce titre : « L’Etat dévoile les modalités d’application ».

Dans ses colonnes, le journal informe que le ministère des Finances et du Budget a pris deux arrêtés dans lesquels il explique, en détail, les modalités d’application de cette mesure et précise les activités éligibles.

Le foncier se maintient à la Une des quotidiens sénégalais

Les quotidiens sénégalais parvenus ce lundi à APA traitent pour l’essentiel de sujets liés aux problèmes fonciers, aux côtés d’autres sujets économiques.« Une catastrophe écologique en continu », barre à sa Une Sud Quotidien qui a consacré tout un dossier au saccage de la bande côtière et des Filaos.

« De Cambérène au Lac Rose, en passant par Guédiawaye, Tivaouane Peulh, Bambilor, jusqu’à Sangalkam, l’environnement du domaine public maritime et de toute la bande côtière est compromis, soutient le journal, précisant que. Si ce n’est pas la bande des Filaos, menacée par l’abattage des arbres, c’est le bradage du foncier qui indigne les habitants ».

Cela pousse la mairesse de la ville de Dakar, Soham El Wardini, à déclarer dans L’Observateur que « De Cap vert, Dakar est devenu Cap Béton ».

Sous le titre « Main basse sur 55 ha », le quotidien EnQuête revient sur ce qu’il qualifie de « Scandale foncier à Diass (périphérie de Dakar) » et informe que « Le projet futuriste présenté par le promoteur Mamadou C. Fall s’est transformé en parcelles vendues ».

Notant des « suspicions d’un deal entre le maire, un promoteur et des autorités administratives », le journal se désole du fait qu’il est désormais « difficile de trouver une partie du pays qui échappe aux litiges fonciers ».

Si rien n’est fait par le pouvoir actuel fait pour régler ces problèmes, l’opposant Ousmane Sonko,  « promet, dans le journal L’AS quotidien, la destruction, dès son accession au pouvoir, de tous les édifices » illégalement construits sur le littoral.

Sur un tout autre sujet, Le Quotidien revient sur la dette du Sénégal et fait état de « La fausse note de Moody’s ».

« En signalant aux bailleurs des fonds que la note du Sénégal est susceptible d’être dégradée par cette agence, Moody’s va corser les conditions d’accès du Sénégal à des finances à des taux favorables. Or, comme le fait remarquer une note du ministère des Finances, la signature du Sénégal n’a jamais été prise à ce jour, en défaut par rapport à ses obligations extérieures. Donc la question est à quel jeu joue Moody’s ? », s’interroge le journal.

Revenant sur cette même actualité, L’Observateur donne la parole à l’enseignant-chercheur, Dr Cheikh Ahmed Bamba Diagne, qui explique que cette baisse de la note du Sénégal par Moody’s « est normale (et qu’elle) est la conséquence logique du réaménagement de la dette ».

Le quotidien national Le Soleil consacre sa parution du jour à la remise partielle de la dette fiscale et arbore ce titre : « L’Etat dévoile les modalités d’application ».

Dans ses colonnes, le journal informe que le ministère des Finances et du Budget a pris deux arrêtés dans lesquels il explique, en détail, les modalités d’application de cette mesure et précise les activités éligibles.

Covid-19, politique et foncier à la Une au Sénégal

La presse sénégalaise reçue, ce samedi à APA, traite d’une diversité de sujets dominés par la Covid-19, la politique et le foncier.« Le corona fait 18 morts à Touba (centre) », titre Vox Populi, informant que le dernier décès a été enregistré hier, mais non décompté par le ministère de la Santé.

Selon nos confrères, le corps de la victime a été déposé par les sapeurs-pompiers à la morgue de l’ancien cimetière, où la famille qui a refusé le protocole d’enterrement Covid-19 l’a récupéré et procédé elle-même à l’inhumation à Bakhiya.

 « Lutte contre la maladie à coronavirus-La barre des 3000 guéris franchie. Ziguinchor (sud) a enregistré, hier, 13 guérisons ; Touba 8 ; Thiès 11 ; des malades sont aussi sortis d’hospitalisation à Dakar, Kaolack et Kolda », détaille Libération à sa Une.

« Actu corona-3100 patients guéris…Un record ! », s’exclame La Tribune.

