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L’ARTCI « n’a pas pour objectif de casser leur business ». ( Directeur Général de l’ARTCI).

Le directeur général de l'ARTCI, sort de son silence. En effet, le Collectif des Entrepreneurs de la Livraison Urbaine en…

Le directeur général de l’ARTCI, sort de son silence.

En effet, le Collectif des Entrepreneurs de la Livraison Urbaine en Côte d’Ivoire  avait révélé que suite à une rencontre avec l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire, il a été convenu les points suivants :

  • Chaque entreprise ou structure doit désormais s’acquitter d’une caution de cinq millions de FCFA sur une période de 10 ans pour exercer. Elles doivent aussi ouvrir un dossier à l’ARTCI d’un montant de 400.000 FCFA.

Une décision qui a provoqué une vague d’indignation auprès de l’opinion. La raison, les personnes qui exercent cette activité sont pour la plupart de la catégorie sociale moyenne de la société.

Attaquée, l’ARTCI tient à clarifier les choses. « Depuis quelques jours, certaines informations circulent sur Internet, imputant à l’ARTCI l’intention d’écarter « Les livreurs urbains » à travers des barrières financières alors qu’il n’en est rien », précise le régulateur.

« Nous n’avons pas demandé aux livreurs urbains de payer une somme de 5 millions FCFA. L’ARTCI n’a donné aucune instruction pour les arrêter, on n’a pas pour objectif de casser leur business », ajoute le Directeur General de l’ARTCI, Bilé Diéméléou.

Toutefois, il invite à nouveau les « livreurs urbains » à prendre contact avec la Direction des activités postales de l’ARTCI. Par ailleurs, il rassure l’ensemble des opérateurs du secteur postal de sa disponibilité à les accompagner dans le développement de leurs activités.