« Avec 23 cas graves, 92 nouveaux malades dont 18 transmissions communautaires » enregistrés, hier vendredi au Sénégal, Source A note que « le virus poursuit sa longue marche ».

Toutes choses qui font dire à L’As qu’avec 300 cas en 3 jours, « le coronavirus se propage dans l’indifférence au Sénégal ».

A propos de l’appui de 3 milliards du Force Covid-19 au secteur de la culture, Vox Populi renseigne que « les acteurs de la danse crachent sur les 50 millions du ministre de la Culture et de la Communication » car, « pour 5000 artistes, chacun aura 10.000 f cfa ».

« Fonds Force Covid-19-Les danseurs crachent sur les 50 millions alloués », renchérit EnQuête.

En politique, Sud Quotidien s’intéresse à la rationalisation et au financement des partis politiques et titre : « La classe politique en mode échec ! »

« Silence assourdissant de l’ancien président-Wade écrit ses mémoires », révèle L’As qui, à propos de la reprise des cours en fin juin ou en septembre, indique que le ministre de l’Education et le regroupement des syndicats d’enseignants, le G7, « cogitent sur un scénario consensuel ».

Pendant ce temps, Le Quotidien traite de la « controverse autour de la distribution de l’aide alimentaire » et note un « Registre national inique (en lieu et place de unique) » car, 411 mille ménages ont été rajoutés au Registre national unique (RNU) en dehors de l’enquête de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd).

« Occupation du littoral-Les vérités sélectives de Fofana (ministre de l’Urbanisme) », écrit ce journal.

« Prédateurs fonciers à Dakar et dans le Sénégal-Madiambal nage dans le sable », titre La Tribune, soulignant que le journaliste a bénéficié de deux hectares à Bambilor et de 5750 mètres carrés à Tivaouane Peulh.

Covid-19, politique et foncier à la Une au Sénégal

La presse sénégalaise reçue, ce samedi à APA, traite d’une diversité de sujets dominés par la Covid-19, la politique et le foncier.« Le corona fait 18 morts à Touba (centre) », titre Vox Populi, informant que le dernier décès a été enregistré hier, mais non décompté par le ministère de la Santé.

Selon nos confrères, le corps de la victime a été déposé par les sapeurs-pompiers à la morgue de l’ancien cimetière, où la famille qui a refusé le protocole d’enterrement Covid-19 l’a récupéré et procédé elle-même à l’inhumation à Bakhiya.

 « Lutte contre la maladie à coronavirus-La barre des 3000 guéris franchie. Ziguinchor (sud) a enregistré, hier, 13 guérisons ; Touba 8 ; Thiès 11 ; des malades sont aussi sortis d’hospitalisation à Dakar, Kaolack et Kolda », détaille Libération à sa Une.

« Actu corona-3100 patients guéris…Un record ! », s’exclame La Tribune.

« Avec 23 cas graves, 92 nouveaux malades dont 18 transmissions communautaires » enregistrés, hier vendredi au Sénégal, Source A note que « le virus poursuit sa longue marche ».

Toutes choses qui font dire à L’As qu’avec 300 cas en 3 jours, « le coronavirus se propage dans l’indifférence au Sénégal ».

A propos de l’appui de 3 milliards du Force Covid-19 au secteur de la culture, Vox Populi renseigne que « les acteurs de la danse crachent sur les 50 millions du ministre de la Culture et de la Communication » car, « pour 5000 artistes, chacun aura 10.000 f cfa ».

« Fonds Force Covid-19-Les danseurs crachent sur les 50 millions alloués », renchérit EnQuête.

En politique, Sud Quotidien s’intéresse à la rationalisation et au financement des partis politiques et titre : « La classe politique en mode échec ! »

« Silence assourdissant de l’ancien président-Wade écrit ses mémoires », révèle L’As qui, à propos de la reprise des cours en fin juin ou en septembre, indique que le ministre de l’Education et le regroupement des syndicats d’enseignants, le G7, « cogitent sur un scénario consensuel ».

Pendant ce temps, Le Quotidien traite de la « controverse autour de la distribution de l’aide alimentaire » et note un « Registre national inique (en lieu et place de unique) » car, 411 mille ménages ont été rajoutés au Registre national unique (RNU) en dehors de l’enquête de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd).

« Occupation du littoral-Les vérités sélectives de Fofana (ministre de l’Urbanisme) », écrit ce journal.

« Prédateurs fonciers à Dakar et dans le Sénégal-Madiambal nage dans le sable », titre La Tribune, soulignant que le journaliste a bénéficié de deux hectares à Bambilor et de 5750 mètres carrés à Tivaouane Peulh.

Force Covid-19 et justice au menu des quotidiens sénégalais

Le bilan d’étape du Comité de suivi du Force Covid-19 et le procès en France de Lamine Diack, ancien président de l’IAAF, alimentent la presse sénégalaise reçue ce vendredi à APA. »Force Covid-19 fait son bilan. Un membre testé positif. Le registre national unique n’est pas fiable. Il y a plus de pauvres que l’on imaginait. Un rapport final transmis à Macky », détaille Rewmi Quotidien en première page.

« Suivi des activités du Force Covid-19-François Ndiaye droit dans ses bottes », titre Le Quotidien, dans lequel journal, le général qui dirige le comité de suivi déplore: »Des Sénégalais atteints de paranoïa fabriquent des fake news ».

« Guerre des mots autour des perdiem chez des éléments du Force Covid-19-Tirs de sommation du général François », écrit La Tribune, citant le général Ndiaye qui dément: »C’est faux. Nous faisons du bénévolat ».

Mais la riposte de Toussaint Manga, membre dudit comité ne se fait pas attendre. Selon le député libéral, « le général Ndiaye veut redorer son blason ».

Quoi qu’il en soit, le général Ndiaye affirme dans EnQuête : »La mission continue, on ne se laisse pas divertir ». Il ajoute dans Vox Populi que la crise de la Covid-19 « a fait éclore des talents…Des talents aussi bénéfiques que maléfiques ».

Pendant ce temps, dans L’As, le ministre-maire de Louga (nord), Moustapha Diop, se dresse « en bouclier de Macky Sall » contre les critiques sur sa gestion de la Covid-19. « Gestion de la Covid-19 par Macky Sall. Toutes les mesures ont été salutaire », poursuit Moustapha Diop dans Source A.

« Rapports avec leurs directeurs-Macky désarme ses ministres », titre Walf Quotidien, alors que traitant de la promulgation d’une nouvelle loi sur l’emploi, L’Observateur note que « Macky casse le code du travail ».

L’économie fait la Une de Sud Quotidien qui constate que « le tourisme (sénégalais est) en berne » à cause de mauvais choix politiques, de l’absence de visibilité et de la Covid-19.

Revenant sur le procès de Lamine Diack,  Walf Quotidien indique que l’accusé « dèpolitise son procès et maudit son fils ». Pour Le Témoin, face au juge, Lamine Diack a affirmé: »Mon fils Massata c’est un voyou ! ». « Procès de l’affaire du scandale à l’IAAF-Lamine Diack, Pape Massata et l’histoire de voyou à Paris », renchérit L’Observateur.

Force Covid-19 et justice au menu des quotidiens sénégalais

Le bilan d’étape du Comité de suivi du Force Covid-19 et le procès en France de Lamine Diack, ancien président de l’IAAF, alimentent la presse sénégalaise reçue ce vendredi à APA. »Force Covid-19 fait son bilan. Un membre testé positif. Le registre national unique n’est pas fiable. Il y a plus de pauvres que l’on imaginait. Un rapport final transmis à Macky », détaille Rewmi Quotidien en première page.

« Suivi des activités du Force Covid-19-François Ndiaye droit dans ses bottes », titre Le Quotidien, dans lequel journal, le général qui dirige le comité de suivi déplore: »Des Sénégalais atteints de paranoïa fabriquent des fake news ».

« Guerre des mots autour des perdiem chez des éléments du Force Covid-19-Tirs de sommation du général François », écrit La Tribune, citant le général Ndiaye qui dément: »C’est faux. Nous faisons du bénévolat ».

Mais la riposte de Toussaint Manga, membre dudit comité ne se fait pas attendre. Selon le député libéral, « le général Ndiaye veut redorer son blason ».

Quoi qu’il en soit, le général Ndiaye affirme dans EnQuête : »La mission continue, on ne se laisse pas divertir ». Il ajoute dans Vox Populi que la crise de la Covid-19 « a fait éclore des talents…Des talents aussi bénéfiques que maléfiques ».

Pendant ce temps, dans L’As, le ministre-maire de Louga (nord), Moustapha Diop, se dresse « en bouclier de Macky Sall » contre les critiques sur sa gestion de la Covid-19. « Gestion de la Covid-19 par Macky Sall. Toutes les mesures ont été salutaire », poursuit Moustapha Diop dans Source A.

« Rapports avec leurs directeurs-Macky désarme ses ministres », titre Walf Quotidien, alors que traitant de la promulgation d’une nouvelle loi sur l’emploi, L’Observateur note que « Macky casse le code du travail ».

L’économie fait la Une de Sud Quotidien qui constate que « le tourisme (sénégalais est) en berne » à cause de mauvais choix politiques, de l’absence de visibilité et de la Covid-19.

Revenant sur le procès de Lamine Diack,  Walf Quotidien indique que l’accusé « dèpolitise son procès et maudit son fils ». Pour Le Témoin, face au juge, Lamine Diack a affirmé: »Mon fils Massata c’est un voyou ! ». « Procès de l’affaire du scandale à l’IAAF-Lamine Diack, Pape Massata et l’histoire de voyou à Paris », renchérit L’Observateur.

Covid-19 et foncier tiennent en haleine la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce mercredi mettent l’accent sur la pandémie de Covid-19 et sur le foncier, avec le débat sur le bradage des terres du littoral dakarois. »Alerte à ses concitoyens-Le Japon met le Sénégal sur la liste des pays à éviter », informent Les Échos, alors que L’As traite de l’enquête sur l’impact de la Covid-19 et révèle que « les Pme sont à l’agonie ».

« Traitement du coronavirus-Le document secret sur la chloroquine au Sénégal. Efficacité, cas graves, faux médicaments, immunité, doses chinoises », titre L’Observateur, qui donne les « raisons du blocage de l’Artemisia ».

De son côté, Libération fait le bilan de la Covid-19 au Sénégal et note « 533 guéris en quatre jours ». Pour Vox Populi, « Touba enregistre 10 morts sur les 53 au Sénégal » de Covid-19.

Ce journal donne la parole au Dr Ousmane Guèye du Comité national de gestion des épidémies (Cnge) qui, à propos de l’envahissement des plages, note: « Nous ouvrons là une porte à une contamination à grande échelle…Et c’est à regretter ».

Walf Quotidien nourrit la même inquiétude, mais cette fois-ci sur  les salles de sport et indique: « Sans distanciation physique, on s’étire sous le cache-nez ».

Pendant ce temps, Dr Babacar Niang, Dg de Suma Assistance note à la Une de La Tribune « mensonges et business sur le Covid-19 » au Sénégal. Selon lui, « les chiffres sont trafiqués pour ne pas dépasser 100 cas par jour » et qu’il y a des « velléités de mettre les données Adn à la disposition de l’Institut Pasteur ».

« Entre arrêt de travail et baisse d’activités-La Covid-19 impacte les transferts d’argent », titre le quotidien économique L’Info.

Sud Quotidien consacre sa Une à cette « boulimie foncière au sommet » qui entraîne « la géologie de la prédation ». « Littoral de Dakar-Un carnage sans fin », titre EnQuête, notant que sur le littoral dakarois, « la menace n’est pas le changement climatique, mais les agressions humaines ».

« Bradage des terres de l’aéroport-Macky chasse les manoeuvres. Il demande à Mame Boye Diao (directeur des domaines) de bloquer tous les travaux et spéculations », apprend-on à la Une du Quotidien.

Walf Quotidien revient sur le contrat Senelec-Akilee et titre: « Macky sur la ligne basse la tension. Vers la renégociation du contrat ».

Covid-19 et foncier tiennent en haleine la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais de ce mercredi mettent l’accent sur la pandémie de Covid-19 et sur le foncier, avec le débat sur le bradage des terres du littoral dakarois. »Alerte à ses concitoyens-Le Japon met le Sénégal sur la liste des pays à éviter », informent Les Échos, alors que L’As traite de l’enquête sur l’impact de la Covid-19 et révèle que « les Pme sont à l’agonie ».

« Traitement du coronavirus-Le document secret sur la chloroquine au Sénégal. Efficacité, cas graves, faux médicaments, immunité, doses chinoises », titre L’Observateur, qui donne les « raisons du blocage de l’Artemisia ».

De son côté, Libération fait le bilan de la Covid-19 au Sénégal et note « 533 guéris en quatre jours ». Pour Vox Populi, « Touba enregistre 10 morts sur les 53 au Sénégal » de Covid-19.

Ce journal donne la parole au Dr Ousmane Guèye du Comité national de gestion des épidémies (Cnge) qui, à propos de l’envahissement des plages, note: « Nous ouvrons là une porte à une contamination à grande échelle…Et c’est à regretter ».

Walf Quotidien nourrit la même inquiétude, mais cette fois-ci sur  les salles de sport et indique: « Sans distanciation physique, on s’étire sous le cache-nez ».

Pendant ce temps, Dr Babacar Niang, Dg de Suma Assistance note à la Une de La Tribune « mensonges et business sur le Covid-19 » au Sénégal. Selon lui, « les chiffres sont trafiqués pour ne pas dépasser 100 cas par jour » et qu’il y a des « velléités de mettre les données Adn à la disposition de l’Institut Pasteur ».

« Entre arrêt de travail et baisse d’activités-La Covid-19 impacte les transferts d’argent », titre le quotidien économique L’Info.

Sud Quotidien consacre sa Une à cette « boulimie foncière au sommet » qui entraîne « la géologie de la prédation ». « Littoral de Dakar-Un carnage sans fin », titre EnQuête, notant que sur le littoral dakarois, « la menace n’est pas le changement climatique, mais les agressions humaines ».

« Bradage des terres de l’aéroport-Macky chasse les manoeuvres. Il demande à Mame Boye Diao (directeur des domaines) de bloquer tous les travaux et spéculations », apprend-on à la Une du Quotidien.

Walf Quotidien revient sur le contrat Senelec-Akilee et titre: « Macky sur la ligne basse la tension. Vers la renégociation du contrat ».

Coronavirus, politique et faits de société au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus, mardi à APA, traitent du coronavirus, de la politique et des faits de société. »Covid-19: lundi macabre au Sénégal-Trois nouveaux décès portent le bilan à 52 ans », écrit Libération, à côté de Vox Populi qui renchérit: « Le bilan du Covid passe à 52 morts. Trois patients âgés de 69 ans, 44 ans et 43 ans décèdent entre les hôpitaux Principal, Fann et Le Dantec ».

 « L’épicentre Dakar refuse de se débarrasser du virus-Trois nouveaux décès », note La Tribune. Faisant la situation du coronavirus hier au Sénégal, L’As révèle « trois morts et 99 nouveaux cas ».

À propos de l’atteinte du pic des cas de Covid-19, nos confrères de Walf Quotidien informent que « l’OMS dément Diouf Sarr (ministre de la Santé et de l’Action sociale) » et recommande de ne pas « s’amuser à faire le pic ».

En politique, Sud Quotidien s’intéresse à l’organisation des élections à date échue et se focalise sur « le casse-tête des locales ». Pour EnQuête, « la Covid-19 menace la tenue des locales ».

Parlant des nominations de Moussa Sy et d’Abdou Fall qui « font polémique », La Tribune informe que fâché, « Macky va sortir la cravache ». Toutes choses qui poussent L’Observateur à écrire: « Nominations d’ex adversaires politiques-Polémiques en Sall de recyclage. Grogne au sein de l’Apr. Le président prépare les (élections) locales ».

En faits divers, ce journal revient sur « le procès du scandale à l’IAAF » et indique que « Gabriel Dollé enfonce Lamine Diack, qui évoque des soucis de santé ». « J’ai un état de santé assez compliqué, mais je suis là », affirme M. Diack dans Vox Populi.

Pendant ce temps, Le Témoin met l’accent sur « l’affaire BatiPlus » et informe que « l’accusée avait reconnu un détournement de 2 milliards f cfa » et que ses parents et son fiancé soupçonnés de recel, sont dans le collimateur de la justice.

« Dix-huit Sénégalaistombent en Italie avec 10.000 doses de coke. Le gang disposait d’appartements, de laboratoires et magasins pour conditionner, stocker et écouler la marchandise », informe Les Échos.